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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 14

Le chalet où l'on baise (2)

Avec plusieurs femmes
Avant de refermer la porte, il nous lance :« Prenez votre temps, et n’oubliez pas de me ramener les clés ! »
Eva est toujours affalée sur le canapé, les yeux mi-clos, les jambes écartées. Elle respire plus calmement. Ce violent orgasme l’a secouée. Mon sperme  et celui de Mirek sèchent sur son visage. Je ne peux m’empêcher de mater son sexe encore humide de sa cyprine. Je sens renaitre une certaine excitation.« Quelle heure est-il ? » demande- t-elle en se redressant.
« Pas loin de 15h ! » dis-je.« Je crois qu’il a dit que je pouvais prendre une douche… alors allons-y, j’en ai bien besoin, n’est-ce pas ? » dit-elle en se mettant debout.
J’enfile mon maillot, ramasse le sien, resté sur le tapis, et nous descendons l’escalier, une fois la porte fermée à clé. Puis une fois en bas, j’ouvre la porte de l’appartement de Mirek, suivie d’Eva, restée nue.
Trois pièces en enfilade : une cuisine, une chambre, et une salle de bain. Une fois dans la salle de bain, Eva ouvre le robinet de la douche, une cabine placée dans un angle. L’eau est à peine tiède, mais Eva n’en a cure. Une eau bienfaisante ruisselle sur son corps : je peux tout voir car elle n’a pas pris la peine de tirer le rideau de la douche. Elle trouve une savonnette et très vite son corps se couvre d’une mousse odorante. Après un rinçage, elle va répéter l’opération deux autres fois, histoire de se sentir « propre ». Elle s’essuie comme elle peut avec une  minuscule serviette, la seule qu’elle ait trouvée.
« Ah ! C’est beaucoup mieux comme ça ! – elle s’étire un peu- tu veux prendre une douche aussi ? »« Je veux bien … en attendant va t’assoir dans la cuisine ! »
Une petite douche plus tard, je la rejoins dans la cuisine, nu, n’ayant pas remis mon maillot. Il y a un petit frigo, assez peu fourni, avec cependant une grande bouteille contenant un « coca cola » de fabrication locale. Assis autour de la table, nous en buvons de grandes rasades, dans des gobelets en plastique.« Tu as mon maillot, au moins ? » s’inquiète Eva, toujours nue.
« Bien sûr ! » je la rassure en lui montrant le maillot déposé sur mes  genoux
« Bob ! Je crois que je n’ai jamais joui comme ça ! Ce Mirek est un beau cochon !  … Maintenant, si tu veux me faire jouir très fort, tu sais comment tu dois faire ! » Elle  lâche cette phrase, comme ça, et je la reçois en pleine figure.Elle comprend vite, à voir mon air surpris, que j’ai pris ça pour un reproche :
« Tu voulais me faire essayer… pour voir… je peux dire que j’ai appris quelque chose de plus, grâce à toi ! Maintenant je sais que tu pourras me faire jouir de cette façon, car, tu sais qu’il n’y a que toi qui comptes pour moi ! »

Puis, pour achever de m’amadouer, elle susurre : «  Bob, je vais convaincre  Jana de venir avec nous … »
La fine mouche ! Elle sait bien que je compte sur elle pour ça ! Et comme je n’ai aucune raison de douter de ses paroles, je retrouve ma sérénité.Puis elle se lève de table pour venir vers moi. Comme je suis assis sur le côté, elle remarque que mon sexe commence à se redresser à nouveau :« Petit vicieux ! C’est penser à ma sœur qui t’excite ? Ou plutôt de me voir nue ? Qu’est ce qui te plait le plus chez moi ? » La voilà qui se montre aguicheuse à souhait.Elle se campe devant moi, les mains sur les hanches, le sourire aux lèvres.
« Tes beaux seins, tes cuisses, ton minou, ton ventre, tes fesses, ta bouche, tes yeux, tes cheveux ….et bien sûr, ton joli petit trou ! »
« Tout mon corps, alors ! C’est très beau de toi que mon corps te plaise … je te le donnerai autant que je voudrais ! »
C’est alors qu’elle se penche pour saisir ma bite avec sa main droite :« Et moi c’est  ta queue qui me plait et aussi tes mains sur mon corps et ta langue et tes doigts dans mes trous ! » dit-elle crûment, visiblement excitée.
Elle commence par me masturber, avant de s’agenouiller devant moi :« Tout à l’heure, je n’arrivais pas à te sucer … Je vais le faire maintenant ! » dit-elle en gobant le bout de ma bite pour sucer avec entrain.Très vite je rebande à fond :
« Hmmm ! Ma chérie ! Tu es une merveilleuse suceuse de pine ! Je voudrais que tu avales tout, mon cœur ! »
Eva s’applique, faisant entrer la moitié de ma bite dans sa bouche, la faisant coulisser dedans. Cette sensation de tiédeur, cette douceur soyeuse…. Je caresse ses cheveux… sa bouche est un magnifique fourreau pour ma queue. Puis, mon envie enfle, enfle, je ne peux plus me contenir et dans un grognement, je lâche une – petite- giclée de foutre, qu’Eva s’empresse d’avaler. Puis, après avoir consciencieusement nettoyé mon sexe avec sa langue, elle se relève, satisfaite :
« Tu as aimé, mon chéri ? » dit-elle, toute joyeuse de m’avoir offert ce plaisir. Puis elle boit le reste de son verre de cola : « Bon je remets mon maillot et on y va ! » décide- t-elle en voyant l’horloge de la cuisine marquer 15h40.
Une fois la porte de l’appartement fermée, l’escalier replié, nous sortons. La porte arrière du bureau étant ouverte, Eva la franchit. Le gérant s’occupe d’un client. Heureusement, il regarde dans sa direction, et lui fait signe de poser les clés sur un petit meuble situé près de la porte. Puis nous nous éclipsons. Nous faisons quelques pas dans le camping, avant de rentrer, pour que nous ayons l’air de revenir d’une innocente promenade.Le vendredi se termine, suivi de la fin de semaine. Repos complet et vacances traditionnelles en famille.
Le lundi vers 14h, étant dans ma tente, et regardant distraitement par l’ouverture, je remarque Eva en train de s’éloigner de la tente de ses parents, pour se diriger, semble- t-il, vers l’entrée du camping. Elle porte son maillot en lycra vert. Je la vois revenir une demi-heure plus tard.Même manège le lendemain 26 juillet, mais vers 14h20.Cette fois, elle a revêtu un maxi-t –shirt  à manches courtes, qui lui arrive à peine plus bas que les fesses … mon impression, très nette est  qu’elle n’a rien dessous. Cette fois je décide de la suivre. Elle arrive devant le bureau d’entrée, pour le contourner, et, ensuite, rentrer, vraisemblablement, par la porte arrière, car je perds sa trace. Rien d’autre à faire que retourner à ma tente.
Le mercredi, cette fois, elle vient me voir, plus tôt, vers 13h30 :« C’est ce que tu attendais, non ? Ma sœur est d’accord… Elle m’a même surprise ! Je ne pensais pas qu’elle accepterait si vite, en plus …. Ou alors tu lui en as parlé ? » conclue- t-elle, un brin soupçonneuse.
« Non, non, pas du tout ! C’est pour quand ? » Eva me regarde avec un petit sourire entendu :« Maintenant ! Comme l’autre fois ! » Je sors donc de la tente au même moment ou Jana sort de celle des parents. Nous sommes tous les trois en short : officiellement c’est pour une excursion le long de la plage ; retour vers 16h…
Ensuite, les choses s’enchaînent : Eva entre dans le bureau, donne les 10 leva, le gérant ouvre la porte du chalet, rabat l’escalier. Puis nous montons, pour se retrouver dans la pièce mansardée. Le gérant redescend, et nous fermons la porte.
Eva et moi, en habitués et sans faire attention à la présence de Jana, nous nous dévêtons totalement, offrant, du coup, notre nudité à son regard.Eva s’étale sur le canapé, les jambes écartées, exposant sa chatte poilue. Quant à moi, je bande dur, tout en regardant Jana, toujours habillée. Elle voit ma queue raide, elle voit le sexe poilu de sa sœur, avant de se dévêtir à son tour. Quand elle laisse tomber son slip de bain, elle offre un bel abricot lisse à voir. Elle rosit quand elle sent mon regard se pose sur son sexe ; puis se ressaisissant, elle m’adresse un petit sourire coquin. Puis elle va s’installer sur le canapé, les cuisses ouvertes, et presque contre sa sœur. Je remarque qu’Eva  est un peu nerveuse. Se sent-elle coupable d’avoir invité sa sœur, dans une aventure, qui va les entraîner toutes les deux sur une pente fatale ?
Toujours debout, je regarde leur chatte à toutes les deux : le buisson châtain foncé d’Eva et l’abricot lisse, aux lèvres bien dessinées de Jana. Je bande dur devant ce spectacle, d’autant plus qu’avec une Eva apparemment  nerveuse et une Jana de plus en plus assurée, le résultat risque d’être chaud !
 Je me place debout face à Jana, tout contre le canapé, entre ses jambes ouvertes :« Tu peux faire ce que tu veux avec ma bite ! » lui dis-je, sachant bien qu’elle ne regardait que ça. Jana avance sa main droite, effleurant mon sexe.Puis elle le saisit à pleine main et commence à me masturber en jetant un coup d’œil à Eva, qui, jouant le jeu, lui adresse un sourire. Du coup, elle se redresse, et sa main droite me masturbe tandis que sa main gauche, pétrit mes bourses pleines :
« Hmmm ! C’est bon comme ça, Jana ! » Puis j’attire sa tête contre mon sexe :« Suces moi ! » Jana ouvre sa bouche et gobe le bout de mon sexe qu’elle commence à sucer avec application.
Puis je regarde Eva : « Cela te dit de sucer aussi, chérie ? »Elle me répond par un sourire et laissant Jana un instant, je me place devant Eva, qui se met à me sucer à son tour.
« Rapprochez-vous plus, l’une de l’autre ! Comme ça je me mets au milieu et vous pourrez sucer ma queue à tour de rôle sans que je me déplace ! »
Je remarque que Jana se colle littéralement contre sa sœur, sa cuisse droite montant presque sur la cuisse gauche d’Eva. Maintenant, elles sont presque visage contre visage et elles se passent ma bite, mêlant leur salive… En plus j’ai une vue splendide sur deux paires de nibards laiteux que chaque mouvement des deux sœurs animent d’un léger balancement. Terriblement érotique !Comme je n’ai pas envie de jouir de suite, je les interrompe :
« Jana, ça t’avais excitée de voir ta sœur se faire masturber et jouir sous mes doigts ? Et bien je vais sodomiser ta sœur devant toi… ça devrait t’exciter encore plus, non ? »
Jana rosit un peu, l’invite est assez crue, Mais elle répond :« Hum… Oui ! Oui ! Bien sûr ! » Je sens une Jana que la situation commence à exciter et qui se sent pleinement assurée.
Je tire Eva par la main pour la faire lever. Toujours un peu nerveuse : elle sent qu’un palier est franchi et que Jana a retrouvé son audace.« Voilà comment on va faire : – dis-je- Eva, tu vas te pencher en avant et te maintenir en posant tes mains sur les cuisses de Jana. Comme ça tu auras ton visage tout près du sien… et elle te verra bien jouir ! »
« Elle a un joli cul, ta sœur, n’est-ce-pas ? » Je fais retourner Eva, qui, de ce fait, offre la vue de ses fesses rondes, bien dessinées, à Jana.
« Très joli, même ! » reprend Jana, en passant deux doigts sur les fesses d’Eva, ajoutant encore au trouble de la situation :« Tu as envie de caresser les fesses de ta sœur ? Ne te gêne pas, surtout ! »
Eva pique un fard en sentant les mains de Jana se poser sur ses globes fessiers, mains qui, très vite, se mettent à palper, masser. En même temps, je sens monter l’excitation de Jana. Très vite, une image se superpose : Jana glissant sa main sous le slip de bain de sa sœur, pour lui mettre de la crème solaire le plus bas possible. Une façon pour elle de refaire ce geste. En même temps, la passivité d’Eva, qui, malgré une gêne visible, accepte de sa sœur, ces caresses sensuelles, m’excite de plus en plus …
Jana semble vouloir repousser les limites de la décence, vis-à-vis de sa sœur. La voilà qui se met à embrasser les fesses d’Eva, puis à les lécher :« Jana ! Arrête ! Que fais- tu ? »   Eva sent la langue tiède de sa sœur sur  ses fesses ; elle essaie de se retourner pour mettre un terme à ce manège. Mais j’ai fermement enlacé Eva, et je lui colle un baiser langoureux, manière agréable, s’il en fut, de l’amener à accepter les audacieuses caresses de sa sœur.
Jana prenant l’ascendant sur sa sœur aînée ? Ou Jana bisexuelle, assouvissant ses pulsions lesbiennes avec sa sœur, parce que c’est la seule personne qui lui inspire confiance ? Je n’ai pas le temps, ni l’envie de m’étendre sur le sujet. D’ailleurs, Jana s’est de nouveau assise sur le bord du canapé. Aussitôt, je fais pivoter Eva, qui se retrouve face à sa sœur. Elle se penche en avant, posant ses mains sur le haut des cuisses de Jana.J’ai à nouveau le cul de ma chérie face à moi. Je commence d’abord par doigter son petit trou avec mon index. L’introduction d’un second doigt la fait frissonner. Je lui ramone ainsi l’anus durant un moment, puis je plaque mon gland décalotté sur l’orifice avant de me cramponner à ses hanches. Et je commence à pousser…
En face de moi, Jana voit le visage de sa sœur se contracter, puis esquisser une grimace. L’orifice anal d’Eva, déjà rodé par plusieurs passages de ma queue, commence à devenir plus accueillant. Ce qui n’empêche pas Eva de gémir :« Va doucement Bob ! C’est un peu gros… Je… »
Je continue de pousser. Jana voit le visage de sa sœur exprimer une sorte de douleur muette. Elle gémit doucement, de manière lancinante. Puis elle pousse un petit cri : ma queue vient de s’encastrer dans son anus. Puis, lentement je commence à faire des allers -retour dans son petit trou. Eva se mord les lèvres, puis se met à geindre doucement, puis de plus en plus fort. Maintenant je ramone littéralement son cul.  Elle se cramponne aux cuisses de sa sœur, tandis que mes coups de boutoir ébranlent son corps. Jana voit les seins d’Eva qui se balancent.Elle est éblouie. Ses mains se portent sur ces seins laiteux. Se rend t elle compte qu’elle tripote les mamelles d’Eva à pleines mains ? Eva qui gémit, glousse, couine sans interruption.  Tandis que je devine Jana de plus en plus excitée, Jana qui se lâche…
Sa main droite quitte le sein d’Eva et vient se placer sur son abricot lisse : elle se masturbe. Au même moment, je sens la pression monter :« Salope ! Pute ! Je vais jouir dans ton cul ! Comme ça ! »
« Ouiiiiiii ! Vas- y ! Vas- y ! » Couine Eva, excitée comme un folle. Eva émet un gloussement rauque tandis que je libère ma semence dans ses entrailles. Nous restons ainsi  plusieurs secondes  unis de cette façon avant qu’elle ne se relève. Et c’est pour voir Jana qui continue de se masturber devant nous :« Vous m’excitez beaucoup ! » Se justifie- t-elle, un sourire coquin en prime !
Je mate ses jolis seins fermes, assez gros, que l’excitation tend naturellement. Je suis toujours debout et maintenant que la vue de ce joli spectacle, m’émoustille, je recommence tout doucement à bander. Je me plante devant elle, ma bite à hauteur de son visage :« Suces ma queue ! Maintenant qu’elle a visité le trou du cul de ta sœur !  »
Jana esquive d’abord en me léchant les couilles. Eva qui s’est assise à côté d’elle assiste en spectatrice, ne parait pas jalouse.Au bout d’une minute de léchage de couilles, Jana consent à prendre ma bite dans sa bouche, tout en exprimant un léger dégoût :« Suces bien, ma petite salope ! Tu vas aimer ça ! »
Puis m’adressant à Eva :« Allons ! De l’audace ! Touche les seins de ta sœur ! Excite la aussi ! »
Sa gêne est visible, mais prise par l’ambiance, elle se laisse entraîner. Elle se tourne vers sa sœur et sa main droite empaume le sein gauche, tandis qu’elle se penche un peu pour pouvoir téter le sein droit. Le spectacle est divin : Jana me suce la bite, tout en se masturbant, tandis que ses beaux nichons sont excités par les tripotages et les suçages que leur prodigue Eva !« Tu es une belle cochonne, Jana ! » dis-je, émoustillé par ce croustillant spectacle.
Je parviens même encore à jouir dans la bouche de Jana :« Hmmmm ! Avales, ma jolie cochonne ! Avales tout ! »
Ce qu’elle fait… et je la vois encore se masturber :« Tu as envie de jouir, hein ? » « Hmmm! Ouiiii ! » Parvient-elle à articuler.
Je regarde Eva :« Tu vas lécher le minou de ta sœur ! Tu sais toi-même à quel point c’est excitant ! Et ça va l’exciter encore plus si c’est toi qui le lui fais ! »« Oh ! Non ! Comment je peux faire ça ? » Gémit-elle.« Avec ta langue, voyons ! Ecoutes, je vais commencer à lui lécher la chatte et ensuite tu continues toute seule ! »
Eva est visiblement contrariée par cette demande … tandis que sa sœur semble n’attendre que ça.Jana se met debout, les jambes un peu écartées. Je me mets à genoux devant elle et commence à lui laper son abricot. Alors que je commence à titiller son clitoris et qu’elle connait un début d’excitation, je lance : « Eva, viens continuer ! »
Elle traîne un peu, toujours hésitante, pour ne pas dire honteuse, quand Jana qui sent l’excitation baisser, se rend compte que j’ai demandé à Eva de prendre la suite :« Hmmm ! Oui ! Viens ! Viens Eva ! Bob a une bonne idée… je…j’ai envie que tu le fasses ! Viens, chérie ! » Finit-elle-même par lâcher.
Estomaquée, presque anéantie par cette demande pressante, Eva se retrouve à genoux face à sa sœur ; devant son visage, le sexe vierge de tout poil de sa sœur avec ses lèvres un peu épaisses. La honte l’envahit, mais elle n’a aucune prise sur l’excitation de Jana.« S’il te plait, Eva chérie, fais-moi ce plaisir… oses le faire ! J’en ai envie ! »
 Ce langage… et puis ses deux mains déjà sur sa nuque. Jana est vraiment décidée. Alors Eva ferme les yeux et se force presque à lécher le sexe. C’est tiède, mouillé, à la fois légèrement âcre et sucré.« Oui ! Comme ça ! Mais vas plus vite ! » Le visage contre le bas-ventre de sa sœur, Eva entend les encouragements de sa sœur, de manière assourdie.
A un moment Eva sent qu’elle est en train de lécher une petite excroissance :« Oui ! Oui ! Ouiiiiii ! Vas- y !  C’est bon ! Ouiii ! » Jana devient toute excitée. Eva a même un peu peur, quand Jana, ne parvenant pas à se maîtriser, appuie sans ménagement le visage de sa sœur sur son sexe. Cette excitation devient communicative, et finit par gagner Eva. Les barrières tombent. La voilà qui  lèche avec ardeur le clitoris de sa sœur, tandis qu’elle sent son propre buisson d’amour s’imprégner de mouille.
« Oh ! Oui ! Oh oui ! Oh oui ! » Jana se sent flotter…. Cette langue qui fouille son minou, qui excite son clito. Une onde de plaisir lui vrille le bas-ventre. Sa bouche émet un cri rauque, un râle : elle jouit sans retenue, mouillant de sa cyprine le bas du visage d’Eva.
Eva s’écarte du bas ventre de sa sœur, et, levant la tête, ose lui adresser un sourire. Jana le lui rend, tout en l’aidant à se relever. A peine est-elle debout que Jana pose sa main droite sur le sexe d’Eva :« Humm ! Toi aussi ça t’a excitée, on dirait ! » Accompagné d’un sourire coquin, tandis que ses doigts passent sur les poils humides du minou d’Eva.
« Tu devrais lui rendre le plaisir qu’elle t’a donné… » Je suis assis sur le canapé et ma queue parvient encore à se redresser devant le spectacle que m’offre les deux sœurs.Une bouffée de honte monte au visage d’Eva en se souvenant d’avoir dit que c’était moi qui allait leur demander de faire des choses entre elles. Elle se rend compte qu’elle est en train de céder à ces plaisirs sulfureux, et qui plus est, encouragée par Jana !
La honte d’Eva reprend de plus belle, quand elle voit sa sœur s’agenouiller à son tour. Elle sent une langue mouillée et tiède passer sur son sexe. Mais ce diable de plaisir est le plus fort… surtout quand la pointe de la langue de Jana se met à titiller son clitoris… Presqu’instinctivement, Eva pousse le visage  de sa sœur contre son sexe, comme pour mieux sentir cette indescriptible excitation :« Oui…ouiii… ne t’arrêtes pas… encore….encore… »  Elle respire fort. Une onde de plaisir l’envahit. C’est que Jana s’est mise à lui lécher le minou avec la même ardeur qu’elle-même, auparavant !
Je regarde, fasciné. Les deux sœurs se font des choses que je n’aurais même pas osé espérer, si tôt, du moins ! Eva est en face de moi, mais elle ne me voit pas tant son excitation est grande.Puis des gémissements sortent de la bouche d’Eva, lents d’abord, puis de plus en plus saccadés. Puis elle émet une sorte de couinement, en lâchant un petit jet de cyprine sur le visage de Jana. Celle-ci n’a pu se dégager, Eva lui tenant son visage presque plaqué contre son sexe.
Jana se relève péniblement, offrant à sa sœur la vue de son visage mouillé de cyprine du nez jusqu’au menton. Cette dernière, devant le résultat palpable de son excitation, se met alors à lécher sa propre mouille sur le visage de Jana, qui la laisse faire.Je me lève. Ce qu’elles sont en train de faire m’excite tellement que je rebande. Je m’approche d’elles :« Vous êtes en train de devenir deux belles petites cochonnes ! Vous n’avez même plus honte de vous toucher ! »
Eva, ayant terminé le léchage de sa mouille s’écarte de Jana. Avec un mélange de honte et d’excitation, elle avoue :« Je ne sais pas ce qui m’a pris… Quand Jana s’est mise à me lécher le minou, j’étais tellement excitée que je ne savais plus ce que je faisais. Et, lorsqu’elle s’est relevée, la vue de ma mouille sur son visage…. J’ai voulu effacer cela par n’importe quel moyen, alors j’ai tout léché… et maintenant je vois que ça t’a excité… mon Dieu…comment se sortir de là ? »
Eva, qui semble naviguer entre deux eaux, remarque Jana qui s’amuse de voir ma bite qui s’est redressée. Du coup, elle ne peut s’empêcher de sourire en me disant :« Et maintenant qu’est- ce que tu vas nous demander de faire, hein ? »

A suivre …

 
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