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"Les filles, elles aiment les massages"

Chapitre unique

Erotique
Feat. Blanche Gardin

« Les hommes adorent faire des massages la première semaine. J’ai l’impression qu’on est comme un tube de pommade avec la posologie sur le dos : ’’masser jusqu’à pénétration, après c’est bon. »
J’ai souri en repensant au sketch de Blanche Gardin... N’empêche que, dans la petite meute disparate des clients du sauna, ce samedi là, j’ai choisi celui qui avait apporté de l’huile. C’était comme une caricature de la boutique "Adopte un mec", et j’avais 2 heures de flou à occuper. Un petit hispanique rablé, à cheveux longs et accent délicieux, deux Maliens, dont un colosse à la bite perpétuellement à l’équerre, et un autre, mince, discret, à l’adorable barbe parsemée de poils gris si jolis sur sa peau sombre, un "vieux" bedonnant aux cheveux blancs et à la voix douce, un rebeu rigolo, grassouillet à cockring, et un tatoué intégral à man bun et tronche de bull dog. C’est sur ce dernier que j’ai jeté mon dévolu. Et c’est peu dire que j’ai eu du pif. Ils rivalisaient d’attention pour me séduire, tandis que je me moquais gentiment d’eux. Les observer, en guettant le déclic.
Adama m’a saluée quand je me douchais. Il avait le profil parfait, doté d’une impressionnante poutre de Bamako, même s’il me dira être de Kayes. Il m’a suivie dans la petite cabine de sauna, me demandant si je l’autorisais à s’asseoir à mes côtés. Les hommes présents se sont empressés de me laisser une place. Ils sont toujours très prévenants... puis très vite entreprenants. Trop vite.L’hidalgo s’est emparé de mes pieds et à commencé à les masser, avec une concentration touchante. Il était vraiment doué ! Au point que je lui ai demandé s’il pouvait aussi faire quelque chose pour mon coude, où il a su percevoir, avec précision, le point douloureux... Adorable, mains magiques, mais trop petit peut-être...Le Malien, que je soupçonnais de se gaver de bonbons magiques pour conserver son impressionnante trique, me massait le dos, la nuque, en appuyant fort, comme j’aime. Il marquait des points...François, le " vieux", (sans doute à peine plus âgé que moi), caressait avec douceur mon autre pied. Sa voix me plaisait, un truc galant tout à fait charmant émanait de lui...Karim au cockring, 26 ans, a glissé une main direct vers mon pubis, j’ai dû lui rappeler les bonnes manières ! Lui, il m’amusait. Un grand gamin un peu fou-fou qui me parlait comme à une pote de son âge, me racontant des anecdotes de saunas très amusantes. J’ai hésité.Mamadou n’osait pas. Il observait ces hommes qui me questionnaient, allaient au contact, avec l’air triste de celui qui ne sait pas faire ça. Plus tard, je lui ai parlé du Mali, mon premier coup de foudre du continent africain, à 25 ans. Il sera le seul à qui je laisserai mon numéro, quand il s’est précipité pour accompagner ma sortie du club, me montrant sa déception de ne pas avoir été élu, proposant de m’héberger si besoin, précisant vivre à Paris intra-muros, à côté de la Bibliothèque François Mitterrand, comme pour vite mettre en avant ce qu’il pense être un atout. J’avais réussi à lui faire dire qu’il y avait une femme et 2 jeunes enfants là-bas, à Bamako, alors ça y est, on était potes...
J’ai choisi le voyou.
Il n’y avait plus de place dans le petit sauna quand il est arrivé. Je provoquais ces mâles douteusement empressés à me séduire, au prétexte que j’étais la seule femme présente. Rappelez vous, c’est moi qui choisis, et la sensation d’être juste un cul, qui serait autant reluqué et convoité s’il était flétri par vingt années de plus, me donne juste l’envie de vous vamper, de vous faire ramper... Ils m’ont tous suivie dans le fumoir, alors même que la plupart ne fumaient pas. En en sortant la queue entre les jambes, quand je le leur faisais remarquer, même pas conscients de leur propre sabordage dans cette course à ma chatte.Le voyou, donc. Et le détail qui a guidé mon attirance...Il est arrivé dans les vestiaires, pour prendre une cigarette dans son casier, alors que je venais moi-même y chercher ma vapoteuse. Et m’en a spontanément proposer une, en me vouvoyant. J’ai alors remarqué l’ordre méticuleux de son casier, quand moi j’y fourre tout en vrac. Déo, shampooing, produit douche, eau de toilette... et huile. Tout un nécessaire bien aligné, qui contrastait avec sa dégaine de repris de justice aux tatouages un peu foireux. Dans le fumoir, il a caressé ma jambe en me disant que j’avais la peau douce.Je me suis enfermée avec lui. Lui et son huile. Je crois que les autres, restés devant la porte à nous écouter, (et attendre visiblement "leur tour"), dorénavant, ne viendront plus au sauna sans un petit flacon.Le voyou savait y faire... Sur le ventre. Pétrissage des fessiers. Je devinais ses yeux. Je m’ouvrais pour sentir son regard s’engouffrer.Mais c’est quand il s’est mis à me lécher un à un les orteils, que tout s’est emballé."Que veux tu, mon bébé ?"En me chuchotant à l’oreille, il a littéralement pulvérisé mes dernières velléités de tout maîtriser. Il soulevait mon corps relâché étonnamment léger, mes cuisses en brouette sur ses épaules tatouées, pour porter mon cul à sa bouche, goulûment. De la baise généreuse, vorace et attentionnée. Crache sur mon visage, étrangle moi, encule moi comme si tu voulais me déchirer... Voilà, c’est ça que veut le bébé...
Le bébé a joui d’un plaisir totalement salvateur.Les vagues brûlantes dont mon cerveau torturé et mon corps frustré avaient tant besoin, pour me propulser dans cette énergie là, ce plaisir qui m’est vital. Jouir à en perdre pied, à tourbillonner fugacement dans les étoiles, dans ce chant guttural de louve aux abois, ce son étrange que seul mon animal qui se réveille sait produire, ce cri de fantastique délivrance qui ne souffre d’aucune recette, d’aucun truc, d’aucun technicien... Ce chant qui jaillit et ouvre en grand ma poitrine oppressée, libérateur et effrayant. Le voyou avait réussi ça. Même avec la même approche maladroite, affligeante et tristement banale, commune à tous ces chasseurs de vide-couilles. Choisi, élu, sur un détail, et il avait su tout simplement se montrer attentif à MON plaisir, tout bonnement généreux et emporté par la manifestation monstrueuse de mon lâcher-prise. De sa bouche, de ses mains, de ses baisers, et finalement peu de sa bite, mon corps exultait tout entier, et mon cerveau encore davantage. "Bébé" ridé à la tignasse grise, dorloté par un gamin qui ferait peur dans une ruelle sombre...
Mon précédent passage-survie dans ce bouge ne m’avait pas comblée aussi intensément, malgré la puissance des 6 colosses noirs avec lesquels je m’étais enfermée. À "Bonne salope", visiblement je réagissais davantage à "Bébé", et au pilonnage sportif, mon corps s’était cette fois enflammé des léchouilles de pieds. Je l’ai juste remercié, "Les filles, elles aiment les massages" a-t-il répondu, et j’ai filé, plus légère qu’à mon arrivée.Mais je me souviens de son prénom.
"-Moi le truc que je préfère faire dans la vie, c’est faire des massages, je masse, je masse, je masse .(...) Mais tu aimes bien qu’on te masse toi ?— Bah non bien sûr comme 99 % des nanas j’ai horreur qu’on me masse, par contre j’adore qu’on me prenne pour une conne donc tu viens de marquer un point."
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