J’ai trente-trois ans et je suis mariée et mère de deux ravissants enfants. Nous sommes abonnés à Lettres Magazine, sa lecture nous passionne, mais jusqu’à présent. Je suis restée fidèle à mon mari. Nous habitons un petit immeuble assez coquet en pleine ville.
Voici quel-que temps, ma voisine du dessous vint me voir. Elle m’expliqua qu’elle déménageait, son mari militaire étant muté ailleurs. De ce fait, les heures de ménage qu’elle faisait chez notre voisin de palier étaient vacantes, et ce monsieur se-rait enchanté que ce soit moi qui la remplace. Cherchant un petit emploi de dépannage depuis quelques temps, je fus ravie et me rendis chez monsieur X. Monsieur X est très âgé et vit seul. Il me reçut chaleureusement, me fit asseoir au salon et m’expliqua la situation. Il fut direct, et prévint que, si je n’étais pas d’accord avec son offre, il ne faudrait pas lui en vouloir et que nos relations de bon voisinage n’en pâtiraient pas. Il me proposa de venir chez lui trois fois par semaine pour les travaux du ménage. Pour cela, il me paierait trois fois le salaire en vigueur, mais à condition que j’opère nue. Je restais sidérée. Il m’expliqua que c’était une fantaisie de vieux monsieur et que je n’avais rien à craindre de lui. Il me raccompagna à la porte, en me disant qu’il ne désirait pas de réponse immédiate ; si j’étais d’accord, je n’aurais qu’à me présenter à l’heure dite le lendemain, sinon il comprendrait.
Je n’en parlai à personne. Après une nuit de réflexion plutôt agitée, le lendemain, à l’heure convenue, je sonnai à la porte de monsieur X, toute excitée de ce qui m’arrivait. Il me fit entrer, me dit qu’il était ravi de ma décision et me mena au salon. Là, il s’assit dans un fauteuil et m’ordonna de me dévêtir. J’avais pour tout vêtement une blouse de nylon, un soutien-gorge et un mini-slip. J’ôtai ma blouse. A la vue de mes sous-vêtements, monsieur X insista pour qu’à l’avenir je sois nue sous ma blouse. Il me fit mettre le dos face à lui, et m’ordonna d’ôter le reste. J’étais nue. Il me mit de face et siffla d’admiration. Il commenta sur mes gros seins, mes fesses et ma toison qu’il trouva fort belle. Il faut vous dire que je suis blonde (une vraie). Je me sentais humiliée mais au fond de moi l’excitation me tenaillait le ventre. Il me prit par ma main et me mena à la cuisine où une foule de travaux m’attendaient. Pendant trois heures, il me suivit dans toutes mes tâches, me caressant de temps en temps les fesses, les seins et le pubis mais sans jamais aller plus loin. Cela fait maintenant un mois que je travaille chez monsieur X et j’en suis fort heureuse. J’ai une relation extra-conjugale sans pour cela avoir l’impression de tromper mon mari. Les caresses de monsieur X m’excitent et quelquefois me procurent des orgasmes. Son fantasme favori est le nettoyage du four de sa gazinière. Je suis à genoux, les deux bras dans le four. D’une main, il me pétrit les seins, de l’autre, il masse mon bouton et mon anus. Je ne pense pas que mon mari me reconnaitra à travers ce récit si vous publiez mon histoire car il ignore que je travaille chez monsieur X. Mon histoire pourrait porter le titre : « Les fantasmes du vieux monsieur ».
