Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire

Les fantômes d'un passé lointin

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Elle me suivit sous les toits. Je pris le livre et cherchais comment se déroulait la pénitence. En fait, tout y était. Pendant un moment, je crus sentir la présence de cette femme près de moi. Était-ce elle qui habitait le corps de ma Martine ? Je n’en savais rien, mais le doute était bien là, lui. Près de Martine, je lui demandais de se confesser. En l’écoutant et lisant le livre, le paragraphe de la confession, Martine me récitait les mêmes fautes que cette femme disait avoir commises. Une lueur vint du fond de cet étage, juste à la verticale de la petite porte d’entrée, devant nous. Martine s’y dirigea, je la suivais. Elle se colla contre une poutre bien droite. Écarta ses bras qu’elle posa contre la poutre traversière. Elle était belle dans cette position, j’étais bien obligé de le reconnaitre. Je fis le tour de cette poutre. Il n’y avait rien, seulement ce bois de charpente. En revenant devant Martine, elle était solidement attachée par des cordes de chanvres apparues de je ne sais où. Elle était suspendue, bras et jambes écartées. Dans le livre, je cherchais une explication. Près de moi, un souffle passait, me jetant un froid glaciale dans tout mon corps. Le visage de Martine se déformait, comme si on la torturait sans que je ne puisse rien voir de plus que son corps. Elle ne portait aucune marque de supplice et pourtant, elle semblait réellement souffrir. En cherchant encore, je lus que c’était là l’un des nombreux supplices que subissait la femme qui avait écrit ce livre. Je posais ma main sur la poitrine de Martine. Son cœur battait la chamade. Je décidais de lui parler en latin, au risque de me tromper.— Que veux-tu femme ?— Souffrir de plaisir Maître. — Quoi encore ?— Prouver à mon amant que je suis digne d’être son humble servante. — Quel est ton vœu ?— Le fouet, les pinces, s’il le faut, sa marque au fer rouge. Enfin, je veux le servir quitte à en mourir.— As-tu encore quelque chose à ajouter. — Oui, Maître, dites à Maître Paul que je suis sa servante. Punissez-moi maintenant. — Tu sais que si tu blasphème, c’est l’enfer qui t’attend ?— Oui Maître. Le bucher après les épreuves de la question. — C’est ça. Prépare-toi à me subir pécheresse. Je me reculais, retirant ma main du corps possédé de Martine. Elle restait là, toujours suspendue à ses cordes qui la maintenaient écartelées. Devant elle, je posais nos sacs et mon sac de couchage pour terminer ce livre le plus vite possible. J’avais des bougies avec mon barda. J’en sortais une et l’allumais pour économiser la pile de ma lampe de poche. Plus je lisais, plus la femme du livre détaillait ses supplices. Elle décrivait aussi tous ces violes qu’elle subissait par devant comme par derrière. Pour elle, ce n’était là que du plaisir d’être prise de partout et par tous les moines de cette congrégation. Pourtant, un seul moine avait ses faveurs, elle écrit se sentir prête au sacrifice suprême s’il devait le li imposer. Dans son récit, elle demeurait toujours enchainée à une lourde pierre attachée à son pied droit. Elle devait la porter pour se rendre au supplice suivant. Les moines n’hésitaient pas à la fouetter si elle n’allait pas assez vite. Pour cette femme, si la douleur fut violente et pratiquement insupportable les deux premiers jours, elle disait maintenant ressentir du plaisir à subir les supplices plus raffinés de ses tourmenteurs, surtout ceux du père supérieur. Elle décrivait avec tant de détail ses orgasmes qu’à la fin de ce chapitre, Martine jouissait longuement. Entre les cuisses de Martine, je passais mon index, sa cyprine coulait abondement le long de ses cuisses. Je testais si ce que j’avais lu pouvait se reporter sur ma Martine. Cependant, j’hésitais à lui faire mal. Mais quelque chose me poussait à le faire. Je me suis emparé d’un sein et le pinçais avec force tout en l’étirant au maximum. Je fixais le visage de Martine. Elle avait la bouche grande ouverte quand j’entendis sa voix venue du fond de son corps.— Merci Maître Paul, la douleur est bonne pour votre servante. Je vous en supplie de continuer. Je n’en revenais pas que Martine puisse me dire cela, le clamer même. La bougie en main, sur ce même sein, j’en coulais quelques gouttes. Martine gémissait comme si elle allait jouir. Je continuais sur l’autre, là encore, elle gémit encore plus fort. Plus je la supplicie, plus elle s’approche d’un orgasme que je sens déjà violent. Et c’est exactement le cas, Martine hurle de plaisir sous mes yeux hagard et mon visage hébété. En continuant la lecture, la femme fait un récit encore plus détaillé sur une séance au martinet. Devant Martine, je le lis, mettant le ton.— Le moine était nu, son sexe fièrement dressé. Il m’avait troussée avant de me pendre, les bras au-dessus de ma tête. Dans mon con, cette poire en bois allait et venait. Il me fit avoir du plaisir avant de me montrer ce martinet. Il commença par largement écarter mes pieds, le plus loin possible de mon corps qui s’étirait douloureusement. Cette douleur était déjà divine en soi. Puis, sur mes pieds, il ajouta de lourdes pierres. Mon corps allait se scindé en deux s’il continuait. D’une corde, il emprisonnait un sein, d’une autre, l’autre. Il écartelait ma poitrine, m’offrant un nouvel orgasme encore plus violent que le précédent. Mes seins me semblaient vouloir s’arracher de mon corps. Sur mes mamelles, il posa encore des poids bien lourds. Les pinces tiraient mes tétons vers le bas, un supplice encore plus douloureux que tout le reste. Il recula, admira son œuvre. Passant près de moi, il remuait cette poire divine figée en moi. Il prit son martinet et commença à fouetter mon dos. il ne se privait de malaxer ma chair entre le coup. Chaque coup était divinement apprécié par mon corps et mon âme de pécheresse. Ce supplice dura de l’aube au coucher du soleil. Après quoi, je dus encore contenter tous ces hommes, nos tourmenteurs. Je perdis connaissance pendant un orgasme. je me réveillais pendant la nuit, j’étais solidement enchainée à une autre pénitente. Nous nous sommes aimées le reste de cette divine nuit. Je regardais Martine de temps à autre. Je vis les traces de ses orgasmes sur son visage, son corps. En cherchant de quoi manger dans mon sac, je ne vis pas qu’elle changeait de position. En la regardant, elle avait sa poitrine écartelée par des cordes que je ne voyais pas, ses seins semblaient pincés sans qu’elle ne porte la moindre pince. À ses pieds écartelés, je pouvais voir les cordes tendues vers le bas, comme si des poids bien lourds tiraient son corps vers les flammes de l’enfer. Elle ressemblait en tout point à cette femme au supplice dans ce livre. Son corps était pris de convulsions, comme si on la fouettait avec violence. Je tournais autour de Martine. Je la fessais de mes mains, elle poussa un long brame grave, tel un cerf. Je continuais à pincer, à tourmenter ce corps distendu, étirer à le limite de la rupture. Cela dura toute la nuit, Martine jouissait chaque fois que je la tourmentais ou qu’une main invisible la fustigeait. Au matin, elle me tomba dans les bras, sans connaissance. Je l’habillais comme je pus pour la glisser dans mon sac de couchage tendrement. je regardais, il n’y avait aucune trace de la moindre corde ou chaine près des poutres. Je la veillais sur martine tout en lisant ce récit qui me semblait sans fin. En effet, plus je découvrais de chose sur cette femme, plus le livre semblait s’épaissir. Quand Martine ouvrit ses yeux, elle me demandait ce qui s’était passé. J’eux beau lui faire le récit détaillé de la nuit, elle ne semblait pas me croire. Je me mettais volontiers à sa place. Sur son corps, je lui demandais de regarder ses poignets. Ils portaient encore la marque des cordes, tout comme ses chevilles. Sur ses seins, Martine découvrit la cire que j’avais renversée sur eux. Elle me regardait, stupéfaite.— Tu m’as torturée ?— Oui, un peu, mais rien à voir avec ce qu’il y a d’écrit dans ce livre. Pourtant, tu as joui je ne sais combien de fois avant que tu me tombe dans les bras à l’aube. je ne comprends rien, c’est comme si cette femme était en toi et voulait revivre ses sévices, ses plaisirs aussi. — C’est impossible !— Pourtant, c’est bien ce que j’ai vu. Regardes tes mains, tes pieds, les marques de cordes et pourtant, elles se ressemblent pas à celles que laisseraient les deux nôtres. Et là, sur ces poutres où tu étais attachée, rien, pas l’ombre d’une corde. — Bon, on fout le camp, je ne sais pas comment, mais je ne reste pas une minute de plus ici. Pardon ?— Quoi, j’ai rien dit !— Non, alors pourquoi tu m’ordonne de rester ?— Mais je te dis que je ne t’ai rien dit.
— Pardon, oui Madame, bien Madame. — Hé, à qui tu parles ?— À cette voix dans ma tête. Elle nous ordonne de rester. Elle me demande encore de bien regarder dans nos sacs. Elle y aurait mis de quoi tenir plusieurs jours. — Ben merde, ils sont plein de bouffe ! AIE— Quoi encore ! Tu veux vraiment quitter cette maison ?— Je n’en sais rien. On va voir. Et pourquoi tu cries. — C’est comme si j’avais reçu un coup de pied au cul ! Martine avait pris le temps de s’habiller mieux que je ne l’avais fait. En bas, la petite porte est toujours fermée. L’autre, près des rosiers aussi, était maintenant fermée et à double tour. Seule celle d’en bas est encore ouverte et Martine découvre cette croix et les marques des nombreux feux dont elle fut le témoin de pierre.— Hier soir, quand tu étais en transe, nue dans cette salle, au bout du couloir. Je suis venu ici et la croix était en flamme et là, plus rien, même pas la moindre trace de cendre. Viens, faut remonter, on n’a pas le choix. Pourtant, je voudrais que tu te souviennes. — Je ne me souviens que du moment où tu lisais ce passage sur les orties, les moines qui violaient les pénitentes. Après, je ne sais plus, je crois m’être endormie. — Pas un rêve, pas un songe, ni le moindre cauchemar ?— Si, j’ai rêvé que tu me fessais amoureusement, c’est tout. En haut, sous les toits, je repris cette lecture, Martine nous faisait griller quelque chose sur notre réchaud à gaz.— Regarde, une petite fontaine. Elle n’était pas là, y a une minute. — Attends, Martine, je vais voir. Tu me passe ton gobelet ? Merci !— Et ?— C’est bien de l’eau, elle est fraiche et très bonne. On va pouvoir se laver un peu et faire nos soupes en poudre. — Ça rallonge notre espérance de vie dans cette prison. — Avec ce qu’on a, on peut tenir près de deux semaines. — Deux semaines !!! Mais t’es cinglé et le boulot ?— Je sais, t’as une autre solution ?— Non, pas là. La vache, on est vraiment dans la merde. AIE !— Quoi encore ?— J’ai…c’est comme si j’avais reçu un coup de fouet dans le dos. putain, ça fait…Aie ! ça fait mal. — Évite peut-être de dire des grossièretés. — Mouai et je fais aussi une prière ?
Diffuse en direct !
Regarder son live