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Les histoires extras et ordinaires d'Ana, jouisseuse de la vie.

Chapitre 2

La Pucelle

Lesbienne
La pucelleC’était l’été. Je devais avoir 25 ans. J’avais rendez-vous chez l’ophtalmologiste pour une visite de routine et, comme souvent, j’étais légèrement en retard. Il faisait très chaud à Paris, je portais une robe rouge légère, pas particulièrement courte, juste au-dessus des genoux, mais ses volants se soulevaient légèrement et dansaient quand je marchais, laissant entrevoir mes cuisses au gré des courants d’air. De fines bretelles et un décolleté assez échancré dévoilaient largement mes épaules et le haut de mon buste. Je ne portais pas de soutien-gorge mais, vu la petite taille de ma poitrine, ce n’est pas un choix aussi provoquant que chez certaines ! Toutefois, le frottement du tissu sur mes tétons les faisait parfois pointer et dans le métro j’avais senti certains regards s’attarder sur ma poitrine, ce qui renforça encore son excitation. Dehors, la caresse du vent chaud sur mes jambes nues remontait délicieusement jusqu’à mes petites fesses que mon tanga de dentelle couvrait assez peu. A ceci s’ajoutait une certaine frustration sexuelle depuis quelques temps et, tandis que je marchais fièrement et rapidement dans la rue juchée sur mes sandales compensées, jouissant des regards, le besoin de mettre fin à cette disette se faisait de plus en plus impératif. Encore fallait-il trouver la bonne personne ! Bien que bisexuelle, les hommes m ‘intéressaient en réalité assez peu à cette période. Et côté filles, mes dernières relations s’étaient terminées de façon assez conflictuelle. Je ne voulais surtout pas d’une nouvelle galère ni d’un plan cul décevant.Dans l’ascenseur je me retrouvai avec une autre fille, plus jeune que moi. Elle devait avoir à peine 18 ans et ressemblait encore à une jeune lycéenne bien sage d’institution privée. Elle aussi portait une robe, blanche, un peu plus couverte, plus sobre et d’une marque bien plus chère que la mienne. Et sa poitrine, plus généreuse que la mienne également mais sans être opulente, n’était certainement pas libre en-dessous. J’imaginais un soutif et une culotte Petit-Bateau de jeune pucelle ! Elle était réellement ravissante. De longs cheveux blonds légèrement ondulés, attachés en queue de cheval mais qui ne demandaient qu’à retrouver la liberté. Yeux bleus, des lèvres admirablement dessinées, avec juste ce qu’il faut d’épaisseur pour donner envie de les embrasser… une envie qui d’ailleurs commençait à me trotter dans la tête ! La fille m’avait souri gentiment quand je l’avais rejointe en courant dans l’ascenseur alors que les portes se refermaient mais maintenant elle n’osait plus vraiment me regarder directement. Tandis que moi je ne pouvais la quitter des yeux. Elle était magnifique. Un visage d’ange aux traits fins et sans défaut, de longues jambes fines mais des hanches suffisamment affirmées pour me laisser imaginer une chute de reins sublime. L’ascenseur atteignit le sixième étage, notre destination à toutes les deux. En sortant nous nous dirigeâmes vers la même porte, celle du cabinet médical, à ma grande joie de pouvoir profiter encore quelques instants de sa délicieuse compagnie. En la suivant dans le couloir j’eus la confirmation de sa silhouette parfaite et surtout d’une croupe qui devait être… délicieuse.Dans la salle d’attente je m’assis sur une chaise placée perpendiculairement à la sienne, dans un angle. Ainsi nous étions voisines mais je pouvais continuer de l’admirer entièrement. J’osai entamer la conversation, sur le sujet évident de l’objet de sa visite alors qu’elle ne portait pas de lunettes. Je ne me souviens plus de la raison, mais très bien de ses lèvres lorsqu’elle me parlait et de ses longues jambes croisées ! Puis j’enchaînai sur le sujet des études et, miracle, une ouverture inespérée apparut. Elle venait de terminer sa première année d’école de commerce (elle avait certainement de l’avance) et s’apprêtait à partir à Berlin pour un an. J’y avais moi-même passé une année trois ans plus tôt et je continuais à y aller de temps en temps pour retrouver mes amis. Je lui proposai de prendre un verre ensemble après nos rendez-vous respectifs pour lui donner quelques conseils et lui parler de la ville. Mon rendez-vous précédant le sien, je l’attendrais avec plaisir ! Elle hésita mais j’insistai gentiment en lui souriant de façon très subtilement ambiguë et elle finit par accepter en rougissant, juste avant que le docteur ne m’appelle. Je n’étais pas très habituée à faire le premier pas, à draguer, étant généralement sollicitée y compris par les femmes, mais cette fille et mon état de manque m’avaient donné des ailes et je me découvrais un certain talent en la matière… Rétrospectivement, et bien qu’elle fût vraiment très jolie, je me demande bien pourquoi elle m’avait autant attirée et je dirais même excitée. C’était loin d’être une proie facile… et c’est peut-être bien là la raison. Jeune femme déjà expérimentée et sans tabou, sa fraîcheur toute virginale m’excitait de façon assez perverse ! Et, inconsciemment peut-être, j’avais senti que la partie n’était peut-être pas perdue d’avance.
Nous étions assises face à face dans une brasserie en bas de l’immeuble de l’ophtalmologue. Elle sur la banquette, moi sur une chaise. Je lui parlais de Berlin, lui racontant de nombreuses anecdotes pour la faire rire et la détendre, et ça fonctionnait ! Au bout de quelques instants nous discutions et riions ensemble comme de vieilles amies. J’avais évidemment saisi la première occasion pour la complimenter sur sa beauté, ce qui la fit rougir adorablement et oser timidement me retourner le compliment. Mon affaire, bien que compliquée, progressait lentement mais sûrement ! J’avais appris qu’elle n’avait aucun engagement amoureux, un bon point ! Elle ne craignait plus de me regarder franchement, ni de me sourire et, lorsque ma main se posa - très amicalement bien sûr- sur son avant-bras, elle ne la refusa pas et j’eus même l’impression fugace de saisir une étincelle dans son regard puis, de façon plus certaine, un peu de rougeur sur ses joues blanches. Un peu plus tard ce fut ma jambe nue qui frôla la sienne sans qu’elle réagisse davantage, et bientôt nos deux jambes restèrent en contact continu, de façon parfaitement innocente bien-sûr ! Chaque nouveau contact de sa peau contre la mienne m’électrisait et déclenchait une vague de picotements dans mon bas-ventre. Je la désirais intensément. Et j’étais de plus en plus certaine qu’en elle aussi une tempête inédite s’était soudainement levée. J’osais maintenant balancer très légèrement ma jambe pour caresser la sienne, prendre sa main aux longs doigts fins, lui sourire dans un silence et un regard très éloquents, et elle ne se refusait ni à mes discrètes caresses ni à mes regards. Il fallait tenter le tout pour le tout. Je lui proposai de passer chez moi, « vraiment tout près je t’assure », pour lui donner quelques livres utiles et des romans qu’il fallait absolument qu’elle lise pour comprendre ces étranges Allemands. Elle n’hésita pas très longtemps avant d’accepter timidement, encore une fois en rougissant adorablement, ce qui déclencha une nouvelle envolée de papillons entre mes hanches…
Chez moi, face à la petite bibliothèque, je lui montrai les livres et la laissai fouiller, tout en me tenant tout près d’elle. J’en profitai évidemment pour de temps en temps lui toucher le bras, l’épaule, et même faire se rencontrer furtivement nos hanches et nos pieds, nus depuis l’arrivée dans l’appartement. Bientôt, j’osai une nouvelle initiative. Alors que nous étions face à face je lui redis combien elle était ravissante et qu’elle devrait laisser ses beaux cheveux libres, tout en joignant immédiatement le geste à la parole. Elle me laissa défaire sa queue de cheval et redonner à sa chevelure ondulée toute sa liberté autour de son visage. Les yeux dans les yeux, j’osai en ramenant ma main lui caresser pleinement la joue. Elle accepta ma caresse, plus du tout amicale, et ferma les yeux. J’avançai alors mes lèvres pour les poser délicatement sur les siennes. Elle ne me repoussa nullement et ses lèvres divines accompagnèrent, certes un peu timidement, notre premier baiser. Dès lors, je ne mis pas longtemps à l’entraîner sur mon lit, guère éloigné de la bibliothèque il faut bien le reconnaître vu l’étroitesse de mon studio. Là, nos bouches apprirent à se goûter, se lécher, se bécoter, se fusionner tandis que nos jambes nues s’entremêlaient, de plus en plus haut… Je sentais néanmoins entre ses cuisses une certaine résistance à m’ouvrir pleinement le chemin, et quelques mouvements de recul quand mes baisers tentaient de glisser vers son cou. Je décidai, une nouvelle fois, de tenter le tout pour le tout.-    Tu n’as jamais fait l’amour avec une fille n’est ce pas ?Son silence acquiesça.-    Ni avec un garçon ?La réponse était tout aussi évidente. Elle était vierge et, chose qu’aujourd’hui encore je ne m’explique pas vraiment, moi, inconnue, j’étais la première qu’elle laissait approcher aussi impudiquement son corps de pucelle vaillamment préservé jusqu’à présent.Mes gestes se firent moins empressés, plus doux. Mon désir ému la fixant au fond des yeux, mes doigts caressèrent doucement la ligne de crête de ses épaules, repoussant délicatement les bretelles de la robe et du soutien-gorge. Bientôt elle laissa ma bouche couvrir chaque parcelle de son cou et de sa gorge, jusqu’à la limite du corsage. Il était trop tard, elle le savait et, elle aussi, elle le désirait. Je défaisais un à un les boutons de sa robe, dévoilant progressivement la blancheur de sa poitrine que mes lèvres goûtaient immédiatement, repoussant bientôt lentement les bonnets de coton blanc qui emprisonnaient encore ses seins délicats. La découverte de ses aréoles rose foncé, puis de ses tétons peu développés qui réagirent si bien à mes baisers, fut un moment de grâce. Elle frissonnait. Soupirait. Sous mes lèvres brûlantes ses seins se gonflaient de désir. Ses jambes s’entrecroisaient sur le feu qui déjà dévorait son bas-ventre.Je décidai de glisser bien plus bas. Ses jambes… longues, fines, douces… ses pieds délicats… ma bouche et mes mains les découvraient et les honoraient patiemment. Je remontais lentement. Elle reprenait son souffle, mais elle s’était définitivement abandonnée. Sa chatte inviolée attendait ma venue, elle la désirait, intensément, et le parfum inoubliable de son désir emplissait de plus en plus puissamment mon âme entière. Je glissais entre ses jambes, le long de ses cuisses, retroussant sa robe et découvrant sa sage culotte blanche à l’entrejambe trempée. Je ne la retirai pas. Cette jolie culotte de pucelle humide de désir m’excitait terriblement. J’enveloppai délicatement son entrejambe dans ma paume recourbée, avant de presser lentement et de plus en plus fermement son sexe tout en cherchant son regard. A travers le tissu trempé, mes doigts s’enfonçaient entre ses lèvres, ma paume devinait le frottement des poils de son pubis… Le premier gémissement de plaisir qu’elle ne put retenir à ce premier contact étranger sur sa chatte de jeune vierge me fit mouiller intensément.Mes lèvres embrassaient à présent son sexe à travers sa culotte. Je léchais son jus à travers le coton. Son goût était doux et acidulé, comme un bonbon. Elle gémissait et se tortillait. Mon nez s’enfonçait dans sa fente. Mes doigts glissaient sous le coton, jouaient avec les boucles de la fine toison de son pubis, préservée mais précisément délimitée, longeaient ses lèvres dans les plis de l’aine, puis remontaient parfois dans le creux de son sillon, à nouveau sur le coton. Elle dégoulinait. Elle n’en pouvait déjà plus de m’attendre… Alors, je fis glisser le long de ses jambes sa culotte trempée de petite fille plus si sage... Sa belle fente rose, ouverte, s’offrait à moi. Sa toison aux poils blonds si fins ne recouvrait qu’à peine ses grandes lèvres. Pour la première fois une bouche épousa son sexe nu et brûlant. Ma langue caressa lentement toute sa fente, lapant puissamment son clitoris, et la pucelle se cabra de plaisir.J’osai maintenant glisser mon index entre ses lèvres, tandis que je couvrais de baisers son pubis et l’intérieur de ses cuisses. Elle gémissait continuellement. Mon doigt parcourait toute sa fente tandis que le pouce de mon autre main branlait son petit bouton. A l’entrée de son vagin je devinais une certaine étroitesse du passage mais cela ne m’empêcha nullement d’y glisser mon index. Cette fois, pénétrée pour la première fois par un autre doigt que le sien, elle poussa un adorable petit cri. Non de douleur mais de surprise et, peut-être, de plaisir. Un autre doigt put la pénétrer facilement. Elle avait dû elle-même le faire plus d’une fois. Je n’osai tenter un troisième. Du reste, les deux premiers trouvèrent bien vite leur chemin… avec un certain succès. La petite gémissait et se tendait au rythme des vagues qui naissaient dans son bas-ventre et déferlaient de plus en plus loin en elle. Je voyais ses seins tendus vers le ciel. Ses cuisses repliées, largement écartées, m’entouraient et m’offraient toute sa chatte comme jamais personne ne l’avait vue ! Je prenais tout mon temps pour faire monter sa jouissance de mes doigts et ma langue, en elle et sur sa fente et son bouton gorgé de sang. C’était sublime, cette jeune fille immaculée qui découvrait sous mes attentions le puissant plaisir des femmes.Je finis de lui retirer entièrement sa robe. Elle conserva de façon adorable quelques gestes de pudeur, croisant en rougissant ses bras sur sa poitrine et ses jambes sur son sexe lorsque j’admirais pour la première fois sa nudité entière étendue sur mon lit. Elle m’attira à elle et je l’embrassai, la bouche pleine du goût de sa chatte. Elle commença à faire glisser également ma robe et je l’aidai, ne gardant que mon tanga. Après m’être à nouveau longuement attardée sur ses seins tendus et son ventre, je retournai m’affairer entre ses cuisses. La petite gémissait à nouveau continuellement suivant les impulsions qui montaient de sa chatte et la transperçaient, fruits du travail précis et justement cadencé de mes doigts dans la profondeur de son vagin, de ma langue et de mes lèvres sur son clitoris enflé. Je me régalais de ce sexe vierge au goût divin, de ses frissons, de savoir que j’étais la première à lui procurer ce plaisir et à goûter ce fruit jusqu‘alors si bien défendu. Tout en la butinant, je plongeais ma main entre mes cuisses pour accompagner mon amante dans le plaisir.Pour pouvoir plus pleinement m’approprier sa jeune chatte, je passai ensuite mes bras autour de ses cuisses pour les lui écarter et les remonter en faisant basculer son bassin. Son entrejambe ainsi totalement offerte, son délicieux petit anneau rose entre ses belles fesses blanches me faisait de l’œil. Mais je n’osais pas encore m’aventurer jusque-là, craignant que la pucelle ne s’effarouche à ce contact si tabou. La petite criait vraiment à présent, elle m’appelait et me disait de continuer, de la baiser, oui elle employait ce mot, épanchant sa jouissance tandis que mon visage entier s’enfonçait entre ses chairs. Je la dévorais. C’était un délice. Mais il fallait varier les plaisirs. Je la fis se positionner en levrette. Elle se laissait faire, ne me refusait plus rien. Dans cette position, je pouvais admirer et profiter pleinement de sa croupe parfaite. Large, bien rond mais ferme, une peau douce : son admirable postérieur me rendait folle, moi l’amoureuse des belles courbes. Je repris mon ouvrage et je sentais que son orgasme ne tarderait plus si je continuais ainsi. Je caressais, saisissais, empoignais son cul, ses hanches, ses seins, tout en lui dévorant la vulve. Et, inévitablement, je ne pus m’empêcher de faire remonter lentement ma langue de son vagin à son délicieux anneau froncé. Celui-ci, au premier contact, se rétracta et je sentis les fesses de ma belle se contracter. Je lui donnai une claque sur la fesse droite et j’entendis résonner un magnifique « oui ! ». J’avais inconsciemment pressenti que la jeune fille n’était peut-être pas si sage... Alors je continuai à lécher toute son intimité, allant et venant de l’entrée de son vagin à son anus de moins en moins farouche, tout en lui donnant de délicieuses petites fessées qui la faisaient crier de plaisir. J’étais excitée comme une folle et la cyprine coulait le long de mes cuisses. Son petit trou du cul comme sa chatte étaient délicieux. Elle n’était plus qu’un long gémissement et je décidai de glisser un doigt dans son admirable postérieur. Elle râla. Elle appréciait mon invasion. Indubitablement. Profondément. Tandis que ma langue lapait son clitoris, un doigt dans son cul, deux autres dans son vagin, s’activèrent pour enfin faire éclater l’orage violent qui menaçait depuis longtemps. Lorsque la foudre s’abattit, je sentis ses cuisses se tendre, son corps se soulever, un spasme la parcourir, souffle coupé, et puis un râle silencieux, et les muscles qui lâchent, et le corps qui s’affale, transfiguré par la puissance de cet orgasme primordial. Je me couchai près d’elle et continuais à caresser doucement l’intérieur de ses cuisses, pétrissant doucement les muscles de l’aine pour provoquer de délicieuses petites répliques de son grand frisson... Elle reprenait ses esprits et commença à m’embrasser. Puis, elle voulut explorer mon corps, me rendre son plaisir. Je m’abandonnais à elle, la guidant un peu, mais il faut reconnaître qu’elle manquait encore beaucoup de doigté et d’expérience. Mais j’étais déjà tellement excitée par son orgasme de jeune vierge que lorsqu’elle commença à me lécher, je l’accompagnais en me caressant le clitoris et j’accueillis assez vite moi aussi la secousse libératrice.Après de longues minutes étendues nues sur le lit, elle se redressa. Il était temps qu’elle s’en aille, ses parents allaient se demander où elle était ! C’était déjà le début de la soirée. Elle inventerait un bobard, un rendez-vous au café qui s’éternise avec une amie. Mais sa robe, pour laquelle nous avions pris assez peu de précautions, était bien froissée et surtout arborait une large tâche entre les jambes, conséquence des premiers émois liquides de ma jeune amante ! Elle était mortifiée. Impossible de sortir comme ça ! Je lui proposai alors de lui prêter des vêtements. Si besoin, un accident au café justifierait cette nouvelle tenue prêtée par son amie. Elle n’était pas vraiment convaincue par l’explication mais n’avait guère le choix. Elle enfila donc une de mes robes et une de mes culottes, car je refusai de lui rendre la sienne, encore trempée de son ultime jus de pucelle. Elle s’éclipsa après quelques derniers baisers et caresses. Nous ne nous étions rien promis. Nous avions échangé nos numéros, mais elle allait partir en vacances deux jours plus tard, et puis ensuite tout irait si vite avant Berlin.... Trois semaines plus tard, je trouvai dans ma boîte aux lettres un paquet contenant les livres que je lui avais prêtés et ma robe lavée et repassée. Et un seul mot sur une carte postale : MERCI !Environ trois mois plus tard je reçus un MMS. Une photo d’elle tenant par la taille une jeune fille, à Berlin. Je lui répondis par un simple sourire et un mot : PROFITE ! Nous avons échangé quelques courts messages par la suite, pendant quelques semaines. Puis plus rien, chacune étant prise dans sa propre vie. Ce moment ne fut que le fruit éphémère et improbable de la rencontre de deux jeunes désirs incontrôlables une chaude après-midi d’été.Je ne l’ai jamais revue. Mais j’ai toujours sa petite culotte de jeune fille sage ! Il m’arrive de la porter à mes narines mais l’odeur de son émoi a fini par s’estomper. Son souvenir, lui, est encore bien vif dans ma mémoire et accompagne, parfois, mes caresses solitaires.
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