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Les études d'Alex

Chapitre 4

Elodie

Avec plusieurs hommes
Depuis que j’avais couché avec Alice, les choses avaient évolué. Ma collègue Kate que j’avais mis enceinte avait demandé à travailler de jour pour éviter de me croiser. Elle avait besoin de temps pour assimiler les choses. De son côté, Émilie, mon binôme dans mes études, avait l’air de flotter sur un nuage et parlait de nous installer ensemble. Si elle avait su qu’elle n’était pas la seule que j’avais mise enceinte...
Et puis Alice, mon coup de cœur... celle qui me permettait de m’évader, de décompresser et d’être insouciant.
Pendant deux semaines, les trois demoiselles ont défilé dans mon appartement. J’avais dû m’organiser pour qu’elles ne se croisent jamais. Avec Émilie et Alice, ça se terminait toujours avec du sexe. Kate, elle, n’était venue qu’une seule fois pour mettre les choses au point. Dans une dernière étreinte, ça avait dégénéré et on n’avait pas pu s’empêcher de remettre le couvert. Mais depuis, comme elle l’avait dit, elle n’était plus revenue pour prendre un peu de recul.
Mes propriétaires habitaient au rez-de-chaussée, juste en dessous de chez moi. Ils n’ignoraient pas le chassé-croisé entre les demoiselles. C’était un couple d’une trentaine d’années qui avait hérité, d’après ce que j’avais compris. De fait, ils avaient pu investir dans cette vieille maison de ville rénovée en trois appartements. L’homme était agent immobilier, ce qui lui avait permis de faire une bonne affaire. Brun, à lunettes, 1m75, c’était un homme qu’on aurait pu juger quelconque. Mais il prenait soin de son corps, comme sa compagne.
C’était une jolie femme d’un mètre soixante-dix, auburn, avec de grands yeux verts. Je ne connaissais pas son métier, mais elle était toujours habillée en tailleur strict.
Au-dessus de ma tête, l’appartement était occupé par un vieil homme de près de 80 ans. J’avais bien repéré qu’il tenait un rôle de gentil papy, mais que ses yeux avaient d’autres idées concernant ma propriétaire. Il avait également un regard pervers quand il croisait mes conquêtes et me faisait des clins d’œil pour me lancer des messages du genre « Veinard » ou « Tu as de la chance mon p’tit ».
Il était 10h quand je suis descendu pour partir à la fac. Le facteur avait un colis qui ne passait pas dans la boîte de mes propriétaires. Me connaissant, il me le laissa, suite à ma proposition de le donner le soir même à mes voisins. Je remontai le déposer chez moi.
Après une journée de cours, j’avais oublié ce colis jusqu’à mon retour vers 17h. Ayant vu la voiture de Mme Henry dans la rue, je descendis chez eux et sonnai. Je n’avais jamais réellement parlé à ma propriétaire. Pour la location, je n’avais affaire qu’à Monsieur. A part la croiser et dire des formules de politesse, ce n’était jamais vraiment allé plus loin dans la conversation.
Je sonnai. J’entendis le bruit des talons qui se rapprochaient de la porte puis le claquement des verrous qui se tournaient. La porte s’ouvrit avec un léger grincement.
— Bonjour Mme Henry— Mademoiselle Gelin, nous ne sommes pas mariés encore. Mais tu peux m’appeler Élodie.— Oui, répondis-je avec une hésitation dans la voix et un peu perdue dans son insistance à savoir qu’elle n’était pas mariée.— Tu as besoin de quelque chose ?— J’ai un colis pour vous. Je l’ai récupéré auprès du facteur.— Entre, dit-elle en s’éloignant dans son appartement. Tu peux le poser sur la table du salon. Je me préparais un café. Tu en veux un ?
Je la suivis comme un robot et m’enfonçai dans son appartement, laissant la porte ouverte. Je suivis ses consignes et déposai le paquet puis je me dirigeai vers la cuisine où Élodie était en train de sortir une tasse en plus de la sienne.
— Je ne suis pas fan des capsules et des trucs du genre, me dit-elle pour entamer la conversation. Trop de déchets, pas écolo. Matthieu se moque de moi et me traite de bobo, mais bon...— Je suis étudiant, pour moi du moment que j’ai un café... après la façon dont il fait, tout me va, seule la caféine compte.
J’eus un doute concernant ma blague sur les étudiants et le café. Je n’arrêtais pas de me prendre les pieds dedans et de me mélanger les idées. Elle sourit, mais j’ai l’impression que c’était plus par pitié.
Il faut dire que je la trouvais terriblement sexy dans son tailleur constitué d’une veste et d’une jupe. Un chemisier blanc un peu transparent complète l’ensemble. Élodie devait avoir une belle poitrine, environ 90C qui ne demandait qu’à ce que le bouton de la veste s’ouvre pour s’épanouir. J’imaginai ses seins bien ronds.
— Tu vas bien, me demande-t-elle en voyant que je suis perdu dans mes pensées.
Élodie eut un sourire comme si elle savait exactement à quoi je pensais. La bosse qui déformait mon pantalon en était un des signes d’ailleurs.
Elle me tendit mon café que je saisis. Mais au lieu de le lâcher quand je ramenais la tasse vers moi, elle maintena sa prise et s’avança vers moi pour ne plus être qu’à 30 centimètres de moi.
— Fais attention, il est chaud...
Elle me regardait dans les yeux. Je ne doutais pas que cette phrase avait un message, mais je ne pouvais y croire.
— Un peu comme toi...
Il y avait bel et bien un message. Je ne savais que faire. Elle se rapprocha de moi jusqu’à ce que ses lèvres puissent murmurer à mon oreille :
— Avec ces jolies filles qui défilent chez toi et qui ne laissent pas Matthieu indifférent...
En disant cela, je sentis sa cuisse faire pression sur mon sexe en érection.
— Il aimerait bien être à ta place.
Elle frotta sa cuisse, je sentis son parfum. Elle déboutonna sa veste. J’étais contre le plan de travail et ne pouvais pas reculer.
— Et moi à leur place quand je les entends jouir...
Je n’en pouvais plus. Je la repoussai légèrement et sans grande conviction à un mètre de moi. Élodie me regarda droit dans les yeux en se mordant la lèvre inférieure avec un sourire coquin. Je pouvais partir, m’enfuir, mais en avais-je envie ? Elle se rapprocha de moi :
— Le café va refroidir.
C’en était trop. Je la pris par les épaules pour la repousser. Mais comme si mon appétit sexuel ne répondait pas à la logique de mon cerveau, je l’attirai vers moi et l’embrassai goulûment. Tel docteur Jekyll qui prend une potion pour se transformer en Hyde, je me transformai littéralement.
— Tu vas voir ce que tu vas prendre ! lui dis-je en arrêtant mon baiser et en la regardant droit dans les yeux.
Je lui tirai sur le col de sa veste pour la faire descendre dans son dos jusqu’à hauteur de ses coudes. Sans qu’elle ait le temps de réagir, je continuai en attrapant son chemisier au niveau du sternum et je tirai de chaque côté. On entendit les boutons rebondir au sol alors que son soutien-gorge apparaissait. J’attrapai un couteau et coupai le tissu qui unissait les bonnets, libérant ses seins.
Je me jetai sur ses tétons et commençai à les sucer, les mordiller. Je sentis son cœur s’accélérer. Ses mains se dirigèrent vers la boucle de ma ceinture et l’enlevèrent.
— Matthieu va bientôt arriver, il ne faut pas traîner.
Je compris le message. Je la retournai et la plaçai face au plan de travail. Je lui remontai la jupe et lui arrachai le string puis baissai mon pantalon et mon boxer en même temps.
— Les capotes sont dans la ch...
Elle n’eut pas le temps de dire « chambre.» J’enfonçai mon sexe d’un coup violent dans son sexe humide. Elle émit un petit cri. Je commençai mes va-et-vient avec énergie en lui tenant une hanche et un sein de l’autre main.
Mon rythme rapide la fit jouir une première fois assez rapidement. Elle poussa alors un autre cri.Juste après, on entendit un petit grincement. On regarda tous deux d’où le bruit venait et on découvrit le vieil homme de 80 ans, sa queue entre ses mains, en train de se branler tel un voyeur.
— Continue, m’implore Élodie.
Le vieux avait arrêté de se branler et ne savait plus quoi faire, comme un gamin surpris à voler un bonbon. C’est surpris que je vis Élodie lui faire signe de se rapprocher.Une fois à sa portée, elle saisit sa bite, la branla deux ou trois fois avant de l’avaler jusqu’à la garde.
Je continuais à lui limer la chatte pendant que le vieil homme l’attrapait par les cheveux pour lui imprimer son rythme. Très rapidement, il jouit dans sa bouche, la remplissant de sperme. Il lui tint la tête pour l’obliger à avaler. Cela n’avait pas l’air de la déranger.
Par contre quand elle sentit mon sexe sur le point d’exploser, elle se redressa, posa une main sur mon torse et me dit :
— Ne jouis pas en moi.
Je continuai.
— S’il te plaît, m’implora-t-elle.
Mes coups de reins étaient plus intenses que jamais.
— Ne jouis... oh... vas-y... continue...
Je voulais la posséder, elle n’allait pas résister longtemps et de toutes façons, je n’avais qu’une envie, la remplir de mon sperme.
— Ne... continue... n’arrête pas...
J’étais sur le point d’exploser.
— Jouis en moi ! Remplis-moi de ton sperme !
Deux coups de reins plus tard, ma bite cracha sa semence au fond de son vagin. Je donnai encore quelques coups pour me vider entièrement et restai, mon sexe enfoncé jusqu’à la garde, comme pour être sûr qu’aucune goutte ne puisse s’échapper de sa chatte...
Sans dire un mot, le vieux sortit. Ne sachant comment réagir, je remontai mon boxer et pantalon et quittai l’appartement en lui disant simplement « A la prochaine ».
Élodie resta là, le buste allongé sur le plan de travail. Mon sperme coulait le long de sa cuisse, et celui du vieux de la commissure de ses lèvres.
Alors que je montais l’escalier, j’entendis la porte du bâtiment s’ouvrir derrière moi...
Matthieu arrivait, mais il n’était pas seul...
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