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Les femmes de ma vie

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Alice- Les fesses rouges

    J’avais pris rendez-vous avec Alice, chez elle, en début d’après-midi. Je savais que nous étions tranquilles jusqu’à la sortie des classes de son fils. Alice est une blonde aux cheveux raides mi-longs de trente ans. Menue, elle mesure un mètre soixante pour cinquante kilos. Elle a les yeux gris bleu, avec au fond une lueur perverse. Je lui avais demandé de s’habiller sexy et elle portait une courte robe blanche, des bas auto-fixants et des chaussures à talons hauts. A la rondeur de sa poitrine, je savais qu’elle avait un soutien-gorge rembourré. Après un accueil chaleureux où nos langues se mêlèrent longuement, elle voulut m’entraîner dans la chambre. Mais je la retins par les hanches et la fit tourner face à la fenêtre de la cuisine. Au quatrième étage, pas de problème de voisin curieux. Je me reculais pour mieux apprécier le tableau.    « Tu écartes les jambes puis tu remontes lentement ta robe. »    Elle s’exécuta sans broncher et je vis apparaître la lisière de ses bas sur ses jambes minces puis ses petites fesses rondes cachées par une fine culotte en dentelle claire. Je la laissais remonter sa robe jusqu’à ses hanches puis la stoppais. Je m’approchais d’elle lentement pour goûter le spectacle et la faire languir. Dans un premier temps, je lui posais doucement une main sur les fesses pour les caresser doucement. Puis je commençais à les claquer. Elle ne broncha pas et se contenta de fermer les yeux.. Après une soixantaine de claques, j’écartais par devant et par derrière sa culotte. Je trouvais sa fente nue un peu mouillée et ses mappemondes rosies. Je la pris par la taille pour l’emmener vers le salon où je la fis courber sur le dos du canapé. Elle laissa retomber sa robe pour se tenir. Mais je la remontais aussitôt et une nouvelle série de coups s’abattit sur ses fesses. Ma main me fit mal avant qu’elle ne se plaigne d’un râle. Elle gardait les yeux fermés, en plissant seulement les lèvres quand un coup était un peu plus douloureux. Puis je la redressais et la retournais. Ma langue rechercha la sienne. A ce petit jeu, elle est plus forte que moi et c’est la sienne qui plongea dans ma bouche. Mes mains parcoururent son corps tandis que ses doigts recherchaient mes tétons, caresse dont je raffole. Pour avoir l’impression de diriger les débats, je la fessais de tant en tant, mais c’est sa langue qui menait le jeu, en s’enroulant fougueusement autour de la mienne, m’interdisant le passage de ses lèvres. Quand, à bout de souffle, nous nous séparâmes, je lui commandais :    « Je vais dans la chambre. Tu te déshabilles et me rejoins à quatre pattes quand tu es nue. »
    Je partis m’asseoir sur le lit, disposant à mes pieds un coussin pour ses genoux, et en mettant en évidence à coté de moi une paire de pinces à seins, choisie parce qu’elle ne serrait pas trop fort. Ma blonde arriva bientôt comme je l’avais demandé, ses fesses rouges bien ressorties par la position. Elle s’agenouilla face à moi entre mes jambes en bombant sa poitrine menue. Mes pouces et mes index s’occupèrent des bouts de ses seins. Ils les pincèrent, les tournèrent, les étirèrent, les écrasèrent entre eux. Alice me regardait et ne manifestait ses émotions que par quelques soupirs et en fermant les yeux. Je lui fixais les pinces sur les tétons, en appuyant sur leurs extrémités. Mon amie laissa échapper un léger râle avant de se reprendre. Je tirais vers le haut, vers le bas, à gauche, à droite. Un demi-tour. Alice supportait tout sans un mot, les yeux fixés sur mon visage. Un simple battement des cils lorsque la douleur était trop forte. Après 5 à 10 minutes de ce traitement, je lui retirais les pinces de ses tétons écrasés.    « Allez, sur le lit.    Je me levais pour lui céder la place. Elle s’allongea sur le dos selon ma demande, mais d’elle-même, elle écarta les bras et les jambes comme si elle était écartelée par des liens. Devant tant de bonne volonté, je lui accordais un répit. J’introduisis doucement 2 doigts dans sa chatte sans poils. Sa grotte était humide et en coulissant, ils produisirent un doux clapotis.Elle ferma les yeux pour goûter la caresse. Ma langue se joignit à la fête, et alla débusquer son petit bouton pour le sucer. Alice ne put résister longtemps. Ses cuisses me serrerent les oreilles, mais en soumise docile, Alice les écarta très vite en ralant de plaisir. Je lui demandais de se retourner, pour se mettre sur le ventre. Son cul n’avait rien perdu de sa rougeur. Je repris ma fessée en appuyant un peu plus mes claques. Ma blonde se manifesta en poussant des « AH » étouffés parce qu’elle essayait de les retenir. Il faut bien avouer que ses cris étaient peu nombreux et que cela m’étonnait une fois de plus. A sa place, j’aurais déjà sauté au plafond depuis longtemps. C’est les mains qui me cuisérent en premier. Ses mappemondes étaient écarlates.    « Ecarte les fesses avec tes mains » lui commandais-je.    Elle s’exécuta, toujours docile, sachant ce qui l’attendait et bien que n’aimant pas cette introduction.    « C’est chaud, « me dit-elle en posant les mains sur son cul.    Je lui fis sucer et saliver sur un doigt, pendant que ceux de mon autre main coulissaient dans sa chatte humide. Puis j’enfonçais mon majeur dans son derrière. Je la sentis se crisper. Mon doigt resta en place et se mit à tourner dans sa rondelle serrée. J’eus beau être le plus doux possible, ma belle se plaignit bientôt :    « Ca fait mal ! — Retourne-toi « Avec un sourire elle se retourna face à moi en disant :    « Vous avez été méchant aujourd’hui. »    Un peu de rimmel avait coulé sous ses yeux moqueurs. Je me déshabillais rapidement et présentais mon sexe devant ses lèvres Elle l’avala sans rechigner. Sous sa langue experte il ne tarda pas à se tendre. Sa tête reposant sur l’oreiller, c’est moi qui faisais coulisser mon membre entre ses lèvres. C’était trop bon et je déchargeais dans sa bouche. Alice se redressa et voulut malicieusement m’embrasser, la bouche bien fermée. Je déclinais la proposition en détournant la tête. Elle partit dans la salle de bains pour recracher mon sperme. Elle revint rapidement se coucher contre moi dans le lit. Je recommençais à la branler doucement.    « Allez ! Viens !— Je crois que c’est fini », me répondit-elle.Mais je savais qu’il n’en était rien. Je sortis un godemiché équipé du coté « bourses » d’un vibreur. Je l’enfonçais dans la chatte de mon amie. Les doigts de ma main gauche dévoilèrent son petit bouton tandis que la main droite manœuvrait le sexe factice. Le vibreur heurtait son clitoris à chaque poussée extrême. Parfois j’accentuais le contact en appuyant le vibreur contre son corps. C’est avec plaisir que je sentis la main de ma douce se poser sur la mienne, pour son premier geste de rébellion, bien timide.    « Ca fait mal, maintenant, » souffla-t-elle.    Obéissant, je retirais le godemiché, mais je ne pus m’empêcher de lui souffler plusieurs fois sur le bouton pour la faire frémir encore. Je m’allongeais prés d’elle pour lui prendre la bouche. Il était temps de prendre une douche pour se rafraîchir. La sortie des classes était proche.
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