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Les gens qui doutent

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Chacune alla vers son chéri et se pencha pour lui donner un baiser, droit dans les yeux. Laure demanda à l’oreille de Paul : « Cela t’a plu mon chéri ? Tu vois, je n’ai pas perdu mon temps depuis que tu m’as mise dans les bras d’autres hommes ». Paul ne sut que dire et pour toute réponse, il embrassa fougueusement sa femme. Les trois autres devaient certainement être dans le même état que lui. Laure fit glisser sa main sur l’entrejambe de Paul et entreprit de lui défaire sa ceinture et baisser sa braguette. Une fois arrivée à ses fins, elle glissa une main dans le boxer de Paul et en ressortit un sexe déjà bien dur qu’elle se mit à branler doucement. Paul sentit la présence d’une autre personne qui s’était rapprochée. Diana était là et dit à Laure « Va t’occuper du mien, je vais bichonner ton Paul ». Laure se redressa et fit un simple déplacement sur le côté pour retrouver Patrick qui était dans le même canapé. Diana regarda avec envie le sexe de Paul que Laure avait dégagé du boxer. « Je vais te mettre plus à l’aise tu vas voir » et elle commença à défaire les boutons de la chemise de Paul qui en un rien de temps se retrouva projetée dans un coin du salon. Elle continua à mettre Paul à poil en reprenant le travail là où Laure l’avait laissé. Elle s’agenouilla devant lui et fit descendre en même temps, Boxer et pantalon qui se retrouvèrent coincés aux chevilles. Ne manquait alors plus qu’à ôter les mocassins qu’il portait pour se retrouver nu comme un ver devant cette sublime métisse. Elle engloutit alors dans sa bouche aux lèvres légèrement lippues, le sexe de Paul qui bandait monstrueusement. Après quelques va-et-vient, Paul au bord de l’explosion n’y tint plus et envoya une giclée au fond de la gorge de Diana qui n’en lâcha pas une goutte.
« Il n’a pas tenu longtemps ton Paul, ma chérie » dit-elle alors à la cantonade. Les trois autres se mirent à rire car chacune était arrivée également à faire jouir l’homme dont elle s’était occupée. Gino avait reçu les faveurs d’Emilie et Patricia était venue à bout de Jean dans le même temps record.
« Il va falloir les ranimer ces messieurs » dit Patricia. « On change de cavalier ». Emilie fut celle qui vint ranimer Paul. A la vue de cette rousse qui venait l’embrasser et lui titiller les tétons tout en se frottant contre son sexe, Paul ne mit pas très longtemps à retrouver sa fougue. Son membre reprit une belle prestance et Emilie le goûta comme l’avait fait Diana avant elle. Le goût du sperme était encore présent sur la verge de Paul mais cela n’empêcha pas Emilie de continuer sa fellation quelques instants, le temps de redonner au sexe de Paul la raideur nécessaire dont elle avait besoin. Elle se releva et fit signe à Paul de se lever du canapé. Elle se mit alors sur ses genoux, coudes appuyés contre de dossier du canapé, offrant ainsi à Paul la vue de cette croupe callipyge. Il vint fourrer son visage entre les cuisses d’Emilie et investit sa chatte avec sa langue. Emilie avait glissé un bras le long de son corps et Paul sentit qu’elle excitait son clitoris par de savantes caresses. N’y tenant plus, il se redressa et présenta son gland aux petites lèvres de sa partenaire. D’une poussée lente mais régulière il prit entièrement possession du sexe d’Emilie et se mit à la besogner avec l’idée de la faire jouir. Juste retour des choses après ce que lui avait fait subir Diana en moins de 5 minutes. Paul s’amusait à modifier le rythme de sa pénétration, tantôt poussant au fond du vagin son sexe et le ressortant entièrement et rapidement pour y retourner, ou pénétrant à peine Emilie pour jouer avec ses petites lèvres qui s’ouvraient et se refermaient presque aussitôt. C’est à ce jeu sensuel et bestial à la fois, qu’il entendit Emilie pousser un soupir de jouissance suivi d’un spasme de tout son corps. Gino qui s’était rapproché prit la relève et décida d’explorer l’autre intimité d’Emilie. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que le membre qui tentait maintenant de la sodomiser n’était plus le sexe de Paul, mais un engin probablement encore plus gros. Elle tourna la tête pour voir que son cavalier était italien cette fois et qu’il allait la démonter avec un tel pieu. Mais ce soir, il avait été convenu de ne pas avoir de limites et de laisser-faire, alors elle appliquait la règle à la lettre.
Jean s’activait dans Diana, Laure était toujours occupée par Patrick et Patricia se faisait brouter le minou assise sur le visage de Laure qui semblait aux anges. Paul vit que Jean avait basculé sur le tapis entraînant avec lui Diana qui était maintenant sur lui, s’activant comme à monter un cheval à cru. Paul lui présenta son sexe pour qu’elle le suce avec cette bouche qui l’avait fait jouir tantôt. Il avait dès le premier regard, trouvé cette femme très à son goût et maintenant que les événements avaient pris une tournure trois heures plus, inenvisageable, il avait décidé d’en profiter. Diana goba ce sexe qu’elle avait bien aimé mais ne voulait pas qu’il vienne une seconde fois au même endroit. Elle fit alors signe à Paul de se placer derrière elle et arrêta de bouger quand il vint placer son gland contre son anus. Paul enduit l’entrée d’un peu de salive et laissa son sexe pénétrer Diana, sentit au travers de la fine paroi vaginale le sexe de Jean. Ils se remirent tous les deux à lentement bouger, alternativement, comme des pistons bien huilés. Diana ne mit pas longtemps à jouir comme une folle et à en redemander plus. Les deux hommes fichés en elle, reprirent leurs mouvements jusqu’à ce qu’ils jouissent à leur tour en elle, la faisant redoubler de gémissements. Ils s’effondrèrent tous les trois les uns sur les autres jusqu’à recouvrer leurs esprits après cette séance intense. Leurs corps fatigués ne mirent cependant pas très longtemps à retrouver de l’énergie et ils observèrent ce qui était en train de se passer autour d’eux.
L’orgie était totale. Les couples se faisaient et se défaisaient au rythme des jouissances des un (e)s et des autres. Quand l’un des hommes avait joui et avait besoin de quelques instants de repos pour reprendre de la vigueur, il n’avait qu’à regarder les scènes de pur sexe qui se déroulaient autour de lui. Et il ne fallait pas très longtemps pour que son membre soit de nouveau efficace. Jamais ils n’avaient été si performants, tenant le coït longtemps et y revenant rapidement. Au plus grand bonheur de leurs femmes qui subissaient les assauts répétitifs de ces mâles en rut.
La nuit s’acheva bien après minuit, on retourna chez soi pour une nuit de repos et se promettant de se revoir bien assez tôt.
Le lendemain matin, Laure expliqua à Paul que ses copines et elle avaient de plus en plus parlé de sexe lors de leurs après-midi communs et que de fil en aiguille elles avaient découvert que leurs couples étaient plus ou moins avec les mêmes attentes : découvrir de nouveaux jeux, de nouveaux plaisirs, de nouveaux partenaires et c’est ainsi qu’elles avaient concocté un petit scénario dont Paul avait pu apprécier le déroulé la veille au soir.
Ces soirées devinrent un rituel pour les joyeux libertins. Au moins une fois par mois ils se retrouvaient pour une soirée débridée, tantôt chez un couple, tantôt chez l’autre.
Un soir alors qu’ils prenaient l’apéritif sur leur terrasse, Laure dit à Paul : « j’aimerais bien avoir une partenaire de jeu à domicile mon chéri ».
— Qu’entends-tu par partenaire à domicile mon cœur ? demanda Paul.— J’aimerais bien que l’on loue la dépendance à un jeune couple partageant les mêmes envies que nous et qui serait selon notre bon vouloir, notre partenaire de jeu. Tu sais, j’ai passé une annonce sur un site libertin bien connu et j’ai eu quelques réponses. Evidemment il a fallu faire le tri car beaucoup ne correspondaient pas à mes – pardon - nos critères, mais je crois avoir trouvé un jeune couple parfait pour nous.— Tu es dingue ! s’exclama Paul. Tu veux faire de notre foyer un lupanar permanent ?— Prends cela comme le fait d’avoir deux esclaves sexuels rien que pour nous et quand on le désire. Imagine-toi seul un soir avec une charmante jeune fille à qui tu pourrais faire l’amour et qui viendrait de temps en temps dans notre lit pour nous partager. Idem pour son copain ou les deux en même temps
Paul admit que l’idée était très tentante et il donna son accord pour recevoir un jour prochain « la sélection » de Laure.
Trois jours plus tard, vers 20 heures, se présenta un jeune couple de 23 et 21 ans. Samuel et Ariane. Samuel était étudiant en beaux-arts et Ariane entrait en troisième année de médecine. Il était grand, beau et élancé, les cheveux bruns tandis qu’elle était de taille moyenne, chevelure longue et châtain, et des formes somme toute très banales. Ils expliquèrent qu’ils étaient en couple depuis près de trois ans et qu’ils avaient découvert le milieu libertin un an auparavant dans un club de province. Curieux au début, ils avaient pris goût à ces échanges mais restaient novices car ils avaient surtout pratiqué le côte-à-côtisme et le mélangisme. Désireux de se rapprocher de Paris, ils avaient essayé divers sites pour trouver un logement et c’est par hasard qu’ils étaient tombés sur l’annonce de Laure qui leur avait plu, surtout que la dépendance décrite semblait parfaite, spacieuse et parfaitement adaptée à un jeune couple ne voulant pas mettre trop en loyer dans la capitale. Laure et Paul furent honnêtes avec eux, précisant que d’autres couples avaient également répondu favorablement à l’annonce et que rendez-vous étaient pris mais que d’ici la fin de semaine une réponse leur serait donnée.
Le lendemain soir se présentèrent Olivia et Nicolas, tous les deux étudiants en école de commerce post prépa, logeant en chambre de bonne mais séparés, en proche banlieue parisienne, banlieue peu ragoûtante. Ils avaient décidé de s’installer ensemble et même si leur temps de trajet domicile/école serait maintenant rallongé, la dépendance semblait idéale, le loyer (assez bas qu’avait fixé Laure) leur laissant assez pour bien vivre leurs années d’étudiants. Olivia était une blonde d’environ 1m72, avec de longs cheveux blonds tombant en cascade le long de ses fines épaules. Elle avait de beaux yeux bleus, une poitrine que l’on devinait généreuse mais pas opulente, juste bien proportionnée à ton torse. A priori, de jolies fesses bien dessinées et des belles jambes galbées. Nicolas était plus grand que Paul probablement. Près d’1m85, beau brun aux yeux marron et un visage régulier sur lequel il laissait pousser une barbe de cinq jours. 22 ans chacun. Ils visitèrent la dépendance et la trouvèrent tout à fait géniale !
Ils furent ensuite bombardés de questions par Laure et Paul car chacun trouvait le couple très à son goût. Paul était tombé sous le charme d’Olivia au premier regard et Laure avait trouvé Nicolas très séduisant, très mâle malgré son jeune âge et avait cru détecter qu’il devait être très bien monté vu la bosse que faisait son sexe au repos dans son jean un peu serré.
— Avez-vous pratiqué le libertinage ? demanda Paul.— Un peu, répondit Olivia. Il nous est arrivé d’aller en club et de faire l’amour avec d’autres couples. On a adoré. Nicolas a un appétit sexuel assez important et parfois je n’arrive pas à le satisfaire toute seule !— Et Olivia adore le sexe aussi ! femmes ou hommes, renchérit Nicolas.— Si vous avez lu l’annonce, nous sommes assez cash. L’idée est d’être tous les quatre, quasiment sous le même toit et partager quand bon nous semble, toutes les combinaisons possibles que cela permet. Bien entendu, aucune contrainte... juste quand les envies sont partagées. Je ne l’ai pas précisé dans l’annonce, mais la contrepartie de votre accord est que notre femme de ménage fera la dépendance deux fois par semaine, vous serez blanchis et finalement le loyer qui ne sera pas comme précisé dans l’annonce mais 30% moins élevé, précisa Laure.
Olivia et Nicolas se regardèrent et demandèrent à pouvoir s’entretenir seuls à l’écart de leurs hôtes. Quand ils revinrent quelques minutes plus tard, ils marquèrent leur accord. Laure et Paul savaient qu’ils n’avaient plus besoin de chercher. Ils passeraient les coups de fil nécessaires le lendemain. Pour célébrer cela, ils proposèrent à leurs nouveaux locataires de rester dîner « à la bonne franquette ». On se questionna longuement sur les goûts des uns et des autres, les attentes en matière de débouchés par rapport à leurs études, les envies, le parcours familial etc. Le vin aidant, les langues s’étaient déliées et la discussion s’était faite plus intime. On découvrit qu’Olivia avait en effet des envies très diverses en matière de sexe et que Nicolas avait aussi un appétit d’ogre si l’on croyait la multiplication des aventures qu’ils avaient vécues ensemble. La soirée se passa très convenablement et il fut convenu qu’ils pourraient emménager dès le week-end prochain ce qui convenait totalement au jeune couple qui avait également été séduit par Laure et Paul et qui étaient certains que cet arrangement allait convenir à tous.
Le vendredi après-midi, alors que Paul n’était toujours pas rentré du travail, Laure reçut un appel de Nicolas qui n’avait plus cours et qui demandait s’il pouvait passer prendre quelques mesures dans la dépendance afin de voir quels meubles ils pourraient garder et lesquels ils devraient racheter. Laure n’étant pas occupée, il pouvait passer à tout moment, bien entendu. A peine 30 minutes plus tard, Nicolas arrivait à son nouveau domicile et après avoir salué Laure, alla prendre les fameuses mesures. La dépendance était composée une petite salle de bain, une cuisine équipée, un salon assez grand finalement et une vaste chambre en mezzanine. On aurait dit un petit loft parisien mais cette ancienne grange réhabilitée avait beaucoup plus de charme. Au total, près de 80 mètres carrés. Nicolas sut qu’ils n’auraient aucun problème à caser leurs affaires et remercia Laure de son hospitalité et reprit la route. Elle aurait bien profité de ce moment pour goûter à Nicolas, mais Laure savait qu’il était trop tôt, qu’il ne fallait pas brusquer les choses. Arriva le samedi. Vers 15 heures, un camion de location se gara dans l’allée principale de la maison et Olivia et Nicolas en descendirent pour emménager. Laure et Paul leur proposèrent de les aider mais les deux jeunes tourtereaux refusèrent catégoriquement. Il n’y avait pas grand-chose finalement et cela irait assez vite.
— Une fois fini, venez prendre une collation sur la terrasse avec nous pour vous détendre. Et si vous n’avez rien de prévu ce soir, nous avons de quoi dîner pour quatre.
Les jeunes acceptèrent l’invitation sans hésiter. Vers 19 heures, ils arrivèrent sur la terrasse, éreintés par ce déménagement qui leur avait coûté de la sueur et un mal de dos pour Nicolas assez terrible.
— Venez les jeunes vous installer. Que souhaitez-vous boire ? demanda Laure— Un grand verre d’eau, dit Olivia— Une bière si vous en avez Madame, demanda Nicolas— Appelez-nous Laure et Paul. Cela sera plus simple quand même.— OK Laure ! dirent-ils en chœur.
Quand elle revint avec un plateau de rafraîchissements qu’elle posa sur la table basse, Laure se positionna derrière Nicolas et lui dit en mettant ses deux mains sur ses épaules :
— Mon cher Nicolas, si vous avez mal aux dos et épaules, je peux vous faire un petit massage très réparateur » et tout en parlant, elle avait commencé à masser délicatement le cou et les épaules de Nicolas qui avait maintenant fermé les yeux, profitant de ce moment de détente inattendu.
Il appréciait le savoir-faire de Laure qui lui prodiguait une relaxation savamment calculée. Olivia regardait cela de loin et avait constaté que non seulement Nicolas appréciait mais que son sexe dans son short avait maintenant doublé de volume. Si Laure poussait son massage plus loin elle n’allait pas tarder à chauffer Nicolas.
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