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Les femmes de la famille Saint-Clair d'Imbault

Chapitre 3

Romane se découvre

Inceste
Après une sieste réparatrice le reste de la journée était passé très rapidement. Nous avions dîné assez légèrement, la cuisinière avait préparé un assortiment de salades composés et de quelques fruits frais découpés. Nous ne nous étions pas embarrassées à dîner dans la grande salle à manger, notre mère n’était pas là. Quand nous étions que toutes les deux nous préférions la chaleur de la cuisine et les longues discussions avec Sophie, la cuisinière. C’était des repas bien plus décontractés sans toutes les manières des repas servis dans la grande salle à manger.Nous avions ensuite regagnées rapidement nos chambres, fatiguées par la chaleur de la journée. Ma sœur m’avait dit de profiter de ma nuit pour me reposer afin d’être fraîche le lendemain. Cette journée m’avait épuisé, j’avais hâte de poser la tête sur mon oreiller moelleux. Le voyage, ce nouveau plaisir appelé orgasme, la découverte de ce secret familiale. Quelle journée ! Et ce secret... Je me posais milles questions. Qu’allais-je découvrir, apprendre ? Était-ce normal ? Et ma famille qui me montre des choses si intimes, devais-je accepter ? Je pris une longue douche pour me relaxer et réfléchir à toutes ces questions. J’en conclu assez rapidement que je me sentais bien chez moi et que ma mère et ma sœur ne me voulaient que du bien. Pour preuve ce moment magique avec Alix que j’avais adoré. Je décidai de leur faire confiance, et de me laisser faire. J’étais heureuse.

Le lendemain matin, je retrouvai ma sœur à neuf heure à la cuisine pour le petit déjeuner. Elle était encore en pyjama comme moi. Mais c’était une tenue bien plus jolie que la mienne. Elle avait une nuisette blanche en soie, l’ourlet du bas en fine dentelle tombait à mi cuisse. Le décolleté aussi était rehaussé de dentelle laissant deviner sa poitrine. Des seins qui semblaient plus petits que les miens mais d’un blanc tout aussi laiteux. De fines bretelle glissaient légèrement sur ses épaules. Alix avait bien vu mon regard.
— Tu vas aussi avoir le droit à des habits plus féminin maintenant. C’est vrai que ton pyjama coton chemise et pantalon ce n’est plus possible ! — Pourtant je l’aime bien, mais en te voyant j’ai pris conscience que je n’étais plus une petite fille.— C’est une des étapes de ton initiation, ajouta-elle. Tu vas avoir le droit à des habits de nuit et des sous-vêtement bien plus féminin et sexy. Maman se charge de ta garde-robe aujourd’hui. Mais on va d’abord faire un brin de toilette avant les essayages.
Après avoir bu un thé brûlant et avalée quelques biscottes ma sœur m’amena dans sa salle de bain. Elle était immense et j’adorerais y venir. Le sol était en fait de tomettes rouge recouvert de nombreux tapis à poil doux. Il y avait une douche à l’italienne au fond et une grande baignoire à pieds était au milieu de la pièce. Alix se posa dans le fauteuil en velours vert canard.
— Romane, on va faire de toi une vraie petite femme, une petite toilette s’impose. Retire moi ton pyjama et vient en face de moi avec la chaise.
Je me déshabillais bien plus facilement qu’hier, et me sentais agréablement bien dans la chaude moiteur de la salle de bain. Je me posais sur la chaise nue en face de ma sœur.
— Une femme pour être attirante dois prendre soin d’elle. Parmi les soins, les hommes aiment bien souvent une femme au corps lisse et doux. On va donc t’épiler les jambes pour retirer tout tes petits poils. Ça ne va pas être très dur, tu en as peu et ils sont blonds. On va aussi faire une épilation du maillot. Regarde.
Alix souleva sa nuisette et la remonta sur son ventre. Je découvris pour la première fois un autre sexe de près. Alix avait une chatte différente de la mienne, elle était étroite avec de fines lèvres supérieures. Ces petites lèvres ressortaient et formaient une petite fleur. Par rapport à elle mes grandes lèvres étaient bien plus charnues mais elles formaient une fente nette sans laisser sortir les lèvres intérieures. Elle n’avait qu’un léger bandeau de poil, le reste avait aussi lisse qu’une peau de pêche.
— Tu vois ça fais un peu plus propre et ça donne envie au regard. J’ai d’ailleurs hâte de voir ta petite chatte toute belle. Avec des lèvres pareilles ça va être superbe.
Ma sœur avait préparé un pot de cire dans la cuisine, je comprenais maintenant son utilisation. Elle m’appliquait délicatement la cire le long des jambes et retirait ensuite de longues bandes blanches. Après cinq minutes j’avais des jambes sublimes et soyeuses à souhait. Alix se rapprocha ensuite de mon entrejambe pour me déposer de la cire. Elle s’appliquait et en même temps son regard me dévorait. La chaleur de la cire sur mes lèvres était agréable, la sensation du petit bâton de bois se baladant doucement rendait le moment délicieux. Je prenais plaisir a ce que l’on s’occupe de moi. Les doigts de ma sœur sur mes cuisses pour me maintenir contribuaient aussi à l’effet.

— Bah alors petite sœur, déjà envie ? Me demanda t-elle alors que son regard interrogateur fixait mon entrejambe.
En effet le plaisir montant était déjà visible, une petite goutte s’était déposée sur la chaise.
— Oui... Mais c’est agréable, la chaleur, tes mains...— Alors attention, car je vais tirer une bande maintenant, ça sera moins agréable.
Alix tira d’un coup sec une bande sur ma lèvre droite. C’était douloureux, mais ce changement de sensations n’avait pas fait baisser mon plaisir, au contraire. Elle tira une deuxième bande
— Hmmm ! Je criais dans un mélange de douleur et de plaisir.
Ma sœur posa la main sur mes lèvres, constatant une douceur neuve. Mon pubis était maintenant habillé d’une fine bande de poils blond et mes lèvres étaient à nues. On pouvait bien les voir, rondes, épaisses, moelleuses. Je senti Alix me les écarter avec un doigt et elle me montra sa main.
— Tu as aimé avoir un peu mal, encore un bon point mon cœur. Regarde moi ça cette mouille, à peine chauffée tu me trempes le doigt.
Elle me présenta son doigt luisant.
— Lèches le, tu vas goûter, après mets toi à quatre patte sur le tapis, on a pas fini.
Sans avoir eu le temps de réfléchir son doigt était déjà dans ma bouche. Il était chaud, je sentais le liquide se déposer sur ma langue. C’était un peu salé mais en même temps pas si désagréable. Alix me soutenait du regard comme pour me dire "encore, continue". Je m’occupai à lui obéir et je lui suçai doucement le doigt, ma langue passant autour pour bien sentir tout le liquide. Le plaisir continuait de grimper, surement le fait de goutter le fruit de ma chatte. C’était même bon finalement, ce coté onctueux et salé me plaisait. Je fermais les yeux pour mieux apprécier. Après avoir tout goutté je me mis à quatre pattes.
— Bien Romane, tu es d’une telle docilité ! Et tu sembles prendre plaisir à cela. On va maintenant épiler entre tes fesses. Tu as un cul sublime, il faut qu’il soit parfait.
J’étais à quatre pattes sur le tapis, ma sœur mis sa bouche a mon oreille et me caressait les fesses en même temps. Elle me susurra :
— Ton cul est à croquer mon cœur, regarde on a le même.
Elle souleva sa nuisette pour me le montrer. En effet nous avions les mêmes fesses. D’un blanc parfait, elles étaient bien en chair, rondes, je prenais plaisir à voir ses jolies fesses rebondies sur une silhouette si svelte. Elles créaient une démarcation sublime avec les cuisses. Une envie subite me pris, je déposai ma bouche sur les fesses d’Alix, j’avais une envie folle de les embrasser. Elle me laissa quelques secondes apprécier, puis elle m’embrassa. J’avais envie qu’elle s’occupe de moi comme tout à l’heure.
— Je fais avoir besoin de ton aide maintenant. Tu vas devoir écarter tes fesses avec tes mains que je puisse finir.
Ma tête était posée sur le tapis, j’étais à genou, les fesses relevées, mes mains aidant au mieux Alix. Bien que la position était compliquée, j’éprouvais un certain plaisir à offrir mon corps ainsi à ma sœur. La chaleur de la cire revint. Je sentais le bâton courir entre mes fesses. Mon plaisir montait doucement mais il fit un bon quand la chaleur se posa sur mon anus, c’était a la fois gênant mais terriblement excitant. La chaleur se mit à couler sur ma cuisse droite. Je jetais un coup d’œil. Le liquide qui coulait sur ma cuisse était transparent, mais ce n’était pas de la cire...
— Petite sœur, serre les dents je vais tirer. Enfin j’ai plus l’impression que tu y prends plaisir qu’autre chose. 1, 2, 3 !— Hmmmmmmmm !!!!!!!
C’était plus douloureux que les autres bandes, mais j’avais éprouvé un malin plaisir à avoir un peu mal. L’envie me remplissait de l’intérieur. Ma sœur me caressait entre les fesses pour vérifier les résultats. Je sentais ses doigts parcourir doucement la fine peau de ma raie, c’était doux. J’appréciai ce moment de douceur après avoir eu un peu mal.
— Romane, tu as un cul parfait, aussi lisse qu’un œuf. Tu me donnes terriblement envie mon amour, surtout quand je te vois goutter de plaisir.
Mes mains toujours sur mes fesses, je tournai ma tête pour regarder une nouvelle fois entre mes jambes. Le liquide ne coulait plus le long de ma cuisse, il goûtait littéralement sur le tapis. Ma mouille formant un petit filet.
— Ce n’est pas au programme mais je vais t’aider, tu ne peux pas continuer la journée ainsi. Tu vas tout salir pour les essayages avec maman. Viens, on va s’installer dans la baignoire.

Je m’assis dans la baignoire et j’attendais la suite, je ne savais pas où Alix voulait en venir mais cette séance m’avait bien échaudée. L’épilation était surement un acte banal et que je referais par la suite mais l’excitation venait surtout de la découverte, d’être nue devant Alix, de me laisser faire, de voir mon intime imberbe. Plus ma sœur me prenait sous son aile mieux je me sentais, j’étais sous son charme. Avant d’entrer dans la baignoire avec moi elle retira sa nuisette. Je la découvrais enfin complètement nue. Elle était très fine, plus que moi, avec une taille bien marquée et des jambes très élancées. Debout sa vulve était encore plus fine, les grandes lèvres étaient étroites mais pulpeuse, la peau tirait sur un rose brun, contrairement à mes lèvres rose pâle. Les petites lèvres ressortaient timidement, comme un appel à la caresse. Son ventre semblait aussi doux que ses jambes, et malgré une taille très fine, elle avait un tout petit ventre a peine rebondi, je trouvais ça adorable. Mon regard s’arrêta sur ses seins. Comme je l’avais deviné ils étaient plus petits que les miens mais ils m’attiraient beaucoup. J’avais envie de les prendre, les sous peser, les caresser. De la taille d’une grosse orange ils me toisaient, et les aréoles identique aux miennes semblaient énormes sur elle. Qu’elle était belle !Alix vint s’asseoir en face de moi mais n’ouvrit pas l’eau.
— Je t’ai installé ici pour continuer, je pense que tu es comme maman, on va vérifier, si c’est le cas tu vas comprendre.
Pour le moment je ne comprenais effectivement pas. Mais j’écoutais ma sœur qui me demanda ensuite de me mettre en tailleur, elle avait maintenant un accès facilité à mon entrejambe. En me fixant du regard elle vint poser délicatement sa main sur ma chatte trempée. Elle me caressait doucement et le plaisir remonta de plus belle. Son sourire me faisait fondre et je me jetais sur sa bouche pour la remercier du plaisir qu’elle me donnait. Sa douce langue chaude me parcourait la bouche, la sensation était un délice, sentir sa langue fine et soyeuse contre mienne décuplait mon plaisir. Je plaçai mes mains sur ses seins pour enfin pouvoir les caresser, c’était délicieux. Ses tétons durcissaient au rythme de mes stimulation. Cette douce ascension du désir fût perturbée par une sensation inconnue. Le doigt de ma sœur qui s’activait doucement entre mes lèvres venait d’entrer en moi. Je relevai la tête interrogatrice.
— Calme toi mon cœur, laisse toi aller, ça va être encore meilleur qu’hier.
Son doigt entrait petit à petit en moi. Malgré une sensation bizarre au début, je me laissais faire et je me détendis à nouveau. Au bout de quelques secondes sa main vint buter sur mes lèvres, elle avait introduit son doigt entièrement. Le désir ne cesser de monter, je commençais à gémir. J’avais envie de me blottir contre elle.
— Alix... C’est trop bon... Hmmm
Elle se rapprocha de moi, passa sa main dans ma nuque pour amener mon visage sur ses seins. Au même moment elle introduit un deuxième doigt. J’étais envahi de plaisir, plus du tout lucide, je me laissais faire tout en plongeant ma tête entre ses seins. Je prenais le temps de les sentir, les lécher, faisais délicatement le tour de ses tétons avec ma langue. C’était bon et j’en voulais encore. Tous mes sens était en alerte, la vue de ses seins sublimes et fiers, le gout de sa peau, le toucher moelleux, et aussi l’ouïe. J’entendais ses doigts entrer et sortir de moi dans un bruit de succion intense. Ma mouille faisait de fort clapotis et ça m’excitait beaucoup. La main d’Alix était trempée.
— Romane, je vais maintenant continuer sans m’arrêter, je vais appuyer sur un point précis, laisse toi aller complètement, peu importe ce que tu ressent lâche toi.
Elle replaça sa main pour être à l’aise, ses doigt vinrent se loger profondément en moi et je les sentais venir se frotter sur la paroi de mon vagin. Elle faisait des petites pressions tout en maintenant fermement la main contre moi. Une vague de plaisir m’envahit.
— Oui, Alix... Oui, continue...
Elle augmenta la pression sur ma paroi et en une dizaine de seconde je fût emporté par un ouragan de sensations. Je me laissais complètement aller.
— Ahhhhhhhhh !!!!!!!!! Je t’aime !!!!
Mes jambes se mirent à trembler de toutes parts, mon ventre se contracta, ma chatte se referma sur les doigts d’Alix, je fermai les yeux pour hurler à nouveau et me laisser attraper par la vague. Comme un coup de fusil le plaisir me transperça et je senti comme une forte envie de faire pipi. Je me contractai fortement à l’arrivée de l’orgasme et je libérai un flot de liquide sur ma sœur. Un jet puissant jailli de mes lèvres, tiède, clair, et tellement abondant. Alix retira sa main ruisselante.
— Tu es bien une femme fontaine ! Et pas qu’un peu ! Dit-elle d’un air joyeux— Qu-est ce que c’est ? Demandais-je intriguée— Rien de grave ma puce, quand tu jouis et que tu es bien excitée tu peux déverser un liquide, c’est une réaction à ton orgasme. Toute les femmes ne font pas ça. Mais en tout cas c’est un signe que tu arrives être parfaitement relâchée. — Tu disais que maman était pareille ? — Oui maman est comme toi mais il y a moins de liquide c’est plus contenu. Moi je n’ai rien. Par contre comme les femmes de la famille je mouille plutôt beaucoup. En tout cas ça m’excite tout ce que tu gicles ma belle...
Je lui souriais, contente de la rendre heureuse.
— Tiens, goûte ta semence, après on se douche.
Je gouttai à présent mon éjaculation, liquide bien plus fluide et transparent que ma mouille. Alix m’avait présenté le creux de sa main que je lapai lentement. Je prenais autant de soin à nettoyer la main de ma sœur que son doigt tout à l’heure. Je voulais me montrer parfaitement docile. Cela n’avait pas vraiment de goût, à peine salé et très liquide.
— Hmm, c’est un peu sans goût, je préfère la mouille... — Petite cochonne, je te ferais goutter la mienne ce soir, je suis certaine que ça va te plaire...
Cette dernière phrase me surprit mais en même temps me plut. Encore une nouveauté mais j’avais hâte d’être ce soir et re-découvrir cette douce saveur et encore plus si ça venait de ma sœur...
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