Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 73 J'aime
  • 4 Commentaires

Les histoires extras et ordinaires d'Ana, jouisseuse de la vie.

Chapitre 3

Mélanges cévenols - 1

Divers
Nous étions en vacances ma compagne Marion et moi dans un gîte en lisière d’un village très isolé des Cévennes. Nous voulions surtout pouvoir nous reposer et faire des randonnées en rencontrant le moins de monde possible. Break total pendant 15 jours et ressourcement nécessaire après une année de folie parisienne particulièrement éprouvante. Pour toutes ces raisons, ce gîte était vraiment le bon choix. Il y avait peut-être 30 résidents dans le village, et tout autour une immensité de montagnes peuplées de vaches et de moutons. Le gîte appartenait à un couple d’agriculteurs. C’est leur fils, jeune étudiant, qui gérait la location et nous avait accueillies. Il avait l’air timide, presque un peu sauvage, mais très serviable. Bien qu’assez rustique, le gîte comprenait une petite piscine, ce qui nous l’avait fait préférer aux nombreux autres alentours. Les premiers jours, nous n’avons pas beaucoup exploré les environs, préférant nous reposer au gîte en profitant du beau jardin et de la piscine. Nous nous levions tard, le plus souvent après quelques coquineries, et nous déjeunions et nous installions près de la piscine avant une petite promenade en fin d’après-midi. Dans ce gîte isolé et par des chaleurs de plus de trente degrés, nous n’avions aucun scrupule à nous dispenser du moindre vêtement, l’un des plaisirs estivaux que nous prisions toutes deux.Nous exposions nos corps aux rayons du soleil, allant nous rafraîchir de temps en temps dans la piscine. Marion, rousse à la peau nettement plus fragile que la mienne, devait cependant se protéger particulièrement et je me régalais, toutes les deux heures, en badigeonnant d’écran total son corps aux formes fabuleuses. Ses fesses, larges et bien rondes, me rendaient folle et plus d’une fois ces séances se terminèrent en massage très intime... avant que je ne me retrouve le visage enfoui entre ses fesses et ses cuisses. Je léchais avidement toute sa vallée, de son con à son délicieux anneau froncé, et, connaissant exactement les gestes et le rythme propices, je ne manquais jamais de déclencher un orgasme abondamment arrosé. Sa jouissance étant plutôt expressive, l’absence de proches voisins était une bénédiction ! Ses cris résonnaient dans le jardin lorsque les vagues de plaisir la submergeaient. Et cela m’excitait follement. Bien sûr, elle ne manquait pas de me rendre la pareille. Ces vacances démarraient donc sous le signe du farniente, du sexe, du soleil et de la nudité bienheureuse. Le troisième jour en fin d’après-midi, alors que Marion, ayant eu sa dose de soleil, était partie passer une robe dans la chambre à l’étage, elle revint en riant. — Ma chérie, je crois que nous avons un voyeur ! Me dit-elle.— Ah oui ? dis-je, curieuse et nullement choquée par cette annonce qui titillait agréablement mes tendances exhibitionnistes...— Je viens de voir le fils de la ferme derrière la haie du fond du jardin, depuis la fenêtre de la chambre ! — Hmmmm... intéressant ! — Tu t’en fous qu’il t’ait vue ? Et peut-être qu’il nous ait vues batifoler tout à l’heure ?— Hmmmm, moui ! Pourquoi ? Pas toi ?— Bof. C’est plutôt drôle c’est sûr. Et ça ne m’étonne pas qu’avec tes tendances perverses tu aimes que ce petit mec te mate à poil. Mais c’est pour le principe...— Ah bon, t’as des principes, toi ?— Plus que toi c’est sûr ! On mate pas les filles à poil !— Ecoute, on peut pas dire qu’on ait été très discrètes, si jamais il est passé près de la maison pendant que tu hurlais ta jouissance, franchement ne me dis pas que toi non plus tu n’aurais pas été tentée de regarder ! En tout cas, moi, oui sûrement !— Mouais, n’empêche que ça se fait pas...— Bon, moi je m’en fous. Et puis ce petit mec il doit s’ennuyer ferme ici et c’est pas tous les jours qu’il doit avoir l’occasion de voir deux jolies filles à poil et encore moins en train de se bouffer le minou !— Ouais, c’est sûr... Mais il est pas obligé de rester regarder...— Tu sais même pas combien de temps il est resté, ni ce qu’il a bien pu voir de là-bas... Allez, détends-toi, on s’en fout ! Si on peut égayer son été à ce pauvre garçon, tant mieux ! Faut bien qu’il ait des souvenirs de vacances lui aussi !— T’es vraiment une grosse perverse...— Perverse ? Euh... qui c’est la truie qu’on entendait dans tout le département tout à l’heure ?— La truie !??? T’es gonflée ! Et qui c’est la grosse cochonne qui se délectait de me lécher consciencieusement tout l’intérieur du trou cul ?— C’est moi ! A votre service miss Peggy !— Petite pute tu perds rien pour attendre !— Hmmm... ne me tente pas... Dis-je en me précipitant sur ses lèvres.— Tss tss tss... pas tout de suite ! En attendant c’est le jour du marché, à 17h, je te rappelle. Habille-toi, vu la population ça doit pas durer très longtemps !Je m’empressai de passer une robe sur mon corps nu. — Voilà !— Tu vas y aller comme ça ?— Ben oui, ça te choque ?
— Plus rien ne me choque...
Nous allâmes donc au marché, effectivement très limité. Un vendeur de légumes, un boucher-charcutier, un apiculteur. Et le fils des propriétaires du gîte qui tenait un stand de fromages, lait, oeufs. Nous fîmes nos achats rapidement, y compris auprès du jeune voyeur. Nous fîmes comme si de rien n’était mais je ne résistais pas au plaisir de me pencher un peu trop en choisissant les fromages afin qu’il ait tout le loisir de regarder dans mon décolleté... Puis je lui fis de grands sourires et me montrai particulièrement cordiale en le payant, allumant avec jubilation un léger feu sur ses joues. Je lui demandai s’il était possible d’acheter du lait frais tous les jours à la ferme, il me le confirma et nous convînmes de passer un jour sur deux.— Et ben ma salope, t’es vraiment une sacrée allumeuse ! Me dit Marion dès que nous nous éloignâmes.— Oh la la... fais pas ta fausse jalouse. Tu m’as déjà vue à l’œuvre, tu sais bien que ça m’amuse. C’est juste un petit jeu... Et puis moi je n’ai jamais renoncé aux garçons ! Même si ta chatte me donne toute satisfaction !— T’es vraiment une traînée...— Mais tu adores te faire baiser par cette traînée...
La nuit suivante fut particulièrement agitée... Règlement de comptes cévenol, Marion me fit délicieusement payer mon audace : mes seins et mes tétons furent mordillés et pincés jusqu’à la limite entre plaisir et douleur insoutenable. Mon postérieur fut dévoré encore bien plus franchement avant que de subir de mémorables fessées tandis que mon amoureuse me léchait l’entrejambe et enfonçait ses doigts dans mon anus très largement dilaté, bientôt remplacés par son gode qu’elle maniait vigoureusement. Prise plus intensément et violemment que jamais, sodomisée, fessée, léchée et pénétrée en même temps, je criais et râlais en continu et Marion se délectait de ma jouissance sous ses assauts vengeurs. — Alors petite pute, tu aimes allumer des mecs devant moi ? Prends ça et excuse-toi ! Disait-elle en m’administrant ses fessées et autres adorables punitions.— Haaannn... Marion... Baise-moi mon amour, tu sais bien que je suis à toi...Ce soir-là j’eus plusieurs orgasmes successifs et, chose assez rare, j’inondai copieusement mon amoureuse lorsque le plus puissant de ces orgasmes me terrassa.Le lendemain nous sommes restées encore plus longtemps que d’habitude au lit, enlacées. La veille au soir, entièrement soumise à la vengeance de Marion, je ne m’étais pas vraiment occupée d’elle mais ce matin je me montrais amoureuse et câline, lui procurant sous les draps un délicieux cunnilingus, caressant, léchant et embrassant chaque parcelle de son corps si fabuleusement féminin. Je baisais et léchais ses fesses, ses hanches, son ventre, ses seins, l’intérieur de ses cuisses... ces chairs à la fois rondes, douces et fermes qui me rendaient folle d’elle. Comment une femme si voluptueuse pouvait-elle se contenter de mes petits seins ? Comme d’autres elle adorait ma belle cambrure et mes jolies fesses rebondies, mais les siennes étaient vraiment incomparables !
Diffuse en direct !
Regarder son live