Marc était grand, roux et son corps laissait exhaler cette force et cette odeur! Il avait de gros doigts épais et une bite énorme, que je ne voyais pas dans le noir, mais dont je devinais, au toucher, un gland rutilant et luisant dont rêvaient mes doigts et mes lèvres d’autant plus attirées par leur humide et excitant parfum de mâle Ce parfum et ces humeurs que je cultivais en moi et dans mon sillon pour pouvoir m’en badigeonner les doigts et les humer longuement, le soir venu dans mon lit, il allait , maintenant, pouvoir les recueillir pour lui!Puis nous avons grimpé les étages, craignant les autre habitants de l’immeuble, et nous nous étions retrouvés dans sa chambre où, enfin, j’avais eu, très rapidement la possibilité de le voir dans toute sa nudité athlétique, avec un tremblement d’émotion en me mettant nu, à mon tour, à quelques pas de lui! Ses yeux verts, me regardaient avec un éclat particulier, fait de désir et de tendresse, qui me donnait envie de connaître la douceur de ses grosses lèvres! Et de sentir sa langue s’enrouler autour de la mienne! (flash back)Un jour de confidences, mais aussi pour m’exciter, il m’avait raconté que ses premiers désirs pour les garçons dataient de loin. Et que, la première fois qu’il avait vécu un contact avec le sexe d’un garçon qui le désirait et qu’il désirait avait été le jour le plus troublant de sa vie:Alors qu’il était en Fac, son voisin sortait sa queue au long prépuce, pour se la branler, Maxime, son voisin et ami lui avait suggéré d’en faire autant, tout en prenant lui-même l’initiative d’insinuer ses doigts d’une main entre la cuisse de Marc et le tissu de sa culotte courte, pour entrer dans son caleçon. Et ce premier contact d’une main, qui n’était pas la sienne avec sa bite, l’avait tellement troublé que, depuis lors , il avait cherché à le retrouver avec d’autres.Il avait réussi à en convaincre quelques-uns de s’adonner à ces caresses tellement troublantes! Mais en fuyant comme la peste les adultes à grosses queues baveuses et quémandeuses, dans les toilettes publiques! C’était ainsi, qu’il avait découvert que chacun avait un sexe d’une taille, d’une forme et d’un parfum différent. Et ces contacts étaient devenus encore plus attendus et désirés, lorsqu’il s’était englué les doigts avec ses premières jutes et découvert leur saveur et celle de ses copains! Jusqu’alors Marc avait été très attiré par ce genre de passe temps qu’il voyait pratiquer par les copains, mais sans jamais avoir osé s’y essayer, ne sachant comment s’y prendre pour les convaincre jusqu’au jour où c’était Marc qui lui avait appris à se caresser, puis à le faire avec d’autres, dont lui, qui ce soir avait réussi à le faire aller au cinéma, puis dans sa chambre. Cela avait été un chamboulement tellement fort dans sa vie qu’il ne cherchait plus que ce genre de rencontres, partout où il allait pour tenter d’assouvir ses incontrôlables pulsions! " Ce grand fauve à la bite noueuse qu’était Michel me fascinait et j’attendais ce soir du cinéma qu’il se passe quelques chose entre nous qui étions nus, dans sa chambre, face à face. Nos bites dressées et luisantes. J’étais fasciné et tremblant, d’avoir atteint le but qui m’avait tellement fait fantasmer, et dont je sentait que Marc avait encore plus envie que moi en voyant son sexe trembler à quelques centimètres de mon visage, emperlé, luisant et tendu vers ma bouche! "
