Je ne sais pas ce que Rachelle à pu raconter à son mari pour justifier sa rentrée à deux heures du matin et je ne lui pose pas la question lorsqu’elle m’appelle le lendemain matin avant l’ouverture du salon. — Mon chéri, tu me manques déjà ?— C’est moi ou ma queue qui te manques ?— Pour être honnête tu me manque et ta queue me manque,tu me fais redécouvrir le plaisir et j’ai envie de découvrir de nouvelles choses avec toi. Demain après-midi c’est mon jour de repos et je veux le passer avec toi. Rachelle arrive vers quinze heures au lieu des treize heures annoncées , vêtue d’un imperméable, elle se jette à mon cou pour me dévorer la bouche. — Désolée mon chéri, mais j’ai fait quelques courses pour te plaire. Elle retire son imperméable et je n’en crois pas mes yeux, Rachelle me surprend par son avidité d’apprendre et sa tenue du jour. Elle porte des cuissardes avec des talons de dix centimètres, des bas accrochés aux jarretières d’une guêpière qui contient à grand peine sa poitrine. — Tu a fait fort pour moi tu es habillée comme.— Comme une pute je sais c’est pour faire bander mon chéri plus fort et je te plais dans cette tenue ?— Tu es trop bandante, tu sera donc ma petite pute cet après-midi. — Je me demande comment je peux te plaire je ne suis pas très grande, j’ai quelques bourrelets, une poitrine énorme et je me conduis comme une chienne en chaleur.— J’aime les grosses poitrines, tes bourrelets je n’y pense même pas, ton envie de découvrir de nouvelles façons de jouir et ta tenue de ce jour que tu porteras d’ailleurs pour sortir tout me plait. A genoux maintenant suce moi salope. Rachelle se jette presque à genoux pour dévorer ma queue comme une morte de faim pendant que je lui triture les seins et elle s’offre une première jouissance avec seulement avec ses seins. Je l’entraine dans la chambre pour lui poser des pinces crocodiles sur les tétons, les dents mordent et s’enfoncent dans les chairs tendres ce qui fait couler quelques larmes sur ses joues mais sans une plainte de sa part.Je tire dessus sans tenir compte de la douleur qu’elle peut ressentir et à ma grande surprise Rachelle a une nouvelle jouissance. — C’est incroyable comment la douleur se transforme en plaisir et me fait jouir autant.— Allonge toi sur le lit sur le dos la tête dans le vide. Ma queue fait des vas et viens dans sa bouche et je m’enfonce un peu plus profond à chaque fois. maintenant ma queue est entièrement dans sa bouche et sa gorge touchant sa glotte. Je maintiens ma ueue enfoncée dans sa bouche une quinzaine de secondes avant de me retirer, un filet de salive reste accroché entre ma queue et ses lèvres. Rachelle hoquette et je replonge ma queue au fond de sa gorge ce qui m’amène à avoir une jouissance en libérant mon sperme dans sa gorge, elle tousse plusieurs fois avant de tout avaler.Je remarque alors que sa chatte a libéré une belle quantité de cyprine qui s’étale sur le drap et je comprends alors que Rachelle sera une soumise qui acceptera toute mes demandes et cela redonne une plus grande vigueur à ma queue.
Je la fais allonger sur le dos pour déguster sa cyprine qui macule le haut de ses cuisses et ses bas puis c’est au tour de son clito de grossir et danser sous ma langue. J’introduis plusieurs doigts dans son vagin et m’en sert comme d’un piston et une nouvelle jouissance commence pour elle. Je pousse de plus en plus vite ma main dans sa chatte, elle écarte ses cuisses au maximum, bien que poussant de plus en plus fort ma main n’arrive à franchir son col. Rachelle secoue la tête de gauche à droite, jouissant la bouche grande ouverte, comme j’insiste sa jouissance est tellement forte qu’elle s’évanouit. Je pense qu’avec quelques dilatations je lui ferai un fist. — Que s’est il passé ?— Ta jouissance a été tellement forte que tu t’es évanouie de plaisir.— C’est la première fois que j’ai une main dans ma chatte c’est incroyable comme j’ai jouis.— Tu jouiras encore plus fort lorsque ma main passera dans ton col.— Tu me fais tout ce que tu veux, tu me fais tellement jouir, as-tu quelque chose à boire ? Je reviens avec une bouteille de champagne et je déshabille Rachelle. Je vais prévenir mon mari que je ne rentrerai pas cette nuit, si tu me gardes. Le repas terminé on retourne dans la chambre, Rachelle se met à genoux en position de levrette. — Sodomise moi chéri, tu ne m’as pas pris le cul aujourd’hui. Peu de temps après , on s’endort je suis réveillé dans la nuit par Rachelle qui tient ma queue d’une main et le lèche en même temps. — Excuse moi mais j’ai trop envie de ta queue dans mon ventre. Cuisses écartées, jambes relevées par mes mains, je lui défonce la chatte à grands coups de queues puissants, elle va rapidement jouir jusqu’au moment ou ma queue déverse mon foutre dans sa chatte. — Tu ouvres ton salon à quelle heure ?— Neuf heures pourquoi ? — Il est déjà huit heures trente.— Je n’ai pas de temps à perdre, j’ai un rendez-vous à neuf heures avec une cliente. Remplis moi vite la chatte. Rachelle est partie travailler avec mon sperme qui doit couler le long de ses cuisses car ce n’est pas le minuscule string qu’elle a mis qui va retenir mon sperme.De mon côté je change les draps qui en ont bien besoin. Vers onze heures trente je reçois un texto de Rachelle “ viens vite j’ai un problème avec mon employée”. Je suis surpris et me rend au salon ou je découvre Rachelle et une femme plus jeune qui s’insulte et se tire les cheveux. — Vous pouvez m’expliquer ce qui ce passe ?— J’ai trouvé cette fouineuse le nez dans mon placard ou j’ai déposé ma tenue d’hier et qui me dit “ tu fais la pute, tes fringues sentent le sperme” tu baises avec qui ? Je regarde l’employée plus grande que rachelle et assez mince, cheveux noirs frisés vêtue d’un chemisier blanc déchiré qui laisse voir un sein de petite taille et d’une jupe noire à mi-cuisses. — C’est vrai Rachelle raconte la vérité ou elle ment ?— Je n’ai jamais dit cela.— Dis que ta patronne est une menteuse salope.— Tu as besoin d’apprendre la politesse ma petite si tu dis encore un mot tu vas le regretter et recevoir une bonne fessée.— Même si c’est vrai vous n’ oserez pas me toucher.— Rachelle ferme le salon, je vais lui apprendre les bonnes manières. J’attrape l’employée par un bras et l’allonge sur mes genoux, je relève sa jupe pour découvrir un string blanc et lui assène quelques claques sur les fesses. Je pensais qu’elle allait gesticuler, crier, se débattre mais non elle gémit et frotte son mont de vénus sur ma cuisse. — Petite salope tu aimes la fessée et en plus tu mouilles, tu inonde même mon pantalon.— Oui la fessée m’excite beaucoup et je mouille toujours.— Regarde cette petite salope mouillée comme une chienne en chaleur. Rachelle passe sa main plusieurs fois sur la chatte de Jeanne qui gémit encore plus fort. Je vois les doigts de Rachelle s’enfoncer dans la chatte et s’activer en elle. — Oui encore je vais jouir. Quelques instants plus tard Jeanne Jouis et inondait davantage mon pantalon. — Je vous laisse maintenant que vous êtes calmées toutes les deux. Dix huit heures un appel de Rachelle qui me demande si elle peut passer la nuit chez moi. — Merci mon chéri j’ai une petite surprise pour toi en plus. Rachelle arrive accompagnée de Jeanne en se tenant la main. — Surprise mon chéri, on à fait la paix et même mieux, après ton départ Jeanne m’a demandé de la lècher, devant mon ignorance de la chose et m’a expliqué et elle m’a également léchée elle aussi puis on s’est doigtée et on a bien jouis. Comme elle n’a plus de copain je lui ai proposé de passer la nuit avec nous. Je regarde Rachelle sidéré qui en quelques jours est passée d’une femme sans vie sexuelle à une nouvele femme qui me propose de partager mon lit avec son employée. — Si tu ne veux pas, Jeanne va repartir chez elle.— Si tu es sûre de vouloir me partager avec elle, je ne dis pas non. Pendant que je prépare le repas, elles filent sous la douche, je les entends rire, glousser et discuter. Elles viennent me rejoindre à la cuisine toutes les deux nues. — Désolé mon chéri on n’as pas de tenue pour aller au lit, tu n’as plus qu’à te déshabiller toi aussi. Je suis bientôt nu à mon tour et ma queue commence à développer une belle érection. — Regarde Jeanne tu vois comme je te l’ai dit il a une belle queue.— En effet il est bien équipé, j’en mouille d’avance. Je pense que d’une vie de célitaire je passe avec deux femelles en chaleur cela va changer ma vie.Le repas terminé elles disparaissent en direction de la chambre me laissant débarrasser la table et faire la vaisselle.Lorsque j’arrive dans la chambre Jeanne est au-dessus de Rachelle et toutes les deux elles se lèchent et se doigtent allègrement. — Viens mon chéri, la chatte de Jeanne attend ta queue.
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