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Les joies du camping sauvage

Chapitre 1

Hétéro

—‌‌Viviane était en train de tailler une petite pipe à son mari Hubert, prélude à une sieste crapuleuse dans leur camping car, quand on frappa à la porte. Viviane étant encore habillée, elle alla ouvrir et découvrit un homme d’une cinquantaine d’années, s’excusant du dérangement :— Vous n’auriez pas du sel ? Je suis à court, expliqua-t-il.
Elle satisfit illico à sa demande, lui dit de "garder tout, j’en ai un autre", referma la porte et trouva son conjoint déculotté.
— C’était qui ? lui dit-il.— Un voisin, c’est lui qui a le petit camping car au bout de l’allée, il voulait du sel.
Cet homme, Viviane l’avait déjà remarqué. En cette bordure de plage où plusieurs auto-caravanes stationnaient de manière sauvage, il était le seul sans compagne et sa solitude avait attiré l’attention. Elle l’avait aperçu se baignant nu, à l’écart, sans rien demander à personne. C’était donc la première fois qu’ils s’étaient parlé. Elle trouvait étonnant que ce bel homme au corps de sportif fût seul. Perdue dans ses pensées, elle avait oublié qu’Hubert était en demande. Retraité de fraiche date comme elle, son inactivité professionnelle semblait avoir dopé ses besoins sexuels. En particulier dans ce camping car acheté pour profiter de leurs nouvelles disponibilités, en particulier sur la côte atlantique. Quand Hubert réclamait une nouvelle privauté, Viviane renâclait, arguant d’une occupation incompatible. Elle finissait par céder "pour te faire plaisir mais après tu me fous la paix". Hubert rigolait intérieurement.
Viviane surjouait ce rôle de femme contrainte de satisfaire son mari. A peine l’avait-il culbutée qu’elle braillait de plaisir, à tel point qu’il devait s’employer pour la satisfaire. Leur sexualité épanouie était la preuve vivante qu’à 60 ans passés, non seulement on baise encore mais peut-être mieux qu’on ne l’a jamais fait. Viviane baisait si bien qu’un fantasme d’Hubert était d’assister à ses ébats avec un autre type. Il le lui avait dit en pleine action, elle en avait ri en lui renvoyant la balle à grands coups de son cul plantureux, mais ils n’en avaient plus reparlé.
Viviane s’aperçut qu’Hubert lui tendait sa bite. Elle la suça en pensant au type solitaire, s’imaginant le sucer lui aussi. Hubert fit passer son chemisier par dessus sa tête frisée, dévoilant ses gros nichons libres et bronzés par le topless, les palpa et déclencha chez leur propriétaire le besoin de pénétration. Elle baissa elle-même son pantalon corsaire en même temps que son slip et s’allongea sur le lit occupant le fond du camping car :
— Allez viens, qu’on en finisse, dit-elle à son mari.
C’était sa petite hypocrisie habituelle, qui ne trompait pas son mari. Non seulement elle n’avait pas hâte d’en finir mais s’il mollissait un peu trop tôt, il se faisait engueuler. Et quand elle avait joui, en général bruyamment, elle affectait de reprendre sa contenance de femme contrainte au devoir conjugal. Mais s’il avait eu quelques années de moins, il aurait remis le couvert et elle serait repartie comme en quatorze car après avoir baisé, son excitation demeurait encore un bon moment. Elle se trouvait d’ailleurs dans cet état après ce qui était censé être une sieste crapuleuse. Si Hubert s’était endormi, la queue détendue entre les jambes, elle en était incapable. Elle se rhabilla et sortit, direction le camping car de l’homme solitaire. Elle frappa et il lui ouvrit. Il finissait de ranger son intérieur et s’entendit dire :
— Finalement, je viens chercher le sel, si vous n’en avez plus besoin.— Mais bien sûr madame, entrez donc. Vous voulez un café ?
Viviane accepta. Une conversation s’engagea, durant laquelle l’homme solitaire raconta sa vie. Il dit s’appeler Jean-Yves, était veuf depuis six mois, en congé sans solde pour se réadapter à une autre vie. Il avait acheté un camping car pour "voir du pays et se changer les idées" mais l’endroit lui avait plu, près de la mer et de la nature, et il y stationnait depuis une petite semaine. Il évoqua la fin de son épouse, décédée d’une longue maladie, et Viviane en fut tout émue. Invitée à parler de sa propre vie, elle évoqua sa retraite itinérante avec son mari. Une vie banale mais heureuse. Elle l’invita à venir partager un dîner, ce que Jean-Yves accepta avec joie. Puis il dit qu’il allait profiter du beau temps pour aller se baigner. L’accompagnerait-elle ? Elle accepta mais alla quérir son mari et le couple devenu trio après présentations marcha quelques hectomètres dans le sable en direction de la plage sauvage où ils avaient pris leurs habitudes.
Là, Jean-Yves demanda si ça les dérangeait qu’il se baigne nu un peu plus loin, à l’abri des regards. A la surprise d’Hubert, Viviane dit qu’elle aimait se baigner nue aussi et et accepta de s’éloigner, mettant ainsi Hubert devant le fait accompli. Elle exposa ensuite sans complexe ses rondeurs au bronzage morcelé de femme sexagénaire devant le corps sec et uniformément brun de Jean-Yves. Hubert n’avait plus qu’à s’exécuter. Tous trois entrèrent dans les vagues et jouèrent comme des enfants. Et c’est ainsi que se noua une relation entre voisins de camping car.
******Le soir même, l’homme solitaire dinait avec le couple, approfondissant leur connaissance réciproque. Le lendemain, ils retrouvèrent la plage et le naturisme. Viviane prit un coup de soleil sur son cul blanc et plantureux, exposé aux UV. Et le soir suivant, ce fut Jean-Yves qui invita Viviane et Hubert à dîner. Vu la complicité de son épouse avec l’homme solitaire, de plus en plus évidente, vu qu’elle s’était montrée nue devant lui, vu qu’elle ne mettait plus de soutien-gorge en sa présence sous ses chemisiers légers et partiellement déboutonnés, vu qu’elle demandait à baiser à peine rentrée de la plage, ce qui commençait à assécher les bonbons de son mari, vu que Jean-Yves avait fait une allusion malicieuse au camping car qui tanguait un peu sur ses bases dans ces circonstances et aux bruits sans équivoque qui en émergeaient, le sexe finit par entrer dans la conversation.
Tandis que Viviane affectait une certaine confusion, Hubert confia qu’il avait la chance d’avoir pour épouse une "championne du plumard" et que le plus difficile pour lui était de la satisfaire. Au grand dam de l’intéressée qui protestait pour la forme. Il poursuivait ainsi une vieille idée, ou plutôt un vieux fantasme, de voir Viviane copuler devant lui avec un autre homme. L’occasion était enfin arrivée. Jean-Yves avoua qu’il n’avait pas fait l’amour depuis plus d’un an et que ça commençait à le tracasser. Serait-il encore capable ? Alors, Hubert se jeta à l’eau :
— Vivi, et si tu rendais service à notre ami ?— Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ? — Allez, fais pas ta chochotte. Tu as le feu au cul en ce moment. Qu’en penses-tu, Jean-Yves ? Elle te plait, ma femme ?— Euh... c’est que...oui bien sûr, Viviane est très sexy mais je... je ne voudrais pas m’imposer.— Moi, je suis d’accord et Vivi aussi, hein Vivi, avoue-le !
Viviane ne disait plus rien. Elle venait de ressentir une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Ses pointes de seins durcir. Devinant tout, Hubert poussa son avantage :
— Jean-Yves, Viviane a envie de baiser avec toi mais elle n’ose pas te le dire. Je le sais depuis qu’elle s’est mise à poil devant toi à la plage. Vous allez baiser tous les deux là, maintenant. Regarde-la comme elle est bandante.
Et Hubert s’approcha de son épouse, défit les boutons de son chemisier et libéra un sein lourd qu’il empauma, soupesa, titilla, agaça de sa langue. Viviane poussa un grand soupir mais ne résista pas. La bouche sèche, Jean-Yves regarda le couple dans son jeu érotique et déboutonna son pantalon sous la table, libérant son pénis désormais tendu à l’extrême. Hubert finit de déboutonner le chemisier de Viviane, désormais totalement dépoitraillée, et continua de lui caresser les seins. Il savait d’expérience qu’il lui mettait le feu et que seule une ardente copulation permettrait d’éteindre l’incendie. Mais ce ne serait pas par lui.
— Lève-toi, intima-t-il à son épouse.
Il lui baissa d’un trait son pantalon corsaire, dévoilant sa touffe de fausse blonde et ses cuisses charnues, vérifia d’un doigt fureteur son humidité et l’en ressortit poisseux.
— Jean-Yves, elle est prête. Tu vas d’abord la lécher, elle adore ça.
Hubert repoussa la vaisselle sur la table et y installa Viviane devant leur hôte, cuisses ouvertes, sans qu’elle oppose la moindre résistance. L’homme plongea son mufle avec avidité sur la vulve palpitante, attablé devant un dessert pour le moins inattendu. Hubert libéra son pénis et se masturba en regardant la langue se délecter de la fente béante. Les mains posées derrière elle afin de maintenir son équilibre, la tête oscillant d’avant en arrière, la langue entre les lèvres, Viviane ne manifestait plus aucune retenue. Elle gémissait, crispait une main sur la nuque de son lécheur pour le maintenir en activité et atteignit sans difficulté un premier orgasme qui la fit pousser un cri strident avant de s’affaler sur la table, les mains sur ses seins étalés sur son torse. Jean-Yves, rayonnant, la bouche barbouillée de cyprine, manifesta sa satisfaction d’avoir fait jouir une femme pour la première fois depuis longtemps.
— Tu lèches magnifiquement, lui dit Viviane entre deux soupirs.— Il faut que tu la baises maintenant, ajouta Hubert. Fous-toi à poil. Pas la peine de mettre une capote. Elle aime la bite au naturel.
Cahin-caha vu l’exiguïté des lieux, le néo couple gagna le lit. Viviane considéra le corps intégralement bronzé de son amant qui lui avait tant fait envie à la plage sans qu’elle l’ait exprimé. Et bien sûr sa tige dressée, longue et fine comme ses membres.
— Suce-le, ordonna Hubert.
Viviane n’avait pas besoin de son ordre. Elle avait une furieuse envie de lui rendre la pareille après avoir été si bien léchée. C’était une fellatrice de première force et Jean-Yves connut une félicité qui le mit un peu trop vite au bord de l’éjaculation. Il se retira prestement en se comprimant la queue et Viviane salua son initiative :
— Excuse-moi, je ne sais pas me retenir, on va se reposer un peu. Viens me caresser.
De son poste d’observation, Hubert regarda le couple nu assis face à face, se bécotant, les mains actives. Il se réjouissait à l’avance de l’ardente copulation qui allait suivre sous ses yeux. Jean-Yves bandait comme un âne, stimulé par la main de Viviane, légère et précise. Lui-même doigtait sa partenaire, provoquant de petits coups de reins. Il se dégageait de ces préliminaires souriants et prolongés un érotisme puissant qui mirent Hubert au bord de l’explosion. Quand est-ce que ces deux corps nus et bronzés allaient-ils enfin fusionner ? Ils semblaient l’un et l’autre prendre un malin plaisir à différer le spectacle que leur voyeur attendait. Vicieusement, Viviane ajouta le verbe au geste :
— Hubert attend qu’on baise. Tu en as vraiment envie ?— Bien sûr que j’en ai envie. Tu es très belle.— Toi aussi tu es beau. Tu as une très belle queue. Tu vas me la mettre, hein ? Bien profond, hein ?— J’attends que ça. Tu me fais languir.— Ce sera encore meilleur quand tu vas me baiser. Tu sais, tu peux m’enculer si tu veux.— Tu aimes ça ?— J’adore. Et toi ?— Moi aussi, mais s’il te plait, laisse-moi te baiser maintenant, j’en peux plus.— Oui, baise-la ! s’exclama Hubert, de plus en plus à cran.
Alors, Viviane saisit la bite de Jean-Yves et l’attira manu militari entre ses cuisses en se reversant sur le dos. Happé, l’homme s’enfonça d’un coup, jusqu’à la garde, et le couple se mit à cavaler en grognant et gémissant, secouant le camping car de toute son ardeur copulatrice. Bras tendus, Jean-Yves se soulageait d’une tension longtemps contenue en cognant dur, stimulé par les ongles de Viviane plantés dans ses fesses. Hubert regardait son épouse se faire baiser par un autre que lui avec délectation, épaté par le plaisir spectaculaire qu’elle y prenait, ruant, frottant, piaillant, mouvante et bavarde. Tout en s’astiquant, Hubert les vit changer de positions, découvrit le cul de sa femme roulant autour d’une bite qui n’était pas la sienne puis son visage face à lui pendant qu’elle se faisait prendre en levrette. Le visage d’une femme qui baise, qui se sait baisée et qui sait qu’elle va jouir. Yeux clos et bouche ouverte, seins ballottants sous les assauts, croupe frémissante.
— Tu prends ton pied, hein ma chérie ? souffla Hubert, la queue à la main.— Ah oui et toi aussi, hein mon salaud, cochon que tu es ! répondit sa femme.
Il lui palpa les seins et sans crier gare, elle goba sa bite toute proche, l’associant de fait à son plaisir. Et ce qui devait arriver arriva : il gicla dans sa bouche, non un sperme copieux car il avait pas mal éjaculé ces derniers temps mais quelques gouttes seulement, suffisantes pour lui cisailler les cuisses. Et c’est assis qu’il assista à la suite des ébats car Jean-Yves bandait toujours.
— Mets-la moi dans le cul maintenant, roucoula Viviane à l’intention de son tringleur.
Comme un automate, celui-ci positionna son gland humide contre l’anneau de la sexagénaire qui, à sa surprise, résista peu. Depuis combien de temps n’avait-il pas enculé ? Il ne s’en souvenait même plus et découvrit cette sensation particulière. Il demeura figé et laissa Viviane faire tout le boulot, venir à sa rencontre, faire claquer ses fesses contre son bas-ventre, rouler des hanches de plus en plus rapidement et finalement s’exclamer :
— Jouis dans mon cul ! Jouis dans mon cul !
Enfin, il se libéra et la femme sentit dans son tréfonds un liquide chaud l’envahir, déclenchant un nouvel orgasme qui la rendit écarlate tandis que la sueur coulait du front de Jean-Yves sur ses reins creusés dans un camping car devenu une étuve. Et le couple se dissocia, rompu.
*******Cet accouplement connut d’autres épisodes car Viviane estimait "ne pas avoir fait le tour de la question" avec Jean-Yves. Une de ces questions était justement de baiser à la plage, fantasme récurrent chez Viviane et Hubert, qu’ils avaient mis en pratique une fois. Avec Jean-Yves, la fornication balnéaire se déroula en nocturne après un bain de minuit durant lequel ils découvrirent d’autres couples animés des mêmes intentions. Après le bain, Jean-Yves accueillit Viviane en position couchée, au clair de lune, la queue dressée, et elle n’eut plus qu’à s’empaler et cavaler, les nichons en bataille, pendant qu’Hubert se masturbait à côté. Le mari était d’autant plus excité qu’à quelques mètres, une jeune femme se faisait prendre en levrette par un homme de couleur et braillait encore plus fort que Viviane. Il fut à deux doigts, dans son délire de voyeur, d’aller les trouver pour leur proposer un échange tant il était désireux de voir sa femme baiser avec un inconnu.
Il n’en eut pas besoin. Après avoir connu l’extase, le jeune couple s’approcha des deux seniors au moment même où Viviane se faisait prendre également par derrière. La jeune femme vint tâter les couilles ballottantes de Jean-Yves et le jeune homme offrit à la sexagénaire sa bite flappie à sucer. Viviane ne se déroba pas et sa langue experte eut vite fait de redresser la queue noire. Alors, Hubert intervint, non pour mettre le holà comme s’attendait le Black, mais pour ordonner à celui-ci :
— Baise-la maintenant, et donne ta femme à mon copain.
Et c’est ainsi qu’à même le sable, deux nouveaux couples se formèrent. Viviane perdit complètement la boule. Baiser avec un gars aussi jeune et aussi noir, c’était plus qu’elle n’aurait jamais imaginé. Ses cris de jouissance percèrent la nuit tandis que Jean-Yves se surpassait pour satisfaire une jeune femelle qui l’encourageait du cul et de la voix. Hubert n’avait plus une goutte de sperme disponible tant il avait déjà poissé sa main. Quand enfin les deux couples se dissocièrent et gagnèrent la mer pour se laver de leurs turpitudes, il était très tard. La plage était désormais désertée. Viviane avait tellement joui qu’elle dut être soutenue par Hubert pour regagner le camping car, les jambes flageollantes. Quand elle se coucha, elle avoua à son mari :
— Tu m’as tuée avec tes idées. Tu es vraiment un gros cochon.
Hubert ne releva pas. Il n’était pas trop vaillant non plus. Il s’allongea à côté d’elle et s’endormit rapidement, au contraire de son épouse, encore excitée.Le lendemain, ils se levèrent tard. Viviane voulut aller rendre une petite visite amicale à Jean-Yves. Mais son camping car avait disparu. Etait-il parti faire quelques courses ? C’est ce qu’elle crut un moment. Mais il ne revint pas. Et il n’avait laissé aucun indice susceptible de savoir où il était parti, ni même où il vivait. Quant au jeune couple, il s’était évidemment évaporé.Le lendemain, le temps se gâta. La météo annonçait plusieurs jours de mauvais temps. Le couple senior décida de lever l’ancre et de revenir à son domicile. Mais ils se promirent de revenir installer leur camping car à cet endroit précis. Qui sait, peut-être que Jean-Yves reviendrait ? Les amours de vacances, même entre personnes d’âge mûr, même si elle sont d’abord sexuelles, sont toujours imprévisibles.
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