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Les expériences d'un jeune homme

Chapitre 3

Gay
Je vais vous raconter aujourd’hui ma troisième expérience. Je commençais maintenant à prendre un peu plus d’assurance. Surtout, j’avais pris le temps d’explorer un secteur proche de chez moi, facilement accessible, mais suffisamment calme et discret pour me permettre d’y faire venir et d’y organiser mes prochaines rencontres d’un soir.
Il s’agissait d’un parking assez fréquenté le jour, mais déserté le soir et la nuit, légèrement à l’écart de toute voie de circulation fréquentée et offrant à proximité immédiate de petits bosquets permettant de s’installer en toute discrétion pour passer à l’acte.
Je décidais donc d’étrenner mon nouveau coin. Je me connectai à nouveau sur le site de chat sur lequel j’avais effectué mes premières rencontres. Puisqu’il semblait fonctionner, autant continuer sur cette lancée.
Je discutai avec plusieurs autres hommes avant d’entamer la discussion avec celui qui serait mon plan de ce soir. C’était un jeune homme, de sensibilité plutôt hétéro, mais quelque peu frustré que sa copine ne veuille pas le sucer. Il m’envoya une photo de sa queue, cela me paraissait convenable. Il était cependant assez méfiant. Nous nous mettions donc d’accord sur le déroulement de notre rencontre. Il devait se rendre sur le parking que je lui avais indiqué et je le sucerai dans sa voiture, car il est vrai que la température, sans être froide, commençait à décliner à cause de la saison.
A l’heure convenue, je me rendais au point de rendez-vous. Personne n’était présent. J’avançais donc encore un peu pour vérifier plus loin sur le parking, tout en tendant l’oreille à chaque bruit de moteur. J’aperçus alors un monospace stationné à côté d’une autre voiture. Quelques véhicules restaient parfois stationnés la nuit. Je crus distinguer quelqu’un à son bord. J’approchai donc de la voiture jusqu’à avoir la confirmation que quelqu’un se trouvait bien au volant. Je me dirigeais vers la portière du conducteur. Il m’aperçut alors que j’approchais. Il baissa la vitre et je parvins à distinguer son visage.
Il ne me plaisait pas du tout. C’est bien évidemment le risque lorsque l’on fait de tels plans en n’exigeant pas de photos du visage, souvent plus difficiles à obtenir. Ceci étant, la photo de sa bite était bien et lorsque je serai en train de le sucer, je ne verrai plus son visage.
Je lui demandai s’il était là pour « l’annonce ». Il acquiesça et m’invita à m’installer sur le siège passager. De toute façon, avec deux sièges enfants sur la banquette arrière, difficile de s’installer ailleurs. La position ne serait pas très confortable, mais bon. Je montai dans la voiture et fermai la porte. Il baissa son pantalon dévoilant sa queue, toute repliée sur elle-même. Il allait falloir corriger cela. J’approchai donc ma main gauche de sa bite et l’attrapai pour commencer à le masturber. Sa bite était brûlante, ou plutôt, mes mains étaient froides. Oui, les nuits commençaient vraiment à fraîchir.
Je me reconcentrai sur sa queue afin de la faire grossir. Etant droitier, ma main gauche n’était pas la plus habile. J’essayai alors de le branler plutôt avec ma main droite, mais mon bras était gêné par le levier de vitesses et le frein à main. Je me réinstallai alors sur le siège en me tournant pour essayer d’avoir un meilleur accès à sa queue qui peinait à durcir. Ce n’était pas gagné.
Après cinq minutes dans une position instable et peu agréable, je n’étais parvenu qu’à obtenir laborieusement une érection un peu mollassonne. Mais bon, je décidai de commencer à le sucer. J’arrêtai donc de le branler pour me réinstaller sur mon siège, mais il m’interrompit avant que je n’aie le temps de m’installer. Notre projet semblait un peu compliqué à mettre en œuvre et l’excitation ne lui venait pas. De mon côté, je n’étais pas non plus à fond. Il me suggéra que nous arrêtions, et j’approuvai sans insister. Je descendis de voiture en lui souhaitant une bonne soirée, pendant qu’il remontait son pantalon et remettait les sièges avant de la voiture dans une position convenable.
Je le regardais avant de fermer la porte. Non, vraiment, il ne me plaisait pas. Même mon érection habituelle dans ce genre de situations avait disparu.
Je tournai les talons pour rentrer chez moi, entendis la voiture démarrer puis la vis me dépasser et rattraper la route où elle disparut dans la nuit. Je rentrai chez moi, un peu déçu, mais avec l’espoir de trouver mieux ce soir-là. Je retournai donc sur le chat, mais aucune occasion ne se présenta, et l’heure avançant, j’abandonnai mes recherches et me consolai sur une vidéo où là, j’avais pu choisir les acteurs pour leur physique.
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