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Les élèves et le prof d'anatomie

Chapitre 5

une européenne, une asiatique, une africaine.

Avec plusieurs femmes
Le prof et ses élèves. 5
— Bien les filles ! Le premier round d’observation est passé. Maintenant, il faut passer aux choses sérieuses. Pour Idylle, c’est déjà fait, qui est la suivante ? Toi Béa ? Tu étais celle qui me chauffait le plus au sauna.

Suite :Il s’approche d’elle, la prend par les hanches et la retourne comme s’il avait un bâton de majorette entre les mains. Un 69 debout !!! Il pose les cuisses de Béa sur ses épaules, baisse la tête pour coller ses lèvres sur celles de Béa, mais pas celles de sa bouche, et lui bouffe la chatte. Béa essaie de se retenir en posant ses mains sur les cuisses musclées du prof, son visage en contact avec la verge qui revient à la vie et se redresse déjà. Avec un peu d’acrobatie, Béa se retient d’une seule main pendant que l’autre agrippe la virgule qui s’est transformée en manche de pioche. Elle ouvre la bouche et gobe son gland, mais comme précédemment, elle ne peut en prendre guère plus dans sa bouche.
Hervé s’active un moment, sa langue titillant la chatte et le clito de Béa. Mais ça ne lui suffit plus... Il redresse la tête et nous demande de lui mettre un préservatif. Je m’en charge.Il retourne Béa comme une plume, elle se pend à son cou avec ses bras pendant qu’il rétablit l’équilibre en mettant ses mains sous les cuisses de Béa à la pliure des genoux et l’écarte de lui. Comme je suis aux premières loges, je tends la main pour saisir ce jonc vigoureux et le diriger vers la fente discrète de Béa. Prudent, Hervé laisse revenir le corps de Béa et son gland mafflu s’insinue avec peine dans cette chatte proportionnée à la taille de Béa qui est toute menue. Je la vois grimacer, mais le chapeau de cette formidable verge vient de disparaître en entier dans son vagin. Hervé continue de rapprocher Béa de lui, faisant pénétrer centimètre par centimètre ce poteau trop gros pour son trou. Elle hurle quand il la défonce si profond qu’elle ne peut plus le supporter. Hervé a pris la mesure, sa bite, comme une jauge, sait jusqu’où il peut aller et il ne cherche pas à pousser l’avantage plus loin.
— Non ! Je vous en prie, vous êtes trop gros ! Le supplie-t-elle.

Il lui envoie une claque magistrale sur la fesse droite et continue. L’incroyable verge progresse dans la grotte de Béa qui maintenant hurle de douleur, essayant de se dégager en tortillant du croupion. Mais il la tient fermement et continue sa progression. Puis les lents va-et-vient éveillent progressivement le plaisir de Bea qui devient une véritable chienne en rut, abreuvant le prof de mots crus.
Maintenant, il la travaille en faisant très attention à ne pas s’enfoncer plus pour la blesser. Courageuse, Béa s’accroche, tirant sur ses bras quand il va trop loin pour soulager sa matrice.Il doit aimer cette position qu’il m’a fait aussi ressentir, un sacré gaillard, le mulet ! C’est elle-même maintenant qui tire sur ses bras pour que le gros porteur pénètre encore plus profondément en elle.
Ils finissent dans le divan, Hervé a mis une main autour du cou de Béa et l’autre pétrit un sein pendant qu’il continue de la prendre, mais toujours en douceur et avec prudence pendant de longues minutes. Il se relève soudain et, s’adressant à Cécilie :
— A toi ! J’espère que tu es plus profonde que ta copine, je n’ai jamais eu ma bite si à l’étroit. Jamais je n’aurais imaginé un endroit à la fois si chaud, si agréable, mais tellement serré que ça me coupe un peu les effets tellement je dois être prudent ! Comme j’ai besoin de récupérer un peu, je te laisse les commandes...

Il se couche sur le dos, Cécilie s’approche, lui retire le préservatif et en met un nouveau.Son sexe qu’il tient à la base, pointe au plafond. Cécilie chevauche son corps et doucement, elle rapproche l’épi de ses lèvres intimes et s’empale progressivement, gardant le dos un peu cambré en arrière. Les seins tendus vers l’avant, elle commence un lent va-et-vient. Elle a plaqué ses mains sur les pectoraux d’Hervé et le fait rentrer en elle, le regardant droit dans les yeux.
Centimètre par centimètre, elle sent la bite prendre possession de son fourreau, je la vois se mordre la lèvre inférieure et ses yeux se révulsent presque. Chaque fois qu’elle enfonce sa queue en elle, Cécilie grommèle des mots inintelligibles. Elle a saisi le dossier du divan pour se soutenir. Un premier orgasme, puis un deuxième...
Je vois le sexe de Cécilie complètement distendu par le pal qui la pénètre. Elle monte et descend lentement, les yeux fermés, se mordant au sang la lèvre inférieure, parvenant à enfoncer la quasi-totalité de la verge dans sa vulve. Je n’aurais pas pensé qu’un vagin puisse accueillir pareil monstre ! Je ne peux me retenir de me caresser le clito en silence, ma vulve gonflée par le désir.
Frustrée, Béa revient à l’assaut de la tête d’Hervé pour obtenir une jouissance décuplée par un cunnilingus. Elle écarte avec ses deux mains sa vulve et vient s’appuyer sur les lèvres d’Hervé qui comprend ce qu’elle attend de lui. Il embrasse la chair tendre, lèche l’intérieur du vagin, enfouissant sa langue dans les replis des grandes lèvres, arrachant à Béa des gémissements qui font écho à ceux de Cécilie. Deux filles en train de jouir en même temps avec un seul mâle !
— Oui ! Continuez, léchez-moi, mordez-moi, mais pas trop fort. Hurle Béa.
Hervé ne se fait pas prier, excité par les chairs qui s’offrent à lui. Chaque vagin de mes copines laisse suinter une cyprine odorante sous leurs gémissements. Elles en profitent même pour se gamahucher, se tripoter les seins pour augmenter leur plaisir.
Le plus délicatement possible, je vois le mulet mordiller doucement les grandes lèvres et le capuchon du clitoris de Béa qui a des soubresauts sous les caresses linguales très adroites, lui occasionnant à elle aussi des orgasmes presque ininterrompus.
Je ne veux pas être la seule qui n’éprouve pas de plaisir, je saisis la main d’Hervé et la porte à ma fente et, pour bien lui faire comprendre ce que je veux de lui, je fais de même avec ses couilles que je malaxe délicatement entre mes doigts.
Pendant de longues minutes, nous jouons au jeu de la chaise musicale entre sa bouche, sa teub et sa main pour varier les plaisirs qu’il nous donne, ne songeant même plus à changer son préservatif.Il nous repousse soudain, nous fait mettre côte à côte à genoux sur le divan et nous pine à « la queue-leu-leu », si je puis dire... Il s’enfonce lourdement en moi, je pousse un cri quand il m’écartèle le vagin. Bon sang ! Je n’ai jamais senti pareille grosseur en moi ! Il me baise de ses coups de bites puissants en mouvements rapides, profonds et violents avant de changer de femelle.
Je n’ai jamais connu de partenaires si résistants au plaisir, mais lui réussit à nous faire monter au rideau à tour de rôle. Une vague de plaisir l’envahit enfin et il s’écrie:
— Serrez-vous, les filles ! Je paie la deuxième tournée !

Pour la seconde fois, le mulet ouvre les vannes. De longues traînées de foutre épais zèbrent nos dos cambrés des fesses aux épaules. Il essaie de nous enduire de sa crème en quantité égale avant que la source ne soit tarie. Puis nous léchons nos corps souillés l’une l’autre, avalant jusqu’à la dernière goutte son jus de couilles, reprenant nos esprits après cette « chevauchée sauvage ».La leçon d’anatomie semble finie. Comment ce quadra peut-il avoir une éjaculation pareille après celle déjà dantesque de tout à l’heure ?Les deux mains sur ses hanches, la bite épaisse enfin repue de chattes entre ses cuisses, il nous regarde d’un air rieur et nous avertit :
— Pour aujourd’hui, la leçon est finie. J’espère que vous avez aimé suivre ce cours particulier, mais je veux que vous ne repreniez plus de telles initiatives. Ma vie privée ne vous regarde pas, et si j’apprends que vous en avez parlé à vos copines, je fais un montage des deux dernières heures en coupant ce qu’il faut pour que mon visage n’apparaisse pas et je le colle sur le Net, compris les filles ?— Compris.— Compris.— Compris, mais on pourra suivre une formation plus poussée avec vous ? Interroge Béa.— Huuummm... On verra... On verra. Tout dépendra de votre discrétion. Il faut dire que pour certaines, il y a pas mal de choses à améliorer et ça mérite quelques cours spécifiques. Allez ! Rhabillez-vous et filez, les filles ! Et essayez d’être discrètes en quittant le quartier. J’ai une bonne réputation dans le quartier et je veux que ça continue.

Nous sommes donc rentrées au campus, repues de sexe. Ça va être dur de garder ça pour nous... On en parle entre nous, rêvant déjà du prochain cours particulier. Que nous réserve-t-il.
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