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Les fantasmes de la mère au foyer

Chapitre 3

Rêves et réalité

Avec plusieurs hommes
Ce matin là, Sandra était déçue. La veille au soir, elle avait réussi à coucher les enfants tôt et avait mitonné à Gaétan, son mari, un bon petit plat comme il les aime tant. En plus du bain bien chaud qu’elle avait prit soin de lui faire couler, elle avait sorti ses plus beaux dessous, à savoir une guêpière noire en dentelle sous une petite robe légère. Il était pourtant plus qu’évident que ces attentions avaient pour but de le détendre mais étrangement, il restait sur les nerfs, ruminant sans cesse contre son collègue et patron, à qui il n’osait pas demander d’augmentations. 
Elle dût attendre que les douze coups sonnent avant de pouvoir enfin chevaucher son homme, qui lui quitta la partie plus vite que prévu, trop rapidement pour qu’elle puisse apprécier. Malgré tous ses efforts, elle ne parvînt pas à ranimer la flamme de sa triste allumette. Quant à la sienne, à peine une étincelle, juste une minuscule braise grondait en secret, attendant le souffle qui saurait l’attiser. 
Sandra en vînt à préférer ses fantasmes, ces moments où elle rêvait, totalement coupée du monde mais ivre de sensations. Elle tenta de noyer sa déception dans les tâches qu’elle avait à faire, mais elle s’éteignait à petit feu. Ses tentatives pour retrouver cet état de transe furent vaines. Elle n’avait pas vraiment d’occasions propices à ce genre de désirs.
Pourtant le mercredi, alors qu’elle emmenait son plus grand fils au judo pendant que les autres étaient à la danse, son regard fût attiré par un homme tout à fait séduisant qui lui sourit chaleureusement. Elle ressentit le même trouble que les dernières fois, un mélange de gêne et de fierté. Leurs routes se croisèrent à l’entrée du dojo où ce dernier, en gentleman, lui tînt la porte. Il lui effleura la main, faisant augmenter son rythme cardiaque et elle rejoignit sa voiture avec une lenteur suffisante pour le laisser admirer sa silhouette s’éloigner. 
Assise au volant, elle ferma les yeux et attendit le moment où l’homme viendrait frapper à la vitre ou même ouvrirait la portière pour s’emparer de ses lèvres. Elle attendit encore de longues secondes. Secondes qui devînrent minutes et bientôt, son espoir s’évanouit. Pas de nouveaux rêves cette fois… Pourtant, les conditions semblaient être réunies. 
Cette histoire la dévorait bien plus qu’elle ne l’imaginait. Elle commençait à ressentir les effets du manque, ces sensations qu’elle ne trouvait nulle part. Même seule elle ne parvenait plus à soulager ses envies. Films porno, histoires érotiques, jouets vibrants, tout y était passé, mais rien ne fonctionnait. Que pouvait-elle faire pour faire taire ce feu en elle, ce feu que son mari ne semblait plus vouloir entretenir ? Avait-elle un problème ou pire une maladie ? 
Sandra avait pris rendez-vous chez le docteur pour faire un bilan complet, chose qu’elle n’avait plus fait depuis des lustres. Elle se retrouva donc chez son médecin de famille, le docteur Frêne, un homme d’une soixantaine d’années à la chevelure grise et au regard clair et rassurant. Elle n’osa pas parler de ses rêves et se contenta d’évoquer quelques malaises, mais Olivier Frêne n’était pas dupe et savait pertinemment que sa patiente lui cachait ses symptômes à sa voix chevrotante et sa façon de jouer avec ses doigts. 
Il lui demanda d’aller s’installer sur la table d’auscultation, ce qu’elle fit après s’être débarrassé de son imper. Elle déboutonna sa chemise, le rouge lui montant aux joues. Se montrer ainsi devant des inconnus la mettait toujours aussi mal à l’aise et quand le docteur s’approcha pour écouter son cœur, elle tenta de ralentir les battements qui commençaient à s’emballer. Elle se dit que c’était le moment idéal pour un de ces accès de transe. Enfin elle allait ressentir quelque chose. 
Elle se laissa ausculter, répondit à ses questions, frémit lorsqu’elle sentit son souffle proche du sien. Mais rien. Encore. Sandra sentit le désespoir s’emparer d’elle. L’air consterné qu’elle afficha sur son visage alerta le médecin qui décida de l’envoyer chez un confrère psychiatre. 
Encore une solution vaine à ses problèmes...Il lui fallait du soutien. Peut-être pourrait-elle essayer de parler à son mari ? Ces fantasmes étaient sans doute la conséquence du peu de relations charnelles qu’ils entretenaient. 
Sandra se décida enfin à parler le vendredi, jour où les enfants, fatigués de leur semaine chargée, s’endormaient tôt . Elle attendit le retour de Gaétan, qui comme d’habitude, faisait un crochet par le bar avant de rentrer manger en tête à tête avec elle. Elle était prête à tout lui dire, lui parler de ses besoins, ses envies et même ses rêves étranges. 
Cependant, elle fût assez contrariée de le voir arriver avec son fameux collègue, Jérôme, celui qui possédait le garage dans lequel il travaillait. Encore un repas improvisé ! Sans parler des brûlantes confessions qu’elle avait prévu… Autant les jeter aux oubliettes. Avec un grand sourire, Sandra accueilli l’indésirable invité, fulminant intérieurement contre son mari et ses idées. 
Le repas s’éternisa, les conversations allant bon train et finalement, arrivés au café, Sandra ne fût plus aussi déçue de la venue cet invité. Jérôme était un homme charmant. La quarantaine tout juste, ce dernier en plus d’être sympathique et avenant, avait des atouts physiques très intéressants. Sandra ne pouvait s’empêcher de lorgner ses grandes mains calleuses et elle frissona en les imaginant autour de son cou. Elle ne manqua pas de percevoir les coups d’œil qu’il lui lançait en toute discrétion et se prit même au jeu en se penchant plus que de raisonnable à chaque occasion, afin de lui dévoiler un peu de sa poitrine. 

Gaétan était déjà bien éméché, il enchaînait les blagues douteuses. Sandra, gênée par son comportement mais aussi par la chaleur qui grandissait entre ses cuisses, se réfugia dans la cuisine afin de se changer les idées. Elle se pencha au dessus de l’évier, ferma les yeux et inspira un grand coup.
Soudain, des grandes mains enserrèrent ses hanches et la plaquèrent contre le meuble. Jérôme se colla à elle et elle sentit entre ses globes la dureté de son désir. Cela suffit à déclencher en elle une vague de chaleur, qui prit naissance entre ses cuisses pour l’envahir brusquement. Avec elle, les douces décharges de plaisir quand ce dernier souffla sur sa nuque et lui mordit le cou. Elle se laissa totalement aller, pire même, elle écarta un peu plus les jambes pour lui permettre l’accès. L’homme ne se fit pas prier pour en profiter, après tout, la situation était urgente. Ils devaient aller vite s’ils ne voulaient pas être surpris. 
Jérôme glissa ses doigts dans les replis humides et grogna dans sa crinière blonde en s’apercevant qu’elle était déjà toute prête. D’un geste, il dégagea le vêtement qui les séparait puis sortit son sexe, impatient de se mettre au chaud. Il prit juste le temps d’enfiler une protection avant de s’imiscer lentement en elle. Lentement mais de toute sa longueur et il ne s’arrêta que lorsque son aine vînt empêcher sa progression. Sandra, si heureuse d’être enfin comblée, se vit lui chuchoter cette phrase qui lui fit honte dès qu’elle l’eût prononcée :
-Défonce-moi bien fort, ne te retiens pas.-Alors là, prepare toi ma grande, t’as intérêt de pas crier…Ça te va comme ça ? 
Il ponctua sa phrase d’un vigoureux coup de rein qui la propulsa contre l’évier avec violence. Il dût la maintenir par les cheveux pour qu’elle reste en place pendant qu’il la laminait de plus en plus fort tandis que son autre main la bâillonna pour camoufler ses gémissements. Se sentir aussi remplie rendait Sandra tellement ivre de plaisir, qu’elle ne se souciait même plus de son mari qui les attendait juste à côté. Seule cette verge qui investissait sa grotte avec vigueur comptait à cet instant.  
D’un coup un peu trop leste, Jérôme vît son membre glisser hors de son fourreau et lorsqu’il poussa pour entrer, la résistance qu’il rencontra le fit tressaillir. Une sodomie n’était pas dans ses projets, mais il ne put résister à la tentation et fit entrer prudemment son gland. Sandra se recula pour s’empaler entièrement d’un seul coup sur ce chibre timidement rentré, ce qui déclencha chez Jérôme une furieuse envie de jouir. Il ne se retînt plus du tout et, alors que les spasmes de l’orgasme l’envahirent, il se démena en de puissants assauts pour combler les attentes de cette délicieuse femme en manque. Sandra elle aussi se laissa emporter par la jouissance, savourant jusqu’aux derniers instants les décharges de plaisir qui l’innondèrent. 
C’est seulement une fois le contact rompu que Sandra réalisa la situation. Envahie par la culpabilité, elle ferma les yeux, incapable de décider si elle préférait que cela soit un rêve ou non. 
— Chérie qu’est-ce que tu fais ? fit la voix de son mari derrière son dos
Sandra rouvrit les yeux brusquement, revenant sur terre avec fracas. Encore une fois elle avait rêvé et heureusement pour elle, son mari ne sembla pas comprendre ce qu’il venait de se passer dans sa tête. 
— Rien, juste un petit étourdissement, se défendit-elle. Ton collègue est parti ?— Pas encore…— Tu m’excuseras auprès de lui, je vais aller me coucher, je ne me sens pas très bien. — D’accord, répond-il simplement l’air déçu 
Sandra ne put s’endormir de suite, elle se tourna et se retourna dans le lit jusqu’à ce que son mari vienne enfin se coucher. Elle fit semblant de dormir cette fois, n’ayant aucune envie de rester encore sur sa fin. Décidément il fallait qu’elle lui parle, elle n’en pouvait plus de subir ces rêves éveillés ! 

Cette nuit fût si peu revigorante qu’elle dût boire plusieurs café avant de pouvoir enfin se mettre à sa journée. Le programme était tout tracé, une fois les enfants menés à l’école, elle avait réussi à se trouver du temps pour s’installer tranquillement sur sa terrasse avec un bon livre en main. 
Vers les coups de neuf heures, son calme fût troublé par des voix masculines s’élevant par delà la clôture de son voisin. Elle jeta un œil dans leur direction et aperçu deux hommes à la haute stature, occupés à installer une nouvelle terrasse chez son voisin. Au début, elle n’y fit guère attention, mais lorsque les hommes, accablés par la chaleur, se trouvèrent torses nus, son livre devint tout de suite moins attrayant. Alors qu’elle les dévorait des yeux, elle ne prit pas garde à sa main qui descendait dangereusement vers son entrejambe, ni même à sa robe en voile jaune et bleue, qui remontait bien plus haut que la pudeur l’exige. Heureusement qu’ils étaient accaparés par leur travail, sinon ils auraient pu admirer cette belle blonde lascivement étendue sur sa chaise longue, la main plongée entre ses cuisses. 
Sandra en profita pour aller plus loin dans son exploration, imaginant dans sa tête des scénarii avec comme acteurs principaux, les deux beaux mâles ici présents. Elle ferma alors les yeux sentant monter un de ses désormais habituel accès de transe. Elle ne les ouvrit même pas lorsqu’elle entendit leurs voix s’approcher.
-Arnaud Matte un peu la nana là bas ! — Putain quel spectacle ! J’irais bien lui donner un petit coup de main… Viens Nico, on se rapproche.
Comme elle continua ses caresses intimes sans s’incommoder de leurs réflexions, ils se permirent de sauter la clôture, et restèrent à quelques enjambées, se contentant de sortir leurs verges pour se masturber. Sandra avait tellement chaud... Elle hurlait intérieurement à ces hommes d’avancer, de la prendre sur le champ, de faire d’elle une poupée. Elle écarta un peu plus les cuisses, leur dévoilant entièrement son triangle. Ce fut trop pour le plus grand des ouvriers. Il se pencha vers elle et s’agenouilla pour la goûter. 
Elle ouvrit subitement les yeux en sentant cette douce chair la déguster et ravie de son initiative elle fit signe à l’autre d’approcher. Il ne se fit pas prier et présenta sa verge devant la bouche de Sandra qui n’hésita pas un instant. Envolée la sage femme au foyer, la voilà offerte à deux inconnus, jouant des jeux de langues incongrus . Leurs gestes furent maladroits, ils la manipulèrent avec précaution, certains que le moindre écart la ferait fuir. 
Le premier, Arnaud, lècha avec délice les replis de sa vulve, insérant timidement quelques doigts dans sa grotte. L’autre se contenta d’observer la belle blonde qui s’activait de plus en plus vite sur son sexe tendu, rêvant d’empoigner sa crinière pour lui donner le rythme qu’il désirait. Arnaud, encouragé par ses gémissements, glissa un doigt vers son oeillet et la fit sursauter quand il y entra, ajoutant un autre doigt dès que la première phalange fût passée. 
Sandra fût tellement excitée par ce traitement qu’elle se laissa complètement aller, ralentissant ses succions par la même occasion. Nicolas céda à ses pulsions et saisit la chevelure de Sandra, qu’il noua autour de son poing avant d’enfoncer sa verge au plus profond de sa gorge. Il tenta de la maintenir le plus longtemps possible le nez contre sa toison pubienne. Sandra cracha, toussa, manqua de s’étouffer et enfin, il la libéra en poussant un grondement de satisfaction.
-Putain quelle bouche ! Tu devrais l’essayer Arnaud. On échange  ?— Vas-y. 
Nicolas ne relâcha pas tout de suite sa crinière, il s’en servit pour la tirer sur le sol et la mettre à quatre pattes.
— Voilà, comme ça on pourra bien te bourrer… C’est ça que tu voulais ?— Oui… Allez y baisez-moi, faites de moi ce que vous voulez...— Deux belles queues pour toi toute seule, tu vas être servie salope ! 
Arnaud changea de place et vînt directement fourrer son chibre dans la bouche avide de Sandra. Nicolas quant à lui, se couvrit d’une capote avant de s’insérer dans sa chatte frémissante. Alors qu’il la besognait avec ardeur, les cris de plaisir de Sandra étaient si forts qu’ils ne furent même pas atténués par le sexe qui emplissait sa bouche. Elle adorait ça, bien plus qu’elle ne l’imaginait. Mais elle se vit réclamer plus.
-Prends moi par le cul.— T’entends ça Arnaud ? Elle me demande de lui mettre dans le cul. — Tu crois que tu as été sage salope ? Continue de me pomper comme ça, c’est bien… Tu penses que tu mérites sa queue ?-Oui...arriva-t-elle à dire, la bouche encore pleine— Tu oublieras pas que c’est toi qui a demandé quand je démonterai ton petit cul tout à l’heure. Vas-y Nico, défoule toi.— Vos désirs sont des ordres, dit-il en postant son sexe sur son anus
Sandra écarquilla les yeux et poussa un long cri quand son assaillant vînt se planter avec virulence dans ses tréfonds. Elle n’eût pas le temps de s’habituer à ce sexe qui l’emplissait que déjà, ce dernier ressortait pour revenir brutalement, la propulsant contre le pubis de l’autre homme. Nicolas lui empoigna les hanches et la martela avec fougue, tandis que Arnaud lui maintenait le visage et lui baisait la bouche. 
Ce traitement dura de longues minutes et ne s’arrêta que lorsqu’ils décidèrent de changer de place. Sandra en profita pour reprendre son souffle, ses jambes tremblaient encore . Mais ce repos ne fut que de courte durée car bien vite, ce fût au tour d’Arnaud de la sodomiser bestialement tandis que Nicolas profitait de ses lèvres. 
Jamais encore elle n’avait éprouvé autant de plaisir qu’à cet instant, ces sensations étaient si éloignées de ce qu’elle connaissait. Son mari ne l’avait jamais autant comblée, leurs rares ébats étaient si brefs et si peu intenses…Elle se moquait complètement de savoir si elle rêvait ou non. Ce moment était le sien et elle allait en profiter jusqu’au bout.
Bientôt, la bouche de Sandra ne suffit plus à Nicolas et ce dernier s’installa sur le sol et lui commanda de venir s’asseoir sur sa verge. Dès qu’elle se fût empalée, Arnaud revînt se placer dans son fourreau, bien plus étroit cette fois. Sandra se mordit les lèvres si fort quand elle sentit cette verge la transpercer, la remplir encore plus que l’autre fois, qu’elle sentit un goût métallique dans sa bouche. Les deux hommes soupiraient tandis qu’ils coulissaient en elle avec difficultés. Ses orifices trop serrés n’avaient pas l’habitude d’un tel traitement. 
Cette étroitesse sonna le glas pour les deux hommes qui virent leur orgasmes pointer à l’horizon. Nicolas ne se retînt pas et explosa, remplissant la capote de sa semence. Arnaud accéléra le rythme et poussé par une soudaine frénésie, il lui assèna de violents coups de reins. Sandra se sentit partir, de violents spasmes la parcoururent et elle se laissa submerger par cette intense volupté. Elle ne vit pas Arnaud, qui sortit de son cul, arracha le préservatif et fourra son sexe dans la bouche béante de cette belle femme en plein extase. Surprise, elle dût avaler les abondantes giclées qui se déversèrent dans sa gorge et se régala de ce divin nectar. 
Les vapeurs de l’orgasme s’envolèrent et Sandra put enfin revenir sur terre. Car évidemment tout ceci était encore un rêve et cette fois elle le savait. Elle se trouvait encore allongée sur sa chaise longue, la main entre les cuisses, trempée et fatiguée. Ce qu’elle ne savait pas, et elle le découvrit très vite dès qu’elle ouvrit les yeux, c’est que son voisin se tenait derrière sa fenêtre, le visage rougi, apparemment spectateur de son petit moment de débauche en solitaire. Et ça, par contre, c’était bien la réalité.
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