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Les femmes de la famille Saint-Clair d'Imbault

Chapitre 1

Romane, cadette presque modèle

Inceste
Préambule
Les mots sont enfin posés, essayant de structurer des idées foisonnantes. Je me lance dans ma première histoire. Simple nouvelle pour certains, long récit pour d’autres. Au fil des lignes et chapitres vous suivrez les aventures de Romane, jeune cadette parmi les femmes de la riche famille Saint-Clair d’Imbault. Vous découvrirez avec elle le long et particulier parcours initiatique qui l’attend.

Chapitre 1
Romane, cadette presque modèle
*


L’appel du contrôleur dans les hauts parleurs du wagon me sortit de ma torpeur.
— Prochaine gare cinq minutes d’arrêt !
Le ronronnement régulier des rails avait eu raison de moi, je m’étais assoupie une bonne heure depuis notre départ. J’émergeai doucement en regardant la campagne défiler sous mes yeux. Par un bel après midi de juin j’étais en route pour rejoindre ma famille en Sologne afin d’y passer l’été. C’était la fin d’un cycle car je venais d’être admise au Bac avec mention très bien, sonnant la fin de trois années lycéennes dans un internat pour filles. Je faisais partie de ces familles encore très à cheval sur l’éducation, et disons le, encore très conservatrice. Ma mère m’avait envoyé en internat d’excellence pour parfaire mon éducation et me concentrer uniquement sur les études. Cela peut paraître d’un autre temps de nos jours mais tout ceci me semblait parfaitement naturel. Depuis toute petite ma mère nous avait enseigné les bonnes manières et appris le goût de l’effort. Ma sœur ainée Alix avait eu le même parcours.

J’étais heureuse de revoir ma mère après de longs mois de séparation. Bien que considérée comme une jeune femme — je venais de fêter ma majorité cette année — j’avais envie de retrouver un peu d’amour maternel. J’espérais aussi apercevoir un peu de fierté dans les yeux de ma mère avec cette mention au bac. Elle était mon exemple, je faisais tout pour ne pas la contrarier et être une source de satisfaction. Je ne lui désobéissais jamais, à une exception près. Cela ne me rendait pas fière de lui cacher quelque chose mais je ne pouvais lui en parler. Elle m’avait fait la leçon sur le sujet. Lui avouer reviendrait à la trahir et je ne le pouvais pas.. Depuis toute petite le sujet de la sexualité est un tabou dans la famille. En grandissant de nombreuses questions me travaillaient et je n’avais jamais eu de réponse. Le sujet avait été balayé froidement par ma mère un soir d’hiver :
— Écoute-moi Romane, tu as déjà abordé la question de la reproduction en cours. Voilà le plus important. Une fille de ton âge n’a pas besoin d’en savoir plus. Tu as une certaine étiquette à porter. Je veux que tu te concentres sur tes études et rien d’autre.
J’avais bien évidemment écouté les conseils de ma mère, bien trop appliquée à lui plaire. Je ne voulais surtout pas m’attirer ses foudres.
Mais ceci changea le jour où nous avons reçu les filles d’un lycée en parrainage.

Nous devions accueillir chacune dans notre chambre une des filles pour la soirée. Justine fut ma colocataire pour cette nuit là. J’avais passé tout mon internat seule dans ma chambre et cette compagnie allait me changer. Justine était une fille d’une année mon aînée, une brune pas très grande avec un visage très souriant. Elle avait de beaux yeux en amande. Nous avions fait connaissance durant la journée. Elle était très naturelle et nous étions déjà en train de rire. Après le dîner nous rejoignîmes notre chambre pour nous apprêter à nous coucher. J’étais un peu mal à l’aise au moment de me mettre au lit. D’habitude je dormais en petite culotte sans rien d’autre, mais je n’osais me mettre nue devant Justine. Je m’attardais donc à ranger quelques affaires ne sachant que faire. Ma colocataire ne s’ était pas posée autant de questions, elle avait retiré son uniforme et était en sous-vêtement, un petit ensemble en coton bleu ciel. Elle sorti ce qui semblait être son pyjama, un petit short en soie rose pâle, et se mise nue pour l’enfiler. J’étais stupéfaite de son assurance, et aussi étrangement fascinée par ce corps nu. C’était la première fois que je voyais quelqu’un nu mis à part moi.

C’était un tableau complètement nouveau ne connaissant que mon corps. J’étais une fille je pense plutôt mignonne avec de long cheveux blonds très lisse. J’avais des yeux verts et une bouche très fine comme le reste des traits de mon visage. J’étais plus grande que la moyenne et assez mince. Pour le reste je n’avais pas de comparaison jusqu’à ce soir. Justine était plus petite que moi et un peu plus en chair mais c’était harmonieux. J’étais surprise de la fixer ainsi et de scruter son corps. Elle avait de jolies jambes qui semblaient aussi lisses que les miennes, ses cuisses étaient plus fortes et bien arrondies, j’avais plutôt de longues jambes d’athlète. Ces hanches marquaient bien sa taille et elle avait des fesses splendides. Sa peau mate donnait du volume et marquait ses muscles fessiers. Nous avions toutes deux des fesses bien rebondies mais les miennes semblaient être plutôt formées de chair tendre. Bien évidemment, blonde très claire j’avais des fesses d’un blanc laiteux. Je restais un moment fixée sur ses seins. Elle avait de petits seins, ronds et légers avec de petits tétons d’un rose brun marqué. Vraiment différent des miens mais ils étaient jolis. J’avais sûrement hérité de ma mère. Bien que très fine j’avais une belle poitrine. ils formaient de belles poires, lourdes et fermes. Ils étaient comme mes fesses, blancs pales, on pouvait apercevoir des veines au travers de ma peau. De très larges aréoles d’un rose tout aussi pâle venaient pointer timidement.

Bloquée sur ses seins, une envie inconnue s’emparait de moi. Sa poitrine contenue mais superbement dessinée était un délice pour les yeux. Ils devaient être agréable à toucher, respirant la douceur. Je sentais une légère chaleur dans mon ventre, plus elle amplifiait plus je voulais passer mes doigts sur les seins de Justine. Ses tétons me donnaient follement envie, pointant fièrement vers moi, ils semblaient durs. J’aurais voulu poser ma bouche sur ses toutes petites aréoles, sentir la raideur de ses tièdes tétons glissant doucement le long de ma langue...
— Alors Romane, on rêve ? Me dit-elle en souriant — Heu excuse moi, oui ! Dis-je toute gênée— tu regardais mes seins toi ? — Non non pas du tout ! — Allez ne t’inquiètes pas, toutes les filles sont pareilles en internat, pas de mecs, on fait avec les moyens du bord. — Non vraiment je te promets ! — Mais dis donc tu rougis ?
J’étais rouge comme une tomate, je sentais la chaleur me monter au visage. Quelle honte, je devais me ressaisir.
— Il n’y a pas de honte tu sais, me rassura Justine
Complètement paniquée je sortis de la chambre pour aller aux toilettes. Quel étrange moment ! j’avais déjà eu des sensations identiques mais jamais devant quelqu’un. Et surtout pas à ce point. Une chaude envie m’avait parcouru le corps, étais-ce donc ça que me mère m’avait interdit ? Sûrement... Pendant ce moment j’avais eu envie de toucher le corps de Justine, l’embrasser, me livrer à ses nouvelles sensations sans contrôle.

La chaleur qui m’avait envahi s’était dissipée, mais une sensation un peu étrange était apparue au niveau de mon entrejambe. Je soulevai ma jupe et vis avec étonnement ma culotte qui avait foncé sous l’effet de l’humidité. Le tissu était collé à ma peau, je pouvais voir le dessin de mes lèvres à travers la culotte. Je descendis ma culotte à mi cuisse, un étrange liquide visqueux tapissait le fond. Je passais ma main sur ma vulve, et je pus apercevoir le liquide couler entre mes lèvres. Il y en avait beaucoup, mes doigts étaient inondés. La chaleur revenait en moi. Je passais à nouveau ma main entre mes jambes. C’était agréable. La douce tiédeur revenait. Quel effet relaxant mais aussi terriblement excitant. Mes longs doigts fins glissaient sur ma vulve légèrement revêtue de petits poils blonds. Plus j’appuyais plus les frissons étaient intenses. Mon index s’enfonça à peine dans la commissure des lèvres que je tremblais littéralement. Je sentais mon doigt courir le long de mes grandes lèvres, c’était si bon. Elles étaient gonflées et moites d’envie. Je les pinçais à peine que je voulu crier. J’étais en train de défaillir. Mes jambes n’arrivaient plus à me soutenir.
J’étais face à des sensations inconnues et les mots de ma mère résonnaient dans ma tête. Je vis son visage sévère me réprimander, je ne pouvais continuer à m’abandonner ainsi et trahir sa confiance. J’avais aussi un peu peur de ce qui pouvait se passer si je continuais. Je retirai donc ma main logée dans mes cuisses et je renfilai ma culotte. J’étais étonné de ce liquide chaud, il avait coulé encore plus abondamment avec mes doigts, ce n’était pas désagréable mais de grosses gouttes avaient perlées le long de mes cuisses jusqu’au genou. Je m’essuyai avec précaution avant de retrouver ma chambre. Justine dormait déjà.
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