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Les idées de ma femme

Chapitre 6

Miroir mon beau miroir...

Trash
Comme souvent c’est plus tard, allongés dans une chaise longue dans le jardin que nous parlons de cette séance si intense. Nous n’avons jamais eu de fantasmes exhibitionnistes mais prenons néanmoins plaisir à évoquer le fait de vivre « en réel »notre aventure cinématographique. Je me demande ce qui se serait vraiment passé sans cet orage vu comme cette serveuse était sexy et surtout de la façon dont elle  elle nous regardait. Je n’ai jamais eue d’envie pour une femme mais il est vrai que celle-ci  avait vraiment quelque chose de particulier. C’est sans doute ce qui explique que je me suis lâchée dans notre  dernière séance. En parlant de se lâcher justement, j’aborde ensuite cette espèce de dualité qui s’est créée dans notre couple entre nos actions dans nos films et notre vraie vie. Phil n’esquive pas  et reconnaît les faits. Nous adorons faire l’amour ensemble sans caméra, des ébats parfois sages, parfois torrides ; je dois d’ailleurs avouer que ces derniers temps c’est plus chaud, — C’est bête mais le fait est que quand on est dans cette pièce, on peut se lâcher, expérimenter, je n’ai plus la crainte, stupide je te l’accorde ma chérie que tu me juges ou me rejette— C’est la même chose pour mi mon chéri, mais sois rassuré, je t’aime et  suis prête à tout explorer avec toi
C’est ainsi que nous avançons dans cette espèce de re-découverte de notre couple et au fil des mois, il y eut bien de nouvelles aventures….
Aventures étalées sur quelques mois et avec une amélioration financière  car nos différents sites sont désormais bien plus fréquentés avec surtout un nombre d’abonnés visiblement impatients de découvrir nos petits films. Nos séries axées masturbation sur moi, par moi ; nos séries d’instructions à la masturbation ou encore nos séries fellations ont eu un réel succès et même si souvent seuls quelques détails varient dans nos petits films, cela suffit à générer de nouveaux visionnages et de nouveaux abonnés. Je dois avouer que des idées de jeux intimes nous viennent de plus en plus. Presque tous nos films sont sonorisés en dehors de quelques vidéos d’exhibition très sensuelles que je destine à un public plus soft. Elles sont d’ailleurs assez souvent visionnées et Phil s’amuse a choisir des musiques jazzy ou soul qui vont bien avec le spectacle. Notre complicité est toujours plus forte et c’est cela qui est important. Pourtant nous sommes allés loin dans la découverte et continuons encore. Et certains épisodes s’ancrent plus facilement dans ma mémoire ; ainsi un jour…
— Mmmm c’est délicieux, ta langue mmmJ’adore sucer mon homme, sentir sa virilité se réveiller, sentir la tension qui naît doucement en lui, passer ma langue sur son gland,  le long de sa queue, flatter ses bourses, les prendre en bouche et les garder au chaud en le regardant avec un air vicieux qui le rend fou. Je sais que le semi masque que je porte l’excite particulièrement surtout que comme je l’ai expliqué nous savons tous les deux que tout est possible. Je ne peux parler la bouche pleine mais le bruit des succions, le bruit des soupirs de Phil est un fond sonore plutôt excitant. Dans un coin de ma tête, je me dis que si moi cela me donne des frissons, il en va de même pour nos abonné(e)s et je sais que Phil, hors champ manie de mieux en mieux la petite caméra supplémentaire que je lui ai confiée. Je me régale donc dans ma fellation, frottant sa queue sur mes joues, mon masque, je ne joue pas de rôle, je suis moi, je suis bien. Je ne me lasse pas de son sexe, j’ai saisi les fesses nues de mon homme et je le tire vers moi, me retrouvant avec un peu d’effort le nez dans le carré de poil que je lui ai laissé  au dessus de se ses attributs si virils. Je suis fière de moi, de mon entraînement et je fixe alternativement l’objectif des deux caméras, mes yeux brillants, les fils de salive que je laisse exprès entre ma bouche, ma langue sortie et le gland, oh je suis trempée. Je me caresse pendant que Phil m’enfonce sa queue dans la bouche et pour en rajouter, je me mets une main derrière la tête et me pousse moi même en avant sur sa queue.— Oh bordel quand tu fais ta chienne je deviens fou !Je profite de ce que je respire entre deux avalages pour lui dire :— Alors baise lui la bouche à ta chienne.Il ne se fait pas prier et s’enfonce à fond, je sens sa queue au fond de ma gorge, je me sens salope et me doigte profondément. Comme c’est bon.J’ai encore une main derrière la tête et quand il se retire de ma bouche baveuse,je continue mon show.— Tiens moi la tête, putain, j’ai besoin de me doigter le cul !— Vas-y salope doigte bien le cul alors.Je réussis en me tortillant un peu à faire ce que j’ai dit et mon majeur humide vient se glisser entièrement dans mon petit trou, simulacre de double pénétration peut-être mais qui me ravit totalement en cet instant. Phil enfonce son chibre en moi, me laisse quelques secondes la bouche totalement remplie avant de me relâcher. Je jette un œil au grand écran de contrôle et j’ai vraiment un visage de salope, lèvres gonflées, les yeux brillants de vice, de la salive au coin des lèvres qui a tant coulée que des traces brillantes maculent mon cou et mes seins, — Comme tu est belle !L’exclamation qu’il n’a pu retenir me fait chaud au cœur, témoignage si vrai de notre amour et de notre complicité. Mais j’ai une petite envie, qui peut nous rendre encore plus complice, et encore plus pervers. Je le sens proche de la jouissance ; tout comme moi d’ailleurs, il s’agite plus fortement, me serre la tête, gémit sans plus arriver à former des mots. Sa tension augmente encore et, remontant ma main, je saisis ses bourses pour d’abord le faire reculer un peu et ensuite pour le faire jouir en serrant un peu les chairs délicates. Il se raidit et jouit dans ma bouche. Je ressens son plaisir sur ma langue, son goût que j’adore, je suis au bord de l’explosion mais j’ai cette envie de stupre  et quand il se recule, un brin chancelant, je le regarde, les joues gonflées de son foutre en lui faisant  signe de l’index de venir vers moi. Quand il n’hésite pas et vient se mettre à genoux face à moi je suis sur la crête et quand, il vient m’embrasser et partager son sperme chaud avec moi je passe la vague et je jouis.Je perds un peu la notion de la suite mais quand plus tard je monte le film , quand je nous vois nous rouler des pelles, langues sorties, semence coulant sur les joues, échanger son plaisir, je manque de défaillir et vais me ruer sur lui pour faire l’amour de façon torride.

Cette scène n’est pas la seule que je retiens évidemment, mais elle reste le symbole d’un partage érotique ayant ouvert la voie à plein d’autres choses. En parlant d’ouvrir la voie justement, je repense à un autre épisode où cette fois c’est lui qui m’a devancé. Toujours masquée, j’étais en train de le masturber face à moi, en tablier de ménagère un peu désuet car nous étions dans un scénario où il m’avait trouvée faisant le ménage, des bigoudis dans les cheveux et uniquement vêtue de ce fameux tablier. J’avais  tiré sur le haut laissant apparaître mes seins de chaque côté et cela me donnait un air plutôt coquin disons. J’ étais en train de caresser lascivement son sexe bien tendu et je le sentais monter de plus en plus. Surtout que, comme à mon habitude, j’en rajoutais dans le verbiage.
— Hmm tu va gicler sur bobonne mon chéri ? Elle t’astique bien le manche ta petite ménagère ? Oh comme c’est bon de te branler ta grosse queue mon  chéri, ah c’est mieux que le repassage tiens !Il était devant moi,le regard fixé sur mes seins séparés – et mis en valeur - par le tablier resserré entre et mes cuisses dévoilées par nos mouvements. Je m’amuse bien à le rendre fou et le masturbe savamment. Restant dans mon rôle de fée du logis, je crache sur sa pine tendue en disant des insanités bien différentes de l’image que j’offre.— Voilà comme ça tu vas être bien propre, je vais te faire reluire ta queue, la rendre bien tendue et prête à servir.J’utilise la paume de ma main pour caresser le dessus du gland déjà bien astiqué et je le sens se raidir comme j’aime. Évidemment il ne loupe pas l’occasion et reprends la balle au bond.— Tu devrais la nettoyer en profondeur ce serait encore mieux non ?— Bien sûr, attends bobonne va la rendre propre comme un sou neuf.Je la nettoie à petits coups de  langue appuyés, me régalant des prémices de son excitation, la léchant sur toute sa surface, avant de l’emboucher enfin. Oh bon sang comme j’aime le sucer, sentir sa queue se tendre dans ma bouche si bien remplie.  C’est si excitant, si bon. Ce qui est encore meilleur c’est quand il se lâche et là comme je l’ai dit plus haut , c’est lui qui va plus loin en me disant  d’une voix déjà chargée de tensions.— Mets moi un doigt petite ménagèreJe le fixe, stoppe ma fellation, suce le majeur de ma main droite et lui enfonce doucement dans son petit trou souvent frôlé mais pas encore pris. Dans ma tête ( et dans ma petite chatte) c’est l’explosion. Cet abandon, cette complicité, ah, comme ce fut une riche idée de se lancer dans nos petits films !Je me caresse en même temps que je le suce, je suis trempée et le bruit obscène de clapotis rajoute encore à notre tension. J’adore me caresser ainsi, tout mon corps tremble de plaisir et lui, signe qu’il est au bord, me met une main derrière la tête et me tire sur  sa queue. Oh je ne me sens pas soumise, c’est bine moi qui en réalité mène le jeu et quand je l’aspire de toutes  mes forces tout en le doigtant profondément il explose dans ma bouche en criant ce qui me fait, moi aussi tutoyer les étoiles.
Un autre épisode m’a, ou plutôt nous a marqués, tant il en a révélé sur moi,sur mes envies, sur la puissance de mes désirs et de mes besoins.Cela avait commencé  par un scénario simple de fellation, la présence d’un meuble doté d’un grand miroir  et la grâce d’une excitation commune.Je crois avoir dit que j’adore sucer mon homme et que je suis plutôt douée pour cela. J’étais donc en train de le prendre dans ma bouche, une main sous ses bourses gonflées car nous n’avions pas fait l’ amour depuis quelques jours à cause d’une grippe tenace et je me régalais de sentir cette force et cette fragilité en même temps. Il devait encore être un peu fatigué car il avait titubé et dans le mouvement on s’était retrouvés devant le miroir ornant la porte d’une armoire mise en place pour stocker une partie du matériel. Il avait voulu reculer et revenir dans le champ des caméras mais, en voyant le reflet, en me voyant le sucer, l’air toute tendue j’avais préféré stopper et replacer le matériel tant je me trouvais belle en ce miroir.Phil aussi car c’est avec enthousiasme qu’il s’était replacé. Il et vrai que le sucer, voir mon, reflet le faire, c’était bien mieux que sur un écran en arrière. J’avais l’impression que c’était une jumelle, que nous étions deux à le sucer. J’en rajoutais dans les coups de langue, les gorges profondes et les bruits de bouche. Phil en rajoutait dans les coups de queue, les soupirs et les encouragements.— Regarde toi comme tu me suces, vois ton air de petite salope, tes lèvres gonflées, ta salive qui coule vers tes seins durs, putain comme t’est bandante.C’est vrai que face au miroir, je me regardais, peinant presque à me regarder dans cette créature s’empiffrant de sa pine qui me remplissait la bouche et la gorge ; dans cette succube qui crachait sur sa queue et se délectait de son odeur,  de son goût  en se frottant le gland sur le front, les joues, le nez ; de cette petite chienne léchant ses burnes, humant son odeur de mâle tendu et lâchant des :— Putain c’est bon de te gober les couilles mon salaud, frotte ta pine sur moi, vas-y coule sur mon visage, oui mates ta chienne de femme qui te bouffe ta grosse queue— Ah le foutre monte petite pute— Te retiens gicle tout sur ta salope de femmeBon sang comme j’avais  envie de son foutre, je me voyais, des gouttes de sueur sur mon foutre, les yeux un peu rougis, le nez dans ses poils, les couilles posées sur mon menton, sur ma langue sortie.  Je multipliais les poses, la façon de sucer, de lécher, de le déguster, me régalant de l’image que me renvoyait le miroir. Et lui qui profitait de cette image, de cette dualité si excitante— Oh vous êtes deux à me sucer, oh c’est dingue !Il disait vrai, nous étions deux à le sucer, ce que je faisais, la façon dont je bavais et gobais sa queue, ce ne pouvait être moi seule !— Regarde comme tes deux femmes te sucent, matent comme elles vont prendre ton foutre, se le disputer comme des affamées.Tout comme moi, il n’en pouvait plus, ivre de plaisir lui aussi à me voir faire, je me sentais ivre de puissance, ivre du pouvoir à l’amener vers les sommets du plaisir. Et je me sentais aussi  attirée vers cet autre moi, vers l’autre femme, j’avais envie de la serrer contre moi, d’être dans ses bras, de sentir sa langue dan ma bouche, ses mains sur mes seins, Il avait du  le sentir ou alors il n’en pouvait plus, si proche du nirvana qu’il avait pris les « choses en main », retirant sa queue de ma bouche et se branlant vers le miroir comme un forcené, le gland cramoisi à force de frottements. Moi et l’autre femme dans le miroir nous le regardions et l’encouragions.— Oui allez, gicle ton foutre, lâche ton jus , je veux voir viiiite ! AAAh je me branle ouiiiMes doigts s’agitaient presque aussi vite que les siens autour de sa pine et enfin, il éjacula en plusieurs jets  puissants, qui vinrent s’écraser sur le miroir, sur le visage de mon double. Je prenais mon pied moi aussi, prête à m’effondrer mais l’envie d’elle était plus forte et je mis à lécher le miroir, à rouler une pelle à mon double, à cette autre femme si loin et si proche en même temps, dans ma tête, je sentais presque sa langue, ses doigts venant récolter la semence qui avait coulée trop vite pour me, lui, nous donner !
C’est ce film là qui, presque à lui seul nous a fait avoir le budget pour, enfin pouvoir finir d’aménager  nos chambres d’hôte. Et c’est aussi ce film là qui a nourri et développé d’autres envies...
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