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Les émois d'un locataire

Chapitre 3

Une secrétaire bien particulière

Erotique
Le lendemain matin, rebelote, même jeu. Culotte dans la salle de bain. Toc-toc. Fellation par Mlle B. Abondante giclée dans sa bouche. Puis elle part voir sa mère à l’hôpital. Les nouvelles sont bonnes, mais ils la gardent encore quelques jours en observation. J’aime bien la pipe magistrale et sans affection que me prodigue la fille, mais sa mère et nos jeux inavoués, dont le dénouement reste à venir, me manquent. Le soir, Mlle B. me dit qu’elle doit repartir, obligations professionnelles, son père va prendre le relais – malgré leur différend — pour se rendre à son chevet. Bon... Les adieux sont brefs. Cependant quelque chose a dû changer entre nous, car elle me fait tout de même une bise mi-joue mi-lèvres et je n’y suis pas insensible.
Le père arrive dans la foulée, mais pas seul. Il a le toupet de s’installer dans l’appartement familial avec sa maîtresse puisque sa femme n’y est pas. Il me la présente comme sa « secrétaire ». Je repense aux mots violents que Mme B. a eus à son encontre : « ... ta traînée !... J’espère que tu lui jouis bien au fond de la gorge, espèce de porc, qu’elle en boit jusqu’à plus soif avant d’aller enquiller des bites dans le voisinage, cette truie ! Quel âge a-t-elle, maintenant ? 80 ans ? » J’ai devant moi une dame de 70 ans, en tailleur, soignée de sa personne : permanente, jolies lunettes, boucles d’oreilles. Une agréable bourgeoise, plutôt que la truie décrite par l’épouse bafouée. Polie, à l’aise, la « secrétaire », me demande si les études se passent bien, me tient toute une petite conversation mondaine.
Puis je m’éclipse dans ma chambre. Je retrouve la serviette sur laquelle Mme B. m’a laissé sa précieuse odeur, celle qu’aucun parfumeur ne synthétisera jamais. Je la mets sur mon visage. Je veux m’y plonger. L’érection est immédiate, violente. Je m’imagine le visage entre ses cuisses, à la lécher délicatement dans un premier baiser... Quand ? Quand passerons-nous, elle et moi, au-delà de notre timidité ? Ferons-nous durer notre jeu d’approche encore longtemps ? Ou est-ce moi qui me fais des films ? Ce qui est bien réel, à l’instant même, c’est cette giclée de foutre qui m’inonde le torse.
Le lendemain matin, M. B. part à l’hosto rendre une visite de pure forme à sa femme. J’ouvre la porte de la salle de bain et je tombe sur la « secrétaire » nue, en train de se coiffer.
— Oh ! Désolé.— Je vous en prie, répond-elle sans se démonter. J’ai oublié de fermer la porte, je suis bête.
Et elle ferme la porte à clé – mais elle m’enferme avec elle.
— Prenez votre douche, je ne voudrais pas vous mettre en retard pour vos cours.
Elle se remet à se coiffer. Bon. Admettons, mais drôle de façons. Je rentre dans la douche qui n’a pas de rideau et je commence à me savonner tout en la regardant du coin de l’œil. Elle est appétissante. Ses seins tombants invitent à une tétée autre que nourricière. Son ventre généreux, ses larges cuisses, son cul d’un beau volume... Une femme mûre dans sa magnificence. Sa chatte, que j’aperçois dans le miroir, est une toison abondante et argentée. Moi qui n’ai connu que des jeunes femmes de mon âge, je m’aperçois qu’à fantasmer sur Mme B. qui a la soixantaine, mes goûts ont évolué puisque maintenant, c’est cette femme encore plus âgée qui m’attire... C’est alors que nos regards se croisent dans le miroir. Grillé !
— Eh bien, jeune homme, je vous fais de l’effet ?
Je ne sais que répondre. Tandis que mes pensées vagabondaient sur ses formes, mon sexe s’est durci comme du bois et se tend vers elle comme pour la rejoindre.
— Vous savez, mes... orifices sont à M. B., mais je ne suis pas un monstre. D’autant qu’il est parti voir l’autre, là, et que je suis assez possessive... Nous pourrions nous soulager face à face ? Cela me détendrait, et vous aussi. Vous étudierez plus sereinement ensuite.
La proposition est pour le moins inattendue. La secrétaire n’attend pas ma réponse. Appuyée contre le lavabo, à un mètre de moi, elle écarte les cuisses et commence à se caresser. Alors, comme par mimétisme, restant sous la douche, je me caresse aussi. Sa main droite s’active dans sa toison argentée bien fournie, tandis que sa main gauche pince ses tétons et masse ses mamelles pendantes. De mon côté, je m’astique lentement le manche. De temps en temps, nos yeux se croisent, mais nous regardons surtout les mains de l’autre. Elle geint. Le long de ses cuisses coule de la mouille. Une délicate odeur féminine, l’odeur du désir, se répand dans la pièce. J’accélère le rythme, elle aussi, mais je l’attends. Elle prend son temps, elle va me mettre en retard pour les cours, mais je suis galant. Puis brusquement, elle se trifouille entre les cuisses beaucoup plus vite, gigote, ses seins ballottent, c’est un spectacle jouissif et je me contrôle tant bien que mal.
Puis elle crie, « ah que c’est bon, oh oui, ta bite, allez, gicle tout » et là mes jets partent, franchissent la distance qui nous sépare et constellent ses seins et son ventre de gouttelettes qu’aussitôt elle récupère sur ses doigts et lèche avec gourmandise.
— Heureuse jeunesse, conclut-elle ! Quelle abondance ! Vous devez en faire, des heureuses, avec de telles giclées. Bonne journée à vous.
Et elle quitte la salle de bain sans se rincer, tandis que je finis ma douche. Il est vrai que je jute abondamment chaque jour, mais... faire une pause serait pas mal, histoire d’honorer avec faste – si cela doit se faire – ma logeuse, mon adorable et discrète Mme B., quand elle rentrera. La journée à la faculté est longue. Les étudiantes, y compris celles que j’aimais mater, me semblent fades – physiquement et sensuellement. Je me sens, d’humeur, plus Barbey d’Aurevilly que Yann Moix. Quand je rentre en fin d’après-midi, M. B. est là avec sa « secrétaire ». Elle se comporte avec moi comme si de rien n’était. Et M. B., à qui je demande des nouvelles de sa femme d’un ton détaché, me rassure et dit :
— Ah ! Elle m’a donné quelque chose pour vous. C’est vous qui avez l’enveloppe, chère amie ? demande-t-il à sa « secrétaire ».— Oui, suis-je bête, j’allais oublier l’enveloppe.
Et elle sort de son sac à main une petite enveloppe en papier kraft, chiffonnée. Elle me la tend.
— C’est la quittance du trimestre pour la location de votre chambre, me précise M. B.
Quittance du trimestre ? Je paie Mme B. tous les mois et elle ne me donne jamais de quittance, c’est du noir.
— Ah, oui la quittance ! fais-je.
Et je pars dans ma chambre en tâtant cette enveloppe légère, qui présente un petit relief, pas celui d’une feuille de papier. J’ai le cœur qui bat la chamade.(A suivre.)
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