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Les fantômes du désir

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Les Fantômes de désirs III

Chapitre – III

Trois fois par semaine, Elle montait au 4ième étage d’un de ces beaux immeubles parisiens en pierre de taille que l’on ne peut pas voir sans penser au "Dernier Tango à Paris". Tout y est, tapis rouge-bordeaux sur l’escalier, vitraux "art nouveau" et ascenseur tellement vieux et branlant qu´elle préférait monter à pied.— Je crois que je fais de l’effet à certaines personnes !— C´est normal, lui dit l´époux.
Un touriste Turk se retrouvait en face du musée d’Orsay sans même s’en rendre compte… Errance ! À cet endroit, il y a une passerelle pour descendre sur les quais où sont arrimés quelques yachts, vedettes et autres « promène-touristes »… Et de loin, il observait dans l’escalier en colimaçon, une femme qui, de toute évidence, cherchait à satisfaire soit le côté voyeur de son homme situé au bas de l’escalier, un appareil photo dans la main, soit son côté exhibitionniste. Béatriz porte une robe Charleston jaune et courte, assez moulante, il n’y avait plus sa taille dans la boutique mais la robe lui plaisait bien, alors elle l’a choisie un cran en dessous. Ça lui donne un petit côté coquin à la Betty Boop. Le tissu, plaqué sur sa peau, laisse présager ses formes. Ses cheveux sont retenus par un bandeau. Elle est magnifique !Envoûtant spectacle, d’un érotisme brûlant dont il profite pleinement en souhaitant qu’elle aussi en éprouve des sensations particulières.Elle est plus belle que jamais avec ses longs cheveux noirs et cette robe qui la rend si attirante. Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais le tissu, tellement serré, retient de lui-même la lourdeur de sa poitrine. Ses tétons sont dressés et semblent vouloir percer la soie. Il stoppait net sa marche et s’accoudait au parapet, bien décidé à découvrir ce qu’ils allaient l’offrir comme spectacle… Elle jouait avec l’objectif en montrant ses jambes a priori gainées de noir, posant les pieds sur la rambarde, creusant exagérément sa chute de reins, écartant les cuisses comme pour dévoiler toute son intimité ! « Quelle salope ! » sont les mots qui ne sont venus instantanément à l’esprit. Une chose était sûre, il n’allait pas rester longtemps aussi loin de l’action. Il devinait, imaginait mais ne voyait rien et ça ne se satisfaisait absolument pas ! Il voulait la mater, savoir, voir ses seins, ses cuisses, ses fesses, sa chatte qui serait très certainement ouverte par l’excitation de s’exhiber aussi impudiquement… Il bandait et passait instinctivement la main sur le renflement de sa braguette tendue par son désir !

— Il te faut pas grand-chose, lui dit Beatriz.— Attends, ça doit être vachement excitant pour un mec, rétorque Ferdinand.
Il décide donc de s’approcher et fais un grand détour histoire d’être à couvert le plus longtemps possible. Elle l’aperçoit lorsqu´il est à cinq mètres au-dessus d’elle. L’espace d’un instant, il croit avoir tout raté car plus rien dans sa tenue n’est équivoque… S´il ne l’avait pas vu de loin quelques minutes auparavant, il la verrait comme une femme sexy certes mais pas comme cette exhibitionniste en puissance. Celle-ci possédait une beauté démoniaque. Sa taille haute et svelte révélait, à chacun de ses mouvements, la souplesse, l’élasticité et l’énergie de la race féline, si gracieuse et si cruelle. Il descend les escaliers sans la lâcher du regard insistant outrageusement sur ses fesses, son décolleté et le renflement de son bas-ventre… Lorsqu´il passe à sa hauteur, il sentit son parfum, enivrant ! Puis, il est en dessous d’elle et là, elle s’assied sur une marche, écarte les jambes et les referme aussitôt. Il s’arrête, fixe son entrejambe de nouveau dissimulé, remonte son regard vers le sien, redescend vers ses jambes jusqu’à ce que, enfin, le spectacle reprenne. Elle ne porte rien sous sa robe, ses bas noirs sont accrochés par un porte-jarretelles de la même couleur et son sexe est totalement glabre en dehors de cette petite bande juste au-dessus des lèvres. Elle voit une lueur dans les yeux de M. Francis qui lui fait un peu peur, même si son corps réagit tout autrement. Elle sent ses tétons pointer à travers le tissu de sa robe. Son entrejambe s’humidifie.
— Il te plait ? Ferdinand a-t-il demandé.— Oui.— Tu as envie de lui?— Oui’ a envie de lui!
— Ça te plait qu’il la regarde?— Oui, ça me plait. Ça, ça m’excite !— Tu as envie qu’il te touche?— Je ne sais pas. Peut-être.— Et tu veux que je te prenne comment?— Fort ! On y va?Elle a beaucoup hésité, mais finalement, elle s´est décidée à réaliser ce fantasme si envoûtant, celui de racoler et faire l’amour presque bestialement dans une ruelle peu fréquentée. Rien que d’y penser, une chaleur enivrante monte des tréfonds de mon être. Pas d’argent en jeu, juste cette situation palpitante entre exhibition et vulgarité. Quelques mots ont été échangés, pour se présenter, donner ce qui est en jeu, ce qui est indispensable, vérifier les désirs de chacun.Ces derniers mots l’ont fait bander plus que tout. Mais elle lui laissait en plan en ignorant son unique argument : la verge orgueilleusement dressée d´inconnu.À la façon qu’elle a de bouger son corps. Petit à petit il voit les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de sa femme. La jalousie, et l’excitation le reprennent. Un moment il capte le regard interrogateur de Béatriz. Il est convaincu qu’elle est très certainement aussi trempée que sa queue est dure… Il y a dans l’air une odeur de baise! Si le lieu n’était pas aussi dangereux, Il aurait sortit son sexe et entrepris de se caresser devant elle… Ferdinand, son époux voyeur entend le bruit caractéristique du reflex du mec qui continue à la mitrailler alors qu’elle exhibe son sexe à un inconnu. Maintenant, elle s’offrait même d’avantage, tendant ses fesses, le cul en l’air. — Tu es en train de te faire prendre contre le mur, on te voit peut-être de la rue, et tu aimes ça petite cochonne.Béatriz a dit cela d’une voix tremblante, chaude, amoureuse. C’est elle qui attire l’homme en elle. Soudain il’entend sa femme lui dire:
— Vient, vient, vite prend moi, je suis à toi.Elle se saisit de son membre dressé, dur, brutal, violent et le guide vers son sexe ouvert. Devant l’entrée, elle ôte sa main, libère le bâton de chair et son amant s’enfonce en elle d’un seul coup. D’un seul coup il se plante au fond de son ventre. Elle pousse un cri, elle se livre. Mais elle aimes ça, tant pis pour la rue. Elle bouges ses fesses, accompagne du bassin ses caresses sur son sexe… Ferdinand, l´époux regardait une magnifique femme mariée, les jambes écartées les seins exposés, avec une verge enfoncée jusqu’à la garde dans son vagin.Cette pensée lui mène presque à l’explosion. Puis le plaisir arrive, dans un cri. Elle sent les muscles de son sexe se contracter sur lui, Il sent chaque frémissement de son corps coincé entre le mur et lui.Elle a son visage qui se crispe comme dans la douleur. Elle a les yeux grands ouverts maintenant et regarde son amant dans les yeux. Elle lui dit de cette façon qu’elle l’aime aussi, qu’il va la faire jouir comme jamais. Dans un souffle il l’entend soudain qui lui dit :— Je t’aime… souille-moi… remplis moi de ta semence. Je te veux… lui est silencieux, tout à la prendre, à l’aimer. Les yeux dans le vague, la bouche ouverte, gourmande, gémissant sous l’assaut d’une queue bien dure. Des larmes commencent à couler de ses yeux.— Oh oui…. c’est trop bon…. encore…, disait-elle en gémissant.Son explosion le fait éjaculer en elle. Elle aime être remplie de son jus. L´époux, il assiste, il jouit aussi. Sa bite est habitée de spasmes, ses jambes tremblent. Il a chaud, il a froid, il n’en peut plus de jouir et de souffrir en même temps. Elle me fait mal. Je n’ai plus rien à éjaculer mais il jouit encore. il jouit d’être cocu. Il jouit de voir cette queue plus grosse que la sienne soutirer des cris de bonheur, de jouissance à sa femme. Il la voulais sienne pour toujours. En cet instant elle se donne à un autre.— Tu es donc une petite cochonne ?— Oui…— Et tu aimes ce que tu fais ?— OuiElle a su trouver les mots qu´il aime, il se place a côté d´elle et embrasse sa bouche.
Maintenant, Béatriz le regarde et très vite détourne son regard. Culpabilité? Mépris? Indifférence? Il ne sait pas, il n’en sait plus rien. Il a mal au cœur maintenant. Au cœur qui aime, celui qu’on garde pour une seule femme. Se faire traiter de « gazelle » la faisait sincèrement rire. Lui, cela l’excitait, mélange de voyeurisme et de jalousie.
Ferdinand ne sait pas encore à cet instant comment ça va finir mais c’est horriblement chaud. Et cette femme appelé Béatriz dégage un érotisme animal. Elle lui regarde avec un large sourire. En gros plan dans le viseur, L´époux voit les lèvres des deux bouches s’écarter, augmenter leur pression, s’écraser l’une contre l’autre, on devine les langues qui se cherchent, se trouvent, se goûtent, plongent dans l’autre comme pour le violer. Elle le fait savoir qu’elle lui a fait beaucoup d’effets et surtout qu’il a l’air d’avoir un sexe énorme. Elle s’est laissé embrasser et peloter, et il a été en admiration sur le fait qu’elle porte des bas retenus par un porte-jarretelles. Juste avant de le rejoindre et de l’embrasser, puis elle se dirige vers le bar em face tout en se retournant vers son époux. Il découvre son string mouillé. Elle lui regarde avec un large sourire.C´était une rue à arcades, comme la plupart des vieilles rues de la Rochelle. Il ne pleuvait donc pas sur les trottoirs. Ceux-ci étaient comme des tunnels froid, humides, où il n´y avait de la lumière que de loin en loin, avec des portes cochères qui s´ouvraient sur le noir. Ives, pour atteindre la place d´armes, réglait son pás sur celui du chapelier, mais il avait si peur d´une embuscade, malgré tout, qu´il préférait marcher dans la pluie, au milieu de la chassée. Jusqu´au coin, ils ne rencontrèrent personne. Puis ce furent les vitrines du parfumeur, de la pharmacie, de la chemiserie, et enfin les larges baies du café. Jeanner, la jeune journaliste, avec ses longs cheveux, son visage maigre, sés yeux ardents, était à son poste, à la première table, près de la vitre, em train d´écrire son article devant une tasse de café. Ferdinand ne sourit pas, n´eut pas l´air de la voir. Elle porte un jean taille basse, vraiment basse, qui moule des fesses rebondies et qui laisse entrevoir une peau bronzée. Sous un pull d’été assez ample, elle tente, sans succès, de camoufler des seins très lourds qui détonent sur cette mince silhouette. Elle lui frôle. Il sent l’odeur de lessive sur ses vêtements. D’un regard furtif elle lui dévisage, l’honore d’un sourire en coin. Maintenant il sent les effluves de son parfum si envoûtant. Elle se retrouve debout, en équilibre sur ses talons. Elle est maquillée de manière soutenue et lui regarde avec un grand sourire. Puis se lui tournant vers elle:
— Salut, je suis Ferdinand.— Bonjour, tu es le bienvenu.— Et tu n’aimes pas sentir mon regard admiratif ?Prise un peu au dépourvu, maintenant qu’elle a invité Ferdinand à s´asseoir et, elle bredouille :— Si bien sûr! Installez-vous belle femme, mettez-vous à l’aise!Il lui servit son verre. Elle avait un sourire un peu figé. Il le lui rend timidement, et replonge dans son verre. Son cœur bat à tout rompre, son sexe gonfle à vue d’œil et lui fait mal. Le jeu continue comme ça. Le bar était encore plein, et principalement des hommes. Il a commencé à lui poser des questions indiscrètes.— Tu m’as l’air bien excitée ce soir.— Je… je crois que j’ai trop bu…Elle avait retiré ses talons. Il sentait son pied sur le sien. II glissait le long de sa cheville pour remonter entre ses cuisses. Il n’osait rien dire, par peur du scandale, et à cause de l’alcool qui embrumait son esprit. C’était si troublant qu´il se laissait faire. Quand son orteil toucha sa bosse. Il avait le sang aux tempes. C’était trop excitant.— Laisse-moi te toucher, je n’en peux plus.Bien sûr, alors, il a quitté sa femme pour vivre un romance avec son patron. Son aveu l’avait encore plus excité. Il lui ai rappelé ce qu’elle l’avait dit et il l’ai incitée à faire de même, aux mêmes conditions. Et au lit, elle continuait son petit jeu et trois fois de suite, elle lui racontait la même histoire. Sa famille avait déjà crédité son compte en banque de plus de 65 000 euros et que ses parents lui versaient, chaque mois, 4000 euros d’argent de poche. — Tu es très en beauté ce soir, lui dit-il— Merci.Cette homme a réussi a la séduire, et ce soir, il va la possédé. Elle était arrivée en retard, sans s’excuser. Un sourire entendu entre eux deux l’apprit qu’elle avait dû lui parler de la relation si particulière. Mais il insistait... Ses paroles lui fascinaient. Sa jolie petite blonde n’est pas très grande avec son 1,68m, mais a une petite poitrine suffisamment pleine pour garnir les mains d’un homme, ou d’une femme d’ailleurs, et des cuisses et des jambes bien dessinées. Il voit ses yeux brilliants, comme fiévreux… L’intérieur semblait dater de l’époque coloniale et possédait un charme vieillot. Plusieurs salles s’ouvraient sur un patio central dans lesquelles des hommes de tous âges buvaient et jouaient aux cartes, aux dés ou aux dominos. — Comment vas-tu, Léon?— Pas mal.Il ne fallait surtout pas qu´il tournât la tête vers la droite. Cela, il l´avait decide des le premier instant. Or, c´était à peu près de la même voix. Il essayait de penser três vite, de penser juste, et plus il faisait d´efforts, plus idées s´embrouillaient. Peut-être était-ce tout à fait de la même voix quand il était en train d`être enculée par Léon. Une mélange de douleur e plaisir au moment qu´il le saisait par les hanches a completer la pénetration dans son rectum. En ce moment, havait passe un film dans sa tête. Il ne se connaissaient depuis trop longtemps. La plupart depuis l´école qu´il enculait plusiers fois Ferdinand. Ceux qui tenaient les cartes faisaient um petit signe, ou touchaient machinalement la main du nouveau venu...Dans la rue, les hommages muets et les sourires masculins se multiplient. On se retourne sur son passage et les pupilles l’auscultent des pieds à la tête. C’est fou comme un petit week-end de soins attentifs et de préparatifs minutieux peut tout changer dans le regard des hommes. Si elle a envie d’être belle, sexy et désirable, c’est parce qu´elle est bien dans sa tête et dans son corps, et qu´elle veut le montrer. Sa tête est légère, aucune pensée négative ne l’encombre. Elle n’éprouve qu’un formidable appétit pour la vie, l’envie de croquer à pleines dents dans les plaisirs qu’elle l’offre, sans retenue ni modération.Plus tard pendant le repas dans un restaurant, Dès leur entrée dans le restaurant, les regards envieux des hommes et jaloux des femmes s’étaient portés sur elle. Rehaussée par ses talons aiguilles qui mettaient en valeur le galbe de ses hanches et la cambrure de son dos, elle avait traversé la salle d’un pas qui semblait très naturel mais qui laissait entrevoir la beauté de ses jambes entre les larges fentes de son vêtement. Lorsqu’elle remit sa veste au serveur ceux qui continuaient à la contempler purent constater l’ampleur de sa poitrine dont les seins voluptueux semblaient prêts à jaillir des profondeurs de son décolleté.Elle se lève pour aller se repoudrer le nez aux toilettes, la plupart des hommes présents, lui inclus, la suivons du regard et les jeux de lumières sur et à travers sa robe offrent un spectacle qui en émoustille plus d’un, lui inclus. Au bout de cinq minutes, elle revient rayonnante, les yeux pleins d’excitation. En reprenant sa place, elle se penche vers moi, sa robe s’ouvre complètement sur ses seins et elle me confie à l’oreille qu’elle est très excitée par les regards qui se portent sur elle à chaque fois qu’elle traverse la salle. Elle s’assied bien enfoncée dans son fauteuil. Dans cette position sa robe est remontée très haut sur ses cuisses. Elle est vraiment très provocante. Son regard ne peut se détacher de ses seins qui se balancent librement sous sa robe. Il n´est pas le seul à profiter du spectacle car le serveur ne se gêne pas pour regarder avec insistance par l’échancrure de son décolleté.Comme à son habitude, Le mari avait passé son repas à l’admirer, une fois de plus il se laissait prendre aux jeux de sa bouche tandis qu’elle dégustait coquillages et crustacés et son imagination ne put s’empêcher de penser aux délices que ses lèvres sensuelles savaient lui prodiguer… et ce n’étaient pas les titillements de sa langue le long de la boule de glace qu’elle avait prise au dessert qui risquaient de lui calmer. Une lueur maligne dans les yeux, il lui caressait les seins à travers le mince tissu de sa robe. Elle était prise à son propre jeu, et soumise aux désirs de l’homme qui la faisait soupirer de bien-être… Possédée par toutes ces sensations, l’image de as femme venait alors en surimpression retarder les frissons qui affleuraient à la surface de sa conscience. Elle ne savait pas comment la gérer. Où était-elle, entre le patron et elle, se coulant entre leurs corps ? Elle regarde l’heure sur le cadran lumineux de l’horloge. Sa vue est trouble, il semble être 4h08 du matin. La lumière des chiffres lui brûle les yeux. Elle ferme et ouvre les paupières, mais rien n’y fait, toujours ce rouge… Cette couleur l’envahit. Elle prend une longue inspiration et elle referme les yeux. Il faut dormir. Elle marche. Elle pense, trop fort. Puis au fil des pas sur les pavés humides, le bruit de la ville se mue en bruit de fond et elle rejoint ses propriétés. Elle voit défiler les gens autour d’elle, elle se voit marcher mais comme extérieure à elle-même. La femme qui traverse le parc dans la tiédeur du matin a les cheveux bruns et bien rangés. Son chignon lui donne à la fois, un air austère et mystérieux. Son tailleur est élégant, elle marche d’un pas alerte, le bruit que font ses escarpins rassure le désert de ses pensées.
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Ivan Ribeiro Lagos
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