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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 9

Vacances 1973- Séjour chaud à Prague

Divers
Nous sommes invités à entrer dans la maison. En fait, il s’agit d’une grande maison, sur un seul niveau et partagée en deux appartements. A peine à l’intérieur, Eva me prend la valise des mains, et, ayant demandé à sa tante si la salle de bain était libre, s’y précipite. Elle n’en ressort que vingt minutes plus tard, après avoir changé de robe, toujours une mini, et remis des sous -vêtements.Et la soirée se passa ainsi, calmement.
Mardi 11 juillet. Après un lever un peu tardif, vers 8h30, Eva et moi nous nous préparons à partir en excursion à travers Prague pour la journée. Vers 10h30, nous quittons la maison, à pieds. La marche à pied, le tram (il n’y a pas encore de métro à cette époque), sont plus pratiques pour se déplacer.
« Nous allons d’abord visiter le Château de Prague, c’est le cœur de la vieille ville ! » me dit Eva, qui a préparé un plan pour les visites.
En fait, je me  rends  vite compte que le lieu contient en fait un ensemble architectural : le Château, la cathédrale, et plusieurs autres bâtiments proches. Si bien que nous y passons toute la journée, après avoir déjeuné dans un restaurant. Et nous rentrons vers 18h, déjà fatigués par cette première journée.
Mercredi 12 juillet. Il est prévu de visiter le château de Karlstejn, situé en dehors de Prague, et faire ensuite une excursion. Mais la tante désire aussi visiter le château et nous ne pouvons faire autrement que l’amener avec nous. Finalement nous rentrons  plus tôt, en voiture, vers 16h. Cela faisait deux jours plutôt calmes pour nous deux.  Aussi, laissant la tante à ses occupations, nous allons nous promener dans le quartier.
« Demain, nous irons visiter la place Venceslas, le pont Charles et  le musée National… et cette fois que nous deux ! » dit Eva avec un soupir d’aise.
« Ce sera parfait comme programme ! Et on pourrait y rajouter un peu de piment… » Ajoutai-je, un brin mystérieux.
« Un peu de piment !  Je te vois venir ! Tu as sûrement une idée en tête, pour moi, bien sûr ! Et c’est quoi cette idée ? » Demande-t-elle, titillée par la curiosité.
« Refaire à Prague ce que tu as fait, si bien, pendant le voyage, la fin du voyage, quoi… »
« Ca devient une manie, chéri ! Me coupe- t- elle- tu veux que j’économise mes sous-vêtements ? » Le ton est gentiment ironique.
« Tu sauras demain matin, si je suis d’accord ! » conclue-t-elle, en imitant mon ton mystérieux.
Quand nous rentrons, il est presque 18h. Comme mû par une pulsion, j’entraîne Eva dans un coin du jardin, un peu à l’abri, entre une haie et une petite cabane de jardin. Elle m’enlace spontanément, tandis que mes mains passent sous sa minirobe pour caresser ses fesses à travers la culotte.
« C’est fou ce que tu es excitante ! » Dis-je en glissant mes mains dans sa culotte, tout en lui donnant un fougueux baiser, qu’elle me rend avec ardeur.
Mes mains se posent sur ses fesses nues, pelotant ces adorables melons fermes, tandis que deux doigts glissent dans la raie.
« J’ai terriblement envie de toi, chérie ! » murmurai-je, tout en essayant de baisser sa culotte. Eva accède à mon désir, en la faisant glisser le long de ses jambes, avant de l’enjamber.Puis, je retrousse sa minirobe jusqu’en haut des hanches, dénudant son bas- ventre.
« Bob, ce n’est pas sage de vouloir faire ça ici….Tu n’as rien pour protéger… »
Eva, comprenant ma frustration, s’écarte un peu de moi, puis ouvre la braguette de mon pantalon. Une fois le slip écarté, elle en sort ma queue, déjà raide. Puis elle se met à genoux dans l’herbe, et ouvrant sa bouche, elle gobe le gland décalotté et se met à le sucer, avant de  rentrer une bonne moitié de ma queue dans sa bouche. Puis, avec application, comme une leçon bien apprise, elle imprime des allers - retour réguliers sur mon pénis.
« C’est bon, chérie ! C’est joli ce que tu fais ! Oui ! Encore, chérie ! Encore ! »
Elle s’applique avec une constance que je ne lui connaissais pas. Inconsciemment, je me demande ce qui va se passer quand je vais jouir. Pour le moment,  ma bite va et vient dans sa bouche :
« Oh oui ! Oh oui ! Chérie ! C’est bon ! C’est bon ! Je vais jouir ! Je vais jouiiiir ! »
Je sens mon foutre gicler…  dans la bouche d’Eva, qui a sucé jusqu’au bout, sans chercher à s’écarter. Je suis à la fois stupéfait et ravi, de la voir s’efforcer d’avaler mon foutre. Puis, elle se relève.
« Tu es adorable, mon amour ! » Lui dis-je, en l’embrassant sur la bouche.
Elle ramasse sa culotte, restée sur le sol, et nous rentrons dans la maison.Le reste de la soirée se passa tranquillement. Par moment, Eva m’adressait un petit sourire complice.
Jeudi 13 juillet. Le temps est encore beau et chaud même. Vers 10h, nous nous apprêtons à sortir. Elle a revêtu une minirobe orange et blanche avec des manches courtes, qui  lui arrive à  mi-cuisses. C’est une robe qui doit s’enfiler par la tête, le boutonnage s’arrêtant à la taille. Elle porte une paire de lunettes aux verres fumés et de forme ronde, ce qui lui donne un air un peu mystérieux. Aux pieds,  des sandales beige avec des petits talons et maintenues par des lanières s’enroulant autour des chevilles. Du plus bel effet.
« Comment me trouves-tu ? » demande- t-elle, alors que nous franchissons le portail.
« Très jolie robe ! Et ces lunettes te vont bien ! Tu ressembles à une vedette de cinéma ! » Dis-je, ravi de pouvoir ainsi la complimenter.
« Tu vas penser que ma robe n’est peut-être pas assez courte pour toi –dit-elle en regardant ses jambes- mais… je n’ai rien dessous… Et, en plus, c’est la première fois que je sors comme ça en ville, et à Prague ! »
« Tu n’as vraiment rien, dessous ? »
« Non… Juste la robe, rien d’autre… C’est ce que tu voulais, non ? En fait j’ai hésité longtemps ! C’est pour ça que j’ai mis cette robe : j’ai l’impression que je cours moins de risques avec ! » Dit-elle, amusée.
Puis, alors que nous marchons, elle ouvre son grand sac  à main, en osier :
« Si j’ai de l’audace, j’oserais la  porter un moment… »
Elle me montre un vêtement en coton bien plié. Il me semble reconnaître la robe verte qu’elle porte d’habitude à la maison ; une minirobe sans manches, entièrement boutonnée et certainement la plus courte qu’elle possède…
« Je suis sûr que tu auras cette audace ! » dis-je, visiblement émoustillé en l’imaginant déjà, se promenant dans Prague, nue sous une robe aussi courte…
Eva a un petit sourire qui semble prometteur :« Je m’attendais à ce que tu me dises ça ! »       Une fois la rue atteinte, nous nous dirigeons vers la station de tramway. Le trajet est simple puisque le tram mène directement à la place Venceslas, en un quart d’heure environ. Quelques minutes à attendre et nous montons. Dans le tram, une dizaine de personnes, guère plus. Nous nous installons  sur une des banquettes de bois, vers l’arrière, un peu à l’écart, Eva près de la fenêtre.
Je regarde ses jolies cuisses légèrement rondes, un peu plus découvertes, du fait d’être assise. J’ai du mal à imaginer qu’elle soit nue dessous. L’envie de « vérifier » me vient  très vite. Eva sent ma main gauche se poser sur sa cuisse, juste au bord de sa minirobe :
« Tu n’as pas confiance en moi ? »
Elle a l’air vexée, mais, au fond, ne m’en veut pas… La situation a même l’air de l’émoustiller, car elle écarte un peu ses cuisses, entre lesquelles ma main se glisse. Quand mes doigts touchent les poils de son sexe, l’affaire est entendue et je retire ma main. Après quoi je passe aussi ma main au niveau de ses seins. Je sens les tétons à travers le tissu, et glissant un doigt dans l’intervalle de deux boutons,  je touche le côté d’un sein : que de la peau nue.
« Tu es adorable, chérie ! » ponctué d’un baiser sur la joue.
« Alors, maintenant tu me crois, monsieur saint Thomas ? » répond t- elle, ironiquement.
Deux minutes plus tard le tram s’arrête en haut de la place Venceslas. Eva propose de  parcourir la place pour avoir une vue d’ensemble. Nous en faisons donc le tour en longeant les trottoirs. Sur la partie haute, on aperçoit la statue équestre de Venceslas IV, roi de Bohême, d’où vient le nom de la place.
« Si tu es d’accord, comme il est bientôt 11h, nous allons visiter en détail la place.  Après nous déjeunerons ici, puis nous irons visiter le Musée National et nous terminerons en allant voir le pont Charles ! » Propose- t-elle.
« Tout à fait d’accord ! » dis-je. Et nous nous engageons dans la visite de la place et de ses monuments. En même temps, nous faisons le choix d’un restaurant, celui d’un hôtel. Restaurant qui semble assez cossu, mais dont les prix me paraissent raisonnables.
Nous y entrons, peu après midi. Il n’y a pas trop de monde. On nous conduit à une table et nous nous asseyons, côte à côte, sur une banquette en velours rouge.
« Tu peux bien m’offrir ça, n’est- ce- pas ? Avec ce que je fais pour toi… » Fait Eva avec un sourire taquin.
Le repas se passe bien et Eva se montre gaie. Confortablement assise, elle exhibe ses jolies cuisses qui ne sont visibles que de moi. Je ne peux pas me retenir de les caresser de temps en temps, et elle me laisse faire. Et quand je passe ma main droite entre ses cuisses, elle les écarte. Mes doigts touchent son sexe. Elle allume une cigarette, pendant que mes doigts se glissent entre les lèvres. Quand elle sent mes doigts agacer son clitoris, Eva se contracte légèrement :
« Vas doucement ! Tu sais que je fais assez de bruit, quand… » Elle pouffe de rire. Se faire masturber dans un lieu public ne lui déplait pas. Mais qu’on puisse la remarquer, la retient un peu.
Maintenant, j’ai deux doigts qui caressent son clitoris. Eva se tortille un peu sur la banquette tout en se mordant les lèvres. Mais elle ne parvient pas à maîtriser totalement ses halètements.
« Bob, arrêtes ! Je ne peux plus tenir ! On va nous remarquer… »
Je poursuis encore quelques secondes, avant de m’arrêter un instant. Puis, ma main, toujours entre ses cuisses, reprend la masturbation, jusqu’à ce qu’elle ne parvienne plus à se contrôler. Et le manège se répète ainsi plusieurs fois. Dans le même temps, Eva me masse le sexe à travers la braguette, avec sa main gauche. Ainsi, nous nous faisons plaisir, mutuellement.
Vers 13h, nous sortons du restaurant pour aller visiter le musée National, situé en haut de la place. Nous y passons près de trois heures à voir les expositions.
« Quelle heure est-il ? » me demande Eva, alors que nous achevons la visite d’une galerie.
« Presque quatre heures ! »
« Nous allons arrêter  la visite. Cela nous laissera le temps de voir le pont Charles et faire une petite promenade avant de rentrer ».
Elle tapote son sac : « Les toilettes sont à l’entrée du musée… Je ne sais pas si c’est de l’audace ou de la sottise, mais je vais mettre cette robe… Tu n’attends que ça, hein ? »Toujours cet esprit taquin.
Eva entre dans les toilettes des femmes. Se changer ne devrait lui prendre que quelques minutes. J’attends devant l’entrée.En fait, il est un peu plus de 16h15, quand Eva ouvre la porte et sort. Et aussitôt, cette vision me saute aux yeux : la minirobe verte est vraiment très courte, peut-être dix centimètres de moins que l’autre. Elle se boutonne entièrement de haut en bas.  Avec cette petite ceinture en tissu, elle moule un peu plus ses formes. Ses seins  tendent le tissu et les tétons pointent. Bien qu’un peu gênée, elle m’adresse un sourire, qui se veut un peu coquin.
« Tu es vraiment mignonne comme ça ! » compliment murmuré, tant je suis ébloui.
Les joues en feu, elle s’accroche à mon bras, et nous partons en direction du pont Charles. Le trajet révèle quelques détails aguichants : le balancement des seins, plus voyant durant la marche, indique l’absence de soutien-gorge. Quant au bas de la mini il arrive à peine à dix centimètres  au -dessous des fesses, obligeant Eva à se tenir droite en toute circonstance sous peine de révéler aussi l’absence de culotte !
Peu après 16h30, nous arrivons devant le fameux pont Charles, datant du XIVème siècle. Nous traversons d’abord le pont (environ 500mètres). Puis nous revenons en arrière pour le voir en détail, avec toutes les statues érigées sur ses bords. A un moment, Eva s’accoude à la rambarde du pont et se penche pour voir un bateau qui passe : juste ce qu’il faut pour que sa robe, remontant un peu, laisse apparaitre une partie de ses fesses nues. Spectacle très agréable ! Aussi, quand elle s’assoit un instant sur un banc de pierre à l’entrée du pont : ses jambes sont entièrement dénudées, et il est fort possible que des voyeurs bien placés aient aperçu sa chatte.
Devant cette situation qu’elle juge, finalement, inconfortable, elle finit par faire une proposition :
« On va se promener vers les quais ?  On sera plus tranquille, non ? » J’acquiesce à sa demande et nous quittons le pont Charles, pour descendre vers les quais. Ici, tout es plus calme, et tout naturellement, Eva se serre contre moi, Eva que j’enlace à mon tour. Et de sentir son corps nu sous sa robe, m’excite.
Tout en marchant, main droite glisse sous sa robe, sur ses fesses rondes que je palpe avec délectation. Eva me laisse faire, jusqu’à ce que, me saisissant par la main, elle m’entraîne :
« Viens, je me souviens que, dans ce quartier, il y a un endroit où on peut être tranquille ! »
Deux cents mètres plus loin, on arrive devant un parking, où stationnent quelques voitures. Au fond, on devine un petit édifice. Eva s’en approche… Elle se souvient avoir dû venir ici, par nécessité : et pour cause, ce sont des toilettes. Eva ouvre la porte de la partie réservée aux femmes. Une seule cabine, assez grande, le tout relativement propre. Une fois nous deux entrés, elle ferme la porte de la cabine avec un verrou.
« Ce n’est pas l’endroit idéal, mais… » Eva essaie de se justifier. Elle ne voit pas, qu’en fait l’endroit est, pour moi, excitant à souhait.
« Tu penses qu’on sera tranquille, ici ? » dis-je pour commencer.
« Sans doute, on voit bien qu’il n’y a guère de monde par ici, à part les gens des voitures… »
« Alors, mets-toi toute nue, chérie ! » dis-je d’emblée.
Je regarde Eva dégrafer sa minirobe, puis l’enlever et la suspendre à un clou qui sert de penderie. Ses jolis seins et son sexe poilu apparaissent.
« Enlèves tes sandales aussi ! Je te veux totalement nue ! »
« Le sol n’est pas propre ! » objecte- t-elle, avant de les retirer.
« Défais aussi ta coiffure ! Je te veux nature ! »
Là, Eva proteste un peu : « Je vais devoir me repeigner après, je ne sais pas si je pourrais ! »
Mais ses cheveux tombent sur ses épaules.« Tu ne sais pas combien tu es bandante quand tu es comme ça ! Regarde ! »
« J’ouvre ma braguette et sort ma queue de dessous le slip. Elle se dresse aussitôt, faisant honneur à la nudité d’Eva.
« Assieds-toi sur la cuvette …et suces ! » dis-je en lui présentant ma pine, le gland décalotté, à hauteur de son visage.
Eva, la prends dans sa bouche, comme elle l’avait fait au jardin, et se met à sucer.« Hmmm ! Tu commences à faire ça bien, ma chérie ! »
Je la laisse agir un moment : Maintenant, lèves toi et offres- moi ton cul ! Je veux ton petit trou ! »
Elle se lève, me tourne le dos et se penche en se tenant au tuyau de la chasse d’eau.
« Le petit trou du cul d’Eva…. J’adore ton petit trou ! » J’enfonce l’index en entier. Eva frissonne, tandis que je me mets à lui ramoner son trou. Pui j’y rentre un deuxième doigt. Cette fois, elle commence à gémir.
« Je vais t’enculer, et tu vas aimer ça ! » dis-je, très excité, à la vue de ses fesses rondes et de son trou. Je place le gland décalotté sur l’orifice anal, et je pousse. Eva pousse des petits cris, mais je progresse peu à peu dans son anus, jusqu’à ce que mes couilles atteignent ses fesses. Puis, je commence à la ramoner, lui arrachant des gémissements et des gloussements à chaque mouvement.
« Salope ! Tu aimes te faire prendre par le cul, n’est- ce pas ? »
« Oui ! Oh oui ! » Répète-t-elle plusieurs fois.
Puis, au bout d’un moment : « Je prends ton con, maintenant ! »
Elle, toujours penchée en avant, je rentre facilement dans sa chatte, déjà bien mouillée. Et je me mets à la ramoner un bon moment, puis, par précaution, je me retire…
« Assieds-toi sur la cuvette et offre-moi ton visage ! »Je me masturbe frénétiquement avant de lâcher des jets de foutre épais qui s’étalent sur son visage.
« Ca va pas être facile pour nettoyer tout ça…. Tu aurais pu y penser, avant, Bob ! » Gémit-elle.
« Il y a un lavabo et de l’eau à côté… cela devrait aller. »
Au moment où Eva se relève, on entend un aboiement, tout proche.« Quelqu’un vient ! » fait Eva, paniquée.
La porte de la cabine possède une petite ouverture, à hauteur du verrou : j’observe, et d’après ce que je peux voir, il semble bien que le chien soit seul. Alors, avec précaution j’ouvre le verrou et entrouvre la porte. Le museau d’un chien apparait. Et derrière lui, personne. J’essaie de le repousser, mais il parvient à se faufiler dans la cabine. C’est un genre d’épagneul. Eva, qui a remis sa minirobe, le regarde avec méfiance. Mais il ne semble pas sauvage ; je parviens même à le caresser un peu.
Les choses se gâtent quand il s’approche d’Eva. Elle a ses orifices encore pourvus de sécrétions odorantes, sans parler de son visage maculé de traînées de sperme. Le chien lui renifle les genoux, puis les cuisses, et maintenant, il lève les yeux vers elle, la queue frétillante. Eva se trouve dos à la paroi, et il cherche visiblement à atteindre son entre- jambes.
« Bob ! Empêche-le ! Regardes, on dirait qu’il veut…. »
 Eva ne sait plus comment faire, et de mon côté, je ne parviens pas à écarter le chien, qui s’obstine à vouloir renifler l’entre-jambes d’Eva. Elle croit avoir une bonne idée en caressant la tête du chien, comme pour le distraire. Mais, alors qu’elle se penche en avant, celui-ci en profite pour passer sa langue sur son minou. Eva pousse un petit cri de surprise et se redresse aussitôt. Mais je remarque qu’elle ne se lamente plus de mon inaction, et semble en train de voir les choses autrement.
« Si tu….le laissais faire… peut-être que…. » Hasardai-je, voyant ses hésitations
« Tu veux que je me laisse… lécher par lui ?  Tu plaisantes…tu me prends pour qui ? »
Ses réponses, apparemment claires, masquent un certain trouble qui l’envahit. Toujours à ses pieds, l’épagneul lui lèche, par moment, les genoux et les cuisses et cherche à atteindre son sexe.
« Que dois-je faire ? » se dit-elle. Elle a honte d’avouer  que la langue du chien sur ses genoux et ses cuisses, lui procure une sensation agréable.
« Laisses-le faire…Juste pour voir ce que ça te fait ! » Le laisser faire… Eva ne semble plus hostile à cela ; elle hésite, simplement.Le chien regarde Eva ; il a l’air presque suppliant, enfin du moins l’imagine- t-elle.
Ce qui paraissait impensable, il y a une heure : Eva déboutonne sa minirobe et la retire, pour ne pas la salir, sans doute ; puis elle la pend au clou… et s’assoit sur le sol. Avec empressement, le chien vient entre ses cuisses et fourre son museau sur son minou, qu’il se met à laper. Eva, les yeux fermés, a d’abord une grimace de dégoût. Mais la langue du chien finit par réveiller son clitoris, et un plaisir inconnu d’elle la gagne peu à peu, et se transforme en excitation. D’elle-même, elle ouvre ses cuisses pour qu’il lui astique son clitoris avec encore plus d’ardeur. Puis le chien, ayant sans doute léché tout ce qu’il y avait, s’arrête.
Eva, tente de lui faire reprendre son léchage. Mais rien n’y fait : il passe deux ou trois coups de langue et abandonne. Alors elle passe ses doigts sur son visage, pour recueillir du sperme puis les tend au chien…qui les lèche.
Finalement, Eva se relève, enfile sa robe, mets ses sandales, et sort de la cabine à ma suite,  suivie du chien. Elle essaie de se débarbouiller tant bien que mal, au robinet d’eau froide, en s’aidant de son mouchoir. Et comme elle doit se pencher , le  lavabo se trouvant un peu bas pour elle, elle dévoile ses fesses, tant et si bien que le chien, voyant cela, finit par lui passer quelques coups de langue au niveau de l’anus, à sa grande honte.
Que faire du chien maintenant ? Il ne s’agirait pas qu’il nous suive ! En cours de route, le fait pour lui de croiser ce qui doit être une chienne, va le détourner de nous. Et nous le perdrons de vue.
Il est bientôt 17h30. Il faut songer à rentrer. Eva demeure silencieuse. Sans doute honteuse de ce qu’elle vient de faire. Visiblement, elle ne m’en veut pas. Elle décide même de rentrer avec la mini-blouse :« Je trouverai  bien un endroit pour me changer avant d’arriver chez ma tante. »
 Nous retrouvons la place Venceslas et le tram. A cette heure, il y a du monde, et Eva, qui a trouvé une place assise à l’arrière, offre l’alléchant spectacle de ses cuisses dénudées. Et comme elle a pris soin de ne pas croiser ses jambes, peut-être, certains, auront-ils aperçu, un petit buisson caché tout au fond.
Puis nous descendons à la station. En prenant le chemin qui mène à la maison, Eva suggère de se rendre chez un voisin, juste avant la maison de sa tante. Celui a, en effet, obligeamment prêté son garage pour ma voiture. Le voisin est absent, mais la porte du garage est ouverte. Nous y entrons. Eva retire sa robe. La voir nue à nouveau, me fait flasher et je lui suggère de rester ainsi un moment.
« C’est fou ce que tu peux m’exciter ! » dis-je à une Eva qui semble éprouver un vif plaisir à entendre ce genre de propos. Puis je me mets à lui sucer les tétons, à lui lécher les seins :« J’adore tes beaux nichons ! Ils me rendent fou ! La prochaine fois, c’est eux que tu exhiberas, ma chérie ! »
En même temps, mes mains avides, pétrissent ses fesses rondes. Puis, elle remet sa robe orange, et nous rentrons chez la tante, sans faire de bruit. 
A suivre...
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