Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 152 J'aime
  • 3 Commentaires

Les émois d'un locataire

Chapitre 6

Un coup de sonnette inattendu

Erotique
Depuis ce jour où Mme B. et moi nous sommes avoué explicitement nos désirs et sommes passés à l’acte, moi m’enivrant de sa cyprine, elle se délectant de ma semence, les semaines s’écoulent, heureuses et coquines. Je dors désormais dans sa chambre. Dans la journée, je vais en cours, elle à son boulot. Le reste du temps, nous ne vivons que l’un pour l’autre. C’est vraiment une autre Mme B. qui s’est révélée à moi. Elle qui gardait ses distances, froide en apparence avec moi… maintenant se révèle rieuse et volcanique. Quand il y a un tiers, elle redevient cette femme de soixante ans sur son quant-à-soi, distante. J’avoue qu’elle est très excitante ainsi. A vrai dire il n’y a pas souvent de tiers. Elle ne voit plus son mari avec qui une procédure de divorce est engagée. Sa fille — qui n’est pas au courant de notre relation — passe rarement et en coup de vent.
Nos jeux amoureux sont inventifs. Souvent Mme B. me fait des surprises. L’autre jour, en cours, j’ouvre ma trousse et il en sort un string délicatement odorant. L’étudiante à ma droite, Fanta, une Africaine plantureuse avec qui je suis ami, ouvre de grands yeux en voyant ça.
— Tu te balades avec un string dans ta trousse ?— Oui, tu veux le sentir ?— Quoi ? Il a été porté en plus ?— Vas-y, sens-le.
Elle le roule en boule dans le creux de sa main par discrétion, le porte à son nez.
— Ah oui, j’avoue, ça sent bon la chatte… C’est à qui ?
Je lui explique ma liaison avec ma propriétaire, Mme B., lui détaillant nos jeux d’approche parfumés. Je lui explique aussi ce qui s’est passé avec sa fille et avec la maîtresse de son mari.
— Tu es un chaud lapin, toi !
Le professeur nous fusille du regard. Nous nous taisons. Mais j’ai l’impression que Fanta ne me regarde plus comme avant. Mme B., à qui j’ai raconté cela, m’a dit :
— M’est avis que cette belle black va fantasmer de te faire respirer sa fourche…
L’idée ne me déplairait pas. Souvent assis à côté de Fanta, je perçois des fragrances sensuelles qui parfois me distraient de l’enseignement dispensé. De mon côté, moi aussi je fais des surprises à Mme B. Elle avait une journée de travail bien remplie et s’était préparée un repas à emporter dans une boîte plastique. Tandis qu’elle était sous la douche, je me suis masturbé au dessus du plat, j’ai éjaculé dedans et j’ai soigneusement refermé la boîte. Nous avons bien ri le soir.
— Figure-toi que la stagiaire, Florence, avait oublié son déjeuner. Je lui propose de partager le mien. En mangeant j’ai vite compris ce que tu avais… ajouté à la recette originale. Je ms sui régalée. Et Florence qui demandait : « Mais c’est quoi ce petit goût en plus ? Délicieux ! Tu me diras ton secret. »— On devrait l’inviter à dîner !
— Hors de question, tu ne pourrais pas t’empêcher de fourrer ton nez sous sa mini-jupe. Je la soupçonne de ne pas porter de culotte. Je sens parfois des effluves féminines très agréables lorsqu’elle vient à mon bureau. Tu adorerais.— Et tu adorerais aussi, non ?— Vicieux…
Je prends Mme B. dans mes bras. Son corps se love contre le mien avec tant d’aisance et de sensualité. Le temps d’un baiser et ma queue durcit contre son ventre, et ses tétons pointent sous le chemisier, indécemment gros, d’autant qu’elle porte un soutien-gorge ouvert qui leur laisse toute liberté de s’épanouir. J’ouvre son chemisier. Ses tétons se dressent vers moi, obscènes. On dirait de gros piments. J’en gobe un, je joue avec, de la langue et des dents. Certains jours, j’ai passé plus de temps à m’occuper d’eux qu’à réviser mes cours. Elle caresse ma queue à travers le pantalon.
— J’ai soif. Je peux ?
Elle a toujours soif et elle sait que je ne refuse jamais de l’abreuver. Elle m’allonge sur le lit, déboutonne mon jean, me le baisse avec mon boxer à mi-cuisse et sans tarder embouche ma queue. Sa langue s’active, fureteuse et gourmande. Puis elle tète mon gland. Nous nous regardons droit dans les yeux.
— Tu es ma pute ? lui dis-je.
Gland en bouche, elle grogne un non en me fusillant du regard.
— Si, tu es ma pute rien qu’à moi, ma suceuse.
Vaincue elle reprend sa succion. D’une main je pince un de ses tétons. C’est comme un bouton de réglage : immédiatement elle se met à sucer plus ardemment. Je joue ainsi à faire des pressions régulières, j’adore cette sensibilité qu’elle a. Elle masse mes couilles d’une main experte. Je ne vais pas tarder à jouir. Elle le sait. Elle connaît ces tressaillements plus vifs de mon corps, la façon réflexe dont ma main appuie sur sa tête, mes grognements plus rauques, tous ces signes qui annoncent l’orgasme prochain. Je lâche un grand jet dans sa bouche, suivi d’une salve décroissante. Avec adresse, ma gourmande ne lâche pas ma bite pour ne rien perdre de ma semence qu’elle avale en me fixant, le gland toujours embouché. Puis, le relâchant :
— Ne bouge pas !
Elle enlève d’un mouvement son pantalon et son string et, moi toujours allongé, elle se met à califourchon sur mon visage et commence à frotter doucement sa chatte sur mon visage. Elle mouille déjà bien. Les jambes entravées par mon jean à mi-cuisses, les bras maintenus par Mme B., la tête enserrée entre ses cuisses, je n’ai de liberté que linguale, alors ma langue se délecte de ses lèvres et de son clitoris qui ne tarde pas à s’ériger, autre piment qui a mis un piquant incroyable dans ma vie : je lèche « la petite bite » de ma partenaire.
Mme B. m’a raconté l’histoire de son clitoris. Il a eu longtemps une apparence normale, il vivait sa vie de protubérance. Puis avec la ménopause son appétit sexuel s’est décuplé, elle a atteint avec son mari des orgasmes inédits et peu à peu son clitoris s’est révélé être une petite queue de 3 cm qui, dès l’excitation, se met à bander. Mais loin de devenir une raison supplémentaire d’aimer et de baiser sa femme, ce clitoris a dégoûté M. B. qui a fini par la délaisser et a pris sa secrétaire comme maîtresse, cette charmante dame de 80 ans avec qui j’ai eu quelques aventures qu’ignore toujours Mme B.
Bref, moi, le clito de Mme B., je l’adore… Je le suce, je le tète, j’ai l’impression de lui tailler une pipe. Mme B. dégouline sur mon visage, gémit :
— C’est qui maintenant, la pute ? C’est toi, allez, suce-moi, suce-moi bien, ah oui tu es ma salope…
Elle devient chienne et maintenant ma langue ne maîtrise plus rien, Mme B. se frotte la chatte sur mon visage avec vigueur. Je suis un objet qu’elle utilise pour son plaisir. L’impression – le fantasme – qu’elle me viole. L’odeur de sa chatte à l’approche de la jouissance prend des parfums inaccoutumés et que je ne saurais décrire. Elle monte vers le plaisir, et moi aussi, un plaisir 100% cérébral cette fois en ce qui me concerne.Le téléphone portable de Mme B. sonne sur la table de nuit. Elle s’en fout. Elle continue sa masturbation frénétique. Puis une minute plus tard le téléphone fixe. — Ah merde ! Alors on ne peut plus jouir tranquille ? Elle s’assoit à côté de moi.
— Désolé, chéri, ce sera pour une autre fois. Ce foutu téléphone m’a tout coupé. Je ne sais pas qui cherche à me joindre.
Dring ! La sonnette de la porte d’entrée. Et une voix :
— Maman, tu es là ? C’est moi !
La fille de Mme B. Voilà qui n’était pas prévu. Je ramasse mes habits et file à la salle de bain tandis que Mme B. met son peignoir et va ouvrir.
— Alors tu ne réponds plus au téléphone ? Tu es au courant ? Macron vient d’annoncer le confinement de tout le pays. Non, tu ne savais pas ? Mais son allocution était ce soir, tout le monde ne parle que de cela. Du coup pour ne pas qu’on soit seule chacune de son côté, je viens m’installer ici, on télétravaillera.
Tout le monde se souvient de ce qu’il faisait le soir où Macron a annoncé le confinement, n’est-ce pas ? Eh bien, vous savez ce que Mme B. et moi faisions alors qu’il discourait et pourquoi nous avons été informés avec quelque retard.(A suivre.)
Diffuse en direct !
Regarder son live