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Les garces

Chapitre 3

Divers
Gémissant de soulagement, je me vide en elle, écoutant dans le ravissement le bruit mat que font mes giclées de sperme au plus profond de sa fente pourfendue. Avec un soupir de satisfaction, je lui expédie la dernière giclée, la meilleure pour le mâle, car la plus crémeuse et donc la plus lénifiante pour le gland. Prestement, je m’empare d’un drap, le déchirant sur toute sa longueur, déchire à leur tour les deux pans. J’ai tôt fait, de quelque nœuds savamment agencés, de lier la femme sans défense au lit. Toute écartelée, elle gît là, devant moi, ouverte à en fendre l’âme, à condition qu’on en ait une. La voilà vulnérable jusqu’à la moelle ! Je me saisis donc d’un tube, lui enduis les lèvres vaginales d’une couche épaisse d’onguent irritant. Je frotte les grosses lèvres l’une contre l’autre, l’une dans l’autre, les enfonçant à l’intérieur de la crevasse outrageusement suintante de nos éjaculations réunies. Je quitte le lit, prends un verre, le remplis d’eau, y laisse tomber quelques gouttes de cantharide. Pinçant fortement le nez de la femme évanouie, afin de l’obliger à respirer par la bouche, je lui porte le verre aux lèvres. Entre deux respirations saccadées et convulsives, elle avale le liquide insidieux.Sereinement, je prends place dans un fauteuil, me mets à feuilleter le dernier numéro de Playboy. Pas si grosses, décidément, les doudounes qu’on voit sur le papier, que celles qui gisent, toutes étalées, sur le drap souillé ! Un quart d’heure de lecture, environ (car je sais que les veuves de son âge ont besoin de quinze à dix-sept minutes pour revenir à la réalité des choses, après un enconnage comme celui que le présent exemplaire venait de subir), et je me relève. La bacchante évanouie, durement secouée, se réveille, toute hébétée. Une claque énorme contre l’une de ses fesses, et un malaxage barbare de l’une de ses tétines, apportent du poids à mes arguments.Clignant des yeux, elle reprend conscience des choses. Ses yeux sont hagards, défaits, abjects.− "Que... que... fais-tu, Pierre ?", bégaie-t-elle. "Dites-moi, madame Vazy, y a-t-il quelque chose que je ne puisse pas vous faire ?"Avec peine, elle avale sa salive. Hébétée, elle fait non de la tête.− "Nnn... non", produit-elle enfin. "Rien..."− "Depuis combien d’années n’as-tu plus été en amour de cette façon-ci ?", je lui demande, goguenard. (Bien entendu, je savais déjà la réponse à venir, mais je tenais à l’entendre dire, la garce !).− "Jamais !... jamais, je n’ai..."− "Précisément !... Mais tu l’aimes, n’est-ce pas ?" "Oh oui !... Terriblement !"− "Bien ! Alors nous disposons d’une bonne base de départ. Il y a une bête en vous, madame Vazy. Une bête à fourrure, pleine de griffes et de trous à remplir ! Et cette bête gronde d’impatience pour se voir libérer. Je vais la libérer, moi. Je vais m’occuper de vous d’une façon qui fera pâlir votre imagination la plus échevelée à côté de la réalité. Et chaque action, chaque geste, chaque minute de ce traitement, vous allez l’adorer. En échange pour cette joie unique, vous allez me laisser gérer à ma guise la maison que voici, me laisser diriger sans l’ombre d’une protestation tout ce que je compte organiser entre ses murs. Ou est-ce trop demander en guise de paiement de joies dont vous n’auriez même pas rêvé si je ne vous les avais pas révélées ? Eh bien, qu’en pensez-vous ? Êtes-vous d’accord ? Et pas de baratin !"− "Pierre !... Tu ne dois pas... enfin, oui... je veux dire..."Une fois de plus, je m’installai, membre dehors, entre ses cuisses trempées dans le sperme, enfonçant calmement mon serviteur entre les lèvres si dangereusement lubrifiées par l’onguent que j’y avais appliqué. Jusqu’à ce que mes couilles trouvent le repos contre son gros cul. Gentiment, fraternellement, je me mis à la cadencer. Dans un rythme bienveillant, tel un père coïtant sa fille préférée. Entre-temps, ses épaules et ses tétons disparaissaient sous mes morsures d’amour.− "Pierre !... Oui !... Encore !... ENCORE !... Tout !... Tout ce que tu veux !... Il me faut... TOUT !... Sans importance... que... Ta maison... dorénavant... Mais pas... ta chambre... non... toi... rester ici... Désormais.., mon lit.., chaque nuit... Tout faire... pour toi... si... Chaque nuit... tout ce que... veux... Mais ... fais-moi... Oui !... De grâce !... TRINGLEZ-MOI ! ...Ne jamais... cesser... me tringler... toujours... Jamais... ta bite... 000hhh !... ta bite !... Jamais... me quitter... ta bite !... Toujours... en moi... juter... juter... Jour et nuit... aaahhh !... Juter en... moi... DE GRACE !...− "Il y cent manières de laisser couler son jus, madame Vazy", fais-je, académique.J’éprouvais un plaisir réel à continuer à l’appeler formellement "madame", pendant que, d’une biroute enragée, je lui suçais la vie du ventre.− "Cent manières, madame... Et je vous les apprendrai toutes... Une à une... Une nuit après l’autre... Et tout ce que j’attends de vous en échange, c’est la coopération nécessaire..."− "Je veux, je veux tout, tout-tout-TOUT !" hurla la femme cahotante et proche de la démence.− "Chouette !", souriai-je, bénévole. "Chouette ! Car j’ai à peine commencé à vous satisfaire, chère madame !“− "Pierre ?"Du coup, je me dresse sur mon séant. Dans la pénombre, superbement encadrée par le chambranle de la porte, une madame Vazy toute nue. Cela peut se voir que je la tiens totalement en mon pouvoir, à présent ! Grâce à ma technique de séduction. D’abord, la vie lui avait démoli les nerfs à coups de solitude. A présent, je lui ai démoli le système génital à coups de bite.− "Pierre ?", appelle-t-elle à nouveau dans la pénombre.Pathétiquement, elle se tient à côté du lit. Elle n’est que melon tremblant, et sa fente est à l’avenant. Même pas besoin de le vérifier. Avidement, elle tend le regard vers ma nudité mate. Je la laisse s’échauffer convenablement en permettant à mon zob de gagner la position verticale. Il est vrai que je ne dois pas me forcer beaucoup : ces effluves dégagés par son corps mûr !... Pourtant, je ne daigne pas ouvrir la bouche. Ma supériorité et le caractère irrésistible de mon physique doivent se remarquer suffisamment à la gesticulation silencieuse qu’est mon braquemart dressé.− "Pierre, tu n’es pas encore venu me rendre visite aujourd’hui", lamente-t-elle. "Après la nuit passée je pensais que... enfin..."− "Il ne faut pas abuser des bonnes choses", fais-je sentencieusement. (A vrai dire, j’aurais aimé juter en elle la nuit durant, et sans interruption. Cette beauté mûre poussait à tous les excès...) "Demain, c’est un autre jour. Et puisque nous sommes déjà demain... Pourquoi donc ne vous couchez-vous pas à côté de moi ?" Avec une célérité prodigieuse, la petite veuve affamée s’étend à côté de moi, se saisissant déjà de mon éloquence roide. Je me couche sur mon flanc, histoire de lui faciliter le travail. Car, à présent, elle peut s’appuyer sur le coude pendant qu’elle me fait branlette. Sa respiration, déjà, toute saccadée de tension nerveuse.− "Je veux que tu considères cette maison-ci comme la tienne", fait-elle, toute tremblante. "Il va sans dire que tu n’as pas à payer de loyer. Tout ce que tu dois faire, c’est être gentil envers moi. C’est de quelqu’un comme toi dont j’ai besoin pour être gentille avec moi..."Plein de compréhension, je la tire contre moi. Mes mains caressent les rondeurs accusées de son cul ferme et gras. Elle m’embrasse le cou, la poitrine, engouffrant presque la chair de tout son corps dans la mienne. Comme si elle tenait à boire de moi à travers toutes ses pores.Ce n’était pas la première fois, bien sûr, que j’avais jeté mon dévolu sur une femme mûre dans le dessein de lui démolir le moral et de lui démantibuler la personnalité. Dans cet art, copieusement garni, mon carnet de scores ! Fais d’abord, de leur âme en dérive, un doigt de whisky ; mélange-le, ensuite, avec une telle quantité de sperme que cette petite âme n’arrive même plus à percevoir le goût d’elle-même... N’empêche que, chaque fois à nouveau, le procédé me procure un plaisir qui a l’air inédit. Cela me permet en tout cas de percevoir le vrombissement de mon moteur pleinement lancé, de me griser du puissant ronronnement de ma centrale d’énergie, de bien apercevoir le caractère magique du monde dont je suis le maître. C’est donc avec un sourire réprimé que je la sers dans mes bras, la nouvelle petite chienne que voici. Car je la sais déjà complètement désindividualisée, retournée à l’anonymat d’une simple masse d’argile dont je vais faire ce que bon me semblera.− "J’en conviens, madame Vazy : cela me tente, de rester ici. Mais j’ai des inclinations bizarres... En ce qui vous concerne, de toute façon. Il se peut fort bien que vous ne désiriez pas vous mettre de la partie..."− "Oh si !... Oh que oui ! (L’enthousiasme de cette exclamation, d’une objecte éloquence). Je ferai tout ce que vous voudrez, Pierre. Je ne suis plus une gamine, après tout, mais une femme qui a de l’expérience et qui a envie de toi. J’ai hâte de te faire jouir de cent façons différentes. Mets-moi à l’épreuve..."Bien entendu, la bonne femme était bien trop engloutie par son rêve sexuel pour s’apercevoir du caractère cynique de mon sourire. Je glisse du lit, ouvrant l’armoire, tirant à moi mon sac tyrolien. La petite veuve se met debout. Ses yeux suivent avec un intérêt tranquille tout ce que je sors du sac.− "Mets-toi sur le ventre", je lui ordonne. "Je vais t’attacher."Je pouvais presque entendre les battements de son cœur lorsqu’elle se roulait sur le lit, la candidate-bacchante. Toute tendue vers l’instant où son jeune amant l’enchaînerait.J’écarte convenablement ses bras et ses jambes, me saisis à nouveau des pans de draps de la nuit passée. Des poignets et des chevilles, je l’attache de nouveau au lit. Les nœuds que je fais à cet effet restent pourtant suffisamment lâches pour ne pas trop couper dans sa chair. Elle n’en reste pas moins solidement ficelée. Juste assez pour la rendre sensible à la douleur. "Que vas-tu faire de moi ?", demande-t-elle, presque implorante.− "Les hommes ont raclé les femmes depuis qu’ils leur font l’amour, madame Vazy. Pendant les fêtes lupercaliennes, à Rome, les hommes couraient tout nu à travers la ville, munis de lanières en cuir pour rosser toutes les femmes qu’ils rencontreraient en cours de route. Et lorsqu’en cette même Rome, on mariait une jeune fille, son prochain la mit sur ses genoux et la rossait jusqu’à réduire son cul à l’état de purée, histoire de la rendre fertile. Battre les femmes faisait partie des bonnes mœurs du catholicisme, jusqu’à ce que cet imbécile que fut le pape Adrien y mît fin. Peut-être avait-il le bras trop rhumatismal, ou enviait-il, en la matière, des bras plus jeunes... Comme vous voyez, madame Vazy, j’ai faculté de vous embrayer sur la pratique d’un art qui remonte aux origines mêmes de la civilisation."Entre-temps, j’avais attachée ma victime au lit d’une façon plus que solide. Je reculais de quelques pas, encadrant la scène de mes mains, comme si j’allais tourner un film "artistique". Tout avait l’air parfait.Je prends donc un coussin, soulève les hanches puissantes, le glisse en-dessous. Une femme avec qui on roule, c’est un véhicule comme un autre. Il s’agit donc de le munir de ressorts adéquats. Le coussin lui remontait les énormes hémisphères, tout en séparant un peu des fesses d’un même calibre. Résultat : voilà que son trou de balle se trouve dégagé, en compagnie d’une broussaille vaginale imposante. Déjà, j’enlève ma ceinture, cloutée à souhait. Sans un seul mot d’avertissement, elle s’abat sur ses mollets. Elle se mord les lèvres, se met à frémir.− "Ne pas regimber, madame Vazy !" (Ma voix, d’une suavité toute paternelle.) "De toute façon, je n’aurai trêve avant de me sentir pleinement satisfait, et toutes les supplications du monde n’arriveront pas à me fléchir."La bonne femme, écartelée de façon immonde, me regarde avec une dévotion de chien battu.− "Oui !", grogne-t-elle. "Bats-moi ! Vas-y ! Si c’est ça que tu veux, vas-y carrément !... Fais rougir ma chair ! ...Frappe-moi à faire perler le sang !... je t’adore... Je veux que tu me fasses tout !"De ma cuisse, je m’appuie présentement sur le lit, afin de donner un point d’appui à ma main gauche sur le dos large et blanc de ma victime. Mon bras droit se lève, et un coup sauvage s’abat sur le cul sidéré. Elle gémit, mâchant l’oreiller pendant que, sans relâche, je lui abîme le dos, les fesses, le cul, l’anus obscènement dégagé. Ensuite, je m’arrête aussi soudainement que j’avais commencé. Trois doigts tendus s’enfoncent, impérieux, dans la plus docile des chattes. La fente nage dans le jus, aussi mes doigts s’enfoncent-ils jusqu’à la racine dans le trou spongieux. Mon esclave pousse un hurlement extatique, tortillant lascivement les hanches. Instinctivement, l’opulence culière se pousse contre ma main masturbatrice.− "Comment vous sentez-vous, madame Vazy ?" Ma question n’est pas de pure politesse, croyez-le bien. Aux commissures des lèvres, je goutte la saveur sarcastique du rire qui est en train de ravir ma bouche.− "O Pierre !... Tringle-moi, tringle-moi vite !"− "Pas encore", fais-je, paternel. "Je commence seulement à m’occuper vraiment de vous. Je vous communiquerai une chaleur telle que vous appellerez mon chibre avec une voix de démente !"Je monte sur le lit, m’installant entre les cuisses majestueuses, les écartant aussi loin que faire se peut. Après quoi ma tête descend, plongeant droit dans la crémosité de son cratère d’amour. Déjà, je lèche avec force ses lèvres dégoulinantes. Bégayant d’émoi, la femelle relève encore plus fortement le cul, se rapprochant de mon lécheur comme la surface lunaire du module s’affaissant vers elle. Déjà ma langue se fore en elle, lapant avec véhémence toute cette viscosité sans défense. Peine perdue, d’ailleurs, car j’ai beau laper, il n’en continue pas moins à produire de nouvelles vagues lubrifiantes, le vagin malmené. C’est pourquoi je laisse ces vagues à leur œuvre, me concentrant plutôt sur le renflement pitoyable qu’est son bouton d’amour. Pendant que je lui mange la partie la plus sensible, elle se met à divaguer entièrement. Tout son corps se tend comme une corde de violon manipulée par un gorille. Elle frémit, se tortille, se tord, se convulsionne. Et elle gicle. En une longue série de giclements hoquetant, la bave ventrale, lui crève la fente aux abois. Avec une force étonnante (je n’aurai jamais fini de m’étonner de moi-même), je lui arrache l’orgasme le plus barbare qui soit, lui malaxant les entrailles jusqu’à les faire éclater sous leur propre jus. Rapidement, je me mets en position. Avec un long cri de bonheur, je pousse ma raideur, inhumainement gonflée, dans toute cette tiédeur marécageuse. Mes couilles, de véritables castagnettes sur ses rondeurs fessières, pendant que, dans un rythme dément, je galope vers le spasme ultime. Trois orgasmes je lui procure encore en dessert, à la garce qu’elle est, avant de me laisser aller et de lui remplir le ventre de ma liqueur en ébullition. Ah !... Si longuement et si sauvagement, je n’ai plus tiré mon coup depuis des semaines... Mais ce n’est pas le moment de me laisser distraire de choses importantes par une reconnaissance déplacée.
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