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Les gens qui doutent

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
"Les gens qui doutent, il faut que la vérité leur crève les yeux pour qu’ils la reconnaissent" écrivait au début du siècle dernier Sacha Guitry. Pour ceux qui ne le connaîtraient pas (est-ce possible ?), je vous invite à fouiller l’internet qui foisonne de ses citations.
Paul doutait. De tout. Cela en était presque maladif. Il doutait de lui en permanence. Tant sur ses capacités au travail que dans sa vie personnelle. Pourtant il avait récemment été promu responsable marketing d’une grande marque de voitures. Des responsabilités étendues, une équipe plus grande et plus variée à manager, un meilleur salaire. Non ! Il doutait. Ou plutôt appréhendait ce changement. Il doutait aussi de lui à la maison. Sa capacité à rendre heureuse sa femme Laure. Tant matériellement que sexuellement. Elle ne disait rien, avait l’air heureuse mais il ne pouvait pas s’empêcher de remettre en question tout ce bonheur. "Suis-je à la hauteur" ne cessait-il de ruminer dans son for intérieur.Rencontre sur les bancs de la fac, mariage une fois les diplômes obtenus, ils étaient mariés depuis 18 ans. Sans enfants. Laure n’avait pas vraiment la fibre maternelle. Paul avait d’abord eu un peu de mal à l’accepter mais avec les années, l’envie d’être père s’était estompée et maintenant qu’il avait près de quarante ans, cela n’avait plus d’importance.
Sa situation professionnelle lui permettait d’offrir à Laure le loisir de ne pas travailler, profiter de leur belle maison de la région parisienne, voir ses copines, visiter des expositions, des musées, décorer la maison, faire du sport pour entretenir son corps encore superbe de femme approchant la quarantaine. Pas une femme pour certains chroniqueurs avides de chair de moins de 25 ans, c’est sûr, mais qui par ses formes généreuses ne laissait vraiment pas les hommes indifférents. Hommes de tous âges. Paul le savait bien car il voyait bien comment elle était regardée quand ils allaient ensemble au restaurant ou marchaient dans la rue. Belle brune d’1m68, un très beau visage aux yeux verts et bouche aux lèvres pulpeuses sans qu’elles aient été touchées par la chirurgie. Cheveux couleur jais, mi-longs. Une petite poitrine et de jolies fesses qu’elle sait mettre en valeur dans des tenues toujours sexy.
Paul doutait. Il savait que son travail lui prendrait maintenant plus de temps et qu’il aurait moins le loisir de s’occuper de Laure. Allait-elle le supporter ? Lui en vouloir ? Comprendrait-elle que cette nouvelle situation ne serait que passagère et qu’une fois ses marques prises, Paul pourrait prendre du recul, déléguer et trouver plus de temps pour eux ? Il en doutait. Il savait que Laure était impatiente, pour tout en général.Il doutait aussi de satisfaire pleinement Laure au lit. Non pas que leurs ébats soient routiniers mais il avait l’impression qu’après plus de 20 années de vie commune, ils n’avaient plus rien à apprendre l’un de l’autre, de leurs corps et de leurs désirs. Etait-ce vrai ? Ne devait-il pas trouver une solution pour ramener un peu de piment dans leurs ébats afin que la routine qui s’installait inexorablement au fil des nuits ne vînt à pas à tuer définitivement leur couple.
Aussi, Paul se mit à chercher sur internet des témoignages de personnes se trouvant dans la même situation que son couple. Comment avaient-ils fait pour s’en sortir. S’en étaient-ils sortis seulement ?
Alors il trouva un site qui lui paraissait sérieux avec des histoires ressemblant plus ou moins à la sienne. Il lut beaucoup, posa des questions, n’eut pas toujours de réponses mais celles qu’il recevait étaient souvent les mêmes : "Parlez-en entre vous".C’est ça. Le dialogue. Il l’avait oublié mais c’est en parlant qu’on résolvait la plupart des problèmes. Mais voilà. Comment aborder le sujet avec Laure. Et quel sujet ? Il ne s’imaginait pas mettre le sujet de la routine sur la table, tout de go, entre le fromage et le dessert, à table justement ! Mais il devait lever ses doutes et discuter avec Laure de ses envies, de ses attentes, de ses frustrations pour que la routine ne tue pas leur couple.
Un soir, tandis qu’ils étaient dans leur canapé du salon à regarder distraitement la télévision tout en prenant un apéritif, Paul demanda à Laure :— Tu m’aimes ma chérie ?— Oui mon amour. Bien sûr. Et toi ?— Oui je t’aime et je n’ai pas envie de te perdre mais je sens bien que quelque chose cloche dans notre couple, que ce n’est plus comme avant. Je trouve qu’on devient casaniers, routiniers.— Je sais. J’aime être avec toi, me faire dorloter, faire l’amour, partager mais je trouve aussi qu’il n’y a plus de sel dans notre couple pourtant tu es l’homme que j’aime et que je veux rendre heureux. Je sais que tu dois passer du temps au travail mais nous devons nous reprendre.— Tu sais, je me suis fait les mêmes réflexions et j’ai cherché sur internet des couples qui auraient eu à traverser le même type de crise que la nôtre et j’ai relevé des idées qui pourraient nous aider.— Lesquelles ? demanda Laure.— Eh bien tu vois, certains couples ont pris du recul pour mieux se retrouver ensuite. Mais je ne crois pas en cette solution en ce qui nous concerne. D’autres ont discuté comme nous et ont trouvé un terrain d’entente, souvent pour sauver le couple et protéger leurs enfants mais comme nous n’en avons pas, cela n’est pas non plus ce qu’il nous faut.— Et d’autres ont assouvi leurs fantasmes !— Oui... d’autres couples ont parlé de leurs fantasmes et ont tenté de les réaliser pour casser la routine. Parfois ceux de la femme uniquement, parfois ceux de l’homme et d’autres fois leurs fantasmes partagés.
— Tu n’as pas peur d’entendre les miens ? Je ne suis pas sûre de vouloir connaître les tiens et le propre des fantasmes c’est de le rester dit-on, non ?— Moi, j’ai souvent cette image de toi en train de faire l’amour à une autre femme devant moi, fantasme totalement masculin, non ?— Oui ! dit Laure en riant. Très masculin cela. Mais pour être franche, cela ne me dit rien de faire cela à trois et avec une femme en plus. Par contre avec un autre homme... Hummm.L’idée de partager Laure avec un autre homme avait récemment effleuré Paul mais là, c’est elle qui amenait le sujet dans la conversation. A peine croyable. Bon... en parler c’est une chose. Réaliser un fantasme en est une autre.— Et tu verrais cela comment ?— A toi d’imaginer un scénario mon chéri... dit Laure avec un sourire coquin.
Elle semblait aussi avoir réfléchi à la question et son idée était bien mûre pour qu’elle en parle ainsi à Paul. Il ne doutait pas un instant des envies de sa femme et qu’elle franchirait le pas s’il le voulait aussi. Durant les jours qui suivirent, Paul pensa beaucoup à ce fantasme et imagina plusieurs scenarii qui pourraient plaire à Laure. Enfin, après deux semaines, il avait élaboré un scénario qui conviendrait certainement, ne restait plus qu’à le mettre sur pied. Il trouva le temps de rassembler toutes les pièces du puzzle jusqu’au jour J.
Un soir, Paul rentra à la maison et annonça à Laure :— Ma chérie ! Tu ne devineras jamais ce qui m’est arrivé aujourd’hui ! J’étais ce midi au restaurant avec des clients quand je suis tombé en repartant, nez à nez avec deux anciens copains du service militaire (eh oui ! Paul faisait encore partie de cette génération qui avait eu la joie de faire son service au temps où celui-ci était encore obligatoire, en tant qu’aspirant à Draguignan. Que de bons souvenirs !). Comme nous n’avions ni les uns ni les autres, le temps de discuter trop longtemps, je leur ai proposé de passer prendre un verre ce soir à la maison, ce qu’ils ont accepté bien entendu. Tu te rends compte ! C’est super non ?— Oui mon cœur, dit Laure. Mais je n’ai rien préparé pour les recevoir.— Ne t’inquiète pas. Ils passent prendre un verre et rien de plus. En toute camaraderie. Pas besoin de mettre les petits plats dans les grands.
Laure fut rassurée mais alla quand même s’apprêter dans la salle de bain afin de se mettre en valeur et faire honneur à Paul quand ses copains seraient là.
Vers 19h, le carillon sonna et Paul alla ouvrir. Sur le perron se tenaient les 2 copains que Paul n’avait pas vus depuis près de 15 ans.— Entrez ! Laure ma chérie. Nos invités sont arrivés. Je te présente Maxime et Antoine. Laure mon épouse.Les présentations faites, tout ce petit monde passa au salon. Maxime et Antoine prirent le canapé, Laure et Paul leur faisant face dans des fauteuils club. On discuta surtout de ce qui était advenu à chacun depuis le régiment. Maxime et Antoine ne s’étaient jamais perdus de vue et vivaient maintenant près de Rennes. Le premier avait monté une société de gardiennage qui s’était bien développée avec le temps et avait naturellement fait appel au second pour l’aider dans la gestion des projets et des hommes. Au fil du temps, les verres se remplissaient, se vidaient et quand il fut tard, les deux amis se levèrent pour s’en aller quand Paul les retint pour leur proposer de rester dîner.— Mais je n’ai rien préparé, dit Laure un peu fâchée contre Paul.— Ce n’est pas grave ma chérie, on fera à la bonne franquette. Je suis sûr qu’on a de quoi se restaurer dans le réfrigérateur. On va faire des assiettes de tapas et ça ira très bien.— Mais vos femmes vont vous attendre, non ? demanda Laure.— Non. Nous sommes en déplacement dans la région parisienne jusqu’à vendredi, nous ne comptions pas rentrer sur Rennes ce soir. Pas de problème pour nous si cela n’en est pas un pour vous, dit MaximePaul demanda alors à Antoine de venir l’aider en cuisine à tout préparer afin de ne pas imposer cela à Laure, en plus de la mettre devant le fait accompli. Ils laissèrent donc Maxime et Laure seuls dans le salon.Une fois seul avec Laure, Maxime lui suggéra de le rejoindre dans le canapé, là où elle serait installée plus confortablement. Laure se leva et vint donc rejoindre Maxime mais laissa entre eux un espace volontairement convenable.— Paul a épousé une femme sublime, dit Maxime en regardant Laure droit dans les yeux— Merci, lui répondit celle-ci sans sourciller.
Evidemment Laure avait bien compris que tout cela n’était qu’un coup monté. Elle n’avait pas cru un seul instant à l’histoire de ces 2 copains rencontrés par hasard. Paul lui avait souvent parlé de ces 12 mois d’armée mais s’il avait mentionné certains noms, jamais ces deux-là n’avaient figuré dans la liste des aspirants de sa promotion. C’est donc avec aplomb qu’elle fixait Maxime, se demandant ce qu’il allait entreprendre, quel était le scénario imaginé par son mari. Elle ne dut pas attendre très longtemps pour voir Maxime se rapprocher d’elle et avancer sa main sur sa cuisse.— Vraiment très belle et très désirable, insista Maxime. Je me demande ce qu’ils font en cuisine et si nous aurons le temps de faire plus ample connaissance avant qu’ils ne reviennent.Sur ces paroles, Antoine revint avec un plateau de trucs à grignoter. Après l’avoir posé sur la table basse, il vint se placer de l’autre côté de Laure.

Paul avait ôté sa main de la cuisse de Laure.— Je disais à notre hôte à quel point Paul avait de la chance d’avoir une femme aussi belle, sensuelle et désirable, dit Maxime— Je suis totalement d’accord avec toi, renchérit Antoine qui posa sa main sur le genou de Laure.— Merci Messieurs. J’adore les compliments de galants et beaux hommes comme vous. Cela me va droit au cœur.Voyant cela, Maxime se tourna légèrement vers Laure et avança sa main pour déboutonner les deux boutons du haut du chemisier de Laure.— Vous serez tellement plus à l’aise ainsi et il fait tellement chaud chez vous.Laure se laissa faire et posa ses mains sur la cuisse de ses voisins. Elle se laissait aller, jouant le jeu que son mari avait imaginé pour elle. Elle bascula la tête en arrière comme une invite à disposer d’elle. Maxime déboutonna entièrement le chemisier de Laure tout en lui baisant le cou, derrière les cheveux. Antoine s’attaquait maintenant au bouton du jean de Laure et à la fermeture éclair. Par l’entrebâillement ainsi obtenu, il glissa sa main sur l’entrejambe de Laure qui soupira de plaisir au contact de cette main douce et chaude. Elle sentait les doigts jouer sur la dentelle de sa culotte, frotter sa petite chatte qui commençait à mouiller follement. Maxime avait dégrafé d’une main experte le soutien-gorge Laure qui s’ouvrait par le devant. Il pelotait maintenant sa petite poitrine, jouant avec les tétons qui durcissaient de plus en plus à chaque caresse. Laure savourait ce moment qui allait la faire basculer dans une autre dimension. Elle avait toujours rêvé d’une situation comme celle-ci mais n’aurait jamais imaginé que Paul soit capable de l’assumer. Et pourtant, que s’était-elle trompée sur son mari. Non seulement il avait deviné le malaise qui s’installait doucement dans leur couple mais avait pris les choses en mains, avait su lui parler et préparer cette mise en scène qui lui plaisait au plus haut point.
Antoine s’était mis à genoux entre les cuisses de Laure et lui retirait son jean puis sa culotte de dentelle rouge. La chatte de Laure s’offrait maintenant à lui et il avança son visage pour de sa bouche, venir baiser ce petit abricot qui lui semblait si délicieux. Sa langue jouait avec la vulve, léchait les grandes et petites lèvres, se frayait un chemin dans la grotte trempée de Laure qui gémissait de plus en plus belle. Maxime embrassait Laure dans le cou et malaxait ses seins qui maintenant étaient durs comme des pointes de crayon. Laure de son côté caressait Maxime au travers de son pantalon et palpait sa verge qui lui semblait bien dure maintenant et surtout bien grosse. Elle n’arrivait pas à défaire la barrière qui la mènerait au phallus de son nouvel amant. C’est ce dernier qui lui facilita la tâche en se déshabillant en un clin d’œil. Laure put enfin prendre dans sa main cette bite qui s’offrait à elle et qu’elle commençait à masturber avec une envie de plus en plus grande de la prendre en bouche. Mais elle se refrénait afin que le désir monte encore plus. Antoine jouait avec la chatte de Laure, avec ses doigts maintenant. Il avait introduit son majeur dans la chatte de la belle et allait et venait au plus grand plaisir de Laure. Puis il mit 2, puis 3 doigts et masturbait Laure qui sentait que sa chatte se dilatait de plus en plus et que dans peu de temps elle allait y recevoir autre chose que les doigts experts d’Antoine. Elle espérait que ce dernier avait une bite au moins aussi grosse que celle qu’elle avait en main.
Cette bite qu’elle avait envie de sucer. Alors elle se pencha vers le sexe de Maxime et sans autre forme de procès, l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Elle commença à faire coulisser ses lèvres le long de cette hampe savourant son goût âpre mais qu’elle aimait beaucoup.Et ce qu’elle avait imaginé se produisit... à l’entrée de sa chatte pointait maintenant le gland d’Antoine et d’une poussée ferme, c’était maintenant toute sa bite qui la pénétrait, l’emplissait, la faisait grimper aux rideaux car elle n’en avait pas douté, celle-ci était bien grosse et bien longue.Laure hurlait de plaisir :"Baisez-moi comme une salope que j’ai toujours su être"
Et Paul dans tout cela ? Il regardait Laure se faire gentiment démonter, caché dans l’embrasure de la porte du salon. Il avait sa queue dans la main et se branlait devant le spectacle de sa femme en train de sucer un inconnu, la bite d’un autre inconnu dans la chatte et elle qui criait. Loin d’être stupide, Paul avait compris que Laure n’avait pas gobé son histoire de copains mais intérieurement il la remerciait de jouer le jeu et de n’avoir finalement aucun frein à ses envies. Il le découvrait. Il s’en délectait. Quand il estima avoir assez maté et qu’il était temps de participer, Paul entra dans le salon feignant d’être surpris par le spectacle qu’il découvrait. Le trio s’interrompit dans ses ébats, Laure releva la tête vers Paul et dit : — Merci mon chéri pour cette belle surprise. Tu viens nous rejoindre. Je crois qu’il y a de la place pour toi.Paul qui n’avait plus que sa chemise à retirer, rejoignit Laure sur le canapé. Elle l’embrassa fougueusement sur la bouche et le prit en bouche afin de lui administrer une pipe mémorable.— Tu veux qu’on te remplisse mon amour ? Tu veux sentir tous tes trous remplis de nos 3 bites ? Tu te sens assez salope ce soir pour te faire baiser par ton mari et 2 vieux copains de régiment ?— Je suis ton jouet sexuel ce soir mon chéri, fais de moi ce que tu veux.Paul s’allongea donc dans le canapé, attira Laure vers lui pour qu’elle s’empale sur son sexe offrant ainsi son cul à Maxime ou Antoine.— Allez-y les gars. Que l’un d’entre vous lui défonce le cul à ma petite chienne de femme. L’autre lui offrira sa bite à sucer.C’est Maxime qui présenta son gland à l’entrée du cul de Laure. Il poussa lentement non sans avoir oint le petit orifice avant pour que Laure n’ait pas la douleur d’une pénétration à sec !— Encule-moi à fond mon cochon. Baisez la salope que je suis. Défoncez-moi fort.
Antoine présentait maintenant sa bite à la bouche de Laure qui ne se fit pas prier pour le sucer et comme l’avait annoncé Paul, plus un orifice n’était libre. Elle avait 3 bites en elle et aimait cela. Elle n’avait jamais imaginé qu’elle puisse aimer cela mais elle aimait. Follement. Laure criait sa jouissance tandis que les trois hommes la pilonnaient.Puis les rôles s’inversèrent... Maxime qui venait de jouir dans le cul de Laure céda sa place à Antoine qui s’en donna à cœur joie pour éclater aussi le petit trou de Laure. Paul sous Laure, la regardait fixement et ce qu’il lisait dans ses yeux était clair : elle prenait un pied fou à être livrée en pâture à ces trois mâles en rut. Quand l’un avait joui dans l’un de ses orifices, elle n’attendait pas longtemps pour sentir à nouveau un membre la pénétrer. Elle avait toujours au moins une bite fichée en elle. Les positions s’interchangeaient, les bites tournaient en elle. Elle était tantôt prise en levrette et suçait une bite, tantôt en double voire en triple. Ce petit jeu dura plus d’une heure et une fois tout le monde se soit bien vidé couilles dans tous les trous de Laure qui était bien remplie du foutre de ses trois amants, un calme s’installa, chacun reprenant ses esprits.— Merci mon cœur pour cette surprise, dit Laure— Mon plaisir ma chérie— Tu sais, je n’ai jamais cru à ta rencontre fortuite avec tes ex-copains de l’armée.— Je m’en doute, mais tu as joué le jeu comme je n’aurais jamais imaginé. Tu es finalement une vraie salope !
Sur ces mots, Paul se souvint d’une phrase " Les gens qui doutent, il faut que la vérité leur crève les yeux pour qu’ils la reconnaissent". La vérité était que sa femme était une chienne lubrique, cela lui sautait maintenant aux yeux, il n’en doutait pas un seul instant. Il l’aimait et était certain que ces petits jeux ne faisaient que commencer et peut-être renforcer leur couple car tous les deux y prenaient un vrai plaisir sans céder la moindre once de leur amour.— La prochaine fois, il me reviendra de te surprendre, lui dit Laure au creux de l’oreille.(La suite au prochain épisode si cela vous a plu)
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