Ce matin, nous sommes partis tôt de Toulouse pour nous rendre tous les deux à Bruxelles pour voir les ami·es dont tu me parles tant et avec lesquels tu as partagé la situation de notre relation. Offert depuis peu, je porte avec fierté un beau ras-le-cou en dentelle qui affiche mon appartenance.Une fois le changement fait à Paris après 45 minutes de trajet, tu me remets un paquet en me disant : — Va dans les toilettes et prépare-toi. Arrivé dans les toilettes, je découvre un beau string rouge en dentelle, un plug d’un bon diamètre avec un cœur en strass à son bout ainsi qu’une attache de jarretière avec des bas, rouges également. J’enfile le tout et en arrivant, je te vois t’asseoir juste à notre place. Tu me décroches un léger sourire même si rien dans ton attitude n’a changé. Nous prenons le métro pour arriver dans une petite maison cossue où nous sommes accueillis chaleureusement par tes ami·es sous quelques regards et sourires. Marc dit qu’un apéro est préparé dans la cuisine et qu’il ne reste qu’à l’apporter. Tu te tournes vers moi et me demandes : — Betty tu t’en charges ? Je me lève donc pour aller dans la cuisine, j’en profite pour ne garder que les vêtements que tu m’as confiés dans le train. J’arrive avec le plateau sous un sifflement admiratif. Je comprends de suite qu’il me faut attendre à genoux par terre à côté de toi. La conversation continue entre vous même si l’atmosphère se réchauffe et que de plus en plus de commentaires me visent. Sur le canapé, les mains de Marc se font de plus en plus baladeuses sur Alizée.Tu dis : — Tu vois, ils sont pleins de compliments, tu vas pouvoir leur démontrer plus de choses. Tu sors alors mon vrai collier en empiècement de cuir, souple, puissant, large avec un anneau où pend une laisse. Tu la saisis et me fais montrer mon cul glabre à tes ami·es pour qu’ils voient le joli plug. Alizée te demande si elle peut toucher avant de me caresser les fesses et de bien enrouler le string autour du plug. Marc s’approche de toi, ouvre et fait glisser ton chemisier, dessous tu portes un harnais en cuir noir ajourné pour mettre en valeur tes seins. Tu es si belle dans cette tenue. Pendant que les mains de Marc se glissent sur tes seins, Alizée commence à faire des va-et-vient avec le plug. — Elle aime bien ça ta petite salope ça glisse tout seul ! Mais tu couines un peu fort, on va arranger ça !
Alizée se lève et revient avec un bâillon troué en son centre qui me garde la bouche ouverte et disponible pour tout y rentrer. Après un regard pour toi, Marc, chemise ouverte, déboutonne son jean et me tend sa bite. Pour mieux me guider, il me prend par les cheveux et dirige sa bite dans le trou, avant de faire de long va-et-vient. Les premiers me donnent le haut-le-cœur, mais ma gueule toute en bave finit par s’adapter. Dans mon cul, je sens qu’on ne chôme pas, le plug est remplacé par un objet plus large et long, je me sens couler, courber mon cul pour être mieux pris, je décolle en étant pris des deux côtés. Je te vois venir te placer à côté de Marc, tu as retiré aussi le bas et on voit ta chatte par le harnais judicieusement fendu. Tu me prends par les cheveux pour me pousser à aller plus loin. — Allez Betty, tu dois me montrer que tu peux faire mieux. Puis à mon oreille : — Maintenant tu vas apprécier un peu de douleur, je sais combien tu aimes ça. Dans mon cul, la place est vide et je te vois aller chercher une bougie qui était hors de mon regard. Captivée par ton approche, je n’ai pas senti Alizée se mettre face à mon cul et je sens d’un coup de reins ses hanches contre mon cul alors que je suis soudain bien rempli. Mon corps fait un va-et-vient entre la bite et le gode jusqu’à ce que je sente la cire me mordre le dos, tu t’attaches à faire de longues lignes sur moi. Les fesses me cuisent, car Alizée commence à les fouetter à me rendre rouge. Marc excité, se soulage au fond de ma gorge. Tout le monde me pilonne encore une minute puis Marc me fait mettre à genoux, visage vers le haut avant de cracher dans ma bouche maintenue ouverte, tu t’approches, crache deux fois à ton tour, enfin je vois Alizée, qui porte un magnifique body noir se terminant par un corset de cuir se mettre à ma hauteur, elle pose se bouche contre la mienne, crache avant de laisser glisser sa langue et s’amuser avec moi et tout le mélange qui s’y est fait. Tu reviens me prendre par la laisse et me dit : — Pour me remercier, tu vas t’occuper de moi avant d’avaler. Tu te places au-dessus de ma bouche cuisses ouvertes, colle mon visage contre ta chatte luisante de mouille, tu te frottes à mon nez et mon menton pour te stimuler, je sors ma langue et frotte tout ce que je peux. Alors que je commence à devenir vorace, tu me tires retire le bâillon et me dis : — Dis-moi que tu aimes nos goûts et avales goulue je veux te voir ! Ma bouche exposée se vide alors. Partie 2 Alizée me prend alors par la laisse pour m’amener dans une autre pièce que je devine être leur donjon. Marc s’est éclipsé et vous me déposez sur une espèce de balançoire où je m’allonge sur le dos avant que vous attachiez mes chevilles et mes poignets en hauteur. Exposé ainsi, tes mains positionnent des pinces tétons puis une bougie de cire rose fuchsia est allumée. Tu commences à me faire des motifs pour lier mon nombril et mes tétons, tu descends vers mon aine, remonter sur ma clavicule. Je me vois me couvrir d’une douce couleur. Puis Alizée arrive par-derrière, te saisit les seins avant de reprendre la bougie. Tu te positionnes devant mon cul offert avec le gode que tu viens d’enfiler, on se regarde avec passion puis tu t’enfonces violemment en moi. Mon sexe bande et coule. Je sens un corps qui arrive sur mon visage puis la chaleur d’une chatte contre mon nez et ma bouche, je ne distingue que quelques poils blonds avant de ne voir plus rien que son plaisir. Au-dessus de moi vous vous embrassez langoureusement me donnant et recevant du plaisir à la fois. Elle a également des pinces tétons que tu lui tires doucement. Marc revient et tu lui laisses la place dans mon cul béant. Tu te positionnes au niveau de ma tête pour prendre le cul d’Alizée. Je m’acharne sur son clito pendant que je vois ton gode qui m’a possédé à côté de ma bouche, et sur certains aller-retour, bute contre moi, mais Alizée ne tarde pas trop à jouir, me serrant la tête entre ses cuisses. Tu te retires puis viens me tirer les tétons et me branler. — Tu veux que je te soulage hein ma salope ! Puis me crache dans la bouche. Je gémis et me contorsionne. Marc arrive pour se mettre au-dessus de moi et se branle au même rythme. Il inonde rapidement tout mon visage, Alizée arrive prestement pour lécher puis m’embrasser tendrement. Du coin de l’œil, je vois qu’elle vient t’embrasser également. — Tu m’avais vanté sa qualité, mais c’est vraiment une salope de grande qualité !dit Marc, il s’approche de toi. Et toi ça te manque pas trop ? Il te pose alors un collier rouge sur ta gorge et te pousse à te mettre à genoux. — Ta petite salope aussi veut jouir, elle va jouir dans ma salope. Rapidement détaché, je suis amené derrière toi et Marc me pousse à rentrer dans ta chatte, je fais des va-et-vient, les coups de fouet tombent sur nos dos, je vois ta peau se zébrer de rouge. — Tu dois rien sentir tellement c’est dilaté, dit Marc. Alizée me force à sortir de toi puis dirige ma queue sur ton cul. De nouveau je suis aspiré. En quelques va-et-vient, je jouis et m’effondre sur toi. Alizée me repousse pour aspirer tout le jus de ton cul puis se rapproche pour le partager avec moi puis avec toi. Nous nous regardons tous les deux avec nos colliers.Je sens alors des mains prendre ma bite ramollie et la mettre en cage. — Voilà je trouve que ça manquait ! Partie 3 Ils nous prennent alors tous deux par la laisse pour nous entraver le cou et les poignets au pilori. On sent rapidement la morsure du martinet sur nos dos, mon dos est déjà zébré, mais le tien doit prendre des couleurs rouges. Puis les claquements se calment et je sens qu’on force à mon entrée, vu l’humidité ce doit être Marc, je vois à tes yeux que l’on doit te faire le même traitement. Une fois rentré, je le sens plaquer ses hanches contre moi avant de faire de grands va-et-vient sans hésiter à me claquer le cul. Au mouvement de ta tête et à ta bave qui perle, je sens que tu subis les mêmes attaques que moi. Quand je te vois crier de surprise, je sens immédiatement la morsure de la cire sur mon dos. Après quelques minutes de ce traitement, Marc se retire, vite remplacé par Alizée, son gode est vraiment gros, savoir que tu viens de l’encaisser m’incite à l’accepter. Le pilonnage implacable reprend, Alizée me fesse, tire mes cheveux, la cage, m’insulte, je suis en transe, mais j’entends le râle de Marc. Alizée me détache et me dit : — Sois content, tu vas goûter Marc pour la troisième fois ! Je m’approche et vois ton cul perler de gouttes blanches que je me dépêche d’avaler, ma tête est plaquée dans ton cul, ma langue s’active et je te sens te trémousser. La laisse me rappelle à l’ordre et un nouveau bâillon remplit ma bouche, on me repousse sur toi et je comprends que ma bouche est ornée d’un gode. Une main saisit mes cheveux pour me pousser à de rapides va-et-vient sur ton cul, pendant que de lourds poids viennent étirer tes tétons. Rapidement tu t’effondres dans un orgasme foudroyant. Alizée vient te détacher et te prend par la laisse jusqu’à une petite cage où tu n’as que la hauteur de t’asseoir. Marc attache mes mains et mes cheveux à une corde qu’il tire pour me suspendre à une chaîne qui tombe du plafond. Pour obtenir une meilleure pose, je le sens mettre un long crochet de métal dans mon cul qu’il relie par une chaîne à mes mains, m’obligeant à me cambrer, cul offert, tête baissée, je reste sur la pointe des pieds. Alizée commence à me tirer les couilles avant d’y fixer un vibro qui me fait trembler, un récipient est posé sous moi pour recueillir ma semence. Les chaînes qui me tiennent tintent terriblement. Marc me zèbre tout le corps au martinet pendant qu’Alizée repasse avec une cravache, mon corps tout entier est sollicité et je me sens dégouliner. Marc m’accroche des poids aux tétons qui me tirent violemment. — Dis que tu aimes le vibro ou je remets un poids, me glisse-t-il. Je proteste doucement, car je veux jouir simplement et pas doucement à travers la cage. Marc ajoute un poids, je grimace et sens mes tétons s’étirer, il retire le bâillon. — Allez dis-le petite salope tu en crèves d’envie. — J’aime ce vibro, être votre salope et couler pour vous ! Il me caresse le visage, m’embrasse puis pousse le vibro plus fort, je ne fais que couler. Alizée me couvre de pince sur tout le torse, je ne suis que simulation, chaque centimètre de ma peau est marqué. Je dégouline et vois Marc se faire sucer par Alizée. Cette dernière revient vers moi, m’embrasse avec ce goût que je commence à connaître, mais sans liquide, elle me dit : — Sois honoré, il se réserve pour toi. Elle entame alors d’arracher une à une toutes les pinces de mon corps. Une fois cela fait, elle me détache et je m’effondre à genoux. Marc arrive en se branlant avant de jouir sur mon visage, Alizée prend le récipient plein de ma mouille et me le verse dessus. Je dégouline. Marc revient en te tenant en laisse avant de te faire me lécher le visage et de te régaler de toutes ces gouttes que tu ne manques pas de partager avec moi. Une fois nettoyé, Alizée arrive, te détache, retire ton collier et te sourit. — C’était bien pour une première soirée non ? Contente de te retrouver ! Je commence à me relever, mais tu retiens ma laisse et me dis : — Tu as été une trop bonne salope, tu vas rester comme ça à certains temps, mais on va d’abord te laver.
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