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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les joies de la campagne

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le lendemain je m’arrangeais pour terminer ma tournée par la ferme de Guibert et je pris soin d’enlever ma culotte avant de descendre de ma camionnette. La première chose qu’il fit quand j’arrivai fut de passer la main sous ma jupe. ’ ça t’a plu la petite séance d’hier hein pour que tu te ballade les fesses à l’air? tu vas voir ce sera encore mieux aujourd’hui ; mets toi à genou et suce ma bite je sais que tu en as envie ’ J’obéis et m’agenouillais devant lui ;je caressais sa queue à travers le pantalon puis j’ouvris la braguette pour la faire jaillir, bien dure et dressée. Je léchais délicatement son gland turgescent pendant un moment avant de prendre l’engin en bouche. Je pompais du mieux possible, faisant entrer la grosse bite jusqu’au fond de ma gorge, tout en massant ses couilles d’une main. J’étais très excitée et je sentais ma chatte qui dégoulinait. J’attendais qu’il me dise d’arrêter mais brusquement je le sentis se crisper et il éjacula dans ma bouche en poussant un cri rauque ; pour la première fois de ma vie j’avalais le sperme d’un homme. ’ maintenant suis moi ’ il m’emmena à l’étage et me fit entrer dans une chambre ; là assis sur le lit était son père :il devait bien avoir 70 ans, il était gros et je vis qu’il lui manquait des dents. Pourquoi m’amener ici ? ’ - Papa voilà la salope que j’ai baisé hier, et en plus elle suce bien. — mets la à poil que je me rende compte — tu as entendu déshabille toi ’ Je n’avais aucune envie de me mettre nue devant cet homme répugnant et je refusai. Mais le fils baissa ma jupe d’un coup et arracha mon chemisier sans que je puisse résister. Je me sentais rougir de honte et pourtant cela m’excitait d’être traitée comme un objet. ’ - Alors t’en dis quoi ? — c’est vrai qu’elle est bandante ’ le fils me força à m’approcher du lit et à me mettre à genou devant son père qui était déjà entrain de déboutonner son pantalon. ’ tu vas faire plaisir à Papa, ça fait des années qu’il n’a pas touché une femme :suce le ’ le père fit jaillir sa queue devant moi : je fus impressionnée car elle était encore plus longue que celle de son fils, 25 cm au moins, et bien dure malgré son âge. Je commençais à branler ce vieux cochon mais il saisit ma tête et la força à la descendre je dus me résoudre à le sucer. A ce moment le fils sortit de la pièce et revint avec un caméscope ; il nous filma pendant que je pompais avidement son père. J’étais de nouveau toute mouillée et je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes cuisses pour me caresser, et même de glisser un puis deux doigts dans ma chatte. Le fils s’en aperçu et me filma en gros plan , des doigts dans la chatte et un queue dans la bouche. ’ Papa je crois qu’elle veut qu’on la baise ! ’ aussitôt le père m’allongea sur le lit et écarta mes cuisses ; il s’approcha de moi et se mit à lécher mes seins, puis il descendit sur mon ventre et enfin entre mes cuisses ; il se mit à me lécher la fente, le clitoris et je ne pouvais retenir mes gémissements . rapidement il se redressa et s’effondra sur moi en enfilant d’un seul coup sa grosse bite dans mon con ; toujours sous l’?il du camescope de son fils il commença à me limer avec une vigueur incroyable pour son âge. ’ ça te plaît de te faire baiser par un vieux, t’aimes la bite toi ma salope — oui, oui j’aime ça , oh oui c’est bon,oui oui ! — je vais t’envoyer la sauce salope ’ Et il éjacula au fond de mon ventre. Je n’arrivais pas à croire que j’avais joui sous les coups de boutoir d’un personnage aussi répugnant. Mais ce n’était pas terminé car le fils excité par le spectacle prit la place de son père quand celui ci se retira et me besogna à son tour. Il donnait de grands coups de reins pour bien me faire sentir son pieu. ’ tu la sens bien ma queue — oui vas-y bourre moi à fond — il te baise pas comme ça ton mari — oh non — mais ça te plaît hein — oui , vas-y plus vite. ’ Il se retira et s’allongea sur le lit pour que je puisse monter sur lui et m’enfiler sa bite bien au fond. ’ je crois que tu plais bien à Papa ’ En me tournant je vis que le père avait retrouvé toute sa virilité et se branlait en me regardant monter et descendre sur la queue de son fils . ’ tu sais Papa tu pourrais t’occuper de son autre trou? ’ Le père se déshabilla (je pus voir à quel point il était laid avec son gros ventre et sa peau ridée) et s’approcha de nous. Il commença à caresser mes fesses, puis à titiller mon anus avant d’y mettre un doigt. Puis ce fut son gland qu’il présenta sur mon ?illet il poussa et fit entrer doucement sa queue ; je criais mais rien à faire :j’étais bel et bien enculée par un vieux dont le fils occupait ma chatte . le père se mit à aller et venir, faisant par moments presque sortir sa queue pour mieux l’enfoncer l’instant d’après. j’avais l’impression d’être un objet, la situation était terriblement humiliante et pourtant je sentis la jouissance monter et exploser : j’avais deux grosses bites pour moi une dans le con et une dans le cul, et j’aimais ça, j’étais vraiment une salope? Le fils jouit en premier puis le père se retira pour éjaculer et envoyer son sperme sur mes fesses. ’ allez maintenant tu peux rentrer chez toi et aller voir ton mari dit Guibert en riant ’ et c’est ce que je fis? Croyez le ou non, le soir même le père Guibert fit un malaise cardiaque et fut hospitalisé en maison de retraite ; ce qui n’empêcha pas son fils de continuer à me baiser chaque jour !
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