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Les frangins machiavéliques

Chapitre 1

La pool party

Gay
Cette histoire se passe l’été de mes 24 ans. Moi c’est Tom, jeune mec assez mince, de taille moyenne et gay.
Cet été, mon mec avec qui je suis depuis seulement quelques mois me propose de passer deux-trois semaines en télétravail dans la maison familiale à environ une heure de là où j’habite. C’est une vieille maison de 3 étages sur les hauteurs avec une grande piscine et un très grand jardin ; idéal donc pour travailler tranquillement et faire des pauses piscine pendant la journée. Cette année, contrairement à d’habitude où toute la famille est présente d’après lui, ses deux soeurs et ses parents ne se joignent pas à nous. La première soeur est partie en vacances avec son mec et ses gosses dans le sud, la deuxième avec ses copines tandis que les parents enchaînent deux semaines de mariages avec visites des alentours. Nous sommes donc 4 dans la maison : le petit-frère, Loïc, de 22 ans, mon mec, Maxime, (qui a mon âge) et le grand-frère, Baptiste, de 25 ans.
Tout comme nous, Loïc a élu domicile dans la maison pendant que Baptiste fait plus ou moins quotidiennement les allers-retours entre son domicile et la maison de vacances. Il est en pleine rénovation de son appartement et n’est qu’à une trentaine de minutes de route. Mon mec et moi avons une superbe chambre avec vue sur la piscine et un lac en contrebas et un accès sur une terrasse accessible par des escaliers depuis celle du rez-de-chaussée. Loïc, lui, dort au même étage à côté de notre chambre. Baptiste quant à lui a sa chambre au troisième étage pour les soirs où il reste dormir. Chaque chambre communique avec sa propre salle de bain sauf qu’en arrivant, on se rend compte que la nôtre est hors service car des canalisations se sont fissurées… Après un moment pas fun à appeler plombier, parents etc. on se met d’accord avec Loïc pour partager sa salle de bain, celle-ci ayant aussi un accès depuis le couloir et étant donc à côté de notre chambre.
Maxime a son séminaire d’entreprise en plein milieu de la première semaine. Ainsi, le mercredi, il part pour 3 jours et deux nuits dans le sud de la France avec ses collègues. Je reste donc seul avec ses frères dans la demeure familiale.
La journée et la soirée se passent tranquillement : je passe la journée à bosser et à profiter de la piscine. J’y reste d’ailleurs un moment le soir aussi avec Loïc, à discuter et boire quelques bières. Baptiste, lui, est rentré dormir chez lui. Il veut se coucher tôt pour avancer sur sa rénovation et surtout, être en forme pour la soirée qu’il organise avec ses potes le lendemain soir dans la maison.
Physiquement, les deux frères bien que différents sont, comme leur frère heureusement, totalement à mon goût. Tous deux bien plus grands que moi et très poilus. L’un chauve avec une grosse barbe et un physique de rugbyman d’une centaine de kilos, Baptiste, et l’autre les cheveux blonds courts, plus élancé malgré un petit ventre, Loïc. Tous deux sont assez musclés sans être secs pour autant. Mon mec ressemble d’ailleurs énormément à son grand-frère, malgré des cheveux bouclés.
Le jeudi en fin de journée, Baptiste arrive pour préparer la soirée. Loïc, quant à lui, part au bar du village avec des potes d’enfance. N’ayant rien de prévu ce soir là, j’aide Baptiste à préparer sa soirée. Vers 19 heures, ses potes de l’équipe de rugby commencent à arriver. Je prends un malin plaisir à tous les reluquer, après tout ça ne fait de mal à personne et mon mec n’est pas là, il me faut bien une consolation. Nous sommes dans une relation exclusive mais je sais que nous aimons tous deux observer les mecs même si nous ne nous en vantons pas l’un envers l’autre. Tous ne sont pas à mon goût bien sûr, mais le style rugbyman m’émoustille particulièrement. J’en repère tout de même 2-3 que j’aurais très volontiers accueillis dans ma chambre…
L’avantage d’une pool party, c’est que tout le monde est en maillot, et en bon rugbymen qui se respectent, tous ont décidé de porter le moule bite aux couleurs du club. Je me régale donc à mater leur corps et certains paquets très bien garnis pendant qu’ils profitent de la piscine sans se douter de mon petit manège. Mon préféré… c’est Baptiste bien sûr puisqu’il ressemble à mon mec ! Son moule bite met en valeur un paquet imposant mais aussi son ventre et encore et surtout des cuisses et des bras particulièrement imposants. Il ne manque pas non plus d’exhiber avec fierté son tatouage du logo du club sur son épaule droite pendant qu’il enchaîne les blagues graveleuses, un coup sur les meufs, un coup à se vanter d’avoir une grosse bite… bref les blagues assez classiques d’une soirée entre mecs pas très distingués. Mais c’est aussi ce côté là qui m’excite particulièrement chez lui.
Maxime est rugbyman aussi mais est plus soft alors que Baptiste a légèrement des allures de brutes épaisses par moment. Je l’imagine donc vraiment bestial au lit, sans douceur, juste de la baise dure. D’ailleurs, certaines de ses blagues sur ces précédentes conquêtes me conforte dans cette idée (même si je suis bien conscient qu’il en rajoute pour amuser la galerie).
  Après une bonne heure de baignade pendant laquelle quelques packs de bières ont été engloutis, nous faisons une pause pizzas. Je passe le repas à discuter avec Flavien. Je ne le connais pas personnellement mais je l’ai déjà vu à certains matchs de l’équipe. Je suis très content de discuter avec lui parce qu’après Baptiste, c’est clairement le mec le plus excitant de la soirée. De visage, Baptiste n’est pas spécialement beau contrairement à Flavien. C’est un mec aux cheveux brun très courts, le visage carré, encore plus grand et plus sculpté sans être sec et avec malgré tout un petit bide que les deux bières du repas (et je ne sais pas combien d’autres avant) ne vont pas arranger. Au final, je n’ai rien noté de bien intéressant de cette discussion mais nous avons au moins pu faire connaissance.
La soirée bat son plein et je dois reconnaître que je n’ai absolument pas la même descente qu’eux, grands habitués de la troisième mi-temps. Vers une heure du matin, la plupart sont encore là et enchaînent les verres de whisky, rhum, jet, shots etc. Bref, ils sont plusieurs à être bien bourrés dont Baptiste forcément…
Ils se décident finalement à faire « un jeu », à savoir dire chacun leur tour qui ils aimeraient baiser parmi leurs connaissances. Tous citent des filles de leur entourage, je remarque d’ailleurs que la moitié de l’équipe aimerait passer sur une certaine Chloé (la chanceuse me dis-je), puis vient mon tour ! J’espérais esquiver mais c’est loupé. L’un des rugbymen, Anthony, me demande :
— A toi Tom, t’aimerais baiser avec qui parmi nous ?
— Heu pourquoi je dois choisir parmi vous alors que vous avez pu choisir n’importe qui ?— Bah on connait pas tes potes c’est moins drôle ! Allez fais pas le timide, y en a bien un de nous qui t’excite haha !
Tous se mettent à rire et à me mettre la pression pour que je choisisse parmi eux, certains prennent même la pause ce qui provoque encore plus de rires. Je suis hyper mal à l’aise de la situation, finis par paniquer et lâche :
— Baptiste !
Je tente de me rattraper par un « heu non Flavien » mais c’est trop tard, tous se sont déjà mis à crier des « ooooooh » ou « ah Bapt tu vas baiser ce soir coquin ! » je suis rouge de honte, j’ai envie de disparaître. Mais Anthony n’en a pas fini avec moi et revient a la charge :
— Pourquoi Baptiste du coup ? C’est son gros paquet qui t’excite ? Hahaha.
Baptiste, tout fier de la remarque de son pote, se lève et se secoue le paquet avec sa grosse main. Tous rigolent encore et renforcent mon malaise. Je bafouille tant bien que mal :
— Bah… heu… non c’est juste… heu… qu’il ressemble à son frère !
J’entends alors quelques « ouais pas faux » et ça me rassure un peu que certains croient à cette explication. Anthony n’est quand à lui pas vraiment convaincu…
— Ouais c’est un peu facile ça ! Allez dis-nous…
Flavien vient alors à ma rescousse en quelque sorte en détournant l’attention sur Baptiste :
— En tout cas on en connait un qui va baiser ce soir hein Bapt ? Haha.— Ah les gars j’vais lui casser l’cul à notre p’tit Tom il va pas être déçu !! hahaha.
Et tous éclatent de nouveau en fou rires. Je suis toujours hyper mal à l’aise d’autant que la réponse de Baptiste m’a clairement fait bander.
La soirée finit par rebattre son plein et l’attention se détourne de moi à mon grand soulagement. Pour ma part, je commence à être bien bourré et décide d’aller me coucher. Je dis au revoir à tout le monde dont Anthony qui me lâche un « toi tu vas bien te faire baiser cette nuit » auquel je ne réponds pas. Plusieurs des gars me font également des allusions à ça…
Puis j’arrive vers Flavien qui me prend dans ses bras volumineux et me claque deux grosses bises. Même si cela ne dure que quelques instant, étant tous les deux torses nu, son torse contre le mien et sa corpulence imposante me procurent un frisson d’excitation. Je m’extirpe très rapidement pour ne pas bander. Au moment où je m’éloigne, il me dit « au fait, je suis très honoré d’être ton numéro 2 » et me fait un clin d’oeil. Je rigole et vais dire bonne nuit à Baptiste qui est à l’écart en train de fumer un gros cigare, un verre de whisky à la main.
— Good night Bapt !— A toute à l’heure plutôt mon p’tit Tom !— Haha t’es con !— Prépare bien ton cul avant de te coucher hein ! me dit-il en me mettant une fessée.
Je décide de rentrer dans son jeu pour ne pas me laisser faire (et pour le chauffer un peu, je meurs d’envie qu’il me rejoigne maintenant…).
— T’inquiète pas il est toujours prêt !— J’espère parce que dès qu’la soirée est finie je viens t’baiser.— Oh bah je dormirai déjà d’ici là.— Pas grave, j’te réveillerais en t’enculant. — Avec plaisir haha !— Tu rigoleras moins toute à l’heure !

Je file ensuite dans la maison, récupère un caleçon et m’en vais dans la douche de la chambre de Loïc. Je n’arrive pas à arrêter d’imaginer Baptiste me rejoignant dans la nuit, je suis excité à mort et je bande comme un taureau. Je me branle pour libérer la pression puis finis ma douche et file me coucher. Malgré la branlette, je ne tarde pas à être excité à nouveau en entendant la voix de Baptiste à l’extérieur. La chambre donne juste au-dessus de la terrasse principale sur laquelle ils se sont installés. Je décide de me coucher nu, après tout si jamais Baptiste vient dans la nuit, autant ne pas mettre d’obstacles sur son chemin… enfin sur le chemin de mon cul plutôt. Je laisse également la porte-fenêtre (et les volets) qui donnent sur la terrasse ouverts. Baptiste n’aura qu’à monter les escaliers depuis la terrasse du bas pour accéder à ma chambre comme ça. De toute façon, même si les soirées sont plus fraîches, il fait bien trop chaud pour dormir la fenêtre fermée.
Malgré le boucan sur la terrasse du bas, je ne mets pas longtemps avant de m’endormir bercé par leur douce voix viriles et bien aidé par la quantité d’alcool que j’ai ingurgité…
Dans la nuit, alors que je dors sur le ventre, je suis réveillé par une douleur au niveau des jambes. Je ne réalise pas ce qui m’arrive, mais j’ai l’impression que quelque chose les écrase. Après quelques instants à essayer de reprendre mes esprits, je sens également quelque chose contre mes fesses. Je finis par réaliser qu’il y a quelqu’un sur moi ! A peine réveillé, j’ai dû mal à rassembler mes esprits et pense dans un premier temps à mon mec. Je dois dire que je suis presque heureux qu’il prenne une telle initiative. Mais soudain, je me rappelle qu’il est actuellement à 300km de là et que par conséquent, il aurait difficilement pu rentrer dans la nuit… J’essaye de me retourner mais entre la pénombre et les yeux encore à moitié fermé, je n’arrive pas à reconnaitre la personne sur moi.
Je prends peur et commence à essayer de me débattre pour déséquilibrer cet homme qui se maintient sur moi et m’attrape les mains pour me stopper. Il est très costaud, je suis complètement immobilisé ! J’essaie de bouger mais il me maintient fermement.
— Et bah alors Tom on n’assume plus ?
C’est Baptiste ! A ce moment-là, la soirée me revient à l’esprit et je me rends compte que ce que j’ai espéré toute la soirée est en train d’arriver. D’après le silence extérieur, Baptiste est venu me baiser à la fin de sa soirée comme il me l’avait dit ! Je me mets à bander instantanément. Lui a du se rendre compte que je m’étais remis les idées en place puisqu’il me lâche d’une voix rauque et autoritaire :
— C’est bon t’es calmé ?! J’peux t’baiser maintenant ?!
Et sans attendre ma réponse, je l’entends cracher sur mon anus puis y plaquer son gland et commencer à faire pression pour l’insérer. Outch, il est énorme ce gland !! Il doit avoir un membre particulièrement épais parce que cela me procure une douleur immense alors que je suis pourtant habitué de l’exercice… Il le comprend en voyant mon corps se crisper totalement, s’arrête et recrache sur mon trou puis sur sa queue qu’il lubrifie un petit moment. Il ressaye et cette fois son gland entre sans difficulté ce qui lui donne visiblement un excès de confiance : d’un coup sec, il enfonce le reste de son sexe en moi. J’hurle de douleur, quel con ! Elle est énorme !! D’une longueur dans la normale mais alors en épaisseur, je n’avais jamais connu ça ! Je suis à deux doigts de la déchirure…
Ça ne l’arrête pourtant pas et alors que je pensais qu’il allait se retirer, il se met à commencer des vas-et-viens ! Je crie de douleur jusqu’à ce qu’une de ses grosses paluches poilues me plaque la tête dans l’oreiller.
— Ferme la Tom, tu vas réveiller tout le village ! me dit-il avant d’enfoncer sa queue d’un coup sec au plus profond de mon être.
J’hurle à nouveau mais mes cris sont étouffés par l’oreiller.
J’t’avais dit que j’te casserai le cul alors profite de ma queue !
Plus facile à dire qu’à faire… Lui recommence ses allers-retours sans aucune retenue. Il me défonce littéralement, je suis sa chose. Moi, je souffre terriblement. Mon cul me brûle et ses coups de butoirs me font l’impression d’épées qui me transpercent. Sa bite est vraiment très très très épaisse pour me faire aussi mal. J’hurle encore et toujours, la tête fermement maintenue dans l’oreiller par sa grosse main virile.
Petit à petit, je sens bien la douleur s’estomper et le plaisir m’envahir. Il baise réellement comme je l’imaginais dans mes rêves… Une vraie bête dont le seul but est son plaisir personnel, peu importe ce que je peux ressentir. Il est là pour lui, pour me baiser, me montrer sa force et la puissance de sa verge.
Je l’entends souffler comme un buffle à cause de l’effort et sens les effluves d’alcool qui s’échappent de son corps et de son souffle. Il doit avoir sacrément bu pour que je le sente autant malgré mon nez toujours piégé dans l’oreiller. Ses couilles claque violemment contre mes fesses parfois relayées par son gros ventre contre mon dos lorsqu’il se penche en avant pour mieux me dominer.
L’excitation a définitivement pris le dessus sur le côté malsain de la situation et très vite je me sens agiter le bassin afin de mieux accompagner et accueillir ses coups de queue. Je suis complètement à lui et je l’aide à mieux me dominer. Baptiste continue son rythme effréné dans mon cul alternant pénétration rapide et coup brusque pour mieux me faire mouiller. Les draps deviennent de plus en plus humides au niveau de ma bite, preuve de l’excitation qu’il me procure.
Il me maintient toujours fermement la tête dans l’oreiller même si mes hurlements ont été remplacé par des « ooooh » « huuum » de bonheur. Il veut marquer son pouvoir et s’assurer que je suis bien conscient que lui seul a pris la décision de me baiser et que je ne peux rien faire contre ça.
J’adore ça, je suis aux anges. Sa bite me procure un sentiment de bien-être et un plaisir que j’ai rarement connu. Son gland tape sur ma prostate et me donne à chaque fois un râle intense de jouissance. L’épaisseur de sa queue me comble, la sensation de mon cul écarté comme jamais auparavant pour accueillir son membre est divinement bonne. Par moment, il s’arrête pour se pencher sur le côté afin d’écarter encore plus ma rosette et visiter de nouveau recoins de mon intimité avant de repartir de plus belle. Il s’appuie parfois sur mes mains et je sens alors son corps se décoller de moi, sa bite s’échapper de mon anus…pour soudainement y replonger de toutes ses forces aux plus profond des mes entrailles. A chaque fois, je lâche un « oooooooh » de plaisir tandis que je sens un filet de mouille s’échapper de mon sexe.
Au bout d’un certain moment de se traitement, son souffle devient de plus en plus intense et saccadé, la jouissance arrive… pour lui comme pour moi. Je suis dans un état de trans incroyable tandis que mon sexe est au bord de l’explosion.
Après quelques instant de besogne supplémentaires, marqués par des coups brusques et secs, il explose en moi pendant que je sperme sur les draps, tous deux dans un « aaaaaaaaah » de soulagement et de bonheur.
Il s’affale sur moi, sa bite toujours en moi et reste ainsi quelques instant. Il m’écrase dans mon propre sperme avec ses plus ou moins 110 kilos mais j’aime cette sensation de l’avoir contre moi et de sentir son corps velu. Puis tout à coup, il se redresse, sort son engin de moi et s’en va.
Je reste un moment allongé sur le lit, baignant dans mon sperme d’un côté, rempli de celui de Baptiste de l’autre, le cul désespérément orphelin de la bite de Baptiste.
L’excitation finit par retomber je commence à culpabiliser de ce qu’il vient de se passer et du plaisir que j’en ai pris. Je viens tout de même de me faire baiser par le frère de mon mec…
Je finis par me décider à aller prendre une douche. Je sors à poil de la chambre pour aller à la salle de bain et me précipite sous la douche car je commence à sentir son sperme couler le long de ma raie. Très vite, l’excitation remonte à la pensée de ce que Baptiste m’a fait. Je me branle frénétiquement et jouis rapidement une deuxième fois en a peine 10 minutes. J’entends alors Loïc entrer dans sa chambre et s’affaler sur son lit, je l’avais totalement oublié ! Heureusement il n’était donc pas encore rentré.
Je retourne me coucher toujours nu, et ne tarde pas à m’endormir, des souvenirs plein la tête…
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