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Les émois d'un locataire

Chapitre 1

Une culotte dans la salle de bain

Erotique
A 25 ans, je finis mes études supérieures à Paris. Je loue une chambre dans un grand appartement du XVIe arrondissement, chez M. et Mme B. Monsieur, retraité, est rarement là : il préfère passer son temps dans son château en Normandie. Madame, un peu plus jeune, travaille encore comme secrétaire dans je ne sais quelle boîte. A 60 ans, elle est mince, élégante sans ostentation, mais semble dépourvue de toute sensualité. Assez stricte, voire austère. Plutôt maniaque sur l’ordre, n’hésitant pas à me faire remarquer, à l’occasion, que ma chambre est mal rangée, sur un ton pointu. Je suis d’autant plus surpris de trouver chaque matin dans la salle de bain ses vêtements de nuit sur le tapis, qu’elle a enlevés avant d’aller prendre sa douche et n’a pas rangés ensuite. Elle sait pourtant que je passe après elle. En général une nuisette en soie et surtout une culotte qui paraît avoir glissé de ses jambes à l’instant même. Ingénuité ? Provocation ?
Un jour, je n’y tiens plus. Je m’accroupis. Je hume l’entrejambe de cette culotte en dentelle sans y toucher pour que Mme B. ne remarque rien, surtout. Quels effluves ! J’en bande direct. Sous la douche, je me masturbe en m’imaginant faire l’amour à ma logeuse. Son odeur, ses yeux gris, son mince sourire... son odeur ! J’éjacule puissamment sur le carrelage. Un coup de jet d’eau, ne pas laisser de trace suspecte.
A partir de ce jour, c’est un plaisir quotidien de sentir la petite culotte, posée là comme pour moi. J’y dépose des baisers, mais toujours sans la bouger. Mon petit plaisir du matin. Parfois s’ensuit une branlette sous la douche. D’autres fois je me masturbe la nuit dans ma chambre en y repensant, giclant abondamment dans un tee-shirt pour ne pas tacher les draps : je ne tiens pas à ce qu’elle voit ce témoignage érotique en les récupérant pour les laver. A table – nous dînons régulièrement ensemble – tandis que nous discutons, j’y repense. Je commence à la trouver désirable, malgré nos 35 ans de différence. Ses yeux gris, son sourire, sa poitrine dont son haut laisse plus ou moins deviner la forme, et cet entrejambe que j’imagine sentir directement, à la fourche, sans l’entremise d’une petite culotte... Mais tout cela est du fantasme. Elle, si stricte ! Jamais un moment d’abandon qui aurait pu me laisser une ouverture.
Ce matin, une fois qu’elle est partie, je vais fouiller dans les tiroirs de sa chambre. Je veux voir sa lingerie de plus près. Je ne suis pas déçu. Apparemment, elle apprécie les tangas. Des dentelles, des petits nœuds, de vrais dessous chics...
Sous ses dehors pincés, Mme B. aime donc choyer sa féminité avec des tissus doux, de jolis motifs, des sous-vêtements de marque. Bruit de la clé dans la porte ! Mince, elle revient. J’entre dans sa penderie, laissant la porte entrebâillée comme elle était quand je suis arrivé. Je l’entends aller dans ma chambre. Elle me croit parti en cours et veut vérifier qu’elle n’est pas en désordre. Quelle vieille chipie, pensé-je. Puis elle vient dans sa chambre. Qu’a-t-elle à la main ? Non ? Le tee-shirt dans lequel je me suis branlé cette nuit en pensant à elle ! Il y a de grandes taches de sperme dessus encore humides, elle ne l’a pas pris au hasard. Elle le porte à son nez et le hume avec gourmandise. La pointe de sa langue sort de sa jolie bouche et goûte ma semence. Une vieille chipie ? Non, une petite coquine !
Je suis pétrifié, choqué par ce que je vois. Combien y a-t-il de temps qu’elle se livre à ce petit jeu ? Elle se caresse les seins à travers le pull, je vois deux beaux tétons qui pointent sous la laine. Je ne les avais jamais distingués et je ne pensais pas qu’ils puissent être aussi gros. Puis elle regarde sa montre, et à regret part reposer le tee-shirt dans ma chambre, prend le sac qu’elle avait oublié et repart. Je reste de longues minutes dans la penderie. En sueur. La trouille d’être surpris. La scène inattendue dont j’ai été témoin. Ainsi donc, chacun de notre côté, nous nous repaissons de l’odeur de l’autre ? Et Mme B. a une sensualité qui la pousse à rechercher mon vêtement souillé ? J’ai du mal à mettre dans l’ordre toutes ces informations.
Durant la journée, je me concentre à grand-peine sur les cours. Oserai-je la regarder dans les yeux pendant le dîner ? Et si elle m’avait surpris, moi ? Mais le soir, son mari est rentré. J’aime autant, après tout, qu’il y ait un tiers au dîner, cela me permettra de reprendre mes esprits. Le repas se déroule tranquillement. J’observe ma logeuse dont j’ai entrevu un pan de sa personnalité que je ne soupçonnais pas. Elle est là, presque froide. Le pull sous lequel pointaient ses tétons ne laisse rien deviner ce soir. Pourtant je n’ai pas rêvé, c’est elle que j’ai vu léchouiller mon sperme.
Je pars travailler dans ma chambre lorsque j’entends une dispute éclater. Des reproches. « Tu lui envoies des textos alors que je suis là, dans la même pièce, et qu’il y a quinze jours que tu n’étais pas rentré. Retourne donc la voir, ta traînée ! Puisque tu ne peux pas t’en passer ! Va donc te faire pomper là-bas. J’espère que tu lui jouis bien au fond de la gorge, espèce de porc, qu’elle en boit jusqu’à plus soif avant d’aller enquillier des bites dans le voisinage, cette truie ! Quel âge a-t-elle, maintenant ? 80 ans ? Mais les hommes sont des porcs, ce n’est pas possible ! » Quel langage, je n’y reconnais pas du tout ma logeuse. Décidément, la journée est riche en surprises. La porte d’entrée claque. M. B. est reparti. Mme B. rentre dans sa chambre. Mince, c’est donc pour ça que M. passe de longs séjours en province : aux côtés de sa maîtresse, une suceuse, s’il faut en croire l’épouse bafouée. « Les hommes sont des porcs... » Dois-je le prendre pour moi ?
J’aimerais consoler Mme B. Mais le couloir qui sépare nos chambres me paraît un abîme infranchissable. Alors je la console virtuellement. Je la cajole en pensées. Je la baise en fantasmant sur ses yeux, ses dessous, son odeur et au moment où j’éjacule sur le tee-shirt, cette question me revient : la culotte chaque matin dans la salle de bain...
Ingénuité totale ? Provocation ? (A suivre.)
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