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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 5

Vacances 1973

Hétéro
Le lendemain matin, mercredi 5, dans la matinée, passage obligatoire au bureau de la police du district pour faire enregistrer ma présence sur le territoire. Comme j’ai fait un peu la grasse matinée et qu’Eva estime que le premier jour, je dois me reposer, nous rentrons aussitôt à la maison. Il doit être près de 11h. Nous sommes seuls, ses parents étant au travail (jusqu’à 14h), ainsi que sa sœur, elle aussi employée depuis peu dans la même entreprise qu’eux.
« Nous allons au jardin ? Derrière la voie ferrée…Ma mère a préparé le repas hier soir, donc nous avons du temps… Je me change et nous y allons ! » Suggère Eva. J’acquiesce aussitôt.
Nous entrons dans le jardin, assez grand (il doit bien faire 20m sur 50). Il fait partie d’un lot de jardins accolés les uns aux autres le long de la voie ferrée. A l’intérieur, se trouve une maisonnette en bois avec une petite terrasse et une pièce dotée d’une table, quatre chaises et d’un petit canapé défraîchi.
Eva me fait visiter le jardin, que je n’ai pas vu depuis un an. Puis nous allons nous assoir sur le banc de bois sur la terrasse de la maisonnette. Comme d’habitude, elle porte une de ses petites blouses, vert clair celle-ci, et toujours aussi courte, qui contraste avec le pantalon qu’elle avait mis pour sortir.
Nous entamons une conversation banale, mais il devient vite évident, que nous ne sommes pas là que pour ça. Quand une plutôt jolie slave exhibe ses belles cuisses un peu rondes, quasiment jusqu’à la culotte, ça donne envie. Eva ne dit rien, quand, me penchant vers elle, je pose ma main gauche sur ses cuisses.
Je les caresse fiévreusement du haut en bas et de bas en haut, puis je cherche à explorer son entrejambes. Eva, consentante, ouvre ses cuisses et, très vite ma main entre en contact avec sa culotte. A ce moment, elle se penche un peu et semble regarder à droite et à gauche s’il n’y a personne ; après quoi elle déboutonne sa mini-blouse.
Le passage ainsi dégagé, ma main remonte sur sa culotte, son ventre et son soutien-gorge. En même temps, l’idée me traverse l’esprit qu’Eva a envie de se libérer et de profiter de ma présence pour avoir des expériences sexuelles. Il faut dire que ses parents, charmants au demeurant, étant assez stricts sur le plan des mœurs, il était clair que malgré ses presque 23ans, elle ne connaissait que fort peu de choses du sexe. Et cela devait être pareil pour sa sœur, Jana, 19ans et demi. Les sœurs Ukazovà avaient beaucoup à apprendre…
Ma main redescend vers sa culotte ; avec deux doigts je tire sur l’élastique : son petit nid d’amour apparait, en partie masqué par un triangle de poils bruns. Je glisse ma main à l’intérieur et la pose sur son sexe, que je commence à caresser avec deux doigts. Eva ne tarde pas à réagir, sa respiration devient plus saccadée.
« Je voudrais le faire autrement ! On va à l’intérieur ? » Murmurai-je à l’oreille d’Eva.
On entre dans la pièce de la maisonnette : « Retires ta culotte et monte sur la table ! » dis-je. Comme elle n’a fait aucune objection jusque- là, je me permets  de la diriger.
« Assieds-toi sur le bord de la table,  les cuisses bien écartées ! Tu as un joli petit minou ! Il me plait beaucoup ! »
« Le minou ? C’est ça ? » Elle a un petit sourire amusé.
« Oui, ma chérie ! Chez nous on l’appelle comme ça aussi ! » Eva me voit m’agenouiller devant elle.

« Mets tes jambes sur mes épaules…tu vas voir… » Elle obtempère.
Mon visage est entre ses cuisses, à quelques centimètres de son minou. Elle ne peut réprimer un frisson quand mes lèvres se pose sur son triangle de poils, ni un second quand ma langue commence à lécher son « minou ».
Avec deux doigts j’écarte les lèvres pour que ma langue atteigne plus facilement son clitoris. Le contact de la langue avec celui-ci, Eva le reçoit comme une onde de plaisir, et le léchage régulier finit par lui procurer une excitation d’une intensité inconnue. Maintenant la pointe de ma langue titille son clitoris, le faisant durcir et gonfler.
Eva finit par se lâcher, et ouvre un peu plus ses cuisses pour mieux accueillir ma langue qui lui fouille son intimité. Je sens ses mains appuyer sur ma tête. Je l’entends respirer fort, puis gémir en cadence. Incapable de maîtriser son plaisir, elle s’y abandonne. Elle halète, glousse, les yeux mi-clos….jusqu’à ce que le plaisir explose et qu’elle jouisse bruyamment et qu’un liquide tiède et visqueux gicle presque de son sexe, mouillant mes lèvres.
Je lève les yeux vers elle. Appuyée sur la table par ses deux mains, Eva halète doucement, encore secouée par cet orgasme.
« Hmmm ! C’était bon, mon chéri ! Je n’avais jamais connu ça avant…J’ai adoré ! » Avoue-t-elle spontanément.
« On le refera ! Puisque tu aimes tant ça ! » Lui dis-je, avant de passer à nouveau ma langue sur son sexe poilu.
« Que fais-tu, Bob ? Me demande- t-elle intriguée.
«  Je lèche ta liqueur d’amour, mon cœur ! » et aussitôt je me redresse pour l’embrasser fougueusement, ma langue dans sa bouche, pour lui faire goûter cette liqueur sortie de son puits d’amour.
« Bob….c’est osé, ce que tu fais là ! »… mais elle ne recrache rien…
« Quelle heure est-il ? Il faudrait songer à rentrer pour le déjeuner… »
« Presque midi ! » répondis-je.
« Alors, allons-y ! Euh…où est ma culotte ? » Dit-elle.
Je la ramasse sur le plancher : « Ca serait joli de toi, si tu ne la remettais pas… si tu rentrais comme ça… »
Eva a un sourire entendu : « Toi, alors, tu aimes me savoir comme ça, hein ? Tu y prends goût ! Bon, je peux bien te rendre ce plaisir, après celui que tu m’as offert ! »
Nous sortons du jardin et franchissons la voie ferrée après avoir dû franchir un réseau de fils. Ce qui me permit, au moment où Eva, enjambant donc ces fils, d’apercevoir sa jolie toison intime.
Une fois entrés dans la maison, Eva se dirige vers la cuisine pour faire réchauffer le repas. Je l’aide en mettant la table. Elle semble ne plus penser à sa culotte, que j’ai, négligemment, fourrée dans la poche de mon pantalon.
Une fois à table, nous mangeons presqu’en silence. Le repas terminé, la table desservie, Eva fait la vaisselle. Je l’aide à l’essuyer er à la ranger. Il est à peine plus d’une heure de l’après-midi.
« Mes parents et ma sœur vont rentrer dans une heure ! » annonce- t-elle en regardant l’horloge de la cuisine. Elle est debout, les mains appuyées sur la table de la cuisine ; elle semble rêveuse. Je suis derrière elle et sans pouvoir me retenir, je l’embrasse dans le cou.
« Bob, nous n’avons pas beaucoup de temps pour ça… » Réagit-elle, mais sans conviction.
Mes mains se posent au niveau de ses seins, que je caresse à travers le tissu. Puis, quand je tente de déboutonner sa minirobe : « Bob….Tu n’es pas raisonnable ! Ce n’est plus le moment… »
Mais quand le deuxième bouton saute et que je vois bien qu’Eva ne tente pas de reboutonner sa minirobe, je n’ai aucun mal à faire sauter les trois derniers. Elle n’oppose guère de résistance au moment de lui retirer sa mini, qui atterrit sur la table. Eva n’a plus que son soutien-gorge… qui saute vite ayant les agrafes de ce dernier à portée de main.
Elle se retrouve toute nue. Mes lèvres parcourent ses épaules, puis descendent jusqu’au bas du dos. Ses belles fesses rondes, sa jolie raie, bien marquée…. Eva doit sentir mes baisers appuyés sur ses fesses, sur ses hanches. Je la sens frissonner un peu. Puis, une fois à genoux, j’embrasse ses cuisses. Puis je remonte jusqu’à ses fesses. Maintenant mes baisers se posent le long de la raie, insistants.
« Bob… Que veux-tu faire ? » A l’entendre, Eva parait plus intriguée qu’inquiète.
« Je connais ton joli minou…Maintenant je veux voir comment est l’autre… » Je me rends compte que je suis moi-même gêné pour désigner clairement ce que je cherche. Mais quand je plaque mes mains sur ses fesses pour les écarter… :
« Tu n’as pas honte ? Pourquoi tu veux voir ça ? C’est sale, non ? » Cependant, elle ne tente pas, pour autant, de se dégager de mon emprise. Envie, dissimulée par ces propos fermes, de savoir ce qui va se passer ?
Une fois les fesses bien écartées, impossible de ne pas remarquer le mignon petit œillet, violacé avec une sorte de collerette tout autour.
« Mmmm ! Il est bien joli, ma chère, ton petit…trou…adorable, même ! » Eva ne répond pas, mais je l’imagine les joues en feu, un peu honteuse même, d’entendre un tel compliment sur la partie la plus intime de son anatomie.
Cherchant à l’impliquer un peu plus, je tente le coup :
«  Et si tu écartais toi-même tes fesses avec tes mains…tu connaîtrais la suite ! » dis-je, volontairement évasif.
« Pourquoi je devrais le faire ? » minaude- t-elle, ne sachant pas où je veux la mener.
« Parce que c’est plus joli si on le fait à deux ! »
Eva hésite…puis, visiblement gênée, elle pose ses mains sur ses fesses pour les écarter.
« Ecartes –les bien ! Encore un peu plus ! Là ! Parfait ! »
La raie est bien ouverte, l’œillet encore plus visible. Eva frissonne quand elle sent le bout de ma langue effleurer son anus. Un sentiment de honte l’envahit, mais cette diablesse de curiosité la pousse à ne pas interrompre cette expérience.
« Tu as du saindoux, je crois ? »
« Oui, dans le petit placard du buffet, juste à ta droite…. Pourquoi ? »
Je sors le pain de saindoux, à peine entamé, et en prélève une noisette sur mon index. Puis, je l’étale sur la longueur  du doigt.
« Ecartes bien tes fesses, mon amour ! » dis-je, voyant qu’elle s’est un peu relâchée.
Eva a un petit sursaut quand mon doigt se pose sur son orifice anal. Le saindoux aidant, mon index commence à s’enfoncer dans son anus.
« Aie ! Pourquoi tu fais ça ? J’ai honte… Je… »      Une fois l’index entré en entier dans son anus, je commence à faire des aller- retour à l’intérieur, d’abord lentement puis un peu plus vite. Au début Eva ne semble rien ressentir, mais assez vite, elle commence à remuer ses fesses, tendant même son postérieur contre ce doigt qui lui viole son intimité.
Elle ôte les mains de ses fesses, pour se tenir à la table :
« Hmmm ! C’est bon…c’est booon ! »
Toute honte bue, Eva se laisse emporter par l’excitation…. Ce doigt qui fore et pistonne son orifice le plus intime… Elle n’imaginait pas que ça pouvait  procurer un tel plaisir.
« Ecartes toi un peu de la table ! »
Eva se recule un peu. Ma main gauche se pose sur son sexe et aussitôt deux doigts s’enfoncent dans son vagin, déjà passablement humide. Pour être plus à l’aise, je lui demande de se mettre sur le côté. Eva ne se tient plus. Deux doigts fourragent son vagin tandis qu’un autre en fait autant avec son anus. Les jambes écartées, elle gémit en cadence, de plus en plus fort. Elle semble être ailleurs, sur la planète Sexe. Elle en a oublié même l’heure.
De mon côté, tout en continuant le pistonnage de ses orifices, je jette un œil à la pendule : deux heures moins vingt ! J’accélère le mouvement ; mes doigts sont englués de mouille, et cela produit un bruit comparable à un clapotis. Puis Eva finit par jouir à nouveau en gloussant, tandis que de la mouille coule sur ses cuisses. Je cherche à garder un moment mes doigts dans ses orifices.
« Tu es vraiment un petit cochon ! Je n’aurais pas cru que… » Elle a honte d’avouer que cela lui a plu…
« Toi aussi, tu es une petite cochonne ! Bon, puisque tu sembles avoir l’oublié, je te rappelle que la famille va arriver dans moins d’une demi-heure ! »
Eva semble revenir à la réalité. Elle ramasse ses affaires et file vers la salle de bain.
Quand ses parents et sa sœur arrivent, nous sommes au premier étage, au salon ; Eva joue un petit air au piano, tandis que je l’écoute, assis à côté d’elle.
Fin du 2eme épisode de l’été 1973
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