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Les émois d'un locataire

Chapitre 2

Telle mère, telle fille (ou presque)

Erotique
Le lendemain, quand je me lève, Mme B. est déjà partie, mais un string m’attend dans la salle de bain. C’est nouveau, ça, un string. Noir, avec un triangle en dentelle. Je ne l’ai pas vu dans le tiroir que je fouillais hier quand elle est rentrée par surprise. L’aurait-elle acheté... pour moi ? Je me livre à mon petit rituel matinal. Je m’agenouille, le sens longuement, puis je me branle et – nouveauté – je gicle dessus. Cela séchera d’ici ce soir, mais si elle fait attention, elle verra les tâches et elle retrouvera l’odeur de mon foutre qu’elle connaît puisqu’elle le goûte du bout de sa petite langue rose, sur les vêtements qu’elle me chipe. Je veux provoquer une réaction. Qu’elle me foute dehors ou... ou qu’elle me donne sa chatte à déguster, ma logeuse si peu séductrice dans ses manières et pourtant si attirante. Sinon nous n’en sortirons jamais.
Le soir, je la retrouve au dîner dans la cuisine. Elle se comporte comme si rien ne s’était passé la veille avec son mari, cette dispute après laquelle il est parti. Comme s’il n’y avait pas ce jeu érotique entre nous (à moins que ce ne soit que fantasme de ma part ?). Elle est aimable, mais certainement pas affectueuse, ni même amicale. Elle est la logeuse, moi le locataire de trente-cinq ans son cadet. Quelle énigme ! En parlant avec elle, entre deux bouchées d’un délicieux petit plat qu’elle a préparé — le seul indice manifeste d’une sensualité chez elle – son odeur intime me revient, entêtant. Puis une révélation : l’odeur provient de ma serviette. Aucun doute là-dessus, chaque fois que je m’essuie la bouche, ce parfum merveilleux m’envahit. C’est sa réponse à mon éjaculation de ce matin. Le message est passé. Cette coquine a donc pris ma serviette et l’a passée sur sa chatte, s’est peut-être masturbée avec, a mouillé... joui ? J’ai la trique sous la table. Elle veut jouer ? Jouons.
— Cette serviette sent délicieusement bon, dis-je.— Ah oui ? Ça doit être l’assouplissant, je n’ai pas trouvé celui que je prends habituellement, du coup j’ai changé.
Elle me dit cela d’un ton uni, les yeux dans les yeux, sans sourciller. La garce ! Elle est forte ou c’est moi qui rêve de bout en bout ? Je n’ai pas le temps de m’interroger, la sonnette de l’entrée retentit.
— Ah, voilà ma fille !
Elle se lève pour aller lui ouvrir.Si Mme B. m’intéresse, si son mari m’est indifférent, leur fille plus âgée que moi, je ne l’apprécie pas. C’est sa mère en plus froide. Une jeune femme sèche. Les rares fois où elle passe chez ses parents et que je la croise, je constate qu’elle ne m’apprécie pas non plus. Nous nous saluons sans chaleur. Je termine de dîner rapidement pour les laisser seules, non sans emporter discrètement la serviette parfumée. Dans ma chambre, je m’allonge, hume ce cadeau qu’elle m’a fait. Mon sexe est raide. Je caresse mon gland, j’astique mon manche tandis que des bribes de conversation me parviennent. Apparemment, M. B. ne reviendra pas de sitôt à Paris après la scène d’hier à propos de sa maîtresse et où Mme B. a employé un langage grossier auquel elle ne m’avait pas habitué ! Puis, imaginant Mme B. frottant ma serviette de table contre son sexe, je gicle et je m’endors.
Le lendemain matin, au petit-déjeuner, j’apprends de sa fille que Mme B. a fait un malaise cette nuit, un léger malaise cardiaque, et qu’elle est en surveillance quelques jours à l’hôpital. Plongé dans mon sommeil, je n’ai rien entendu. Sa fille va rester là le temps de l’hospitalisation, pour lui rendre visite. Quelques jours en sa compagnie, voilà qui ne m’amuse pas. Bon, je la croiserai le moins possible. Je file à la salle de bain. Non ? Si ! Une petite culotte sur le tapis, bien en évidence. Ce n’est pas Mme B. Sa fille ? Mais quoi, ingénuité ou provocation ? Je me baisse pour la renifler – on ne se refait pas – quand elle frappe à la porte. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Et à travers la porte :
— Je crois que j’ai oublié ma petite culotte, pouvez-vous me la passer ? — Oui, tout de suite, j’ouvre.
Je ramasse la culotte, pas à l’aise du tout. La fille B. est en tee-shirt, sans soutien-gorge, deux petits seins pointent joliment. En bas... rien. Juste une légère toison. Je lui tends la culotte, la gorge serrée.
— Tu l’as sentie, au moins, espèce de branleur ?
Elle s’approche de moi, se colle à moi, me met sa culotte sous le nez.
— Tu aimes, non ? dit-elle en enlevant son haut. J’ai toujours pensé que tu dois être un petit porc.
Mon short tendu par l’érection apporte une réponse évidente.
— Ecoute, si je t’appréciais, je te donnerai ma chatte à lécher. Mais on ne va pas se mentir, on ne s’aime pas, tous les deux. Je me contenterai de te sucer parce que tu me fais envie, alors laisse-toi faire.
Elle s’agenouille et me lèche à travers le tissu, en me regardant dans les yeux. Puis elle baisse mon short. Nous voilà au milieu de la salle de bain, moi les idées en vrac où se bousculent la mystérieuse Mme B. et, actuellement, la délicieuse pipe que sa fille me prodigue. Car elle sait y faire, la demoiselle. Elle suçote le gland, embouche le membre entier avec lenteur, le garde à fond de gorge quelques secondes, puis le retire... et recommence. Une tuerie ! Au bout de cinq minutes de ce traitement, j’ai des étoiles dans les yeux, un vertige, je dois me tenir au lavabo pour ne pas tomber. Elle, impitoyable, continue sans faiblir, serrant doucement mes couilles dans sa main. Bon sang, j’ai joui hier soir, mais je vais lui en mettre une bonne dose, je sens que ça monte.
— Je vais... jouir.
Elle arrête de pomper.
— Bien sûr que tu vas jouir, petit porc. Tu crois que les mecs que je suce sont en mesure de résister ?
Et elle me reprend en bouche pour un final qui ne tarde pas à venir. Je me vide dans sa bouche. Le foutre déborde aux commissures, ressort par les narines. Des gouttes tombent sur ses petits seins. Elle prend le temps d’avaler tout ce qu’elle peut en me regardant droit dans les yeux. Puis elle se lève et quitte la salle de bain avec sa culotte à la main.
— Allez, je pars voir ma mère à l’hôpital. Refais le stock pour demain matin !
J’ai la tête qui tourne, je m’assois sur le tapis cinq minutes. Mais ce n’est pas à la fille que je pense, c’est à Mme B. Au risque de paraître romantique, je dirais qu’elle me manque déjà.(A suivre.)
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