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Les femmes de ma vie

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Sophie - La femme fontaine
    La première fois que je vis Sophie, je ne fus pas ébloui par son physique, mais il émanait d’elle une aura de sensualité. Elle sortait de son immeuble quand elle fut bousculée par un grand gaillard en costume qui marchait à grandes enjambées. Il ne se retourna même pas et continua sa route le regard haut et fier. Je venais de l’autre sens et fis volontairement un pas de recul pour ne pas être heurté moi ausssi. Je croisais le regard bleu de Sophie et lui fis un geste des épaules de fatalité. Elle me répondis par une moue. Puis nous partîmes chacun de notre coté.L’histoire aurait pu en rester là. Mais à la fin de ma virée à Knokke, je rentrais dans un magasin de vêtements mixtes. J’y découvris Sophie devant un rayon de chemisiers.    « On est plus tranquille et moins bousculé ici, « lui dis-je quand elle m’aperçut et qu’elle me sourit.    Le dialogue commença et le courant passa entre nous. Son mari l’avait quitté, il y a deux ans, sans aucune explication. Depuis elle vivait d’aventure en aventure, sans se casser la tête. Elle m’invita chez elle pour prendre un verre. Mon temps de stationnement étant proche de la fin, je lui demandais son étage afin de la rejoindre après avoir remis de l’argent dans le parcmètre. Je me dépêchais pour rejoindre ma voiture et retournais à son immeuble. Quelques dix minutes plus tard, je sonnais chez elle.. Sophie glissa son visage dans l’ouverture de la porte et demanda moqueuse :    « C’est pour quoi ? »    Elle me laissa passer, et à peine dans l’entrée elle se colla à moi et m’embrassa. Je compris aussitôt que le physique banal cachait une femme de feu. Sophie est une petite blonde de cinquante ans, aux formes rondes, avec un petit ventre rebondi. Elle était vêtue d’une courte robe et de bas noirs, juchée sur des chaussures à hauts talons. Elle m’entraîna vers le canapé qui était recouvert d’une serviette de bains. Cela me surprit un peu, mais je n’eus pas le temps de me pencher sur le pourquoi, étant bien occupé à explorer sa bouche et son corps. Aidée par mes mains, sa robe se retroussa, et je découvris que Sophie portait des bas et un porte-jarretelles. Mes doigts fureteurs partirent plus haut et, nouvelle découverte, ils ne rencontrèrent aucun obstacle devant son sexe nu sans poils. Ni slip, ni string. Je ne sus jamais si elle était ainsi au magasin de vêtements, mais cela me semble possible. Je suis sur qu’un jour, elle fit ses courses près de chez elle, nue sous son manteau de fourrure.    Elle me commanda de me déshabiller pendant qu’elle faisait passer sa robe par-dessus sa tête. Sophie dégrafa son soutien-gorge. En tenue d’Adam, je pus caresser et malaxer ses deux globes bien ronds. Elle avait une poitrine magnifique. Ma bouche goba ses mamelons et ma main se promena sur ses cuisses.    « Enlève mes bas », me dit-elle en se déchaussant.    Je bataillais avec les agrafes du porte- jarretelles, puis fit rouler le bas de sa jambe gauche Elle porta son pied devant ma bouche. Je le pris délicatement dans les mains. J’y déposais de petits baisers rapides avant de gober son gros orteil entre mes lèvres. Je le suçais comme un gros téton. Puis je fis le même manége pour les autres orteils. Je passais la langue entre chacun d’eux afin de mieux les aspirer. Ouvrant grand la bouche, j’enfournais le pied entier. Je salivais dessus, ma langue allant de droite à gauche lapant comme un chien assoiffé.    « L’autre pied, » ordonna Sophie    Je recommençais la même opération pour le pied droit. Je pris autant de plaisir à m’occuper de ses orteils aux ongles rouges. Puis mes lèvres remontèrent ses mollets ronds, ses cuisses chaudes pour atteindre son sexe. J’écartais ses petites lèvres pour débusquer son clitoris, mais une voix impérieuse me dit :    « Sans les mains. »    Ma langue manœuvra donc seule sur son petit bouton. Du coin de l’œil je vis que Sophie se malaxait les seins. Très vite, elle repoussa ma tête.     « Viens dans la chambre. »    Elle se redressa et m’entraîna. J’eus le temps d’apercevoir une tache humide sur la serviette, là où était son entre-jambe. Elle s’étendit sur le drap du lit et je recommençais le malaxage de ses globes mammaires. Après le coté face, elle se tourna et je lui caressais le dos. De la nuque, aux épaules, aux hanches. Doucement du bout des doigts, d’un simple effleurement. Ou plus énergiquement en roulant la peau. Ma bouche se joignit à la fête alternant les suçons et les léchages avec la langue. Sophie goutta ce traitement quinze minutes. Elle se redressa et me renversa sur le dos. Elle se campa debout, les jambes écartées de chaque coté de mon corps.Elle asticota sa chatte de deux doigts vigoureusement    « Tu vas aimer mon vin blanc. Regarde-moi bien. Je vais d’inonder de mon vin blanc. »    En effet, je sentis bientôt un liquide ruisseler sur mon torse. Sophie s’installa à genoux et promena ses mains sur mon corps pour étaler son « nectar. Puis elle me fit sucer son index me fixant, une lueur moqueuse au fond de ses yeux. Mais c’était à mon tour de prendre mon plaisir. Aussi elle se coucha sur le dos. Je plaçais mon sexe entre ses nichons. Elle semblait perdue entre les masses rondes. Sophie tourna sa médaille et sa chaîne derrière son cou. Je lui saisis les seins pour enserrer ma bite. Je la fis coulisser lentement. Mon sexe disparut, le bout n’apparaissant que lors des allers. Je pétrissais vigoureusement ses mamelles tandis que mes coups de reins devenaient plus virulents. Tout le corps de Sophie était secoué. Je me répandis en trois jets sous son menton.    Ce fut ma première mais pas ma dernière visite à Sophie.
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