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Les émois d'un locataire

Chapitre 4

Une Miss Marple du sexe

Erotique
Dans ma chambre, j’ouvre l’enveloppe. Il s’agit d’une petite culotte. Je la porte à mon visage. L’odeur de Mme B. Je m’en délecte en de longues inspirations. Elle l’a donc portée pour moi à l’hôpital et me l’a fait transmettre par son mari ? Il n’y a que les femmes pour avoir de ces audaces et c’est pour cela aussi que je les aime... plus que tout. Je n’ai donc pas rêvé tous nos « échanges » via vêtements, moi lisant la culotte qu’elle a laissée quotidiennement dans la salle de bain, elle mon pyjama encore crémeux d’avoir pensé à elle et qu’elle piquait dans ma chambre. A ma question « ingénuité ou provocation », la réponse est là : une provocation, ou mieux, une doucereuse incitation à m’intéresser à son entrejambe. Je ne rêvais donc pas. Comment ne pas bander en recevant un tel message ? Comment ne pas se masturber en pensant à la téméraire et coquine Mme B. ? Comment ne pas éjaculer, malgré ma résolution d’attendre son retour, sur cette petite culotte ?
Entre mes pensées pour Mme B., sa fille désagréable, mais suceuse experte, et la « secrétaire » de M. B., j’ai l’impression que mes couilles ne se videront jamais même en jouissant deux ou trois fois par jour.
Le matin, je me lève avec une idée : je veux lui rendre la politesse. Je remets dans l’enveloppe la culotte qui porte désormais nos deux odeurs, je scotche le tout avec soin et au petit-déjeuner, je la tends hardiment à M. B.
— Votre épouse m’a demandé de lui signer la quittance, vous pouvez la lui rendre en allant la voir aujourd’hui ?— Oui, bien sûr. Ah, la paperasse ! Comme si ça ne pouvait pas attendre. C’est tout ma femme, ça. Même à l’hôpital...
La « secrétaire » est là aussi, qui boit son thé, en un peignoir éponge rose : elle a déjà pris sa douche et est fraîche comme une jolie poupée mûre. Cinq minutes après, M. B. part voir sa femme à l’hôpital avec ma précieuse enveloppe... La secrétaire entame la conversation :
— Ah, les hommes ! M. B. n’a rien vu au petit manège de sa femme ni au vôtre.— Comment ça, bredouillé-je.— M. B. m’a confié l’enveloppe hier, il avait peur de la perdre. Il suffisait de l’avoir en main pour comprendre qu’elle contenait du tissu et non du papier, et pour en conclure que le message transmis était érotique. Hautement érotique, puisque vous n’avez pas vous empêcher de lui... Comment dire ? Répondre ?
Je suis rouge cramoisi. Cette femme est maline.
— Allons, jeune homme, croyez-vous que je sois malintentionnée ? Je suis une sorte de Miss Marple du sexe, j’aime observer les gens et en tirer les conclusions qu’ils veulent cacher. Je le fais par pur plaisir. J’y trouve une certaine excitation.— Alors vous ne direz rien, vraiment ?— Muette comme une tombe. Mais dites-m’en plus sur vous et vos envies.— Je... J’aime... Enfin...— Je vais vous le dire, grand timide. La quittance de Mme B., je le déduis, était un sous-vêtement chargé de son parfum intime. Vous appréciez l’odeur de la femme. C’est une grande qualité chez un amant, sinon la première des qualités, car elle est une preuve de sensibilité, non seulement raffinée, mais qui peut aussi devenir bestiale... Les femmes aiment cela. Eh bien, vous voilà tout ému ?
Sans m’en apercevoir, à écouter cette femme captivante, ma queue est sortie du boxer et se dresse dans la cuisine. J’essaye de la rentrer, mais elle ne se laisse pas faire. Erigée, elle entend le rester. La secrétaire la regarde, amusée, puis entrouvre son peignoir et les cuisses.
— Venez me sentir, jeune homme. Allez, venez humer l’excitation qu’a produite, sur moi aussi, notre conversation.
Je m’agenouille entre ses cuisses. J’approche mon visage au plus près. Je me délecte d’une chaude odeur femelle. J’en prends de grandes rasades, yeux fermés. Je ne suis plus qu’un seul sens, l’odorat.
— Tu aimes sentir ma chatte de vieille dame, hein, petit cochon, dit la secrétaire en ouvrant davantage les cuisses.— Oh oui j’adore, vous sentez tellement bon. C’est si bandant.
Elle attrape mon gland et le masse dans sa main toute chaude tandis que j’inhale le plus possible la féminine odeur de la secrétaire et amante de M. B. Ma langue sort pour la boire. Elle me donne une petite tape affectueuse sur la tête :
— J’ai dit non, juste sentir.
Et elle continue de masser mon gland gonflé comme jamais tandis que je me délecte du parfum capiteux en résistant à l’envie de la lécher comme la plus enviable des glaces.
— M. B. et moi nous partons ce midi. Mme B. rentrera en taxi dans l’après-midi. Elle sera là ce soir quand tu rentreras de cours. Donc réserve ta semence pour elle, pas d’éjaculation ce matin...
Au moment où elle prononce ses mots, et sans que j’ai senti venir la jouissance, le jet part droit dans sa main et dans la manche du peignoir, suivi de quelques autres.
— Ah toi alors, quelle sensibilité ! Tu ne fais pas les choses à moitié, gros dégoûtant : regarde ma manche !
Et elle commence à lécher mon sperme épais sur le tissu, sur son poignet, entre ses doigts, tandis que la tête me tourne, entre l’éjaculation et l’odeur intime.
— Chacun son truc : moi c’est le jus que j’aime... Allez, pars à la douche, tu vas te mettre en retard pour ton cours.
Et tandis que je quitte la pièce, je la vois qui commence à se masturber, la main encore poisseuse de mon jus.Cinq minutes plus tard, sortant de ma douche, j’entends des gémissements qui vont crescendo, suivis d’un cri rauque : la « secrétaire » s’est fait du bien. Les voisins ont dû entendre aussi. Ma queue gonfle de nouveau en entendant cela et en repensant à ce que nous avons fait dans la cuisine. Si je me laissais aller, j’irai droit dans la cuisine emmancher la vieille bourgeoise coquine et avisée, direct dans sa chatte humidifiée et ouverte par la jouissance. Mais elle refuserait, raisonnable : « Mes orifices appartiennent à M. B. – Réserve-toi pour Mme B. – File à la fac ! » Elle me dirait cela fermement et gentiment, avec ce ton que j’apprécie chez elle, moi qui ai à cet instant envie de la besogner de la même façon : en mêlant brusquerie et tendresse. Mais cela ne dure pas, mes pensées s’éclaircissant retournent à cette réalité : Mme B. sera là ce soir quand je rentrerai des cours. Comment nous avouerons-nous nos désirs, après tant de signes olfactifs échangés ?
(A suivre.)
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