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Les femmes d'une maison bourgeoise

Chapitre 6

Découverte

Lesbienne
Depuis la vision ce cette sacrée cassette découverte par Marie la femme de maison montrant ma mère se faisant sodomiser par jean le jardinier, j’ai vu ma vie sexuelle basculer passant par la découverte du lesbianisme poussée par Marie, de l’inceste, de la pluralité, le tout couronné par de multiples masturbations solitaires et de nuits peuplées de rêves érotiques tous plus fous les uns que les autres. J’ai conscience d’être devenue nympho. Mon dernier rêve se situait dans mon salon de coiffure que j’avais transformé en véritable établissement à baiser toutes les clientes.Ce matin-là, en me réveillant en sueur et les draps trempes de ma mouille, je n’avais qu’une idée, ne pas me satisfaire de Sophie la première cliente que je me suis offerte. Dès que j’ouvrirai mon salon, je « partirai en chasse » d’une nouvelle proie.……………….Aujourd’hui, mes deux employées étant en congé, j’ai décidé d’ouvrir quand même le salon pour d’éventuelles clientes n’ayant pas de rendez-vous.11h, la porte s’ouvre sur une vieille dame apparemment assez âgée mais très élégante sur des escarpins à talons très hauts, drapée dans un chic long manteau léger en alpaga laissant deviner une imposante poitrine et laissant juste apparaître le haut de ses chevilles aux jambes probablement gainées de bas de soie noirs.
- « Bonjour madame, je n’ai pas de rendez-vous mais je souhaiterais un rapide brushing si vous pouvez me prendre. »- « Bien sûr madame, je suis libre, entrez donc. Mettez-vous à l’aise, nous allons passer à la salle de shampoing. »
Après qu’elle eut quitté son manteau, je découvre une tenue très sexy chez ma cliente :  jupe de cuir très courte sur effectivement une paire de jambes gainées noire et, surprise, un corsage dégrafé de 3 boutons laissant admirer (c’est le mot) les lobes de ses seins mis en valeur par un soutien-gorge pigeonnant. La faible opacité du tissus laisse deviner deux tétons dressés sur de larges aréoles brunes. Je suis surprise de ma réaction cachée devant le corps de cette vieille dame aux cheveux blancs.
- « Vous êtes très élégante madame. De nos jours, les jeunes se soucient fort peu de leur habillement. Vous voyez, cette mode des jeans déchirés, des chemisiers non repassés et de la moindre parcelle de peau peinte de tatouages pas toujours de bon goût. »- « Malgré mon grand âge, plus de 75, j’essaie de me maintenir dans la tradition de ma génération. Je vous remercie pour votre compliment qui me fait chaud au cœur venant d’une femme. »- « Prenez le siège qui vous convient. Avez-vous un shampoing préféré ? »- « Non, pas particulièrement. En fait ce que je préfère dans la séance de shampoing et brushing, c’est la détente que cela me procure, particulièrement le massage du cuir chevelu et la douce chaleur du sèche-cheveux. A mon âge, c’est presque une partie de jouissance »
 « Jouissance ! » le mot fait tilt. A-t-elle conscience de ce qu’il peut provoquer chez moi ?En passant la blouse de protection à ma cliente, je ne peux m’empêcher de mater ostensiblement cette poitrine pratiquement offerte. Si je n’avais pas naturellement de retenue envers cette vieille femme, je poserais mes mains sur ses seins. Lorsqu’elle s’assoit sur le fauteuil, un court instant, la blouse se replie sur ses jambes et découvre ses cuisses où apparaît le haut de ses bas soutenus par un porte jarretelles. Je m’interdis d’avoir des pensées lubriques et essaie de me concentrer sur mon travail. Me souvenant de ce qu’elle venait de me dire sur le massage du cuir chevelu, je prends plaisir à insister dans mes gestes jusque très bas dans sa nuque. Visiblement elle y prend plaisir car elle a les yeux fermés et je crois distinguer quelques mouvements de la blouse au niveau de son entrejambes. Ma parole ! mais elle se touche !!
- « Vous savez madame, j’ai de la peine à croire l’âge que vous m’avez annoncé. »- « Ne parlez pas. Continuez vos massages. Massez-moi également les épaules, je trouve vos gestes et vos doigts d’une extrême sensibilité. Si j’osais, je dirais que c’est bon. »
Sur cette sollicitation, j’en oublie l’âge de ma cliente et insensiblement je descends mes mains au niveau de ses épaules et délicatement, j’arrive sur le dessus de sa poitrine. Mes gestes ne sont pas francs, j’effleure juste mais je ne résiste pas longtemps et cherche à caresser les tétons. Ce qui pourrait être une hardiesse de ma part, ne suscite pas de réaction négative. Néanmoins, je reprends mon travail « normal » en procédant au rinçage et à l’essuyage de la chevelure.
- « Si vous ne souhaitez pas de coupe, nous allons passer au brushing dans l’autre partie du salon. Je peux donc vous enlever le tablier de protection. »

Inévitablement s’offre à mon regard cette poitrine que j’ai failli tenir dans mes mains. Je ne sais pas si c’était comme cela avant le shampoing mais j’ai l’impression que le corsage est beaucoup plus ouvert et je distingue carrément la dentelle des bonnets et la raie de séparation des seins. La situation me trouble au point que je sens couler ma mouille sur les poils de ma chatte.
- « Vous semblez intriguée par l’échancrure de mon corsage et je crois même avoir ressenti une furtive caresse pendant le shampoing. Est-ce que je me trompe ? »- « Je ne me défilerai pas, mais c’est vous qui m’avez excitée par vos paroles sur le bien être que vous trouviez au massage que vous m’avez demandé et en voyant la blouse se soulever, j’ai pensé que vous vous touchiez. Je reconnais que votre poitrine est désirable. »- « Si je l’offrais à vos caresses est-ce que cela vous plairait ? »- « Oui j’ai très envie. Attendez, je vais fermer le salon et tirer les rideaux, nous serons plus tranquilles car c’est de tout votre corps dont j’ai envie. »- « Si je comprends bien tu es gouine et tu veux t’offrir une vieille »- « D’abord votre âge m’indiffère mais ça peut être effectivement très jouissif de s’amuser avec une « vieille » comme vous dites. »- « N’allumez pas la lumière. Je préfère la penne ombre qui ne dévoile pas les imperfections de ma vieille anatomie. Mais vous me semblez aussi avoir une belle poitrine. »
A ces mots, je réponds en enlevant mon pull et en dégrafant mon soutien-gorge et en me plaçant à califourchon sur ses cuisses. Mes seins sont à la hauteur de sa bouche qu’elle s’empresse de placer sur un de mes tétons. Elle suce, elle aspire, elle mordille. Je la saisis par ses cheveux mouillés, lui renverse la tête en arrière et plaque ma bouche contre la sienne pour un baiser passionné.
- « Passez votre main sous ma jupe et caressez-moi »Lentement, le plus sensuellement possible, je caresse ses bas et en en remontant sa jupe au maximum je m’approche de sa chatte. Surprise ! sous la culotte, je sens une chose dure d’une taille apparemment imposante. - « Mais c’est une bite, ce n’est pas une chatte ! »- « Non c’est bien ma queue, ma chatte est derrière. Tu es déçue ? »- « Non mais je l’avoue, pour une surprise ça en est une »- « Si tu aimes, tu vas me sucer et je vais te défoncer. J’ai un plug dans mon sac, tu me le mettras dans le cul »
Maman qui nous avait promis une vrai bite à la place des godes, mais qui n’a pu nous satisfaire car le jardinier était parti accompagner Marie, me voilà comblée. Une énorme queue m’est offerte par « ma » cliente. Dans la chaleur sous cette jupe, je commence à branler ce sexe que je désire vraiment. Il est raide comme un gourdin, je passe une main sur les couilles que je caresse amoureusement, ce qui provoque une légère émission de liquide séminal que je m’empresse de lécher en même temps que j’englouti le gland puis l’ensemble de la queue. Inévitablement, cela me provoque un éjaculation de mouille qui coule sur mes cuisses. On ne se vouvoie plus c’est elle qui a commencé mais moi aussi, j’ai envie du tutoiement qui m’excite. — « Tu suces admirablement bien. Mettons-nous debout, enlève ta jupe et présente-moi ta chatte en levrette, je vais te baiser. »— « je mouille énormément, lubrifie mon trou avec et encule-moi.  J’en rêve depuis longtemps, les godes ne me suffisent plus. Et voire une aussi belle bite me rend impatiente et désireuse. » Cela dit, ma partenaire passe une main sur ma chatte pour recueillir ma mouille, en même temps elle se saisit de mon clito que je sens bandé au maximum, le malaxe en le tirant ce qui déclenche un nouveau jet de cyprine.
- « Tu es sacrément excitée ma salope, je vais te défoncer à te faire crier. Penche-toi bien en avant et écarte tes fesses. Tu as vraiment un beau cul. Tout à l’heure tu auras le mien. »- « Vas-y doucement car même si je me gode avec du gros, ta bite me semble énorme. »- « Ne t’inquiète pas, je te ferai ça en douceur je vais te faire jouir du cul. »
L’introduction se fait effectivement gentiment avec une légère douleur au passage des sphincters. Mais j’ai l’habitude de cette sensation de début avec les objets que je m’introduis en solitaire ou avec mes copines dont maman.Maintenant l’engin coulisse à merveille dans mes entrailles. Au bout de cinq bonnes minutes, « ma » partenaire me prévient :
« Je sens que je vais partir, veux-tu que je me retire ? »- « Non, lâche-moi tout dans le cul salope, ce doit être une sensation excellente. »
En fait, cette sensation je la connais depuis que maman m’a faite baiser par Sirius. Effectivement l’éjaculation interne est tellement bonne que moi aussi je sens monter l’orgasme qui me terrasse. Mon partenaire se retire et me présente sa bite.
- « Nettoie-moi avec ta langue. Je n’ai pas envie de me laver. » En nous rhabillant je formule une demande :- « Laisse-moi ta culote. Je vais la passer et la garder en souvenir, elle sera maculée de ton sperme qui va couler de mon cul. »- « Tu es vraiment très salope comme je les aime. Tu n’as pas eu mon cul mais ce sera peut-être pour une prochaine fois. Quel est ton prénom ? »- « Liliane comme c’est écrit sur la porte et toi ? »- « Aurélie. »- « Bon, maintenant Aurélie il faut que je termine ton brushing. »
Comme elle m’a dit qu’elle aimait la douce chaleur du sèche-cheveux, de temps à autres je dirige le soufflement vers sa poitrine. Elle me regarde en passant sa langue sur ses lèvres mais la partie est terminée.Au moment de payer, j’indique à Aurélie que vu le plaisir que nous avons eu, il n’est pas question d’argent. 
- « Je te donne ma carte, j’ai inscrit mon tel portable perso …..à tout hasard. Je garderai un excellent souvenir de notre rencontre. Bonne journée Aurélie. »
Nous nous embrassons affectueusement sur la bouche pendant que je passe ma main entre les pans de son manteau et caresse son entrejambes. La salope, elle bande encore !
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