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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà

Chapitre 20

A nous deux, la Roumanie ! (2)

Erotique
« Nous ne pouvons pas en être sûrs ... mais il est quand même peu probable que nous ayons été vus ! » Dis-je, cherchant à la rassurer.« De toute façon, il est trop tard maintenant ! Nous verrons bien s’il y aura une suite... » Répond-t-elle, fataliste, avant d’ajouter :« Il est déjà 12h30 passé ! On devrait se préparer ! Tu imagines Daniela nous trouvant comme ça ? » Elle esquisse un petit sourire.Nous nous nettoyons comme nous pouvons, en utilisant l’eau disponible, une serviette, un déodorant. Eva remet sa robe orange, enfile une culotte, mais néglige de mettre un soutien-gorge, n’en ayant pas mis jusque- là.Quand Daniela toque discrètement à la porte, peu après 13h, nous sommes prêts depuis une dizaine de minutes. Nous nous retrouvons dans la salle à manger de la maison pour le déjeuner en compagnie des parents. Puis après avoir bavardé un moment ensemble, Daniela nous suggère d’aller nous reposer un peu à cause de la chaleur, devant elle-même s’absenter pour quelques affaires. Elle pense être de retour vers 17h.Nous retournons donc à notre chalet. Dès que nous sommes entrés, Eva se dirige vers la fenêtre :« Cette fois, je ferme et je tire les rideaux ! »Au moment où elle s’apprête à le faire, elle remarque un tout jeune homme adossé à l’arbre, situé à quelques mètres de la fenêtre, et regardant dans sa direction.« Bob, approche ! Je ne connais pas ce jeune homme mais je suis prête à parier qu’ils nous a vus tout à l’heure ! Sinon pourquoi regarderait-il comme ça ? »Celui-ci ne semble, en tout cas, pas gêné d’être vu, puis qu’il reste là, immobile. Puis au bout de deux minutes, le père de Daniela apparait pour l’inviter à entrer dans la maison. Il est donc connu de la famille. Dans le même temps, Eva en profite pour fermer la fenêtre et tirer le rideau. Puis elle retire sa robe et s’allonge sur le lit, uniquement vêtue d’une culotte. Je me mets aussi à l’aise, mais cependant nous restons sages, ayant déjà suffisamment œuvré peu de temps auparavant !« Il est donc connu ici, mais qui peut-il être ? Un ami de Daniela ? Un voisin ? » S’interroge Eva, qui ajoute cependant :« En tout cas, durant le peu de temps où je l’ai vu, il me regardait comme s’il voulait attirer mon attention. Je pense qu’on ne va pas tarder à le revoir ! » Elle semble pensive.Vers 17h, nous nous rhabillons et quelques minutes plus tard, Daniela se présente :« Bien, me voilà revenue ! Venez donc, mes parents ont préparé quelques rafraîchissements. Avec cette chaleur, ça sera bienvenu. Et je vous présenterai quelqu’un aussi ! »Nous la suivons. Dans la salle à manger sont présents les parents, et un jeune homme qu’Eva reconnait immédiatement : c’est celui qui l’observait !« Voilà - dit Daniela- je vous présente Radu ! C’est à la fois un ami et un voisin puisqu’il habite la maison à côté. Il vient de temps en temps ici. Il aura bientôt 19 ans et il est apprenti mécanicien ».
Ce Radu est plutôt grand, il doit dépasser 1,80m et assez mince. Même s’il n’en donne pas l’impression, son regard se pose sur les jambes d’Eva, sa minirobe orange les dévoilant très largement. Si bien que lorsque nous nous asseyons à table, il s’arrange pour se placer entre Daniela et Eva, cette dernière se trouvant à sa gauche. Daniela étant toujours en short et débardeur. Bien sûr, le fait de s’être assise a fait remonter un peu plus sa mini. Et Radu, mate ses jolies cuisses un peu rondes, chaque fois qu’il le peut. Je me rends compte qu’Eva a repéré son manège, quand celle-ci, croise ses jambes, découvrant du même coup un peu plus ses cuisses. Tout cela pendant que la conversation, animée, se poursuit !Et tout cela dure jusque vers 20h. Radu prend congé de nous. Et bien qu’il tente de le dissimuler, on devine qu’Eva l’attire. Peu de temps après, nous nous mettons à table, avant de passer un moment devant la télé. Ses parents s’étant retirés, Daniela nous offre de prendre une douche avant le coucher, ce que nous acceptons. Nous ayant montré le fonctionnement de la douche, elle se retire, nous souhaitant une bonne nuit. Il est presque 23h.Auparavant nous allons chercher nos affaires au chalet. Comme nous sommes maintenant seuls, nous décidons de prendre la douche ensemble. Une fois enfermés dans la salle de bains nous nous précipitons sous la douche :« Hummm ! On commençait à en avoir besoin, n’est-ce pas, mon chéri ? » Soupire Eva quand l’eau tiède coule sur son corps.« Je vais te savonner tout le corps ! Tu veux bien, chérie ? » Lui dis-je en admirant ses jolies courbes.« Allez ! Fais- toi plaisir ! » Eva sourit en me tendant l’éponge savonneuse que je passe avec application sur chaque parcelle de son corps, insistant aux endroits sensibles que sont ses seins, son sexe et ses fesses.« Hum ! Coquin ! C’est sûr que je suis propre, maintenant ! Je suppose que tu veux que je te savonne aussi ? » J’acquiesce en lui tendant l’éponge qu’elle passe sur mon corps avec la même application. Ma queue déjà dressée devient raide quand, quasiment, elle me branle en la massant à coups d’éponge !« Maintenant c’est toi la coquine, n’est-ce pas ? » Lui dis-je en lui souriant. Puis nous nous rinçons. Après quoi, une fois en vêtements de nuit, nous regagnons le chalet.
Une fois porte et fenêtre fermées, Eva a tôt fait de retirer sa chemise de nuit, se retrouvant nue.« Il fait un peu chaud, c’est plus agréable comme ça ! » Dit-elle en me regardant.« Tu es divine ! » Et à mon tour je me retrouve nu. Nous nous allongeons sur le lit. Tournée vers moi, elle babille :« Tu as vu, ce Radu ? C’est peut-être l’ami de Daniela, mais je dois lui faire de l’effet, non ? Tu as bien dû te rendre compte la façon dont il dévorait mes cuisses du regard ! C’est pour cela que j’ai croisé mes jambes à plusieurs reprises. Juste pour lui montrer que j’appréciais l’intérêt qu’il me portait ! En tout cas Daniela ne lui a fait aucune remarque, il me semble. Peut-être qu’elle n’a rien vu ... ou que Radu est plus son voisin que son ami... Qu’en penses-tu, mon chéri ? »« J’ai bien remarqué qu’il avait souvent le regard baissé, et qu’en plus ta chaise était un peu plus éloignée de la table que les autres. Tu désirais qu’il en prenne « plein la vue » comme on dit ! Si je te comprends bien, tu me suggères de te laisser aller plus loin avec lui ? C’est ça ? »« Tu sais que d’autres ont déjà bandé, et même plus, pour moi ... et ce Radu est beaucoup plus jeune ... » Elle laisse sa phrase en suspens.« Pour toi ce serait une nouvelle expérience, n’est-ce pas ? Cela serait excitant, en effet. Mais il faut aller doucement, car j’ignore ce que serait la réaction de Daniela. Le mieux serait que l’on décide ensemble de ce que tu feras au fur et à mesure. Tu es d’accord, chérie ? »« Cela me convient. C’est préférable de décider à deux, en effet ! Tu te rends compte de ce que j’ose faire, maintenant ? Et dire que c’est toi qui m’as poussé à ça ! » Elle se mord les lèvres, tandis que sa main droite se pose sur ma queue à nouveau raide :« Hum ! Je vois que ça t’excite d’imaginer ce que je vais pouvoir faire ! »Elle me caresse le sexe, et se met à me masturber, en le saisissant à pleine main :« Tu es insatiable, Bob ! Tu veux que je te fasse jouir ? En attendant, sais-tu ce que j’ai l’impression d’être : une « sex-bomb !» ... une bombe sexuelle, quoi ! Bon, je sais aussi que ma façon de m’habiller y est pour quelque chose. Ma mère me dit même que je ne devrais pas choisir des robes ou des jupes si courtes. Mais j’avoue que j’aime bien montrer mes jambes ... et toi, en plus, tu m’incites à ne porter aucun sous – vêtements ... quand ce n’est pas de me montrer nue à d’autres ! »Eva interrompt la masturbation :« Ca te plait, n’est-ce pas, ces confidences ? Tu te dis que ta chère Eva devient peu à peu, cette petite cochonne que tu imagines dans tes fantasmes ! »« Hum ! Bien sûr que ça me plait ! Et tu es tellement bandante !» lui dis-je avec fougue, en passant ma main gauche sur ses seins. Puis, sans prévenir, elle se lève, et revient avec un préservatif, qu’elle m’aide à enfiler. Puis elle me suce avec ardeur, tout en faisant entrer un maximum de ma bite dans sa bouche. C’est si excitant que je jouis très vite. « Tu as aimé, chéri ? J’ai bien vu que tu en avais envie ! Mais pour ce soir, cela suffira ! Nous verrons demain pour la suite ! »Et, après m’être nettoyé, je regagne le lit. Puis, elle éteint la lumière.
Vendredi 5 août, 7h30. On frappe discrètement à la porte. Nous ne sommes pas surpris car nous sommes réveillés depuis bien 20 minutes. Une fois le drap rabattu sur nos corps nus, et un « entrez ! » tout aussi discret, la porte s’ouvre laissant apparaitre Daniela :« Je ne vous dérange pas, j’espère ? » Elle est là, devant nous, en tenue très légère, un maxi t-shirt. Elle tient deux serviettes dans ses mains :« Hier, j’ai oublié de vous fournir les serviettes de toilette. C’est dommage que vous ayez dû utiliser les vôtres ! Je viens réparer cet oubli ! »On la remercie. On s’attend à ce qu’elle se retire, alors qu’elle reste là, debout, comme si elle attendait quelque chose. Eva m’adresse un regard interrogateur. J’y réponds en invitant Daniela à s’assoir au pied du lit. Elle semble soulagée.« Excusez- moi mais je voulais aussi vous dire quelque chose pour hier soir ... C’est à cause de Radu... pour qu’il n’y ait pas de confusion. Je l’ai présenté comme un ami et c’est bien ce qu’il est, juste un ami. Même si, lui, dirait volontiers que je suis son amie ! En plus, je ne suis pas sotte et j’ai bien repéré son manège, quand il est venu s’assoir entre Eva et moi. »« J’ai bien vu qu’il regardait tes jambes –dit-elle en s’adressant à Eva- mais je peux te dire que je ne te ferai pas une scène pour ça ! C’est vrai que tu as des jolies jambes et comme je vois que tu les montres facilement... qu’il les regarde si ça lui plait ! » Elle esquisse un sourire.« Toi aussi tu as de jolies jambes ! » lui répond Eva ... et tu les montres assez bien aussi ! »« Tu le penses vraiment ? Ou alors, je dois admettre que Radu préfère les filles un peu potelées comme toi... Mais de cela je m’en moque ! » ajoute-t-elle avec un petit sourire amusé.Pour converser plus facilement, Eva s’est redressée, à demi assise sur le lit. Par mégarde, elle a laissé le drap glisser sur son corps, la faisant apparaitre dénudée jusqu’au nombril. Alors qu’elle s’apprête à se recouvrir, je vois le regard de Daniela s’illuminer :« Tu as vraiment de beaux seins ! » dit-elle, admirative, tandis que je persuade Eva de rester ainsi.« Tu trouves ? » Eva parait troublée par ce compliment féminin. « Bien sûr qu’ils sont beaux ! Assez gros, pas trop non plus ... et tout le reste de ton corps doit être bien joli aussi ! »« Tu veux la voir toute nue ? » lançai-je à Daniela, tout en recherchant une approbation dans le regard d’Eva.« Je ... je n’ai pas demandé cela ! » murmure Daniela, confuse.Eva reste à demi-découverte, semblant attendre la suite. Et comme il est visible que Daniela ne peut s’empêcher d’admirer Eva, cette dernière, d’elle- même, repousse le drap, dévoilant intégralement son corps nu ... et du même coup le mien ! Mon sexe se dresse. Je sens Daniela prête à s’éclipser devant la tournure que prennent les évènements !« Reste ici, voyons ! Tu es chez toi, n’est-ce pas ? » Le ton est gentiment ironique, mais tout est dit.« Toi aussi tu dois être jolie, toute nue ! » cette fois-ci, le compliment vient d’Eva. Et je me dis que cette coquine commence à prendre goût à ce genre de situation.« Tu ne dois pas avoir grand-chose sous ce t-shirt... » Dis-je, doucement. Daniela a les joues en feu. Elle est à la fois, terriblement gênée de se trouver dans ce genre de situation, et en même temps tout aussi attirée.« Heu non... Que ça... » Elle montre son t-shirt.« Enlève-le, voyons ! » Et alors que, comme dans un rêve, je vois Daniela retirer son t-shirt, je me tourne vers Eva et de ma main gauche, je lui titille sa vulve.Daniela, toujours assise au pied du lit, est maintenant toute nue. Un peu plus fine qu’Eva, une jolie peau mate que le soleil brunit facilement, des seins moyens mais bien tenus, et une jolie touffe de poils noirs frisés au pubis.« Approche-toi donc ! » Elle se lève, et je la fais assoir sur le bord du lit à côté d’Eva, celle-ci étant allongée sur le dos, les jambes écartées, tandis que je lui fourre la vulve avec trois doigts. Elle commence à haleter.« Tu peux les lui toucher, puisque tu les trouves si beaux ! » dis-je, la voyant regarder les seins d’Eva avec une sorte d’envie.Elle a honte quand sa main droite effleure un sein ... mais c’est si attirant qu’elle finit par poser une main sur chaque sein pour les caresser avec volupté. Eva se met à gémir doucement. Alors, oubliant toute retenue, Daniela se penche sur elle, et lui suce les tétons.« Ouiii ! Comme ça ! Vas- y ! C’est bien ! » Je ne trouve pas de mot pour encourager Daniela à exciter Eva.Eva a les tétons qui durcissent et prennent du volume sous les caresses buccales de Daniela.« Allonge-toi sur elle ! » la peau laiteuse d’Eva, la peau brune de Daniela... cela me fascine... les voir se mélanger...« Non... non... ! » murmure Daniela, déjà honteuse d’avoir franchi le pas, et redoutant d’aller plus loin.Je dois quand même la pousser un peu, mais il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’elle se retrouve, à plat ventre sur le corps d’Eva. Daniela a honte. En plus j’ai tellement fourragé la vulve d’Eva que celle-ci dégouline de mouille, et que cette mouille adhère aux poils de la chatte de Daniela.« Tu as un beau cul, Daniela ! » Dis- je. Et, sans attendre, je prends les mains d’Eva pour les poser sur ses globes fessiers. Quant à Eva, elle a l’air d’éprouver un véritable plaisir à palper, à masser, les fesses de Daniela !« Maintenant, embrasse Eva sur la bouche ! Fais-lui une bonne langue fourrée ! Elle adore ça ! »Comme Daniela hésite, ou ne sait comment s’y prendre, c’est Eva qui prend l’initiative, en passant sa langue entre les lèvres de Daniela, lui fourrageant la bouche, jusqu’à ce qu’elle y prenne goût et lui rende la pareille !Quant à moi, je me branle tout en les dirigeant et en les regardant faire ! Jusqu’à ce que Daniela se redresse, un peu affolée :« Quelle heure est-il ? Il ne faudrait pas que... j’étais venue juste pour un instant... »« 8h10, si tu veux savoir ! » lui dis-je alors qu’elle est toujours allongée sur Eva.« Je dois y aller ! Mes parents sont déjà levés et ils doivent m’attendre pour le petit déjeuner... et vous aussi d’ailleurs ! » Elle se lève précipitamment.Elle enfile son t-shirt et avant de sortir, nous lance : « Soyez prêts à venir dans 10 minutes ! »
Nous nous levons à notre tour et nous nous habillons. Eva enfile sa minirobe orange et la boutonne, négligeant de mettre culotte et soutien-gorge. Elle se contente d’essuyer sa vulve avec un mouchoir en papier. Puis nous prenons nos affaires de toilette et nous nous rendons à la maison. Quand nous entrons, les parents viennent de terminer leur petit-déjeuner. Nous les saluons, tandis que Daniela s’affaire à la cuisine. Puis, à notre tour, nous prenons notre petit-déjeuner, tous les trois, dans un silence relatif, entrecoupé de quelques banalités.Puis nous allons faire notre toilette. Alors que nous sortons de la salle de bain, Daniela nous propose d’aller faire un tour en ville, dans un moment. Nous acquiesçons avant de retourner dans notre chambre.« Eh bien ! Je n’imaginais pas que ça prendrait un tour pareil ! Que Daniela se laisse aller à agir comme elle l’a fait ! » Soupire Eva.« Faut dire que tu l’as bien aidée ! Cette façon de laisser glisser le drap pour qu’elle voie ta poitrine... Je ne sais pas si c’était voulu de ta part ou une simple inattention ! »Eva se contente de sourire ... avant de parler de tout autre chose :« Je vais changer de robe ; la petite robe verte et celle-ci, orange, il faudra les laver. J’en parlerai à Daniela. Je vais donc mettre la bleue... elle est presque aussi courte que la verte, mais avec une culotte, en ville, se sera bon, n’est-ce pas ? Quant au soutien-gorge... j’ai l’impression que je devrais m’en passer jusqu’au retour à la maison ! Je ne me trompe pas, chéri ? » Dit-elle avec un sourire coquin. Il est un peu plus de 10h quand Daniela vient nous voir. Elle est simplement vêtue d’une minijupe en toile bleue et d’un débardeur jaune. Les tétons sont visibles, tout comme ceux d’Eva sous sa minirobe bleue. En regardant sa mini, Daniela ne peut que constater qu’elle est plus sage que celle d’Eva.« Nous allons en voiture ? Le centre est bien à deux km d’ici, et je dois ramener quelque chose ! » Propose Daniela.« Pas de problème ! Allons-y en voiture, donc ! » Une fois parvenus au centre, nous nous garons sur un parking. Le centre- ville est de taille modeste et peu animé. Nous nous promenons dans la rue principale, puis nous visitons un petit parc, avant de nous arrêter dans un café. Nous nous installons sur la terrasse couverte. Les quelques quidams présents en profitent pour lutiner les jambes de mes amies, surtout celles d’Eva, si généreusement dévoilées ! Une demi-heure plus tard, Daniela nous entraîne dans un magasin pour y acheter un produit qu’elle ne trouvera pas, se rabattant à défaut sur un autre. Il est midi quand Daniela nous propose de passer par le garage d’Etat ou travaille Radu. Nous le retrouvons au moment où il sort de dessous une voiture, la combinaison de travail déjà bien noircie. Il est visiblement ravi de la présence d’Eva, qui s’amuse de sentir son regard se poser sur ses cuisses. De son côté, Daniela esquisse un petit sourire. Une conversation s’engage. Comme c’est la fin de la semaine, Radu propose que nous passions la journée de samedi, sur la plage aménagée sur les bords de l’Olt, la grande rivière qui traverse la ville. En précisant qu’un restaurant se trouve à proximité et que nous pourrons ainsi déjeuner sur place. Après quoi, nous le laissons à son travail pour rentrer à la maison. Après le déjeuner, nous nous reposons dans la chambre, laissant Daniela vaquer à ses occupations. Vers 16h, elle vient nous rendre visite, pour nous signaler qu’elle va devoir s’absenter un bon moment, jusque vers 20h, mais sans en donner la raison. Elle nous assure cependant que ses parents sont bien là. Quant à nous, nous sommes libres de faire ce que nous voulons : promenade, repos, ou autre... Au bout d’un bon moment, la chaleur commençant à baisser, je suggère à Eva de faire une petite promenade dans le quartier, où nous avons l’impression d’être à la campagne. « Nous ne marchons pas beaucoup, ici ! Autant faire une promenade puisque l’occasion se présente ! » Dis-je.Eva acquiesce. Elle enfile sa petite robe bleue et nous voilà partis ! Nous passons devant la maison de Radu, sans rien remarquer. Plus loin se trouve un magasin d’alimentation que nous dépassons pour parvenir jusqu’au bord de la rivière. Arrivés là, nous préférons faire demi-tour, histoire de ne pas nous égarer. Et, alors que nous revenons vers le magasin, nous apercevons Radu, qui s’apprête à y entrer :« Alors, vous vous promenez ? Sinon, ça vous dirait de passer un moment chez moi ? Je vous ferai visiter les lieux, en même temps ! Mes parents sont absents, nous serons entre nous ! »Après un instant de réflexion, et ayant consulté Eva du regard, je donne mon accord. Il faut dire que Radu n’a d’yeux que pour Eva au point qu’elle en est même un peu gênée !« Parfait ! Je m’apprêtais à faire quelques courses ... je prendrais donc quelque chose pour que mon accueil soit parfait ! Entrez donc avec moi ! »Nous nous retrouvons tous les trois dans le magasin. Radu achète une bouteille d’un vin mousseux local, et quelques gâteaux, en plus de ses courses. Puis nous retournons chez lui. Après une rapide visite des lieux, il nous prie de nous installer dans la cour derrière la maison, où sont disposées une table et des chaises, en plastique blanc. Nous nous asseyons, tandis que Radu apporte des verres :« J’ai mis le vin au frais ! En attendant voici du cola ! » Il nous sert, avant de s’assoir à la droite d’Eva, très détendue. Moi-même étant à sa gauche, elle se trouve entre nous deux. Evidemment, le regard de Radu s’attarde souvent sur les cuisses d’Eva, largement dénudées, est-il besoin de le rappeler ! Sans compter que, jouant de son charme, elle ne se prive pas de croiser et décroiser ses jambes. D’autant plus que, ai-je oublié de préciser, elle est sortie sans mettre de culotte... A croire qu’elle avait l’intuition de cette rencontre !Au bout d’un moment, Radu s’enquiert de notre disponibilité :« Vous pouvez rester ici longtemps ? »« Jusque vers 20h, puisque c’est à cette heure-là que doit revenir Daniela... » Dis-je.« Parfait, ça nous fait deux bonnes heures... » Il dit cela en laissant, une fois de plus, traîner son regard sur les cuisses d’Eva. Encore un quart d’heure de conversation banale, et Radu se lève :« Je vais chercher le mousseux et les pâtisseries ! Tout doit être assez frais maintenant ! Et puis j’ai un peu faim aussi ! »Pendant son absence, je suggère à Eva de déboutonner partiellement sa robe, histoire de tester Radu. Elle se décide pour le bouton du haut, qui laisse apparaitre le creux de ses seins, et celui du bas, qui laisse deviner son entrejambes. Quand Radu réapparait, avec la bouteille et la boite de gâteaux, il a un petit mouvement de surprise. Mais il se reprend et ouvre la bouteille, pour remplir les trois verres :« Bien ! Nous allons boire à notre santé à tous, alors ! » Nous le voyons vider son verre d’un trait, comme s’il cherchait à se donner du courage ... et ça ne rate pas :« Vous avez quelque chose sous votre robe ? » Ose- t-il demander à Eva.« Je n’ai rien du tout dessous, si vous voulez tout savoir ! Je ne porte que cette robe et mes sandales, rien de plus ! » Elle a répondu sans hésiter avec un petit sourire en prime. Ce sourire est pour lui un encouragement. Il s’enhardit :« Vous pourriez enlever votre ... robe ? Vous devez être bien jolie, toute nue ! »Eva se tourne vers moi. Elle sait bien qu’elle va le faire, mais il y a ce pacte où la décision doit être commune. Puis elle se lève, achève de déboutonner sa minirobe, avant de la retirer et de la poser sur la table. Après quoi, elle se rassoit. Radu est devenu rouge, mais il regarde ce corps un peu potelé avec un léger hâle... ces seins laiteux avec des tétons assez gros et ce sexe un peu poilu bien visible, Eva gardant ostensiblement les cuisses ouvertes.« Vous êtes très jolie ! Vraiment très... jolie ! » Radu en balbutie, tellement il est ému.« Je te plais, on dirait ? » lui lance alors Eva, se mettant à le tutoyer.« Et je t’excite aussi, n’est-ce pas ? » Cette fois elle s’est tournée vers lui et sa main gauche se pose sur sa braguette.
A suivre...
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