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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 16

Les confessions torrides d'Eva

Divers
Je tire sur la fermeture éclair pour ouvrir l’entrée de la tente en grand. Les deux sœurs se mettent à quatre pattes pour entrer (la hauteur de la tente ne permet pas de se tenir debout). Elles m’offrent ainsi une magnifique vue sur leur joli creux des seins. Délicieuse entrée en matière !Puis elles s’assoient en tailleur sur le sol :
« C’est une meilleure idée de bavarder comme ça, n’est-ce pas, chéri ? Surtout que cette pauvre Jana a eu sa ration de sexe ! Elle a besoin de se reposer, non ? » Avec en prime son petit sourire coquin, Eva donne le ton. De son côté, Jana s’amuse des propos de sa sœur.
« Je crois que Mirek en pince pour moi … depuis qu’il a vu mes seins, il a l’air complètement fou ! Mais j’avoue avoir eu peur quand il m’a prise sur la table… j’étais terriblement excitée tout en craignant par-dessus tout qu’il lâche tout dans mon vagin… Bon, il a quand même fait ce qu’il fallait pour que ça n’arrive pas… Tu n’es pas jalouse ? » Ajoute Jana à l’adresse de sa sœur.
« Non, non, bien sûr que je ne suis pas jalouse ! Et puis j’ai Bob ! » Susurre Eva, en m’adressant un regard enamouré, sincère, mais quand même un peu surjoué.« De toute façon, Mirek, je le trouve un peu bizarre … bon, il baise bien, c’est sûr, mais il a parfois de ces fantasmes … En plus, comme une sotte, je me suis crue devoir les satisfaire … »
Eva se tourne vers moi : « Avec tout ce que tu m’as fait faire pendant le voyage à Prague, j’ai fini par trouver normal et même excitant de jouer les « aguicheuses », comme tu dis… Alors quand Mirek m’a proposé de jouer les aguicheuses (elle appuie sur le mot), je me suis dit que je pouvais essayer… Oh ! Je n’ai pas dit oui tout de suite ! » Me rassure-t-elle en voyant mon air surpris.« De toute façon, je me doutais bien de quelque chose … » dis-je ; doucement.« Lundi et hier, je t’ai vue, par hasard, sortir de ta tente, dans une tenue aguichante comme tu dis. La première fois je ne me suis pas préoccupé de la chose… mais hier, j’ai été intrigué par ta tenue, et je me suis dit que ce serait intéressant de savoir où tu allais et pour faire quoi ! »
« Ah bon ! Tu me surveilles, maintenant ? »- Eva a un sourire amusé- et tu qu’as-tu vu, mon chéri ? »
« D’abord, il me semble que tu ne devais pas avoir grand-chose sous ce maxi t-shirt ; je t’ai suivi jusqu’au bureau d’entrée. Là, je t’ai vu pénétrer par la porte de derrière. Je n’ai pas cherché à en savoir plus … J’ai pensé que tu venais pour Mirek, ou quelque chose de ce genre. Je me suis dit que je finirai bien par le savoir un jour ou l’autre ! Et bien le moment est venu, je crois ? Qu’as- tu fais pendant tout ce temps ? »
Eva semble un peu gênée, mais Jana vient à mon secours :« Oui, Eva ! Raconte ! Sans doute que cela va m’intéresser aussi ! »« Si vous y tenez ! » dit Eva en soupirant :
« Tout a commencé le premier jour où je suis allée me renseigner sur la présence de ce chalet. J’ai dit déjà à Bob, que, de me voir en maillot, avait excité la curiosité de Mirek, qui m’avait invité à voir comment était cette pièce du premier étage. Les choses avaient commencé à se corser quand il s’était laissé aller à me peloter les fesses, puis à me toucher les seins et le devant de la culotte. Je l’avais laissé faire, parce que je sentais que je pouvais tirer avantage de cette situation… » Eva hésite un moment à poursuivre :« Continue, voyons ! » fait Jana, que le récit de sa sœur commence vraiment à intéresser.
« Quand je suis redescendu avec lui au bureau, il m’a demandé, en douce, si je voulais bien accepter de jouer les visiteuses de charme. C’est ainsi qu’il l’a dit ! Son idée, c’est que je joue le rôle d’une campeuse anonyme, plutôt exhibitionniste, pour attirer du monde dans son bureau, et ainsi lui permettre d’améliorer ses ventes ! » (Il vendait aussi des souvenirs, des cartes postales, des timbres et des objets pour la plage). Eva poursuit :
« Je ne l’ai pas vraiment cru. Son bureau n’est jamais bondé et même quand j’y suis, surtout à l’heure où il me fait venir, il n’y a quasiment personne. Non, c’est plutôt un prétexte pour me mater, et même plus. Le reste, c’est des histoires ! »
« Et même plus… ? » Ajoutai-je, un brin excité, par ce genre de propos. Je vois les joues d’Eva s’empourprer. Elle reprend, cependant :« Quand tu m’as aperçue, en maillot, lundi, j’y allais pour la première fois. Quand je suis entrée dans le bureau, il était derrière son comptoir. Il m’a souri, et m’a remerciée d’être venue. Mais quand il a vu le maillot que je portais, il a fait la moue… il le trouvait trop couvrant à son goût. Il m’a demandé si je n’avais pas de bikini ! Sur ma réponse négative, il m’a suggéré de rouler la culotte sur les hanches et de retirer les bretelles du soutien-gorge. Je l’ai fait. Cela dévoilait bien mes fesses, mais je voyais bien qu’il n’était pas satisfait. Au bout d’un moment, il m’a dit que je pouvais partir. Il m’a demandé de revenir mardi, hier donc, uniquement vêtue d’un maxi t-shirt et rien d’autre, a-t-il ajouté. Comme j’ai essayé d’en savoir plus, il s’est contenté d’ajouter : « on verra ».
« Je suppose qu’il a dû être content de te voir revenir comme ça, le vicieux ! » s’exclame Jana.
« Tu penses bien ! En plus, j’ai pris le t-shirt le plus court ! Le seul truc gênant, c’était de me savoir nue dessous. Il m’a matée de la tête aux pieds, avant de m’inviter à m’assoir sur le banc réservé au public, en face du comptoir. J’ai bien tiré sur le t-shirt, juste pour ne pas exposer mon minou …mais je voyais bien qu’il dévorait mes cuisses du regard. Je trouvais ça finalement agréable … jusqu’à ce que quelqu’un, un type d’environ 60ans est entré, tenant un chien en laisse. Cela m’a secoué un peu… »« Ah bon ? À cause du chien ? Et pourquoi ? » Fait Jana, visiblement intriguée.
Eva me lance un regard, comme si elle cherchait un appui. A Jana, elle répond, embarrassée :« Je te dirais après ! » Puis elle reprend son récit :
« Le type s’est adressé à Mirek. Pendant qu’ils parlaient, ils jetaient des coups d’œil dans ma direction. J’avoue que j’ai eu la tentation de m’enfuir, mais en même temps l’idée de connaître une nouvelle expérience, me commandait de rester. Puis, Mirek est venu vers moi, et j’ai été très surprise de l’entendre me demander d’aller faire une promenade avec le monsieur et son chien !Le type avait l’air tout à fait ordinaire, mais j’ai quand même demandé si ma tenue était convenable … Tu parles si elle lui convenait ! J’étais encore assise et je voyais son manège : il matait mes cuisses et il aurait bien aimé que je les ouvre un peu, pour admirer mon minou sans doute ! J’ai aussi voulu savoir où on allait car je ne voulais pas risquer de me trouver face à mes parents… Le type a juste dit qu’on allait le long de la plage, pour promener son chien en même temps. On est donc sorti vers 14h50. J’ai indiqué que je devais rentrer à 16h. Il a eu l’air de dire que c’était bon ». Eva marque un temps d’arrêt avant de reprendre :
« Le temps était assez chaud, mais le gars était vêtu d’un pantalon et d’un blouson. À côté de lui j’avais la sensation d’être toute nue ! On a gagné le bord de la plage, puis on a remonté du côté droit, jusqu’à la barrière. J’ai voulu savoir s’il avait un but de promenade, car je savais pour y être venue, qu’on se trouvait dans une zone déserte. Il a simplement répondu qu’il aimait bien se promener au hasard comme ça avec des jolies filles, qu’il savait que j’étais Tchèque, et que les Tchèques étaient toutes des coquines… et donc, que je l’étais ! »
« Il t’a demandé des choses, bien sûr ! » Fait Jana, devenant excitée par la tournure du récit.
« On s’était déjà bien avancés dans cette zone, au bord de la plage ; la route longeant la mer, d’assez loin. Comme il tenait son chien en laisse de sa main droite, il a posé sa main gauche sur mes fesses, d’abord sur le t-shirt, puis, comme je le laissais faire, il a glissé sa main sous mon t-shirt et j’ai senti sa main chaude sur mes fesses :« Vous avez un joli cul, mademoiselle, et un joli cul, ça se montre ! Comme votre minou ! Tout à l’heure j’ai espéré le voir. Vous allez remonter votre t-shirt, et découvrir vos fesses et votre minou ! » …
« Il a dit ça sur un ton poli, mais ça ressemblait à un ordre. Je me suis sentie gênée, mais d’un autre côté, son compliment, même cru, me flattait. Prise au jeu de la séduction, j’ai donc remonté mon t-shirt jusqu’à dévoiler mes fesses et mon minou. Je sentais bien que ça l’excitait que je rentre dans son jeu … et que ça m’excitait aussi, malgré ma crainte d’être entraînée trop loin… »
Eva me regarde, avec un petit sourire, attendant ma réaction :« Quand il a eu longuement maté mes fesses et ma chatte, il a pris ma main droite et l’a plaqué sur la braguette de son pantalon » :« Maintenant, vous allez ouvrir la braguette, sortir ma queue, et me la sucer ! »
« J’ai dit qu’on était dehors, en plein air… Il a répondu aussi sec que c’était excitant de se faire sucer la bite, au bord de la mer, par une Tchèque coquine et toute nue ! J’ai accepté d’ouvrir sa braguette et de sortir sa queue … le cochon bandait dur, et sa bite était d’une bonne taille ! Il m’a fait mettre à genoux, mais les choses se sont gâtées un peu quand il a voulu que j’enlève mon t-shirt et que je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Ma réponse l’a énervé et il s’est penché pour essayer de me le retirer d’autorité. Comme j’ai eu peur qu’il le déchire, j’ai préféré l’enlever. Il l’a aussitôt saisi et jeté sur le sable.
« Alors, comme ça, chérie, tu préfères les grosses bites ? La mienne ne te suffit pas ? » Ma remarque amuse Jana. Quant à Eva, elle se contente de sourire, avant de continuer son récit.
« J’ai commencé à sucer sa queue. Je regardais souvent à droite et à gauche, de peur d’être vue comme ça en pleine action. Le type ne se souciait pas de ce genre de chose. Tout ce qu’il attendait c’est que je le fasse jouir. En plus, il essayait de faire entrer sa bite dans ma bouche, le plus profond possible. Et pour ça il s’aidait de ses deux mains, appuyées sur ma nuque ! Puis il s’est mis à me tutoyer ; il disait » :« Les Tchèques sont toutes des salopes ! Elles aiment la bite et toi, en plus, tu aimes les grosses bites ! Alors avale ma grosse bite ! Pompe-moi à fond ! »
« C’est là que je me suis rendu compte que pour bien tenir ma tête entre ses mains, il avait lâché la laisse du chien –un genre d’épagneul- et que celui-ci gambadait autour de nous ».« Te fais pas de souci pour lui ! Il ne va pas se sauver… et il est très gentil aussi, tu sais ! »« Il a dit ça sur un ton neutre. En plus j’étais réduite à l’écouter, sa bite dans ma bouche servant de bâillon, avec en prime, la sensation d’étouffer. »
Eva marque une hésitation. Jana la presse de continuer.« À un moment j’ai senti quelque chose de chaud dans mon dos. Je ne savais pas ce que c’était. Puis j’ai nettement senti qu’on me léchait le bas du dos … J’ai tout de suite pensé au chien. Je ne sais pas comment j’ai fait mais je suis parvenue à dégager ma bouche de sa bite, juste le temps de lui demander d’écarter son chien … ce n’était pas l’idée de faire des choses avec son chien, qui me paniquait, mais plutôt de devoir le faire à cet endroit.
« Pour toute réponse, il m’a dit que ça faisait partie du jeu et que le chien était aussi là pour ça ! Et il m’a remis sa bite dans ma bouche. Très vite j’ai senti que ce cochon dirigeait son chien, comme s’il l’avait dressé à ça ! Le chien a cessé de me lécher le bas du dos pour venir se glisser entre les jambes de son maître. C’est là que je l’ai senti me lécher les genoux, puis les cuisses, avant de fourrer sa truffe entre mes cuisses à hauteur de mon minou. J’ai essayé de garder les cuisses serrées, mais ce diable de chien essayait lui aussi de forcer le passage… c’est là que j’ai entendu le type » :« Écarte tes cuisses, petite salope ! Les Tchèques, elles adorent se faire brouter le minou par un chien. Elles adorent qu’il leur astique leur bouton d’amour avec leur langue ! Elles sont excitées comme des folles ! Et elles mouillent… »
« Le salaud ! Juste les mots qu’il fallait pour que je succombe ! Comme dans un flash, je me suis retrouvée face à Rex, et j’ai ouvert mes cuisses. Aussitôt j’ai senti cette langue agile, qui me léchait délicieusement le minou… »
« Qui est ce Rex ? Notre chien ? Un autre ? Qu’est-ce que tu as fait ? Qu’est- ce que vous avez fait ? C’était quand ? » Jana bombarde de questions. Elle commence à entrevoir la chose.
« Attends ! Je finis, veux-tu ? Pour Bob surtout qui aimerait bien savoir ce qui est arrivé à sa chérie ! » Elle m’adresse un sourire complice.« Je commençais à être sérieusement excitée par la langue du chien, quand le type, excité lui aussi à force de faire coulisser sa bite dans ma bouche, a eu envie de se vider les couilles :« Salope ! Je sais, parce qu’il me l’a dit que tu as réussi à éviter le foutre de Mirek ! Alors tu vas être gentille et tu vas avaler toute ma crème, toute ! »
« Et il a largué plusieurs jets, il devait se réserver depuis un moment. Ce porc m’a pincé le nez, et j’en ai bien reçu les deux tiers dans ma gorge. Le reste s’est écrasé autour de ma bouche, sur le nez et le menton. J’ai avalé comme j’ai pu … c’était visqueux. »Ensuite, il m’a fait allonger sur le sable, sur le dos, les jambes bien écartées. L’épagneul pouvait ainsi laper ma moule facilement. J’étais de plus en plus excitée, la langue du chien jouant avec mon clitoris, lequel devait être gros et dur. Ce cochon a vite vu que je prenais mon pied, car il me voyait soulever mon ventre pour mieux offrir ma chatte à la langue de l’épagneul » :
« Tu dois savoir que les Tchèques aiment aussi se faire baiser par leur chien. Ces putes sont capables d’exciter leurs toutous pour qu’ils puissent leur rentrer leur pine dans leur con ou dans leur cul et leur larguer leur jus canin ! »
« Là, j’ai essayé de le raisonner, lui disant que l’endroit était mal choisi… Rien à faire, il était obnubilé par ça. Il m’a fait assoir sur le sable, les jambes ouvertes. Le chien me lapait encore la moule. Il m’a poussé à passer ma main droite sous le ventre de son chien. J’étais à la fois honteuse et excitée, tout se mélangeait dans ma tête. J’ai fini par dégager la pine du chien de son fourreau. Il a arrêté de me lécher et il a commencé à haleter, la gueule entrouverte. Morte de honte et excitée tout à la fois, je masturbais son chien »
« Maintenant, tu vas aussi sucer son zob ! Les Tchèques, elles aiment sucer des zobs, n’importe quels zobs : d’hommes, de chiens, d’ânes, de cheval…. Alors tu vas sucer le zob de mon chien ! »« Il ressassait ça tout le temps : pour lui, Tchèques, ça signifiait : salopes, putains, chiennes, excitées du cul, zoophiles, et j’en oublie ! » Eva soupire. Elle n’en a pas encore fini avec ce récit, qui l’a marquée, c’est certain.
« Il a carrément mis son chien sur le dos et l’a placé en travers de mes cuisses. Je voyais son sexe relativement fin mais dressé vers moi. Je n’avais qu’à pencher ma tête pour…« Tout d’un coup, il m’a demandé mon prénom, ce qu’il avait négligé jusque -là. J’ai répondu « Eva ». Et j’ai pris en pleine figure » :
« Eva, penche-toi et dis à mon chien: « j’adore que tu me lèches le con… maintenant je vais te sucer la pine et pour finir tu vas me faire jouir en me ramonant le con et le cul avec ton zob ! »« Il cherchait à m’humilier. Non seulement il voulait que je suce et que je me fasse sauter par son chien, mais auparavant je devais faire lui faire cette déclaration d’amour bestiale ! »« Il a insisté lourdement… tu te rends compte, Bob ? J’ai dû répéter mot pour mot, à haute voix, toute la phrase. Chaque fois que je me trompais, car j’étais troublée, il me faisait recommencer. C’est difficile à admettre, mais de dire de tels mots, si crus, ça me choquait et m’émoustillait en même temps. »
« Quand je suis parvenue à dire à son chien : « j’adore que tu me lèches le con… maintenant je vais te sucer la pine et pour finir tu vas me faire jouir en me ramonant le con et le cul avec ton zob ! », j’ai penché la tête et ma bouche a happé la pine du chien…. Je la suçais, les yeux fermés. Cela devait lui plaire car il émettait une sorte de gémissement. Puis on est passé à la suite. Ce vicelard m’a fait mettre à quatre pattes. J’ai frémi quand j’ai senti les pattes du chien sur mes hanches… »
« Eva, tu veux d’abord son zob dans ton trou du cul ou dans ton con ? Dis-le clairement ! Une vraie salope tchèque ose dire dans lequel de ses deux trous elle veut le zob de mon chien ! »« Je voulais en finir, alors j’en ai rajouté : « Je veux le zob de ton chien dans mon con, mon con baveux de pute tchèque ! »
« Il a paru ravi : j’ai vite senti la pine dure de son chien s’enfoncer dans mon con. Puis il a commencé à s’activer comme un dératé. J’étais devenu sa femelle. Puis j’ai vite senti de puissants jets remplir mon con. Nous sommes restés un bon moment collés l’un à l’autre. Puis le chien est redescendu, avant de se mettre à laper autour de l’orifice vaginal. J’ai honte de dire que j’ai adoré ce léchage. Me laisser baiser par son chien, pour découvrir que c’était aussi excitant, qu’avec un mec ! Et peut-être même plus… » Ajoute- t-elle pour elle-même.
« Quand je me suis remise debout, des filets de sperme du chien se sont mis à dégouliner sur mes cuisses. Le vicelard a aussitôt dit que ça l’excitait de voir ça… se masturbant tout en matant mon cul … puis il a recommencé à distiller ses crudités sur les Tchèques : toutes des salopes, des putes, des suceuses de bites, des bouffeuses de foutre… il a même rajouté un chapitre sur le lesbianisme supposé des filles Tchèques qui aimeraient se faire bouffer le con par leur copine, leur sœur, leur cousine… On a atteint des sommets…. »
« Je me suis dit que ça devait s’arrêter là, vu qu’il avait eu ce qu’il désirait et même plus. Alors je suis entrée dans l’eau pour me baigner quelques minutes, puis je me suis séchée comme ça, à l’air. J’ai voulu récupérer mon t-shirt, mais ce cochon lubrique trouvait que j’étais très bien à poil ! Heureusement, durant ce temps, nous n’avons vu absolument personne ! »
« J’ai demandé l’heure… 15h50 !qu’il a dit. Il a fini par admettre que c’était le moment de rentrer et m’a rendu mon t-shirt. Le chien à nouveau en laisse, on est donc revenu au bureau. Il est entré et je l’ai suivi. Mirek s’y trouvait et ils ont parlé ensemble un moment. Ensuite Mirek est venu me voir pour dire que tout était parfait et que je pouvais rentrer. Avant que je sorte du bureau, il m’a quand même soufflé que je pouvais revenir chaque jour jusqu’au samedi, « habillée comme ça ». Et il a laissé entendre, sans le dire, que si ma sœur voulait venir à ma place, il n’y aurait aucun problème ! Et la séance s’est terminée comme ça ! »« Voilà, vous savez tout ! » nous lance- t-elle avec un petit sourire.
« Alors, c’est quoi cette histoire de Rex ? » Demande Jana, avec insistance.
« Je lui dis tout ? » Eva m’interroge du regard. Et comme je sais que si ça vient d’elle, Jana acceptera la chose plus facilement :« Vas- y, autant qu’elle l’apprenne de toi ! » Eva se lance :
« Vendredi après-midi, le 14 juillet donc, quand on est rentré de Prague, je suis allé au jardin, m’installer sur la balançoire. C’est là que Rex est venu me faire des fêtes. Bob était en train de faire du rangement dans sa chambre. Quand il est venu me voir au jardin, il m’a vue, assise, laissant Rex me lécher les genoux. Je n’avais comme vêtements qu’une culotte et le vieux t-shirt blanc. Quand Rex, a essayé, ce qu’il fait quand il en a l’occasion, de glisser son museau entre mes cuisses, j’ai voulu l’en empêcher … mais avec Rex, quand il pousse, ça n’est pas évident. Alors, pour me sortir de là, je me suis mise debout. Et c’est là, qu’à ma grande honte, Bob a vu une belle auréole sur le devant de ma culotte… »
« Tu veux dire que ce faisait Rex t’avais excitée ? » coupe, Jana, incrédule.
« Eh bien oui – admet Eva- et ce petit coquin de Bob, n’a rien trouvé de mieux que de me proposer une expérience assez spéciale. Il me disait que si l’attitude de Rex me troublait à ce point, c’est que je devais être attirée par ça… enfin tu vois ce que je veux dire. »
Jana semble effarée. « Tu veux dire que tu as fait des choses avec Rex ? »« Pas si loin qu’avec le chien d’hier. Mais Bob m’a entraînée au garage, et là j’ai enlevé ma culotte pour que Rex me lèche le sexe. Au début, j’avais un mélange de honte et de crainte. Mais je dois t’avouer que l’expérience était très excitante … et que j’ai adoré me faire lécher le minou ! Tu devrais essayer … » laisse-t-elle même échapper.
« Alors ça… ! C’est Bob qui voudrait que j’essaie, plutôt, non ? » Jana s’en amuse, semblant plus réceptive.
Eva reprend : « Tu sais, dans ce cas on serait deux, toi et moi. Bob dit que ça ferait une nouvelle expérience ».
« Et bien ! Si j’avais pensé à ça ! Nous deux avec Rex, et à la maison en plus … Il faudrait trouver un moment où les parents seraient absents ». On sent Jana peu à peu gagnée à cette expérience.
« On en reparlera au retour ! Et bien sûr le faire quand Bob est encore là ! » Dit Eva en me souriant.« Bien, bien ! On verra donc quand vous rentrerez ! » Conclue Jana, songeuse.
Jana qui reprend très vite : « Eva, quand tu dis que Mirek t’a laissé entendre que je pouvais venir à ta place au bureau… tu peux m’expliquer ? »
« Tu sais, avec ce que j’ai expérimenté hier, je suis presque sûre que les choses se passent comme ça : quand j’arrive au bureau, Mirek me fait assoir. Il doit avoir quelques numéros de téléphone, de gens connus et intéressés, par « une compagnie agréable, et plus, bien sûr ». Il les appelle et le premier qui accepte, il vient, et si ça marche, c’est parti ! »
« Et lundi, alors ? Il semble que ce soit ton maillot … » objectai-je.« Simplement Mirek n’a trouvé personne, ou il savait qu’il ne trouverait personne… un bon prétexte ! Si j’étais arrivée toute nue, il aurait trouvé une autre solution, et à son avantage ! » Elle rit.
« Donc, tu penses que je peux aller à ta place, c’est bien ça ? » insiste Jana.« Oui, c’est sûr ! Tu es intéressée ? » S’enflamme Eva.
« Pas si vite ! Ton truc ça ressemble à un jeu de hasard ! Tu es tombée avec un type, genre obsédé et zoophile, mais bon, ça c’est plutôt bien passé. Comment savoir sur qui je vais tomber ? A moins que Mirek connaisse bien ses clients … Et ces mecs, ils ne paient pas ? » Jana veut tout savoir.
« Bon …. Je n’ai pas été assez précise. En fait, Mirek a fondé une sorte de club échangiste qui ne fonctionne que l’été. Au hasard des rencontres de vacances, il recherche des filles ou des femmes, plutôt sexy, et qui pratiquent ce genre de chose, et, apparemment, il en trouve, pour les mettre en relation avec des personnes qu’il connait bien. Donc c’est gratuit. Son argument c’est de dire qu’elles se paient… en prenant leur pied ! Et aussi qu’elles peuvent avoir des expériences sexuelles inoubliables ! Je suppose aussi qu’il doit se faire raconter, dans le détail, le déroulement de ces séances ! Mais tout se fait de manière informelle. Tu ne sais pas avec qui ou chez qui tu vas et la personne qui t’invite ne te connais pas avant, et plus après. J’ai été claire ? »
« Oui, oui ! Et je dois être sexy pour qu’il me propose ça ». Jana semble réfléchir un moment, puis sourit :« Je ne te garantis rien … mais sans doute que samedi… je tenterai… Et toi tu vas rester sagement ici, à te reposer, n’est-ce-pas, Eva ? »
« Oh oui ! Entre hier et aujourd’hui, j’ai fait le plein pour la semaine ! répond Eva, visiblement détendue.« Et toi, mon chéri, ça va ? Je t’ai bien fait bander avec mes récits ?» dit Eva voulant conclure par une note coquine.Elle pose sa main droite sur mon slip :
« Il bande dur, mon chéri ! » dit-elle à sa sœur la prenant à témoin. Puis elle tire sur le devant du slip et ma queue s’échappe par-dessus, toute raide.« Jana ! Regarde comment il bande ! » Et elle commence doucement à me masturber. Jana nous regarde faire, mais elle objecte, quand même : « On risque de tâcher nos vêtements … sans compter l’odeur si on jouit… et on passe à table dans un moment.
« Et bien on va retirer nos vêtement et les mettre à l’abri… pour le reste je sais que Bob a du papier toilette et du déodorant, pour faire propre ! » lance Eva, véritablement libérée.Jana hésite un peu mais suit le mouvement et nous nous retrouvons nus, tous les trois à genoux. Je mate la belle paire de seins laiteux de Jana.
« Tu aimes mes seins … mes nichons, comme tu dis parfois, n’est- ce pas ? dit-elle en me regardant dans les yeux.
« Hmm ! Ils m’excitent beaucoup ! … Et ceux d’Eva aussi ! Ma chérie a des beaux nichons aussi ! Vous ne devez plus porter de soutien-gorge pendant que je suis avec vous…. Vous êtes d’accord ? À votre âge ça tient tout seul ! »
Eva s’en amuse : « Tu devrais savoir que j’ai dû passer la moitié des vacances sans soutien-gorge, parce que j’aime te faire plaisir ! Et tu devrais te souvenir que j’ai passé une journée entière à Prague, sans soutien-gorge …et sans culotte ! »
« Tu as fait ça pour lui ? Tu dois être amoureuse à la folie ! » Plaisante Jana.
Je les regarde :" ça m’exciterait beaucoup de vous voir vous fouiller vos chattes avec vos doigts mutuellement. Les doigts d’Eva dans le con de Jana et vice versa ! "Il ne faut pas longtemps pour que, toujours à genoux, elles se mettent face à face, genoux contre genoux, la main droite de l’une se glissant entre les cuisses de l’autre.
Assez vite arrivent les premiers gémissements. Surtout qu’Eva a délibérément mis trois doigts dans la chatte de sa sœur, faisant des aller -retour rapides. On entend le frottement des doigts dans leur chatte humide d’abord, puis dégoulinante ensuite. Les gémissements enflent. Maintenant c’est Jana qui met quatre doigts dans le minou de sa sœur et qui ramone avec frénésie, cherchant à la faire jouir. Quant à moi je me régale avec leurs nichons à toutes les deux. Je suis sur le côté, et d’une main j’excite un téton de Jana et de l’autre un téton d’Eva. Leurs fesses m’attirent aussi et je ne me prive pas de les peloter avec gourmandise. Puis Eva, ramonée presque sauvagement par les doigts de Jana, finit par jouir en gloussant. Sa cyprine coule sur les doigts de Jana et sur le tapis de sol de la tente. Enfin, Eva parvient à faire jouir sa sœur, qui mouille sa main d’un jet de cyprine.
« Je vous adore, toutes les deux ! » dis-je en leur tendant un rouleau de papier toilette. Elles se nettoient du mieux qu’elles peuvent, effacent les tâches sur le tapis, utilisent mon spray déodorant, pour en vaporiser leur sexe. Puis elles se rhabillent. Je fais de même. Puis après avoir aéré la tente, nous sortons. L’heure du dîner approche.

À suivre …
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