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Les études d'Alex

Chapitre 3

Hétéro
Trois semaines se sont écoulées depuis ma partie de jambe en l’air avec Emilie. Nous nous revoyons régulièrement et faisons l’amour au moins deux fois par semaine. J’ai également revu Kat, ma collègue de mon petit boulot. Nous avons également couché à nouveau ensemble, le plus souvent après le service et dans sa voiture.
Tout se passait parfaitement pour moi. Aucune des deux demoiselles ne se connaissait. Mais tout n’allait pas se passer forcément aussi bien que je le pensais.
Le soir là je travaillais. Mais contrairement à d’habitude, Kat était plus distante et froide que d’habitude. Je suis allé plusieurs fois essayer de savoir ce qui se passait pour finalement me dire que l’on en parlerait à la fin de notre service.
Le travail terminé, je suis obligé de la rattraper à sa voiture, comme si elle faisait tout pour m’éviter. C’est à cet instant que mon petit plan vrilla... Kat m’annonça qu’elle était enceinte. Je ne comprenais pas car je mettais un préservatif... « sauf la première fois » me dit-elle, faisant écho à ce qui me revenait en tête...
Complètement perturbé, je ne fis même pas attention au bruit de portière ni au départ de sa voiture. J’étais comme paralysé et je suis rentré tel un robot jusqu’à mon appartement. J’avais quatre heures pour dormir avant les cours... bien évidemment je n’ai pu fermer l’œil. Je ressassais tout : le fait d’avoir mis enceinte Kat, ma réaction qui n’avait pas été classe et puis mon avenir... Je n’avais pas prévu ça du tout.Je suis allé à mes cours, espérant me changer les idées. Comme d’habitude Emilie était en retard. Je ne la verrai qu’à la pause. Je devais lui avouer que je voyais une autre fille et que je l’avais mise enceinte. C’était une évidence. Alors à la pose je me suis dirigé vers Emilie qui était radieuse. Elle me prit par la main pour m’emmener à l’écart. Elle m’embrassa goulûment. Une fois le baiser terminé, je voulus lui parler :
« Emilie, je dois te dire quelque chose...
— Je suis enceinte me dit-elle. Je ne sais pas quels sont tes plans dans ta vie, mais je suis tellement heureuse ! »
J’étais abasourdi. Comme pour Kat, la première fois avait été la bonne. Depuis j’avais mis des capotes... mais comme pour ma collègue de boulot, j’avais mis enceinte Emilie lors de notre premier rapport.
Je ne savais plus quoi dire. Je lui souris bêtement, fis semblant d’être heureux et lui dis que j’avais oublié ce que je voulais lui dire. À la fin du cours, j’ai prétexté un rendez-vous pour m’éclipser le plus rapidement possible et retourner chez moi pour essayer de faire le point. Je venais de mettre enceintes deux filles en même temps. J’étais à la fois heureux, mais dans une situation très compliquée.
Pour avoir un avis, j’ai téléphoné à mon meilleur ami qui m’a donné rendez-vous dans un bar branché, un bar lounge. Un lundi soir, c’était très calme. J’étais même surpris qu’il soit ouvert. Le patron était derrière le comptoir et une serveuse s’occupait de la salle. Elle prit notre commande. C’était une jolie rousse aux yeux marron. Si je n’avais pas eu mes problèmes de copines enceintes, je l’aurais probablement draguée.
J’ai expliqué tout de A à Z mes péripéties à Marc, mon ami. Il me prenait pour un veinard jusqu’à ce qu’arrive la chute... et là alors qu’il avait mentalement préparé des réponses concernant le choix entre Kat et Emilie... tout s’envola car il comprenait que c’était plus qu’un simple choix de copine...
On parlait, retournait le problème dans tous les sens. La soirée filait. Marc eu un coup de fil et dû partir me proposant de me ramener. J’ai préféré rester au bar. Au fur et à mesure l’établissement se vidait. J’ai à peine entendu la cloche annonçant le dernier verre. J’étais d’ailleurs incapable de dire combien j’en avais bu. À chaque fois que la jolie rouquine passait, je lui en demandais simplement un autre. J’avais payé ma note par carte ne me souciant pas du montant. Le patron avait fait la caisse et je le vis souhaiter une bonne fermeture et une bonne nuit à la serveuse. Il s’approcha de moi et me demanda poliment de sortir. Mon verre était fini et j’étais le dernier client. Il était presque 2h du matin.
Évidemment je n’ai pas posé le moindre problème. Je suis sorti en m’excusant et je suis allé m’asseoir dehors, sur le banc qui était en face le bar. Quelques minutes plus tard, alors que j’avais la tête entre mes mains, fixant le sol, j’entendis quelqu’un se rapprocher de moi. C’était la serveuse. Elle me demanda si tout allait bien. Machinalement, je lui répondis que oui, mais elle n’était pas dupe.
« Écoutez-moi, commença-t-elle, vous êtes jeunes, vous êtes plutôt mignon alors ça ne sert à rien de se renfrogner comme ça ! Je ne suis pas psy et je n’ai pas envie de connaître vos problèmes, mais je connais quelque chose qui va vous détendre. Suivez-moi ! »
Je ne savais pas à quoi m’attendre et je la suivis tout de même. Elle était tellement dynamique et spontanée. Dans ma tête j’étais presque sûr qu’elle allait m’emmener dans un endroit glauque et qu’elle allait me proposer de la drogue ou je ne sais quoi. Ce n’en fut rien. Nous sommes arrivés devant le grillage d’une maternelle. Elle s’est faufilée en l’écartant à un endroit précis ce qui m’indiqua que ce n’était pas la première fois qu’elle le faisait. Je lui emboîtai le pas. Elle me prit la main et me conduisit jusque dans la cour de récréation. Il y avait quelques jeux fixés au sol et un bac à sable.
Elle est montée en haut du toboggan, écarta les bras et dit avant de glisser : « mon univers ! » Elle dégringola en bas du jeu, arrivant juste à mes pieds. Je lui tendis les bras pour l’aider à se relever. Nous nous sommes retrouvés face à face, les yeux dans les yeux. Il y avait une certaine tension sexuelle qu’elle rompit en me disant « Je m’appelle Alice ». Elle me prit la main et me tira jusqu’au tourniquet.
Pendant près de deux heures, nous avons joué et rigolé comme des enfants. Elle m’a ensuite déposé chez moi avec sa voiture en me disant avec un sourire des plus charmants que tout irait bien et qu’il ne fallait pas s’en faire. Là encore une tension sexuelle fut palpable et c’est encore elle qui y mis fin en me déposant un simple baiser sur la bouche en me souhaitant directement une bonne nuit, me faisant comprendre de sortir de sa voiture., ce que je fis.
Le lendemain, j’ai ruminé toute la journée ce qui s’était passé la veille. J’ai essayé d’appeler Kat mais sans succès. Emilie n’était pas présente car elle n’avait pas cours. À la fin des cours, je suis retourné chez moi. Je n’étais pas motivé pour travailler mes cours alors j’ai regardé une série. Les épisodes défilaient, mais je n’étais pas assez concentré et je me suis aperçu que je n’avais pas suivi la moitié.
À minuit, ne réussissant pas à fermer l’œil, je suis parti faire un footing. Je faisais souvent ça avant les examens pour me déstresser. Je courrais sans savoir réellement où j’allais. Au bout d’un moment, je reconnus un peu les bâtiments et sans m’en rendre compte, je suis arrivé à l’école maternelle où Alice m’avait emmené la veille. J’ai recherché le trou dans le grillage et je me suis faufilé pour aller dans la cour où je m’étais tellement amusé la veille. Je me suis assis sur le tourniquet et je le fis tourner lentement.
Une demi-heure plus tard alors que je me remémorais les bons moments de la veille, une lumière m’éblouit et quelqu’un cria « qui est là ? » Je ne savais pas quoi dire, mais j’entendis alors la personne éclater de rire. C’était Alice qui avait pris une autre voix pour essayer de me faire peur ce qui avait marché. Elle s’approcha de moi et me dit :
« Alors on squatte mon endroit secret ! Et en plus tu ne m’attends pas pour faire du tourniquet ! »
Elle donna plus de rapidité au tourniquet et sauta dedans. Elle me lança le défi de le faire tourner le plus rapidement possible et de me mettre debout dessus. Celui qui tomberait en premier aurait un gage. Une fois le tourniquet à bonne vitesse, nous nous sommes mis debout. Rapidement, nous sommes tombés presque simultanément.
Alice se retrouva sur le dos alors que je faillis tomber sur elle, mais je me suis retenu sur les bras pour ne pas l’écraser. Une fois de plus, nos visages étaient à quelques centimètres, nos regards se croisant. Oubliant tout ce qui m’arrivait, j’ai tenté ma chance et je l’ai embrassé. Cette fois ce fut un vrai baiser. Ses lèvres se sont ouvertes et sa langue est partie à la recherche de la mienne. Pendant de longues minutes, nous sommes restés ainsi. Ses mains allaient et venaient, caressant ma joue, passant dans mes cheveux et parfois dans le dos.
Soudain, j’ai senti sa main caresser mon sexe à travers mon jeans. Je l’ai regardé et elle m’a alors avoué qu’elle espérait bien me retrouver là aujourd’hui... Elle n’était pas passée là par hasard cette nuit-là alors.
Nous nous sommes relevés. Alice m’a conduit en bas du toboggan. Elle a baissé mon pantalon et mon boxer avant de me pousser pour que je m’assoie en bas de la descente de la rampe. Elle a remonté sa jupe, enlevé son string. Pendant ce temps-là j’ai mis une capote. Elle est venue s’asseoir face à moi, s’empalant sur mon sexe. Elle remontait et redescendait à son rythme sur ma virilité, accélérant le mouvement. Elle me tenait par le cou ce qui m’empêchait presque tout mouvement.
Au bout d’un moment, elle s’écarta un peu ce qui me permit d’enlever sa veste puis son top. Enfin, je dégrafais son soutien-gorge pour libérer sa petite poitrine. Elle bascula totalement en arrière. Mes mains pouvaient alors parfaitement caresser son ventre et ses seins.
Elle me sentit venir lors de son premier orgasme alors elle se releva pour éviter que je jouisse. Elle se dirigea vers le mur d’escalade et lui fit face. Elle me jeta un coup d’œil en se cambrant pour bien mettre en valeur ses superbes fesses. Je l’ai alors pris en levrette contre le mur.
Une fois encore, alors que j’étais sur le bord de l’explosion, elle a retiré mon sexe du sien.
« J’ai toujours rêvé des pirates », me dit-elle en se rapprochant du jeu central, un bateau de pirates. Elle dégrafa sa jupe, se retrouvant entièrement nue. Elle monta dans l’embarcation factice, se plaça dos au filet à grimper. Une fois en place, elle s’entortilla les poignets et les chevilles dedans, bras et jambes écartés, telle une captive.
« Qu’allez-vous faire de moi, méchant pirate » me lança-t-elle en riant de sa piètre performance de comédienne. Je me suis approché d’elle le sexe tendu. J’ai mis mon gland devant son sexe quand je me suis aperçu que je n’avais plus de capote sur mon sexe. Elle l’avait volontairement retirée juste après la levrette contre le mur d’escalade.
Malgré mes problèmes, Alice prise au piège dans le filet tellement existante. Elle s’arrangea pour avancer son sexe contre le mien ce qui fit rentrer mon gland en elle. C’en était assez. Elle me dit qu’à l’époque des pirates il n’y avait pas de latex. Il suffisait juste que je me retire avant d’exploser. J’ai alors commencé de violents mouvements, claquant ses fesses et l’embrassant goulûment. Elle jouait parfaitement le rôle de la princesse en détresse sur le bateau de pirates. Elle libéra d’elle-même ses chevilles pour venir entourer mon bassin de ses jambes.
« Je vais jouir, il faut que je sorte » lui dis-je. Mais au lieu de baisser les jambes, elle me serra encore plus fort avec ses jambes. Je ne pus sortir de son sexe à temps et de longs jets vinrent tapisser l’intérieur de sa chatte. Cependant, au lieu de me retirer dès qu’elle desserra son étreinte avec ses jambes, je remis deux ou trois coups de boutoir comme pour pousser au plus profond de ses entrailles ma semence.
J’aurais dû être perturbé d’avoir encore joui en une femme, moi qui en avais déjà mis deux enceintes. Mais il n’en était rien. Au contraire, j’en étais désormais presque fier. Alice et moi sommes restés presque deux heures de plus dans notre jardin secret. Nous avons refait l’amour deux fois, toujours sans préservatif. J’avais presque le souhait de la mettre elle aussi enceinte...
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