Décidemment, cette petite m’excite un max. je sens que je deviens accro au sexe. C’est si bon !En pensant à élargir notre cercle de plaisirs, je revoie dans mes pensées la vendeuse de la boutique de sous-vêtements. C’est le contraire de Sophie. Elle est mince, élancée avec néanmoins apparemment une poitrine généreuse pour sa frêle corpulence visible dans un décolleté agréable. Ce soir je partirai plus tôt du salon et je passerai la voir. Donc, après avoir laissé le salon à mes employées qui termineront la journée, je me rends au magasin de lingerie. La vendeuse est occupée avec une cliente. Tout en furetant dans la boutique à travers les rayons et les cintres, je ne cesse de surveiller celle qui devrait être ma future proie. Elle est habillée très sexy comme cela se doit dans ce magasin. Minijupe en cuir à mi-cuisses, bas noirs, talons hauts et corsage transparent d’où pointent deux petits tétons bruns. Quand elle se détend pour attraper un objet sur une étagère, sa jupe remonte au-dessus de la broderie de ses bas et dévoile les attaches de son porte jarretelles. Une attitude parfaitement excitante. La cliente partie, elle vient vers moi.- « Bonjour madame, puis-je vous aider ? »- « Oui, vous m’avez bien conseillé lors d’achats précédents et j’aurais encore besoin de vous pour choisir une tenue pour une soirée déshabillée et sexy. Que voyez-vous pour moi ? La présentation en vitrine me plait assez. Qu’en pensez-vous ?»- « Vous avez bon gout, c’est une parure très chic. Je la vois bien sur votre corps que j’ai déjà eu l’occasion d’admirer la première fois que vous êtes venue.- « Admirer me dites-vous ? vous admirez le corps de vos clientes ? »- « Oui car en général, elles viennent chercher des dessous mettant leur corps en valeur. Je dois apprécier leur plastique pour les conseiller. Voulez-vous essayer ?»- « Oui je veux voir l’effet de cet ensemble. »Je commence à me déshabiller dans la cabine d’essayage lorsque la vendeuse ma passe les effets en entrouvrant le rideau de la porte.- « Vous m’appellerai lorsque vous serez prête. »- « Vous pouvez rester vous allez m’aider à fixer le soutien-gorge. »En sa présence, je me déshabille donc entièrement.- « Vous voulez que je passe la culotte sur la mienne ? »- « Non, vous pouvez tout enlever. Je me doutais que vous aviez un très joli corps. J’aime beaucoup votre poitrine mais je crains que votre abondante pilosité ne soit pas cachée par le slip. »- « ça ne me gêne pas et vous savez certains hommes aiment bien, ils disent que ça les excite. »Nous partons toutes les deux dans un éclat de rire. La vendeuse s’est approchée très près de moi et à ma grande surprise (ou demi-surprise plutôt), elle plaque sa main sur ma touffe.- « Ils ont raison, c’est très agréable à caresser. »- « Il vous arrive souvent de caresser vos clientes dans leur intimité ? »- « Non, rarement et toujours subrepticement, j’adore voir un corps de femme nu pour le mettre en valeur, c’est mon métier et je dois avouer que le vôtre m’attire énormément.Les caresses se font plus appuyées, je sens même un doigt qui s’insinue dans ma fente.
- « Là, je pense que vous allez un peu loin. Imaginez que je vous demande de vous déshabiller et que je promène mes mains sur votre corps. »- « Je pense que ce serait agréable. Attendez, il va être 19h je vais fermer le magasin. »A son retour, la vendeuse s’encadre dans l’ouverture de la porte de la cabine. Debout, les jambes écartées, elle soulève lentement sa courte jupe jusqu’à découvrir complétement son pubis. Elle n’a pas de culotte. Lâchant sa jupe pour la dégrafer et la laisser tomber à terre, elle se caresse langoureusement les jambes, les cuisses, Ouvre son corsage laissant voir une paire de seins un peu plus petits que les miens mais très excitants avec de larges aréoles sur lesquelles se dressent deux beaux tétons apparemment bandés.- « Comment vous prénommez-vous ? »- « Aline et vous ? »- « Liliane. Approchez Aline, j’ai l’impression que nos deux corps s’attirent. » D’une allure féline, Aline vient vers moi et brusquement me prend par les épaules et plaque sa bouche sur la mienne. Evidemment je ne résiste pas. Nos langues se fouillent, se lient, se délient, nos salives s’échangent et j’en profite pour prendre les fesses de ma partenaire à pleines mains et attirer sa chatte contre la mienne.S’ensuivent de multiples attouchements et inévitablement des suçages de clitos en 69 sur le sol, le tout sans paroles mais rythmé par des râles de plaisir. La cyprine coule par terre et chacune se prélasse sur le jus. Après de bruyants orgasmes nos deux partenaires s’offrent un bref répit avant de se rhabiller. — « Vous avez été une merveilleuse cliente Liliane, reviendrez-vous ? »--« Nous verrons mais je voudrais vous proposer quelque chose. »— « Dites toujours. »— « Je viens de me rendre compte de votre goût pour le sexe. Si vous aimez ça, ma mère organise quelquefois des parties de gouinage à plusieurs. Est-ce que cela vous tenterait ? »— « C’est vrai que j’aime le sexe. Ce que vous me proposez me met l’eau à la bouche en même temps que le jus à ma chatte. En fait vous me suggérez de participer à une espèce de gang bang ? »— « Exactement nous sommes quatre femmes et nous devenons à tour de rôle un objet sexuel pour les autres. »— « Mais vous en faites partie malgré la présence de votre mère ? »« Oui, ce n’est plus un obstacle depuis que je lui ai fait découvrir le goût du corps de sa fille. »— « Je suis tentée par l’expérience. »— « J’en parlerai à ma mère qui dirige les ébats et je vous ferai signe. »— « J’attendrai avec impatience votre contact. Laissez-moi votre culotte, je la porterai en permanence en pensant à vous. »- « Ok mais chaque fois que vous vous branlerez, laissez couler votre jus dedans. J’aime beaucoup la mouille des femmes. Donc vous êtes d’accord pour que je vous recontacte prochainement. » De retour à la maison, je trouve maman en train de préparer le diner. Mon après-midi avec Aline la vendeuse n’a pas suffi à étancher ma soif de sexe et depuis que j’ai participé au jeu à trois avec ma mère qui ne refuse plus l’acte incestueux, je me sens autorisée à m’approche d’elle par derrière et à lui caresser le cul à pleines mains. - « Qu’est-ce qui te prend Liliane ? tu vois bien que j’ai du travail pour le repas. Gardons nos moments d’intimité pour lorsque l’occasion se présente. »- « Je suis très excitée maman, je viens de me gouiner avec la vendeuse de la boutique de lingerie et je sens ma chatte tout ouverte à se faire caresser, elle est également toute mouillée. ».- « Attends, je termine mon gâteau, va sur le canapé tu me raconteras. »Lorsque ma mère Jeanne revient me trouver, affalée sur le canapé les cuisses écartées, je me branle énergiquement.- « Eh bien ma fille, apparemment à ce que je vois, tu n’as pas eu ton compte avec ta partenaire. »- « Si maman mais c’était tellement bon que j’en rêve encore. »- « Alors raconte-moi. »- « Voilà : Lors d’un précédent essayage chez Aline, c’est le prénom de la vendeuse, j’avais remarqué qu’elle avait les mains quelque peu baladeuses sur mes fesses en essayant un slip et sur mes seins en ajustant un soutien-gorge. Je n’avais pas eu de réaction mais depuis que Marie et toi m’avez initiée aux rapports entre femmes, je suis devenue accro et j’ai repensé à ma vendeuse. Il m’est venu à l’idée d’aller la provoquer pour voir si ses caresses n’étaient pas fortuites. Elle s’est laissé aller et j’ai pu me rendre compte que c’était une sacrée salope. Je l’ai appâtée en lui disant que tu organisais des parties fines à la maison pour voir si elle accepterait de participer. Elle a eu l’air très intéressée et attend que je la contacte après t’en avoir parlé. »- « Si je comprends bien, tu m’as faite passer pour une mère maquerelle ? Tu ne crois pas que tu exagères ? »- « C’est toi qui as lancé l’idée d’une partie à trois le jour où ma cliente Sophie l’infirmière est venue soi-disant pour nous tester du Covid. Tu pensais alors à Marie, je te propose une quatrième partenaire, Aline, je sais que tu sauras organiser une belle soirée. Elle m’a l’air très salope mais nous avons eu une baise classique. Je te fais confiance pour la repoussée au maximum de son plaisir …..et du nôtre ! »- « Tu es bien la fille de ta mère, accro du sexe. Je suis d’accord pour inviter Aline mais prévient la qu’elle sera notre jouet sexuel et qu’il faudra qu’elle accepte tout. Si tout le monde est d’accord, nous pourrions nous rencontrer samedi soir.»- « OK, je vais lui proposer.
