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Les fantasmes d'Isabelle

Chapitre 17

Avec plusieurs hommes
Je constatais que la Jaguar avait quitté sa place et que quelqu’un l’avait mise sur un parking derrière une haie de lauriers. -On commence par où demandais-je à Allen. J’aimerais que l’on aille aux écuries tu veux bien. -Ouiii madame. –Appelle-moi Isa ! -Ouiii madame Isa ! -Tu as quel âge Allen ? Il y a longtemps que tu travailles ici ? -J’ai bientôt 17 ans, je suis né au village là-bas, je travaille ici depuis que ma mère est morte il y a 4 ans ! - Il y a beaucoup de personnel au château ? - On est 9 en tout dont 3 femmes de ménage et 1 intendante ! -Il est magnifique ce château ! -Ouiii Je suivis Allen, je m’amusais à regarder ses jambes frêles et son immense short. Nous arrivâmes devant un grand bâtiment principal qui était certainement réservé aux boxes à chevaux. L’odeur de paille et de fumier m’envahit dès que je franchis la porte principale. Je fus surprise de la propreté de cette écurie, dans les boxes, les chevaux magnifiques se mirent à me regarder. J’étais émerveillée. Je m’approchais d’une barrière et me mis à caresser le museau d’un magnifique Alezan. -Il s’appelle Janus…dit une voix venant du fond à droite. Je tendis la tête pour voir qui m’apportait cette précision. Dans la pénombre je vis un homme de dos en train de nettoyer la litière d’un cheval. Je m’approchais de lui, suivi par Allen qui en profitait pour verser quelques seaux d’avoine dans les boxes. A la hauteur de la barrière, je vis un magnifique cheval tout noir, que l’homme brossait à présent. Il devait avoir la quarantaine, le béret sur la tête, le visage buriné du lad. -Comment s’appelle- t-il ? demandais-je en caressant la tête du pur sang ! - Bel Horizon ! -Il est beau…c’est un pur sang ? -Un vrai de vrai…vous êtes les amis de Sir Richard ? - Oui on vient d’arriver. Vous êtes le responsable de cette écurie ? -le Palefrenier…Oui je m’appelle Jo…Jonathan pour les non intimes ! - moi c’est Isa ! - Je sais Lord Richard m’a parlé de vous : -Ah, En bien, bien sûr ! -Bien entendu ! -J’aimerais bien entrer le caresser…je peux ? -Soulevez le loquet et tirez le vers vous… J’entrais quelque peu impressionnée de me trouver à côté d’un magnifique pur sang arabe. Il pencha sa tête vers moi tout en mâchouillant quelques brins de paille. Je tendis la main vers Jo qui continuait à brosser le torse du cheval. -Ne soyez pas surpris ce beau mâle est toujours très sensible quand il voit une femme me dit-il en me montrant le ventre du cheval. En effet son sexe énorme s’étirait laissant apparaître un gland impressionnant et rose. -Je lui fais cet effet ! -Vous comprenez petite madame pourquoi les femmes fantasment sur les chevaux ? J’étais comme tétanisée par ce sexe qui s’érigeait devant moi. Je sentais mon ventre se crisper et une chaleur m’envahir le visage. –Baissez-vous vous verrez mieux. J’appuyais mes deux mains sur le flanc du pur sang et me baissais. - Vous savez qu’il y a des femmes qui font l’amour avec des chevaux ? -Non je ne crois pas ! L’homme sentait mon émotion et comprit mon excitation à la vue de ce mandrin qui sortait du ventre de Bel Horizon. Une envie folle de saisir dans ma main ce sexe me traversa l’esprit. -Vous pouvez le caresser si vous le souhaitez…je vous garanti qu’il aime cela ! Je me retins de tendre la main…c’est alors que je sentis l’homme me prendre ma main et la guider vers le sexe tendu d’où je pouvais voir s’écouler un liquide. Le cheval esquiva un pas sur le côté comme s’il comprenait ce qui allait se passer. Ma main était minuscule dans la large main du palefrenier. -Non c’est idiot ! je ne peux pas ! -Allez vous en avez envie et personne ne le saura… Quelle femme n’a pas rêvé caresser le sexe d’un cheval...Laissez-vous faire ! Je sentis sa main se poser sur mon épaule et j’abandonnais ma main à l’homme qui la posa sur le membre impressionnant du cheval. Au contact je sentis que je me liquéfiais littéralement, mon sexe devenait eau, ma respiration se saccada…C’était impressionnant. Alors que j’enserrai à moitié ma main sur le sexe du cheval, je sentis la main du palefrenier descendre dans mon dos et se poser sur ma hanche. Je ne pouvais plus réagir, comme sur une autre planète, ma main glissa jusque vers le gland du cheval. La pression de la main de l’homme sur ma hanche se fit plus marquée. Je sentais dans mon cou son souffle chaud. Je ne résistais pas lorsqu’il s’attaqua à la fermeture de mon jean. Quasiment baissée une main sur le flanc dont je sentais sous mes doigts les veines gonflées du pur sang, l’autre caressant sur toute la longueur l’énorme verge noire, je sentis que l’homme baissait à présent mon jean sur mes jambes, libérant à ses yeux mes fesses blanches et menues. J’étais dans une phase d’excitation totale, avec une envie indescriptible de me faireprendre là, comme cela par cet homme que je ne connaissais pas. Jo s’accroupit derrière moi afin de baisser mon jean sur mes chevilles. Il posa ses deux énormes mains calleuses sur mes fesses, les prenant ensuite. Je mouillais comme une fontaine, enivrée par cette odeur de foin, de transpiration des chevaux, par ce sexe dont je sentais les palpitations sous ma main. L’homme prit les rebords de ma petite culotte en coton que je portais souvent avant mes règles, puis doucement il fit descendre celle-ci dénudant à ses yeux mes fesses et mon sexe luisant de désir. -Tu es vraiment belle, j’aime les femmes au sexe rasé. Puis sans attendre je sentis qu’il écartait mes fesses, mettant à sa vue, mon petit trou et les premiers abords de ma vulve. Sa langue se posa sur mon anus, le léchant, l’embrassant. J’aimais qu’un homme me lèche ainsi. Je ne pus retenir un premier orgasme, je l’avais senti me crisper le ventre dans des pulsions terribles, il me coupa en deux au moment où sa langue descendit vers ma petite chatte à la recherche de mon petit clito tout tendu. Jessey aimait mon sexe parce qu’il ressemblait à celui d’une adolescente, mes lèvres sont comme des pétales de fleur. J’aime me les regarder souvent dans une glace, surtout lorsque je m’épile ; la langue du palefrenier fouillait à présent mon sexe, suçant toute la cyprine qui s’en écoulait abondamment.J’aime qu’un homme m’honore de cette façon -Tu mouilles super bien, pour un petit cul comme le tien… A cet instant présent alors que ma main s’était crispée sur le sexe du cheval, j’avais envie d’une pénétration…mon sexe était littéralement en feu, la situation présente m’avait excitée au plus haut point. L’homme après m’avoir sucée une nouvelle fois se releva. J’entendis le cliquetis de son ceinturon qu’il dégrafait, puis le zip de sa braguette. J’allais être prise comme cela, par cet inconnu. J’avais envie de remonter ma culotte et me sauver, mais il fallait que l’on éteigne le feu allumé dans mon ventre. Je sentis se présenter entre mes fesses, un sexe que j’estimais impressionnant aussi. Son gland butait contre mon périnée détrempé…Je lâchais le sexe du cheval pour glisser ma main entre mes jambes emprisonnées par mon jean et ma culotte abaissées à mes chevilles. Si je ne le guidais pas il allait me déchirer. Son souffle court et saccadé résonnait dans le box. Je saisis son membre hors norme et le présentait à l’entrée de ma vulve. Puis des deux mains à présent j’écartais mes deux joues de fesse afin de favoriser sa pénétration. Il me remplit totalement me pénétrant lentement. Malgré que mon vagin soit abondamment lubrifié par mon excitation, je le sentais comme un bâton s’enfoncer jusqu’au fond de moi. Je poussais un cri lorsqu’il butta contre le fond de mon vagin distendu. Il mit ses deux mains calleuses sur mes hanches et je sentis ses bourses gonflées contre mon sexe. Il était à présent entièrement enfoncé en moi. J’aimais. J’aimais cette prise de mon sexe. J’avais envie qu’il ressente combien j’avais à présent envie de jouir d’exploser sur ce membre planté de façon indécente en moi. Puis il se mit à me pilonner. Je sentais très distinctement son gland frotter contre la paroi excitée de mon vagin. Alors qu’il me secouait littéralement dans cette saillie, je pouvais apercevoir entre mes longs cheveux retournés devant mon visage, l’énorme sexe du cheval en érection. L’image intermittente, du sexe à ma vue, et des poussées extraordinaires de l’homme déclenchèrent un nouvel orgasme, terrible dont je ne pus retenir un cri aigu. L’homme me besognait, frappant son ventre contre mes fesses, je sentais entre mes jambes battre ses bourses pendantes…j’avais envie de le sentir exploser en moi…il accéléra le rythme me faisant comprendre qu’il était au bord d’une jouissance spectaculaire. Mes fesses menues étaient défoncées par ce membre que je sentais prendre des proportions incroyables. Puis il me plaqua en poussant un cri rauque contre son ventre enfonçant au plus profond de mes entrailles, je sentis un soubresaut et il éjacula au fond de mon vagin avec une puissance que j’avais peu connue chez un homme. Il n’arrêta pas de me combler de son sperme qui tapissait avec une infinie douceur mon sexe enflammé. J’éclatais dans un nouvel orgasme qui me coupa le souffle. Les deux mains appuyées sur le flanc frissonnant du pur sang lui-même excité par cette saillie sous ses yeux, je dégustais cette explosion. C’était un pied incroyable que je venais de prendre alors que j’étais loin d’imaginer que cette situation particulière pouvait arriver. Je sentis le palefrenier se retirer de moi. Je me redressais et je sentis son sperme couler en longues dégoulinades de mon sexe et s’écraser sur ma petite culotte. Je mis ma main sous mon sexe afin de retenir le liquide qui à présent était de plus en plus abondant. Je lui demandais s’il n’avait pas un mouchoir avec lui afin que je puisse m’essuyer les fesses. Il me tendit alors qu’il avait déjà rajusté son pantalon de velours, un morceau de papier toilette. J’essuyais ce que je pouvais. L’odeur du sperme remontait jusqu’à mes narines. Je fis comme une couche avec un grand morceau de papier et je replaçais ma culotte. A cet instant j’entendis comme un ahanement venir de la porte du boxe et levant les yeux médusés je vis Allen, le sexe à la main, l’agitant dans une branlette me fixant de ses yeux exorbités. L’homme et moi nous avions oublié la présence d’Allen à nos côtés…Il se branlait de plus en plus vite dégageant parfois un jeune sexe d’une grandeur très moyenne…Allen avait regardé notre saillie et voulait s’apaiser. Avant de refermer mon Jean, je l’entrouvris en le regardant, puis j’abaissais ma culotte blanche dévoilant mon pubis où seuls quelques poils blonds l’ornaient. Il me fixait avec frénésie, agitant sa main .Je savais que cela allait l’exciter et le faire jouir…ce qui arriva, je vis un jet blanchâtre exploser de son gland et atterrir devant lui sur la paille. Il expulsait en trois jets une dose que j’estimais impressionnante de sperme. Lui aussi avait droit de prendre son pied. Je m’approchais de lui alors qu’il remettait son sexe dans son short. - Promets-moi Allen que tu ne diras à personne ce que tu as vu…promis -Ouiii madame. Je me retournais vers l’homme qui avait repris son brossage de Bel Horizon. -Je compte également sur votre discrétion Jp ? -Vous pouvez compter sur moi et vous pouvez revenir quand vous voulez ! -Peut être : Je demandais à Allen de me faire à présent visiter le parc. L’odeur du sperme qui se séchait dans ma culotte pouvait trahir mon faux pas. Il fallait que je puisse rejoindre ma chambre sans que Richard ou Jessey me croise. Allen me fit comprendre qu’il y avait une entrée latérale qui menait au premier. -Tu as déjà vu des gens faire l’amour comme cela Allen ? -Non Madame, mais vous êtes vraiment très belle -Tu te caresses souvent comme tu l’as fait devant moi ? -Quand je suis seul dans ma chambre -Tu as de quoi à présent meubler tes fantasmes… -j’aimerais bien vous revoir faire l’amour comme ça ! -peut être…mais à présent montre-moi le parc s’il te plait. Suite dans LES FANTASMES D’ISABELLE N°11 ________________________________________Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l’afficher sur un site autre
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