Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 234 J'aime
  • 15 Commentaires

Les histoires extras et ordinaires d'Ana, jouisseuse de la vie.

Chapitre 1

Le vieux

Voyeur / Exhibition
J’étais étudiante en province, j’avais 20 ans. J’avais loué une chambre chez des particuliers pour quelques mois. C’était un couple de retraités, entre 65 et 70 ans, je pense. La maison était grande, plutôt vieillotte. La chambre, à l’étage, était probablement celle de leur fille. Tous leurs enfants étaient partis depuis longtemps. Il y avait un lavabo dans la chambre, mais la salle de bains était à l’extérieur sur le même palier. Mais eux avaient leur propre salle de bains au rez-de-chaussée près de leur chambre.
Ils étaient assez froids, mais corrects. Nous avions peu de relations et la plupart du temps, je prenais mes repas à l’extérieur, au RU, même si j’avais le droit d’utiliser leur cuisine, en théorie. Je n’avais pas le droit d’inviter des amis, ce qui me gênait franchement, mais je n’avais loué ce logement que pour une année, bon marché, alors je prenais mon mal en patience.
J’avais assez vite remarqué que je ne laissais pas indifférent le mari. Même s’il était plutôt réservé et très « vieux Monsieur convenable », j’avais parfois senti quelques regards appuyés, surtout quand je montais l’escalier. J’avais l’habitude des regards des hommes et qu’un homme de son âge, petit-bourgeois de province bien « propre sur lui », me regarde aussi, m’amusait. Je l’imaginais en train de fantasmer, et vu sa femme qui était une mégère qui le menait à la baguette, je le comprenais un peu ! Ca devait faire un moment que c’était le calme très très plat avec elle ! Et d’ailleurs, elle ne donnait vraiment plus envie...
Et puis, j’ai commencé à avoir l’impression d’être observée aussi dans ma chambre. C’était cette sensation étrange, où l’on se retourne brusquement pour voir si quelqu’un nous regarde, mais il n’y a rien. J’étais quand même certaine de sentir parfois un regard et j’ai fini par être persuadée qu’il regardait parfois par la serrure. Il avait un bureau à l’étage près de ma chambre et il y venait parfois, surtout en journée, parfois le soir, mais pas très tard. J’ai fait attention à remettre la clé dans la serrure de mon côté quand je rentrais. Mais finalement, l’idée qu’il ait pu me voir fait naître en moi une certaine excitation. En regardant par la serrure, il pouvait voir au fond de la pièce, face à la porte, le lavabo, et au premier plan le bureau contre le mur perpendiculaire à la porte, mais pas le lit. Il ne m’avait peut-être pas vue en sous-vêtements, ou en pyjama, mais probablement pas plus dévêtue vu les heures auxquelles j’avais eu des doutes.
Mais en y pensant, pour la première fois de ma vie, ça m’avait excitée d’imaginer un homme en train de m’épier !
J’ai arrêté de mettre la clé dans la serrure, espérant sans me l’avouer vraiment qu’il revienne m’espionner. Mais il avait dû être découragé, je n’ai plus rien remarqué pendant un moment. Alors un dimanche, alors que je savais qu’il était dans le bureau, je suis allée prendre une douche dans la petite salle de bain en face de ma chambre. En revenant, j’ai traversé le palier, juste enroulée dans une serviette. J’ai refermé la porte sans mettre la clé et me suis mise « hors champ » le temps d’enfiler une culotte. J’ai entendu la porte du bureau grincer à peine. Il faisait certainement attention, mais j’avais tendu l’oreille exprès, et maintenant j’étais sûre qu’il avait mordu à l’hameçon ! Il avait entendu la douche et il ne pouvait s’empêcher de tenter sa chance ! Il ne fut pas déçu. Je suis allée devant le lavabo et le miroir, il me voyait donc de dos. Je me passais de la crème sur le visage et le buste, m’attardant longuement sur mes petits seins pointés d’excitation.
Il devait deviner mes gestes...
Puis j’ai enfilé mon soutien-gorge, toujours dos à lui.
Alors, je me suis installée directement à mon bureau, dans ces sous-vêtements pas particulièrement sexys, culotte sloggi blanche et soutif sans fioritures. Juste une étudiante qui s’habille comme tous les jours et décide de rester à l’aise, seule dans sa chambre, pour travailler. Je pense qu’il est resté regarder assez longtemps et j’imaginais son excitation de me découvrir ainsi dans l’intimité du cocon de ma chambre. Je l’imaginais derrière la porte, le souffle court, en érection... et je dois reconnaître que je ressentais moi aussi quelques picotements dans le bas-ventre... Puis j’ai à nouveau entendu la porte de son bureau. Je l’imaginai alors en train de se masturber juste à côté. Moi aussi, plus tard, je me suis caressée. Pas en pensant à lui, mais cette petite séance d’exhibition m’avait suffisamment excitée pour que j’éprouve l’envie de me soulager !
A partir de ce moment, c’est devenu presque systématique. Le dimanche en début d’après-midi, je prenais ma douche puis je m’installais à mon bureau, peu vêtue. En sous-vêtements ou portant un simple t-shirt. Ou bien encore, avec une jupe fendue, je jouais à lui laisser voir mes jambes, de plus en plus haut... J’ai parfois osé me tourner vers la porte, lisant accroupie jambes croisées sur ma chaise de bureau, ce qui devait lui offrir une vue sur le triangle blanc de mon entrejambe, et même parfois un triangle bien plus foncé ! Mais que pouvait-il vraiment voir de son poste d’observation ? Je l’ignorais, mais le jeu de m’exhiber en toute ingénuité, possiblement jusqu’à lui dévoiler ma chatte, m’excitait énormément.
Lorsque nous nous croisions, rien n’avait changé, il était toujours aussi réservé et poli, nous échangions à peine quelques mots, mais je sentais toujours ses regards dans mon dos.Un jour, sa femme m’a demandé si je serais intéressée par faire un peu de ménage le week-end, car leur femme de ménage était arrêtée pour plusieurs semaines. 3 heures le samedi matin. J’étais fauchée, comme une étudiante, et même si le ménage ne m’enchantait pas, c’était une bonne façon de gagner un peu d’argent facilement, sur place. Mais... ce fut tout sauf facile ! Cette femme était une vraie vicieuse aigrie et elle prenait un malin plaisir à me faire des remarques sur mon travail et même à me faire refaire certaines tâches ! Rien n’était jamais satisfaisant à ses yeux. Heureusement, ce remplacement ne devait pas durer longtemps, alors j’ai subi en serrant les dents, mais intérieurement je voulais la tuer !
Et chaque samedi, pendant que je m’activais, son mari me regardait en coin, depuis le fauteuil de son salon, et ça me plaisait ! Il était vieux, certes, cheveux blancs dégarnis, mais pas repoussant, il avait même dû être bel homme et était resté plutôt mince. Il ne me faisait pas envie, mais j’aimais qu’il me regarde, me convoite. Alors j’ai commencé à jouer. Je traînais devant lui, me penchais face à lui en passant l’aspirateur, exposant mes petites fesses rondes moulées dans un legging, ou mon décolleté quand je nettoyais la table basse devant lui. Toujours sans trop en rajouter, très innocemment. Il n’en ratait pas une miette. J’avais noté plus d’une fois une protubérance dans son pantalon et je l’imaginais se masturbant dans les toilettes dès qu’il le pourrait !
Contrairement à sa femme, il restait toujours courtois et, une fois, il a même pris ma défense, ce qui devait être l’une des seules fois de sa vie où il avait osé contredire sa femme ! Je le regardai alors gentiment, lui souriant. Il a rougi ! Intérieurement, je jubilais. La vieille peau l’avait sûrement remarqué et ça devait la rendre folle ! Après que j’aie fini, je suis montée dans ma chambre et je les ai entendus se disputer. Je suis allée prendre ma douche. Je l’ai entendu monter s’enfermer dans son bureau. Je suis sortie à nouveau, enroulée dans ma serviette. Mais cette fois, je suis allée toquer discrètement à la porte de son bureau ! J’étais folle de faire ça ! J’ignorais totalement ce que je cherchais, ce que j’allais faire.
Il a ouvert. J’étais plantée comme une conne, enroulée dans ma serviette, face à lui. Je n’arrivais pas à articuler un seul mot ! Lui était tout aussi pétrifié, bouche bée. Alors j’ai fait un pas vers l’intérieur, il a reculé et m’a laissée entrer. Nous étions face à face, silencieux. Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas ce que je faisais là, mais presque machinalement, comme extérieur à moi, je me suis agenouillée face à lui et j’ai commencé à défaire son pantalon. La bosse était à nouveau là et quand j’ai fait glisser son slip de vieux, son sexe libéré s’est à demi dressé. Je l’ai caressé doucement. Je ne regardai que son sexe, ses couilles, ses poils blanchis... Je l’ai caressé longtemps, doucement, je l’ai fait durcir, avant de finalement avancer mes lèvres.
Je l’ai sucé. J’ai sucé un vieux, moi, petite étudiante de 20 ans. Et j’ai aimé ça. Son gland était épais, sa queue assez large, mais pas complètement durcie. J’aimais sentir ce sexe dans ma bouche. Il réagissait et se tendait quand ma langue caressait son frein. Mes mains lui caressaient les couilles et les fesses, tandis que je le pompais profondément. Il avait certainement déjà éjaculé en se masturbant avant que je vienne le voir, alors ça a duré assez longtemps et je prenais vraiment mon pied à sucer sa vieille queue ! Lui ne bougeait pas, il n’essayait même pas de défaire la serviette qui recouvrait mon corps nu. Il soupirait, ses jambes flageolaient, il a fini par s’asseoir, et il me caressait très doucement la tête, passant ses mains dans mes cheveux noirs épais, pendant que la jouissance montait et finissait par le foudroyer. J’ai accueilli son sperme, peu abondant, dans ma bouche. J’ai avalé. J’ai goûté le sperme d’un vieux ! Et j’ai aimé...
Lorsque ce fut fini, j’ai regagné ma chambre. Nous n’avons rien dit ! Pas un mot. Il ne restait plus que quelques semaines avant la fin de l’année universitaire et que je libère la chambre. Mais dorénavant, chaque week-end, j’allais le retrouver dans son bureau. J’ai dû le sucer une douzaine de fois. Ca n’est jamais allé plus loin. Parfois, il me caressait un peu plus, les épaules, le visage, et je l’ai laissé défaire ma serviette. Je l’ai sucé nue, à genoux face à lui, il m’a alors caressé les seins, mais jamais il ne m’a pénétrée ni même caressé la chatte. Je n’en avais pas envie de toute façon. Il me parlait peu, toujours avec respect, il m’appelait parfois sa belle petite suceuse lorsque j’étais entre ses jambes, et j’aimais être cela.
C’était totalement irréel. Je ne comprenais pas pourquoi je faisais ça, parfois en y repensant la tête froide ça me dégoûtait, mais sur le moment ça m’excitait terriblement de sucer un vieux et de m’exhiber nue devant lui. Je crois qu’en réalité il n’avait jamais été sucé auparavant, sa femme était bien trop coincée, et à son âge il découvrait avec une gamine l’un des plus grands plaisirs masculins. Mais je ne le faisais pas par charité ! Non, j’aimais ces rendez-vous, prendre sa belle vieille queue, être entièrement nue face à un vieil homme, le sucer et sentir sa jouissance.
Pendant longtemps, en me caressant, j’ai repensé à ces moments, certainement l’un des trucs les plus dingues et les plus excitants que j’aie faits ! Et pourtant, j’ai fait pas mal de choses depuis !
Diffuse en direct !
Regarder son live