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les gros seins de la coiffeuse

Chapitre 2

Hétéro
— Je ne sais pas vraiment comment faire, je ne le fais pas avec mon mari. Juste quelques fois avec un copain avant mon mariage.
— Je vais te guider, je vais t’apprendre à avaler mon sperme aussi.
— Je vais être une bonne élève, j’ai envie de te faire plaisir.

Rachelle n’est vraiment pas douée. Après plusieurs explications, de la patience, elle écoute, elle s’applique et réussit enfin en me branlant avec deux doigts et me suçant en même temps à me faire jouir et avaler mon sperme.

— Merci pour la leçon, je pense faire mieux la prochaine fois, j’ai pris beaucoup de plaisir à recevoir ton sperme et l’avaler, c’est un peu fade, mais j’aime bien. Si tu veux de nouveau m’apprendre, je suis prête et j’ai encore envie de jouir.

Je lui demande de se mettre à genoux sur le tapis, j’ai remarqué qu’elle est très sensible des seins, et j’ai envie de m’en servir pour lui donner plus de plaisir. Sa chatte finalement assez humide accueille ma queue, je la possède doucement, je lui saisis les seins et les caresse. Elle commence à pousser de petits cris de plaisir, j’amplifie mes pénétrations plus fortes et plus profondes, je saisis ses tétons et les fais rouler entre mes doigts, sa jouissance commence.
— Oui, non, encore plus, c’est bon.
Je pince ses tétons plus fort, tout en cessant de la prendre, sa jouissance augmente, alors je les étire et reprends mes pénétrations, je ne me retiens pas. Tel un bûcheron, j’assène de puissants coups de queue et augmente les pressions et étirements de ses tétons. Rachelle est comme en transe, le corps secoué dans tous les sens, sa chatte mouille de plus en plus et ses cris redoublent. Je continue ainsi une bonne demi-heure avant, dans un grand cri, de tapisser sa chatte de mon foutre.
— Je n’imagine pas que faire l’amour soit aussi fort, aussi bon, et avoir autant de plaisir, surtout quand tu as pincé mes seins, je dois crier trop fort ?
— Il ne faut surtout pas t’empêcher de crier, libère-toi complètement, profite de ces moments ; tes seins sont très sensibles, et ce soir, je vais te faire jouir qu’avec eux.
— Tu crois que c’est possible, si tu le dis, cela doit être vrai, mais je suis tellement nulle dans le plaisir sexuel. J’ai tout à apprendre, et avec un bon professeur comme toi, je sais que je vais découvrir le plaisir avec un grand “A”.
Malgré ses réticences, Rachelle a accepté de porter sa robe aussi déboutonnée qu’à son arrivée chez moi, je n’ai pas réussi à lui faire laisser sa poitrine libre pour cette fois. Je lui ai bien précisé qu’à notre prochaine sortie, c’est obligatoire. Je l’emmène dans une ville à trente kilomètres de mon domicile. Nous flânons dans les ruelles de la vieille ville, beaucoup de regards sont fixés sur nous.
— Tout le monde me regarde comme une pute avec cette tenue.
— Ne t’occupe pas du regard des gens. Certaines femmes envient d’être à ta place et beaucoup d’hommes à la mienne. Profite de ta vie, tu es une très belle femme.
Au restaurant, le serveur a les yeux qui s’attardent souvent sur sa poitrine.
— Regarde cet homme comme il te mange des yeux. Maintenant écarte tes cuisses, certains clients vont pouvoir profiter de la vue sur ta chatte.
— Je n’ose pas, je suis gênée. Tu me fais faire des choses que je ne fais jamais.
— Laisse-toi aller, ne pense pas aux autres, mais à la nuit qui t’attend.
Petit à petit, elle se laisse aller, ses cuisses se sont ouvertes doucement et le sont suffisamment maintenant. Je remarque qu’à quelques tables, les regards sont fixés sur nous, et aussi un changement dans son attitude quand le serveur qui vient souvent à notre table pour des prétextes futiles (“ eau, pain, tout va bien” ?) Elle se redresse pour mieux lui faire voir sa poitrine.
— Ça va mieux, ma chérie ? Le serveur va faire de beaux rêves cette nuit et quelques clients aussi.
— Tu m’as demandé d’être naturelle, j’essaie de te faire plaisir. Tu me le reproches maintenant ? J’ai l’impression d’avoir le bas-ventre en feu, je sens ma chatte couler.
— Jamais je ne te le reprocherai, au contraire, je suis très fier de toi. De la peur tu es passée au plaisir de t’exhiber un peu. La prochaine fois, on reviendra dans le même restaurant et tu ne porteras pas de soutien-gorge.
— Tu me fais faire des folies, tu me fais découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais pas. Tu es content de ton élève ?
— Je suis fier de toi, tu apprends vite, mais il te reste encore beaucoup à apprendre.
Sorti du restaurant, j’ai laissé un bon pourboire au serveur qui a pu apercevoir la chatte de Rachelle lorsqu’elle a pivoté sur sa chaise pour quitter la table. Elle se colle contre moi comme une chatte en chaleur. Profitant d’une petite ruelle, j’effleure sa chatte avec mon doigt, au troisième passage, elle jouit.
— Tu vois, tu es toute excitée maintenant. Tu as aimé cette exhibition, il me semble. Tu en feras des plus hard encore.
— Tes paroles me mettent en confiance, et je me suis laissée aller sans m’en rendre compte. J’ai hâte d’arriver à la maison pour jouir.
— Je fais de toi une vraie petite salope sexuelle, c’est mon but et t’amener plus loin dans le plaisir.
De nouveau, je passe ma main sur sa chatte et Rachelle a une nouvelle jouissance. Trois hommes assez jeunes nous regardent et émettent quelques sifflets. Elle ne dit rien, se contentant de m’embrasser.
— Bravo ma chérie, ces trois hommes t’ont regardée jouir et tu n’as rien dit. Tu me surprends agréablement.
— J’ai confiance en toi et je prends tellement de plaisir quand tu me fais jouir. J’ai même regardé ces hommes pendant tes caresses.
— Bravo, tu progresses très vite, tu me surprends même dans ton envie sexuelle qui se développe.
Nous sommes rentrés, Rachelle est allongée nue, pressée de jouir à nouveau...
— Je vais te prouver que tu peux jouir rien qu’avec tes seins.
Je lui caresse les seins, insistant particulièrement sur ses tétons qui se développent et deviennent durs. Je pose sur chacun une pince à linge. Rachelle pousse un hurlement, des larmes coulent sur ses joues.
— J’ai mal, j’ai trop mal, enlève-les s’il te plaît.— Calme-toi, laisse passer la douleur et laisse-moi faire.
Je continue de caresser ses seins, elle se calme petit à petit. Quand je pense que la douleur est moindre, je saisis les pinces et tire dessus légèrement. Rachelle me regarde, étonnée, sans rien dire. Je tire plus fort sur ses tétons en les tordant. Elle se met à hurler non plus de douleur, mais de plaisir, sa jouissance est énorme, dépassant même mon attente. Lorsqu’elle se calme un peu je retire une première pince et lui tète le sein comme un bébé. Elle pose une main sur ma tête.Je fais de même avec la deuxième. Sa jouissance terminée, elle me prend la tête à deux mains pour poser ma bouche sur la sienne et nous échangeons une longue série de baisers.
— Merci mon chéri, tu me fais découvrir une nouvelle façon de jouir, c’est très fort. J’ai eu très mal quand tu as posé les pinces, puis la douleur s’est un peu calmée et quand tu as commencé à bouger les pinces, j’ai joui comme jamais avec le mélange de douleur et de plaisir. Je ne vais plus pouvoir me passer de toi, tu m’apportes tellement de plaisir. ai hâte de découvrir encore de nouvelles façons de jouir.
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