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Les jeux d'Alexandra

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Sur la route, nous commencions à discuter de son voyage, de toutes les péripéties, de ce qu’il avait fait etc… Puis nous revenions sur ce qu’il s’était passé dans le parking de l’aéroport.
— Jamais je n’aurais pensé que tu ais osé faire ça avec tant de monde autour, me dit-il, je sais que tu n’as pas froid aux yeux… mais quand même !— Oh tu as eu peur qu’on nous surprennent, lui répondais-je en me moquant de lui, ça va il était 21h, il n’y avait personne !!— Non mais tu rigoles là ? Tu n’as pas vu que des gens sont passés à côté récupérer leur voiture ?— Pardon ?! — Ben oui, quand tu étais en train de me sucer, un couple sont venus récupérer leurs voiture, bon ils ont fait mine de ne rien voir, mais, t’inquiètes pas qu’ils ont profité du spectacle, surtout la bonne femme. — Mais pourquoi ne m’as-tu pas arrêté ? , lui tapant sur le bras.— En éclatant de rire, Tu es folle, c’était trop bon !
Je fis mine de bouder, en réalité, j’étais déçue de ne pas avoir remarqué que nous étions regardés.Au bout de quelques kilomètres, Julio pris une sortie d’aire de repos déserte. La nuit commençait à tomber, il se mit au fond du parking et me demandais de sortir de la voiture. Il s’excusait de ne pas m’avoir prévenue pour nos voyeurs, et commençais à me peloter les seins. D’une main il fît jaillir mes gros seins hors du soutien-gorge, et commençait à les téter doucement. Etant très sensible des mamelons, je prenais mes deux seins dans chaque main, et je les rapprochais l’un de l’autre afin qu’il puisse jouer avec les deux tétons. Puis je lâchais mes mamelles, pour le tenir par la nuque, et enfoncer ma langue dans sa bouche.Je reculais doucement pour arriver à niveau du pare choc de la voiture, il me portait et me déposait dessus. Je m’allongeais sur le capot tout chaud, et j’écartais mes cuisses. Julio commençait à me lécher la chatte, qui était encore toute souillée de son sperme, il récoltait un peu de ce jus, mélangé au mien, et me redressait pour me le faire goûter, durant un long baiser. Il commençait à introduire ses doigts, et à m’astiquer très fort. J’étais (et je suis toujours) complètement folle de ses doigts, j’adore qu’il me doigte, ça me fait un effet monstre. Mon intimité commençait à mouiller et à couler de plus en plus. J’étais aux anges. Puis il commençait à m’introduire un doigt dans l’anus, puis deux… J’essayais d’étouffer mes cris avec ma main, mais c’était très difficile. Sentant qu’il voulait me pénétrer, je lui demandais d’aller doucement car ça faisait un petit moment que je n’avais rien mis dedans (et comme il a un sexe assez large, vous pouvez imaginer qu’il faut aller doucement).
« Je t’avais promis de t’enculer à mon arrivée, c’est moi qui vais décider quand, ce n’est pas maintenant rassures-toi »
Et il s’introduit dans mon intimité. Il me fît l’amour doucement, profitant de la vue de mon corps étendu sur le capot de la voiture. Il me caressait le ventre, les seins. Il jouit en moi, et m’embrassait amoureusement.Nous reprîmes la route, toujours sans que je puisse m’essuyer. Au bout d’une heure, il prit une sortie pour que nous puissions aller nous restaurer, il était maintenant 22h30, nous avions très faim. Il a voulu aller manger à l’intérieur du fast-food.
— Euh mon cœur, je peux m’essuyer maintenant ?— Ah non, toujours pas… je veux que tu gardes des traces de notre excursion jusqu’à ce qu’on arrive chez moi.
— Non mais attends ça dégouline de partout, je ne vais pas rentrer comme ça quand même.— Je te rappelle que tu n’as pas encore jouit, alors si tu as envie que je te baise encore sur la route, tu as intérêt de faire ce que je te dis.
J’étais abasourdie de ce que je venais d’entendre, mais j’avais tellement envie de lui, que je n’avais qu’un seul choix… lui obéir.A l’intérieur du restaurant, pendant la commande, je sentais un liquide chaud me couler sur les cuisses, j’essayais de resserrer les cuisses et les fesses, mais c’était compliqué. Julio était amusé par la situation, il me laissait même prendre la commande, et porter le plateau jusqu’à notre table.A cette heure le restaurant était vide, il n’y avait que deux couples, dont un avec un adolescent, et le personnel qui commençait à nettoyer et ranger le mobilier. Nous discutions tout en mangeant. Mon compagnon me demandait si je n’étais pas trop « collée » sur la chaise en plaisantant, je lui répondais que j’avais du sperme de partout. D’un coup je me suis rendu compte qu’une employée était en train d’écouter la conversation, après tout ce que j’avais vécu depuis la fin de soirée, je me suis contentée de lui sourire en lui adressant un regard complice, elle était gênée, mais m’a rendu le même regard complice.
Le moment où je devais me lever arrivais, avec une certaine gêne, je décollais doucement mes fesses de ma chaise, je partais jeter notre plateau, c’est à ce moment-là que je vis cette même employée regarder la chaise où j’étais assise, et essuyer le jus qui avait coulé de mon intimité. Je l’ai regardé en m’éloignant, j’ai pu apercevoir ses joues devenir rouge. C’était assez excitant de la voir ainsi.
Nous reprîmes la route, quelques kilomètres avant notre sortie, Julio décida de s’arrêter une dernière fois sur une aire. Cette fois, l’aire était assez éclairée par les toilettes, il y avait une voiture sur le parking, ainsi qu’un camion, dont la cabine était éteinte. Julio se mis au fond du parking, et me fit passer à l’arrière de la voiture, il me mît sur lui, je commençais à lui faire l’amour passionnément. Cette position est une de mes préférées, je prenais énormément de plaisir en étant sur lui, je frottais les parois de mon vagin contre son sexe bien dur et bien large, je sentais mes joues chauffer de plus en plus, une vague de plaisir m’envahissais, je criais de plaisir. Je commençais à stopper mes mouvements, satisfaite de mon orgasme, j’allais m’enlever quand Julio me dis :
« Non mais tu vas où là ? Ce n’est pas terminé, tu m’as excité à crier comme ça et à jouir comme ça sur ma queue, viens un peu par-là »
Il ouvrait la porte de la voiture, me fit sortir, il me plaqua à plat ventre contre la voiture, m’enfonçait ses doigts dans l’anus qui s’était assouplit par rapport à avant.
— Je t’avais promis de t’enculer, écartes les fesses.— Non Julio, tu sais que j’ai besoin d’un petit temps après un orgasme, faisons ça tranquillement chez toi. Et puis d’ailleurs tu ne m’as pas assez préparé là, je vais avoir mal.Julio m’écrasait la tête contre le capot, il me crachait d’un coup au visage.— J’en peux plus de te voir te dandiner depuis tout à l’heure. J’ai trop envie d’exploser tes grosses fesses, et puis j’ai envie de te faire mal, tu crois que je n’ai pas vu ton manège de tout à l’heure ?— Balbutiant, mais euh quoi ? je ne comprends pas…— Tu ne comprends pas ? Tu crois que je ne t’ai pas vu mater la serveuse tout à l’heure ? Lui adresser des regards de salope alors que tu avais la chatte pleine de sperme ? D’ailleurs si je n’avais pas été là cette petite chienne te l’aurait sûrement bouffée ta chatte… — Mais pourquoi tu dis ça mon amour ? Non tu as mal vu.— Ferme ta gueule, je l’ai vu, elle te désirait, et toi aussi. Maintenant je vais te punir, me donnant de grosses claques sur les fesses.— Chut doucement nous ne sommes pas seul ici.
Il ne tint pas compte de ma remarque, et continuais à m’aplatir contre le capot. Il m’écartait les fesses, et tapotait son gland à l’entrée de mon petit trou, il appuyait assez doucement au début, et une fois que son gros gland était à moitié à l’intérieur, il donna un coup de rein sec pour rentrer entièrement. Je ne pus étouffer mes cris de douleur. C’était une douleur en point, j’ai cru que mon anus allait se déchirer, des larmes mouillèrent mes yeux. Il me pilonnait sans ménagement, la douleur était toujours présente, et je lâchais des cris de douleurs. D’un coup j’entendais une porte de camion claquer, puis des pas assez léger se rapprocher de nous, je voulais me dégager mais Julio me tenais si fermement que je n’ai pas pu, je n’arrivais même pas à parler tellement j’étais dans un état second, entre la douleur et le plaisir. J’oubliais le bruit de porte, pour me concentrer sur la chaleur d’un plaisir que je commençais à ressentir. Mes cris de douleurs se transformaient en halètements plus discrets et plus profonds. Ça faisait tellement longtemps qu’il n’avait plus pénétré mon petit trou, c’était génial de ressentir cette sensation. J’accompagnais ses coups de bassins pour le sentir encore plus profondément en moi. Je sentais ses grosses boules taper contre mon sexe. Il alternait des mouvements plus lents, où je sentais bien sa bite coulisser en moi, à des mouvements plus rapides et plus profond. D’une main je caressais mon petit bouton gonflé de plaisir, quand je le sentis s’agripper à mes fesses, ses mouvements devenais plus saccadés, je sentais sa bite de raidir et palpiter à l’intérieur, je compris qu’il était en train d’éjaculer au fond de mon cul. Il se retirait, en me laissant contre le capot, et m’enfonçait ses doigts dans mon intimité. Il fît des mouvements très rapides jusqu’à ce que je jouisse. C’était trop bon… Il m’avait rempli les deux trous, j’adore cette sensation.
Nous prirent la route pour rentrer. En arrivant chez lui, nous étions exténués. Nous sommes allé prendre une douche, et nous nous sommes étendu nus sur le lit, fatigués des heures de retard, de nos aventures sur le chemin du retour. Avant de nous endormir, Julio me fît une confidence assez curieuse. Sur la dernière aire, quand il était parti aux toilettes pendant que je l’attendais dans la voiture, en revenant, il me dit qu’il avait croisé un homme d’une cinquantaine d’années dans les toilettes en train de se nettoyer la queue. Cette homme avait été alerté en entendant mes cris, et pensant que je me faisais agressé était sorti de son camion, mais quand il a compris que nous étions simplement en train de nous amuser, il est resté là à nous regarder, et en a profité pour se soulager. Il a confié à mon compagnon qu’il avait de la chance d’être avec une belle femme, et une coquine comme moi. Il lui a demandé son numéro pour savoir si nous serions d’accord de refaire l’amour devant lui. J’ai été surprise que Julio ai accepté de lui donner ses coordonnées, mais… pourquoi pas ?
Alex.
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