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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 13

Le chalet où l'on baise (1)

Avec plusieurs hommes
Vendredi 22 juillet. Debout dès 7h du matin, car nous devons lever le camp, et rejoindre un camping officiel. En se basant sur un dépliant touristique, le plus près se trouverait au nord, en direction de la frontière roumaine.
Nous reprenons la route vers 9h. Eva, en short et débardeur, est plutôt silencieuse. 10km plus loin, un panneau annonce un camping. Nous nous arrêtons devant l’entrée, pour obtenir des renseignements sur la qualité et le coût de celui-ci.Eva descend de la voiture et suit  son père dans le bureau d’entrée. Dix minutes plus tard, ils sont de retour : le lieu semble correct et les tarifs sont raisonnables. C’est décidé, nous nous installerons ici.
Nous repérons deux emplacements contigus et montons les tentes. Peu avant 11h tout est en place. Tandis que madame Ukazovà prépare le déjeuner, aidée par son mari et Jana, Eva et moi en profitons pour visiter les lieux.
« Cela semble convenable, comme camping, n’est-ce –pas ? » dit Eva. Puis nous parvenons à l’entrée de la plage : celle-ci est grande, environ 50 mètres de largeur et bien 400 à 500 mètres en longueur. Au loin, et de chaque côté, on aperçoit des barrières qui indiquent les limites de la plage.Nous commençons à marcher sur le sable, quand Eva s’arrête,  retire son débardeur et son short, pour se retrouver en maillot ; un deux- pièces noir et blanc que je reconnais être celui de sa sœur :
« On a pratiquement la même taille, Jana et moi … de temps en temps on s’amuse à échanger nos vêtements ! Un petit jeu entre nous … un petit secret aussi ! » Eva m’adresse un sourire complice.Ce maillot, plus réduit que le sien, dévoile un peu plus de son anatomie : ses belles fesses sont en partie visibles et le décolleté du soutien-gorge offre une belle vue sur le creux des seins, surtout quand elle se penche.
« Tu n’as pas de maillot ? » dit-elle, me voyant inactif.
« Je pensais qu’on allait juste visiter les lieux avant le déjeuner … » fais-je, un peu penaud.
« Ce n’est pas grave ! On va se promener sur la plage ! » Répond- elle, en s’amusant de mon air désolé.
Tout en parlant, Eva a sorti un petit sac en plastique de la poche du short, pour y placer ses vêtements. Nous marchons jusqu’à la barrière, côté droit : ce sont des piquets en bois enfoncés dans le sol et reliés entre eux par des panneaux en plastique souple. Et comme elle s’arrête au bord de l’eau, rien de plus facile pour passer de l’autre côté : il suffit de la contourner.
« La police nous attend, peut-être ? » dis-je, pour la taquiner, alors qu’elle s’apprête à franchir la limite ».
Elle me sourit, amusée :
« Bob ! Tu vas  penser encore longtemps à  cette histoire ? »
« Le spectacle offert était plutôt agréable à voir ! »  Glissai-je, essayant de deviner ses pensées.
« Coquin ! Tu as envie de revoir ça, hein ? En attendant, c’était la  meilleure façon de les amadouer… vu la façon dont ils me regardaient ! »
Puis Eva contourne la barrière. Elle est dubitative :« C’est plat partout…Pas de crique, ni d’endroit où l’on peut se cacher un peu… dommage… »
« Et si on allait voir de l’autre côté ? La barrière du côté gauche ? » Suggérai-je.
« Allons voir… on ne sait jamais…. » Approuve- t-elle.
Une fois l’autre barrière atteinte puis franchie, c’est toujours la plage, plate et monotone. Déçus, nous rentrons dans l’enceinte du camping. En passant à proximité du bureau d’accueil, nous remarquons derrière celui-ci un chalet en bois, avec un étage :« Je me demande à quoi il peut servir, et qui peut l’utiliser ? » dit Eva, intriguée.
« Au bureau, on nous donnera sûrement l’information… si on y allait ? » Ma suggestion fait réfléchir Eva.
« Et si c’est toi qui y vas, avec ta tenue, ça serait plus facile…sûrement ! » Ajoutai-je.
Eva feint d’être agacée :« Evidemment ! Avec ce maillot…  des poses suggestives, un air enjôleur, et le tour est joué ! Avant tout il faut savoir à quoi il sert, non ? » Elle soupire : « Bob, quelle heure est-il ? »« Tout juste 11h et demie ! » dis-je.« Je vais me renseigner ! Tu m’attends ici ! » Elle se dirige vers l’entrée du bureau.
Il y a une fenêtre sur le côté, aussi je m’en rapproche pour essayer de voir ce qui se passe à l’intérieur. Je vois Eva, debout, les mains appuyées sur le comptoir. Leur conversation m’est inaudible, mais elle semble sereine, presque enjouée. A un moment, elle s’accoude, et j’imagine la réaction du type, louchant sur le creux des seins. Puis, l’homme prend un petit trousseau de clés, et appose un panneau sur la fenêtre. Je les vois, tous les deux sortir par la porte de derrière. Quand ils réapparaissent au bout d’une dizaine de minutes, Eva me parait enchantée. Elle prend congé du gérant avant de me rejoindre. En attendant,  j’ai repris ma place :
« C’est son logement pour la saison ! Il doit demeurer sur place, et donc il habite ici de juin à  septembre ! » La chose semble entendue, mais elle ajoute :
« Il est seul ici car sa femme travaille… il n’utilise pas le premier étage… il m’a fait comprendre qu’il  le louait, pour un moment, à ceux qui demandent. Evidemment c’est clandestin… Il fait payer à chaque passage. Pour se faire un peu d’argent, sûrement … ». Eva a l’air embarrassée…
« Bob, on va rentrer. Je te dirai le reste plus tard ! » conclue- t-elle, en remettant son short et son débardeur.
Après le déjeuner, petite sieste sous la tente. Vers 13h30, Eva vient me rendre visite. Elle a remis son maillot en lycra vert.« Il a dit qu’il louait entre 10h et 20h.Il demande 10 leva à chaque fois, mais la durée n’est pas limitée ».
« Pour le moment j’ai 40 leva. Je peux changer encore. Mais il faudrait voir à quoi ressemble ce premier étage ! » Suggérai-je
« Le gérant m’a montré l’endroit ; on accède au premier étage par un escalier escamotable, en bois. En fait, c’est une grande pièce située sous le toit avec quelques meubles. Pour nous, c’est mieux d’y aller en début d’après-midi ou de nuit. Et plus facile pour moi de m’échapper d’ici… je sais, tu vas dire que je suis majeure et que je peux faire ce que je veux…mais la situation est comme ça ! » Elle soupire, avant d’ajouter :« Je vais dire qu’on va se promener et qu’on sera de retour vers quatre heures pour la baignade ! »
Elle est de retour au bout de cinq minutes : « On y va ? » dit-elle vivement.
 Trois minutes plus tard, Eva entre dans le bureau. Je reste en retrait. Je lui ai remis deux billets de 5 leva. Le gérant, un homme d’une quarantaine d’années prend les billets, saisit un petit trousseau de clés et appose un panneau sur la fenêtre. Il ouvre la porte du chalet, fait descendre  l’escalier amovible menant à l’étage. Nous montons tous les trois. Une autre porte ouverte, et on se retrouve dans une grande pièce mansardée, pauvrement meublée d’un lit, d’un canapé, d’une table basse. Dans un angle un coin toilette avec un lavabo et un WC. Au sol quelques tapis.« Avant de partir,  remettez tout en ordre ! Laissez toujours les fenêtres fermées !»  Ajoute -t-il en nous adressant un sourire entendu.
Au moment de s’en aller, il ajoute : « Fermez la porte à clé quand vous êtes là. En repartant, fermez ici et en bas et remettez moi la clé, discrètement ».
Une fois le gérant parti et la porte fermée, je regarde Eva :« Finalement, ce n’est pas plus mal…on est à l’abri  et c’est plus confortable que la crique, n’est-ce-pas ? »
Puis l’enveloppant du regard : « Si tu te mettais toute nue, chérie ? On est là pour ça, n’est-ce-pas ? »
Eva m’adresse un sourire coquin avant de se défaire de son maillot de bain, qu’elle laisse tomber sur le tapis. Une fois nue, elle me regarde me déshabiller, matant ma queue quand celle-ci, s’échappant de mon slip se dresse instantanément :« Tu sais bien que tu me fais bander sans arrêt ! » lui dis-je, en matant son corps.
Elle s’approche de moi…. Ses cuisses, son ventre, ses seins, ses fesses,  me font toujours autant envie ….Je me plaque contre elle ; ma queue dure et raide s’écrase sur son ventre soyeux. Mes mains s’emparent de ses fesses, pour les peloter fiévreusement. Je l’embrasse fougueusement, ma langue dans sa bouche. Elle m’enlace  étroitement, et frotte son ventre contre ma bite :
« Petite cochonne ! Tu veux déjà me faire jouir ?  Racontes - moi d’abord comment tu as amadoué le gérant ! J’ai vu ton manège, quand tu t’es accoudée au comptoir pour qu’il mate ton décolleté. Et puis vous êtes montés tous les deux….dix minutes… vous n’avez pas dû faire que parler ! »
« Tu ne serais pas jaloux, par hasard ? -me dit-elle, mutine-  je te rappelle que tu as voulu que je me comporte librement, que je m’exhibe même ! Tu as même laissé entendre ce matin que ce que j’ai proposé et fait aux policiers hier, t’avais excité ! »
Elle poursuit :« Maintenant, si tu veux être rassuré, je tiens très fort à toi… Toutes mes fantaisies de sexe sont uniquement faites pour te plaire et t’exciter… Tu me demandes de réaliser tes fantasmes, j’essaie de les faire… mais si je prends l’initiative de faire des choses osées, ça te plait moins ! Je me trompe ? » Elle m’adresse un sourire désarmant :
« Tu sais que tu es mon chéri et que je t’aime ! Maintenant tu veux savoir ce qu’on a fait, ici, ce matin avec le gérant ? Asseyons-nous sur le canapé ! Tu vas trouver ça excitant ! »
Elle s’assoit à ma gauche, prend ma bite dans sa main droite, et, tout en me masturbant lentement, elle raconte :« Quand l’escalier a été en place, il a voulu que je monte devant lui : le maillot de ma sœur est plus petit, et il avait envie de mater mon derrière. En haut, pendant qu’on parlait, il m’a mis plusieurs fois la main aux fesses. Après il a touché les bonnets du soutien-gorge, en disant que j’étais jolie et qu’il aimerait bien voir mes seins. Il a insisté, assez, pour que finisse par accepter…et j’ai retiré mon soutien-gorge. Voir mes seins l’a tellement troublé que je lui ai permis de les toucher. Je suis restée comme ça jusqu’à ce qu’on redescende. Une fois en bas, il s’est enhardi à toucher le devant de mon slip. J’ai été troublée à mon tour. Il a même laissé entendre qu’il se verrait bien avec nous… Tu te rends compte ? »
« Un trio ? Tu te sentirais prête pour ce genre d’expérience ? » Les propos d’Eva m’excitent tout autant que sa masturbation. J’ose lui soumettre une proposition délicate :« On pourrait inviter Jana aussi…je suis sûr qu’elle ne serait pas contre ! Avec ce qu’elle a tenté avec moi, ça devrait même l’exciter ! » Je tente d’obtenir l’approbation d’Eva, mais celle-ci est réservée :
« Avec ma sœur ?  Tu serais capable de nous demander des choses… » Elle rougit :« Tu dois comprendre que c’est ma sœur quand même ! »
« Tu l’as bien laissée me masturber, pour ne pas dire encouragée, même ! Et puis quand je vois Jana te passer de la crème sur le corps et sous le slip, il me semble qu’elle y prend un certain plaisir… On pourrait faire une séance avec Jana, toi et moi, je suis certain qu’elle se laisserait convaincre, si tu sais y faire ! »
« Petit cochon ! En plus tu me demandes de la convaincre ! » Eva parait indignée, mais il semble que son indignation soit feinte. Un moyen pour elle de me faire abandonner ce projet qui la gêne moralement, alors qu’en elle-même, l’envie d’essayer commence à la tarauder ?
Plus je clos la conversation en embrassant goulûment Eva sur la bouche, ma main gauche s’insinuant entre ses cuisses, qu’elle écarte aussitôt :« J’adore ta jolie motte poilue ! » lui dis-je, entre deux baisers, tout en lui massant le sexe avec deux doigts. Elle, de son côté, a toujours ma bite dans sa main, bite décalottée et couilles bien pleines. Une idée saugrenue me traverse l’esprit :
« Tu n’as pas envie de faire un essai à trois ? Pour voir comment ça se passe ? »
« Tu veux dire avec le gérant ? Maintenant ? Ce n’était pas prévu…je… »Eva en bégaie un peu : « Je… Comment tu comptes faire pour lui dire de venir ? Il n’est pas disponible en permanence ! » Elle ne semble pas opposée à cette expérience.
« Tu vas te rendre jusqu’à la porte arrière du bureau, et voir s’il est seul. Si oui, tu attires son attention…ça m’étonnerait qu’il refuse ! »Je me rends bien compte que je demande à Eva d’aguicher cet homme pour l’attirer ici, mais j’assume :« Mets juste ta culotte… puisqu’il trouve que tu as des jolis seins ! »
Un peu gênée tout de même de faire ce genre de démarche, elle se lève, enfile sa culotte, prend les clés, et sort. L’escalier descendu, elle hésite avant d’ouvrir la porte. Elle regarde à droite, à gauche. Personne. En trois enjambées, elle se retrouve contre la porte arrière du bureau. Par la vitre, elle aperçoit le gérant assis derrière le comptoir ; il est seul. Elle abaisse la poignée de la porte et pousse : la porte s’ouvre. Elle entre furtivement, mais le plancher craque, alertant  le gérant. Il voit cette fille un peu potelée, la peau laiteuse, les seins nus bien tenus ; il reconnait sa « cliente » et lui sourit. Eva ne sait pas comment formuler son invitation ; elle bafouille :
« Heu …si vous voulez venir… vous avez dit que vous aimeriez être avec nous… je ne sais pas si… »
Il semble réfléchir à toute vitesse, puis lâche :« Pas de problème ! Je peux venir un moment ! Juste le temps de mettre le panneau ! » Il se lève. Cette fille presque nue, c’est une invite. En plus il se dit que le gars qui est avec elle doit être au moins d’accord, sinon à l’origine de ça.Au moment de sortir du bureau, il palpe les fesses d’Eva… et bien sûr, il la fait passer devant dans l’escalier.
Quand Eva ouvre la porte, suivi du, gérant, un homme brun, assez bien bâti, je me lève. Un réveil posé sur une table de nuit affiche 14h15. « Appelez-moi Mirek, ça sera plus simple ! » dit-il en se présentant. Avant d’ajouter :
« Je peux rester un moment … une demi- heure, je pense » dit-il sans cesser de mater le corps d’Eva. Celle-ci fait glisser sa culotte sur le tapis, tandis que l’homme se déshabille à son tour : il est plutôt bien fait et son sexe d’une taille analogue au mien, et un peu plus épais. Il bande dur, le gland décalotté, adressant des regards égrillards à Eva.Je la sens un peu inquiète. Elle doit craindre qu’ayant peu de temps, il ne cherche une jouissance rapide, et soit brutal avec elle.
Il se met en face d’elle : « A genoux ! Et suces-moi ! » Il la tutoie d’emblée, avec autorité.Eva s’agenouille ; elle a, près de son visage, cette queue épaisse et turgescente, le gland décalotté. Comme elle hésite un peu, il lui prend la tête entre les mains,  et place le gland sur ses lèvres :
« Suces, voyons ! Tu m’as invité pour ça, non ? » Je vois la queue entrer dans la bouche d’Eva, qui commence à sucer doucement le bout.
« Avales- en plus ! » s’agace- t-il, en appuyant sur sa nuque. Il parvient à faire entrer dans la bouche d’Eva la moitié de sa bite. La pauvre peine à la sucer, celle-ci étant plus épaisse que la mienne. Comme elle semble mal à l’aise, il consent à ce qu’elle ne lui suce que le bout, mais demande qu’elle lui tripote les couilles avec ses deux mains.Mirek est aux anges : « Vas- y ! Suce bien ! Fais-moi  jouir avec ta bouche ! »
Puis, me voyant nu, en train de me masturber, devant l’excitant spectacle que m’offre Eva, il me fait signe d’approcher : « Fais ce que tu veux à ta copine, pendant qu’elle me suce ! Tu as envie qu’on la prenne à deux, non ?  Alors, ne te gêne pas ! » Dit-il avec un sourire entendu.
Je me place à genoux derrière elle et lui empoigne ses seins laiteux, que je masse d’abord, avant d’exciter les tétons entre mes doigts. Puis, gardant ma main gauche sur ses seins, je glisse ma main droite entre ses cuisses, pour palper les poils de sa chatte, avant de fourrer deux doigts dans sa moule. Le ramonage digital produit son effet, quand Eva commence à haleter, rendant le suçage de la bite de Mirek aléatoire.
« Suce ! Salope ! Fais-moi jouir avec ta bouche de pute ! Ce n’est pas parce que ton ami te met des doigts dans ta chatte que tu dois ralentir ! »  S’énerve Mirek, devenant vulgaire.« Presses mes couilles dans tes mains ! » Elle malaxe les bourses  tout en s’appliquant à bien sucer sa bite, alors que mes doigts excitent son vagin. Puis, il grogne de plaisir et ne pouvant plus se retenir, il largue son foutre, en jets épais sur le visage d’Eva. En effet, d’instinct, elle a rejeté sa tête en arrière, au grand dam de Mirek qui espérait bien lui faire tout avaler.« Salope ! La prochaine fois tu avales tout ! »
Il regarde la figure d’Eva : elle a du sperme sur les lèvres, le nez, les joues, le menton, tandis qu’un fil de sperme pend du menton vers ses seins. Cela lui donne une idée :« Tu vas sucer ton ami, pendant que je te ferai des choses ! Et surtout, reste comme ça, avec mon foutre sur ton joli visage… ! »
Au départ, l’idée était qu’Eva et moi l’associons à nos jeux… et voilà que c’est lui qui dirige ! Eva se trouve déstabilisée par l’autorité dont il fait preuve. De mon côté, je n’ose m’avouer que la tournure que prennent les choses m’excite terriblement. Secrètement, même, j’espère voir Eva accepter d’expérimenter, dès maintenant, des pratiques sexuelles plus crues, brûlant des étapes dans son « apprentissage » sexuel.
Eva se remet debout, mais Mirek, désirant sans doute, assouvir ses fantasmes, dans le temps qu’il s’est donné, lui lance :« Vas t’assoir sur la cuvette des WC et  écarte les jambes autant que tu peux ! »
Elle se dirige vers la cuvette et s’assoit sur le bord, les jambes écartées au maximum : une pose à la fois grotesque et excitante, qui a pour effet de maintenir entrouvertes les lèvres de la chatte. Le gérant s’assoit sur le sol, une jambe de chaque côté de la cuvette, puis attire Eva à lui, de façon à avoir sa moule à portée de sa langue.
Quant à moi, je me place sur le côté de la cuvette, mon sexe à la hauteur de la bouche de ma chérie, qui doit cependant tourner la tête. Et c’est dans cette posture un brin acrobatique, que Mirek dit à Eva :« Je vais te faire jouir comme une folle et tu vas aussi sucer ton ami, pour qu’il jouisse sur ton visage ! »
Puis, pointant sa langue sur la chatte, il commence à  la lécher d’abord avant de commencer à agacer le clitoris. En même temps, je fourre une partie de ma bite dans la bouche d’Eva, qui se met à me sucer avec application.Rapidement je suis très excité, jusqu’à ce que l’action de la langue de Mirek commence à produire ses effets sur Eva. Elle commence par haleter, puis gémir : l’astiquage méthodique de son clitoris  produit ses effets. Elle commence à avoir des difficultés à me sucer. A ce moment-là, la main droite de Mirek qui se trouvait sur le haut  de la cuisse d’Eva, se pose sur ses fesses, cherchant sans aucun doute son « petit » trou.
Maintenant, elle halète en cadence, lâchant en rafale des : « Aaaah ! Hummmm ! Oui ! Ouiiii ! ». J’imagine son clitoris grossi et durci par l’excitation, sa sensibilité exacerbée, par les coups de langue incessants. Elle frémit un peu en sentant un doigt lui palper l’orifice anal, puis se mord les lèvres quand il pénètre son anus. Maintenant, le doigt s’agite dans son petit trou, lui procurant une seconde zone d’excitation. Comme elle a du mal à me sucer de façon régulière –elle n’arrête pas de gémir, de haleter, de glousser- je me mets à lui pincer les tétons, ajoutant une troisième zone d’excitation. Je vois les bouts durcir et prendre du volume. Sollicitée de toute part, Eva finit par être submergée par un orgasme. La cyprine coule de sa chatte, tandis que Mirek continue son léchage tout en  doigtant son petit trou, cherchant à la rendre littéralement « folle de plaisir ». De mon côté, je me masturbe frénétiquement, en tenant mon sexe braqué sur le visage d’Eva. Puis, elle a un gloussement rauque ; elle repousse la tête de l’homme d’entre ses cuisses ; un mélange d’orgasme violent et de douleur irradie son bas ventre. Dans le même temps je jouis, larguant sur  le visage de ma chérie d’épais jets de foutre.

Eva est épuisée par cette jouissance extrême. Sa vessie lâche et elle pisse devant nous, dans la cuvette. Elle commence à se reprendre, quand Mirek, insatiable, lui demande de lécher mon foutre qui dégouline sur son visage. Elle consent à en recueillir avec ses doigts qu’elle lèche ensuite. Puis nous l’aidons à se lever, et l’asseyons sur le canapé. A ce moment, Mirek, ayant consulté l’heure, se rend compte qu’il est en retard. Il se rhabille précipitamment et file, non sans nous avoir remis la clé de son appartement, avec la consigne d’utiliser la douche et de boire un coup afin qu’Eva se refasse une santé !

A suivre …
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