Bonjour, je m appelle Georges et ma femme Annie ; ce récit est réel mais il s est passé il y a quelques années ; du temps ou la maréchaussée était moins virulente et la circulation moins dense.Étant artisan je pouvais gérer mon emploi du temps; et par un bel après midi de début juillet je dois aller faire des achats a la ville voisine; et profiter de la fin d après midi avec Annie...Je lui demande donc si elle veut m’accompagner avec un petit sourire sous entendu qu’elle a captée aussitôt: ”Ho oui je veut bien; je vais me préparer"Pourtant elle me semblais bien habillée, mais bon lorsqu’elle revient: houa !!Mini jupe ample petit corsage noué sous les seins seulement deux boutons pâtés, chaussures a talons très bien maquillée faisant ressortir ses beaux yeux bleus."Tu ne descend pas de voiture chez les fournisseurs""Non, non" pas de problème"Nous partons donc, dans la voiture elle me dévoile encore un secret: remontant sa jupe (peu suffisait!) elle me montre sa petite culotte; un petit bout de tissu rouge censé cacher son intimité, c’est sa culotte fétiche ; tellement elle a vue passer de mains qu’elle baille un peu à l’entre jambes et une lèvre tente de s échapper!!Moi qui suis en short assez court mon gland arrive déjà sur le siège! Car je n’est rien mis dessous.Je fait donc mes courses et les déposes sur le siège arrière ; nous partons donc vers la sortie de ville pour trouver la campagne et finir l’après midi a l’ombre !!Mais sur le bord de la route j’aperçois un jeune qui fait du stop; nous en avions beaucoup parlé : de "piéger" un auto stoppeur; je suis passé sans m’arrêter mais je dit à Annie "on tente??"Ho je ne sais pas dit elle d une voix anxieuse.Nous allons le voir de plus près lui dit je.Je fais demi tour et passe devant lui au ralentit afin de mieux le dévisager: il n’est pas mal Brunel, air viril, peut être une vingtaine d’année; ma décision est prise je refais donc encore demi tour et je vois son pouce levé, je ralentis et m’arrête à sa hauteur "bonjour vous allez sur bordeaux??Et en même temps il porte les yeux sur Annie; son regard va de ses seins dont il doit voir les tétons et a ses cuisses découvertes a ras la touffe, il rougis un peu!!Bonjours, nous n’allons pas jusqu’à Bordeaux mais on peut vous faire faire un bout de chemin.Il hésite un peu et finalement accepte " je monte où?" Voyant les sièges arrières encombrés, j’ai oublié de dire que ma voiture possédait une banquette à l’avant cela ce faisait a cette époque; donc je lui dit” met ton sac derrière et monte devant.La portière refermée le pauvre se serrait contre et regardait droit devant; il fallait détendre l’atmosphère de toute urgence!!Je m’appelle Georges et voici Annie ma femme Enchanté moi c’est ThierryCela a suffit pour qu’il matte a présent les charmes de ma chérie : il allait rejoindre une colonie de vacance en tant que moniteur.J’ai posé une main sur la cuisse d’Annie bien ouverte car elle a posé par obligation son pied sur le tunnel central. Plus décontracté son genou ne se privait plus de côtoyer celui de sa voisine il regardait attentif ma main progresser toujours plus haut vers la foufoune et lorsqu’il a vus ma queue qui dépassait par la jambière je crois qu’il a saisis !!Je lui ai lancé un petit coup d’œil en souriant et une pression sur la cuisse d’Annie qui a compris qu’elle devait se jeter a l’eau.Annie a maintenant une main sur chaque cuisses elle se laisse aller sur l’épaule droite de son voisin qui peut à loisir défaire les deux boutons qui retiennent les seins prisonniers, il les caressent et son autre main vient entre les jambes, très ouvertes maintenant, la paume malaxe un moment la chatte. Annie caresse nos deux queues décalottées qui suintent un liquide lubrifiant.Les doigts de Thierry finissent d’ouvrir le vagin brillant de mouille, le tissu refoulé sur le coté est devenus rouge sombre par l’humidité ; trois doigts s’enfoncent dans le cratère en feu. Ouverte latéralement la chatte me laisse voir le trou a bites il la branle maintenant de plus en plus vite ; les flocs flocs provoqués par le déclenchement de la "fontaine" m’excitent. Ma chérie ronronne de bonheur et nous serre la bite de plus en plus fort.Dans l’habitacle règne l’odeur de l’amour ; Annie est pratiquement nue j’ai du mal à tenir la voiture sur la route; eux ils sont bien ils s’embrassent et se caressent. Je doit quitter la nationale au plus vite! Le premier chemin de campagne est le bienvenu; je trouve enfin un pré entouré de buissons je me gare a l’entrée; ouf!!Je prends dans le coffre une couverture (si elle pouvait parler!!). Je la dispose à l’ombre; je suis obligé de les appeler ! Annie, déjà partie sort en titubant, elle vient de jouir, elle s’allonge les genoux repliés nous exposant ainsi son entre-jambes humide.Thierry se met a ses pieds pour finir de la déshabiller, nue et offerte elle attend son amant qui lui met les mains sous les genoux et lui remonte vers la poitrine; sa bouche se met en ventouse sur le cratère ouvert et lape le jus qui en sors, je l’envie, je viens caresser la bouche de ma salope avec ma verge tendue a l’extrême elle l’avale malgré cela j’entend ses gémissements sourds."J’ai envie d elle" me dit Thierry "baise la "lui dit je.Sans la lâcher il positionne son épée de chair sur l’abricot ouvert; Annie s’en saisie et la dirige au bon endroit il n’a plus qu’a pousser, les deux pubis sont soudés.Il reste un moment sans bouger, il apprécie la chaleur du vagin brulant puis il se met en action de plus en plus vite je vois la colonne de chair aspirée par ma femelle en rut.Elle joui encore une fois ce qui déclenche celle de son amant qui collé a elle se vide dans un râle.Il ressort lentement la bite dégoulinante de jus mélangés il s’allonge sur la couverture ; je croyais qu’il voulais souffler un peu, mais il attire Annie sur lui en soixante-neuf et se met en devoir de lui nettoyer la moule, buvant son propre sperme ma ”chienne" qui ne veut pas être en reste lui nettoie la queue; moi je regarde: je suis aux anges.Le salaud bande a nouveau; il fait faire demi tour à Annie qui s’empale sur la turgescence, je suis tout près, la vue est incroyable les va et vient sont lents j’ai le temps d’apprécier, je caresse les deux sexes, j’enfonce un doigt dans la rondelle palpitante d’Annie et je sens la verge coulisser sur mon doigt.J’ai envie de ma part de gâteau aussi je me positionne derrière eux et frotte ma mentule sur celle de Thierry et la chatte encombrée. Je récupère un peu de lubrifiant naturel et je force le passage ma bite s’engouffre dans la chatte ma salope a un petit cri de surprise qui se transforme en un râle continus, une fois les mouvements synchronisés c’est un bonheur pour tous les trois lorsqu’elle s’envoie en l’air encore une fois nous lui lâchons presque ensemble la purée au font de l’utérus, je me retire lentement entrainant du sperme qui coule sur les couilles de Thierry. Annie se laisse couler sur le coté repue et heureuse.Après une toilette sommaire nous accompagnons notre auto-stoppeur sur la bonne route; il ne regrette pas son retard et embrasse Annie une dernière fois !!!Nous sommes rentrés directement pour faire l’amour tout les deux tendrement.