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Les émois d'un locataire

Chapitre 5

A l'entrejambe du désir

Erotique
Durant ma journée de cours, j’ai la tête ailleurs. J’essaye de remettre l’histoire dans l’ordre et ça n’est pas facile. Mon attirance olfactive pour ma logeuse, Mme B., et la découverte qu’elle éprouve la même attirance pour moi. La prise de conscience, jour après jour, que sa culotte laissée chaque matin dans la salle de bain n’était pas une négligence ingénue mais l’invitation à m’y intéresser – ça a bien fonctionné ! Nos petits jeux autour de cela, moi enfoutrant mon tee-shirt à son intention, elle parfumant ma serviette de table avec son odeur intime. Mais toujours comme si de rien n’était quand nous discutions au dîner. Elle, totalement imperturbable… Poker face… Me regardant les yeux dans les yeux, sans ciller ni vaciller alors que nous savions l’un comme l’autre que nous fantasmions totalement sur nos odeurs sexuelles et que ses tétons pointaient outrageusement sous son pull… Avec ce zeste de froideur joint à une amabilité retenue – un mélange très séduisant.
Puis, partie à l’hôpital, elle me faisant passer une culotte par l’entremise de son mari (et à son insu), moi lui répondant par le même biais. Ça, c’est un aspect de la question. Il y a aussi sa fille qui joue le même jeu de la petite culotte dans la salle de bain – perversion atavique ? mimétisme séducteur ? – et me suce deux jours de suite… La « secrétaire » de M. B., son amante en fait, avec qui nous nous sommes branlés en face à face, puis qui le lendemain m’a offerte sa chatte à sentir et m’a fait gicler en me tenant fermement le gland… Si Mme B. apprend tout cela ? Que ce soit sa fille ou sa rivale, ça ne la disposera pas bien envers moi. Voilà tout ce qui tourne dans ma tête. Ce soir quand je rentrerai de la fac, Mme B. sera revenue. Mon cœur s’emballe. Mon sexe aussi. Deux étudiantes l’ont remarqué et me regarde en souriant, moqueuses mais émoustillées. J’y prête pas garde. Jolies, oui, beaucoup plus jeunes, mais si fades, comparées à Mme B. Il y a quelques semaines, j’aurais fait l’amour avec l’une, l’autre, les deux peut-être. Maintenant c’est à ma logeuse de 60 ans que je pense.
Le soir en poussant la porte de l’appartement j’entends des voix dans la cuisine. Mince, Mme B. n’est pas seule. Le tête à tête que j’imaginais n’aura pas lieu. Je vais directement à la cuisine car elle me manque trop. Son absence de quatre ou cinq jours me mine. Elle discute avec sa fille. Celle-ci, hautaine comme d’habitude vis-à-vis de moi, mais avec dans les yeux une lueur qui dit : j’ai avalé deux fois ton jus et j’ai aimé ça. A Mme B., je demande de ses nouvelles.
— Je vais bien, je vous remercie. Cela me fait plaisir de rentrer à la maison. Je dois juste me reposer encore quelques jours, selon le médecin. Mais dînons, il est grand temps.
Toujours comme si de rien n’était. Visage imperturbable. Cependant au fil du dîner, tandis que nous bavardons, je vois pointer ses tétons sous son pull. C’est un spectacle qui m’a toujours ému, des tétons qui pointent sous la laine. Ceux de Mme B. ont l’air vraiment gros. Sa fille a remarqué cela aussi – difficile de ne pas les voir ! Elle fait les gros yeux à sa mère, en essayant de ne pas se faire remarquer de moi, genre : ça ne se fait pas, enfin, qu’est-ce qui t’arrive ? Mais à la vérité, un coup d’œil sur le chemisier de la fille montre qu’elle aussi pointe, oh, de façon plus menue, des petits tétons. Et moi ? Je pointe aussi, sous la table. Il y a de l’excitation dans l’air. Puis Mme B. se lève.
— Je suis fatiguée, je vais m’allonger. Vous rangerez la cuisine ? Merci.
Sa fille et moi terminons le repas en silence, puis nous débarrassons vite fait la table.
— Je rentre chez moi ce soir, grosse journée de boulot demain. Au revoir… petit branleur, me dit-elle en m’embrassant mi-joue mi-lèvres.
En retour j’effleure un téton d’un doigt à la surface du chemisier. Elle part.Je traverse l’appartement silencieux. Mais dans ma chambre, au sol… Un tanga en dentelle posé là. Celui de la fille ? De la mère ? Comme je faisais dans la salle de bain, je m’agenouille et le hume sans le toucher. Mme B., est là, toute concentrée dans l’odeur de ce minuscule bout de tissu sexy. Je m’en délecte. Puis je regarde sous mon oreiller : le tee-shirt avec lequel je dors a disparu. Elle l’a pris. Elle doit le humer de son côté. Je décide qu’il est temps de mettre un terme à ce cache-cache et, pas très assuré quand même, je me décide à aller frapper à la porte de Mme B.
— Entrez.
Mme B. est allongée sur son lit, dans la pénombre.
— Excusez-moi de vous déranger…
— C’est la première fois que vous venez frapper à ma porte. Vous pensiez que j’étais morte ?— Je voulais vous rendre cela, dis-je en tendant le tanga. Vous l’avez oublié dans ma chambre.— Ah oui, mon tanga.
Elle répond cela comme s’il était normal qu’il se soit retrouvé dans ma chambre ! Elle a tous les toupets.
— Asseyez-vous au bord du lit.
Je m’assois, tenant toujours le tanga dans mes mains. A vrai dire, je n’ai pas envie de lui rendre. Je préférerais le garder.
— J’ai bien reçu vos messages, me dit-elle.— Moi aussi, j’ai bien reçu le vôtre – et j’y ai répondu, mais une seule fois.— J’en ai pourtant reçu deux, avant cela.
J’essaye de comprendre à quoi elle fait allusion.
— Quand ma fille est venue me rendre visite à l’hôpital et qu’elle m’a embrassée…
Oui, et alors ? Je ne vois vraiment pas où Mme B. veut en venir.
— Elle dégageait une odeur de semence, l’odeur de votre semence, j’en étais toute troublée. Je l’ai beaucoup prise dans mes bras. Elle m’a trouvée beaucoup plus démonstrative que d’habitude, et m’en a fait la remarque. Mais c’est vous que je respirais à travers elle.
Me voilà bien embêté. Elle sait que sa fille m’a prodigué deux fellations.
— C’était tellement bon de vous sentir que je ne vous en ai pas voulu de cette façon… très particulière… de m’adresser votre message. Il fallait y penser, et surtout oser.
Je ne peux que bredouiller. Elle sort mon tee-shirt de dessous son oreiller et le prend comme un doudou. Elle continue, toujours sur ce ton distant qui n’appartient qu’à elle :
— J’ai su, bien sûr, que mon mari s’était installé là avec sa pouffe de secrétaire. Vous a-t-elle allumé, cette vieille putain ? Vous a-t-elle offert ses trous ?
Il est terriblement excitant de l’entendre dire des mots aussi vulgaires sur un ton toujours bien élevé. S’en rend-elle compte ?
— Je vous jure qu’elle ne m’a pas offert ses… trous.
C’est la plus stricte vérité. Il y a eu autre chose, mais je ne vais pas m’en vanter ! « Pouffe » et « vieille putain » ne cadrent pas avec l’amabilité surannée de la « secrétaire », mais passons, je préfère qu’on change de sujet. Mes yeux se sont habitués à la pénombre. Mme B. est proche de moi, en chien de fusil, dans une nuisette. Ses tétons, sous un tissu aussi léger et transparents, sont érigés comme il n’est pas permis. L’odeur de sa féminité se répand peu à peu dans la pièce. J’ose.
— Vous sentez très bon.— Ah ? J’avais la désagréable odeur de l’hôpital sur moi, j’ai pris une douche dès mon arrivée ici. Mon gel douche est à l’aloe vera, vous aimez ?— Je ne parle pas de cette odeur-là.
Disant cela je me tourne vers elle et j’ouvre doucement ces cuisses. Sa nuisette remonte. Je vois – enfin – le sexe de Mme B. Une jolie chatte à la toison courte, d’un brun léger. Je plonge ma tête entre ses cuisses et je prends le temps de humer tout cela tandis qu’elle passe le bout des doigts dans mes cheveux.
— Comme j’ai attendu ce moment, dit-elle.— Et moi donc !
Ce seront mes derniers mots avant un long moment. J’entame un cunilingus amoureux. Je lèche cette vulve chaude en m’attardant sur le clitoris qui, en deux ou trois coups de langue, prend une ampleur telle que je n’en ai jamais vu. Il sort comme ses tétons, comme une mignonne petite bite.
— Je suis désolée, j’ai un très gros clitoris… Mon mari s’est détourné de moi à cause de ça…
Comment mieux la persuader que cela ne me dérange pas qu’en suçant ce clitoris qui s’avère si réactif et hors-normes ? Mme B. gémit de plus en plus fort.
— Oh comme tu me suces bien, tu es mon bouffeur de clito, oui…
J’alterne sucion et léchage, je mange cette fleur de chair et d’une main je m’occupe de ses seins. Tétons, clitoris, je ne sais plus ce dont je m’occupe mais je m’en occupe, ça oui. Mme B. a la chatte trempée, je bois cette fleur de chair autant que je la mange. Mme B. ne tarit pas d’éloges :
— Mon salaud tu me fais baver de la chatte, allez bouffe-la-moi bien profond, suce ma petite bite bien raide, tripote mes gros tétons, tu les aimes, hein, tu l’aime mon corps de vieille…
Et elle geint, et elle mouille, j’ai le visage trempé comme si je venais de le passer sous le robinet. L’odeur de son sexe m’enivre comme un alcool âpre, c’est une sauce douce et amère à la fois, avec une pointe d’urine qui parachève ce philtre d’amour. Je dévore Mme B. et elle vient puissamment, elle feule comme une tigresse, une série d’orgasmes qui la secouent, elle enserre ma tête entre ses cuisses et sa chatte, m’inonde, c’est tout juste si je ne suffoque pas… Je me noierais presque. Je vois défiler toutes les chattes que j’ai léchées jusqu’à celle-ci qui est le summum, comme si toutes n’avaient que des avant-goûts de ce cunilingus incroyable.Je reprends vie doucement sous les baisers de Mme B. qu’elle alterne de coups de langue sur mon visage, me nettoyant puis m’embrassant, tandis que sa main tient fermement ma queue.
— J’ai envie de ton foutre…
C’est à son tour de me bouffer, car ce n’est pas de succion qu’il s’agit mais de dévoration ! Ma bite est son repas, son banquet auquel ne manque, pour être vraiment réussi et achevé, que la sauce finale. D’une main elle joue avec mes couilles, de l’autre elle branle la base du manche, et sa bouche affamée me dévore. A la limite de la douleur. De la maltraitance. Le plaisir monte au point que j’en oublie la cohérence grammaticale.
— Allez, bouffez-moi la queue, Mme B., tu veux mon foutre, tu veux le sentir, c’est ça ? Tu aimes l’odeur de mon foutre, petite salope ? Ce que vous êtes bonne !
Je vais venir. Mme B. me termine en me masturbant frénétiquement à 2 cm de son visage, bouche grande ouverte. Je ne voudrais jamais oublier cette vision. Je gicle et je râle, elle en a dans la bouche, dans les yeux, dans les cheveux. Sur son beau visage mon foutre est comme le plus beau maquillage qui soit et des larmes de joie. Elle en déglutit le maximum, récupère ce qu’elle peut du bout de sa langue, nous nous étreignons. A mon tour de lui lécher son visage enfoutré et de le lui rouler de bonnes pelles. Nous ne sommes plus qu’une seule odeur, celles de nos plaisirs mêlés. Et tandis, que planant dans ces parfums, nous nous assoupissons bien étreints l’un et l’autre, Mme B. me murmure :
— Quoi qu’on devienne, toi et moi, tu trouveras toujours ma petite culotte sur ton chemin.
(FIN)
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