Nous sommes un couple la cinquantaine et nous aimons parfois pimenter notre vie sexuelle. Adepte de pratiques diverses, j’aime exhiber mon épouse. Ma femme, Agnès est une jolie bourgeoise, qui aime porter de la jolie lingerie, elle possède une belle poitrine (95D) et aime aussi exciter les hommes et les femmes. Parmi les situations que nous adorons, l’exhibition tient une place importante.J’aime la savoir en tenue sexy sous ses vêtements et si possible sans culotte. La première fois que je l’ai exhibée en extérieur, a été pour nous un moment inoubliable qui nous a permis d’approfondir ce genre de plaisir. Nous sommes un après-midi en pleine semaine, je demande à Agnès de mettre une tenue sexy.Elle opte pour une guêpière en vinyle, des bas noirs à couture et des bottines. Je lui accroche un collier auquel sont accrochées des pinces à tétons et une laisse. Je lui propose de mettre uniquement un manteau par-dessus. Nous prenons notre petite chienne Chippie pour la sortir également. Nous traversons notre lotissement, puis nous empruntons un petit chemin goudronné. C’est un chemin où nous promenons souvent notre petit Yorkshire, il est dégagé et permet de voir très loin. Je demande à ma chérie d’ouvrir son manteau, puis je prends la laisse, me voilà à promener mes deux chiennes...Comme nous sommes tranquilles, qu’il n’y a personne à l’horizon, je demande à ma belle de retirer son manteau. Elle est ma soumise dans ce genre de situation, mais là elle hésite. Je tire sur la laisse, ce qui actionne les pinces à tétons et lui arrache un petit cri. Elle obéit et retire son manteau, elle le prend sous son bras et je la laisse faire quelques pas devant moi.Je peux la voir marcher, son gros cul blanc barré par les jarretelles de la guêpière, elle me fait bander, et le bruit de ses talons sur le bitume amplifie mon excitation.Nous sommes surpris par un bruit de klaxon, puis deux et un troisième, ce sont des routiers qui passent sur la voie express qui surplombe notre chemin. Les voitures sont plus basses et ne peuvent nous voir. Agnès remet son manteau, un peu honteuse de s’être montrée à ces camionneurs. Je reprends sa laisse et nous continuons notre promenade. Nous nous arrêtons un peu plus loin sur un banc.Je lui écarte les pans de son manteau, elle pose une jambe sur ma cuisse, l’autre sur l’accoudoir du banc. Je la caresse, elle est inondée. Je lui tète les seins, tout en la branlant.Je lui mets un ou deux doigts dans la bouche, car elle très expressive quand elle jouit.Nous sommes pris par notre excitation et nous ne voyons pas arriver un cycliste. Il passe devant nous et tourne la tête vers le banc. Je lève la tête pour le voir freiner et revenir vers nous. Il se positionne devant nous et observe quelques instants notre manège. Je vois à son cuissard déformé que ce qu’il regarde l’excite. Puis il reprend son chemin en nous remerciant de ce spectacle.Pendant la présence de cet homme, Agnès avait saisi ma queue à travers mon pantalon. — Ça m’a excitée d’être regardée par ce monsieur, me dit-elle.
— Oui je le sens tu es encore plus inondée.— Tu aurais aimé qu’il te caresse ?— - Je ne sais pas oui sûrement. Je sors ma queue, elle me branle très vite, ne tenant plus, je me lève et lui envoie mon sperme sur le visage.Pendant que je l’asperge, elle se branle comme une furie.Enfin calmés tous les deux, je lui propose de rentrer à la maison. Elle me demande un kleenex, mais je refuse. — Non tu vas rentrer comme ça. Un peu troublée, elle obéit et nous reprenons notre chemin, moi au centre et mes deux chiennes de chaque côté tenues en laisse.Nous arrivons dans le lotissement, je lâche la laisse entre les seins d’Agnès qui referme son manteau. Quand nous entrons dans le jardin, elle est soulagée de n’avoir croisé personne avec son visage couvert de mon foutre. Une fois dans la maison, nous sommes allés dans la chambre où nous avons baisé comme des dingues, son visage toujours imprégné de traces de foutre.Quelques semaines plus tard, nous décidons de réitérer cette expérience d’exhibition, mais cette fois-ci nous choisissons de nous rendre au cinéma.Je lui demande de mettre une tenue sexy, mais en me laissant la surprise de la découvrir plus tard.Ce que je peux apercevoir, ce sont des bas noirs à résille et des escarpins rouges. Au-dessus, un chemisier noir et une jupe en cuir de couleur rouge qui lui arrivait à mi-cuisses. J’ai l’impression que ses seins sont libres. Nous voilà partis direction le cinéma. Nous nous installons dans les rangées du haut laissant deux ou trois rangées derrière, Agnès se place à ma gauche laissant deux fauteuils libres avant le mur. La salle n’est pas très remplie. Le film projeté est un fil avec Dany Boon et Gérard Darmon, pédale dure, une suite ratée de pédale douce. Je commence à la caresser. Elle a retiré son blouson. Je caresse ses seins à travers le chemisier, ils sont bien sans soutien-gorge. J’aime pétrir ses grosses mamelles. J’ouvre le chemisier et l’écarte, laissant à découvert ses gros seins. Ma main se glisse sous sa jupe, je caresse ses bas et je remonte jusqu’à sa chatte que je découvre libre de toute culotte. Je sens sa respiration s’accélérer, comme elle est bruyante, je l’embrasse et je mets aussi ma main sur la bouche.Sa main se pose sur ma braguette, elle me masse à travers mon futal. On s’excite bien, je fais tout de même attention autour de nous, mais nous nous chauffons très fort.A un moment, j’ai cru faire une crise cardiaque. Alors que je lui bouffe les seins, j’ouvre les yeux et je vois deux têtes derrière nous qui nous observent. J’apprendrais qu’ils avaient remarqué notre petit manège depuis un petit moment. Surpris, je me redresse, la main toujours enfouie sous la jupe de ma belle qui ne se rend compte de rien sur le moment. Surprise aussi, elle se tourne et vois les deux jeunes hommes.Je leur demande de dégager, mais Agnès, excitée, me dit : — Laisse-les, je suis trop chaude pour arrêter. Alors là je suis sur le cul, mais comme j’ai aussi le fantasme de l’offrir à d’autres un jour, c’est peut-être l’occasion de voir jusqu’où elle est prête à aller. Je demande aux deux gars de la caresser et ils n’hésitent pas une seconde, ils passent leurs mains par-dessus le fauteuil et les descendent sur les gros seins d’Agnès. Moi je reprends ma branlette sur son clitoris. Elle guide leurs mains sur ses seins. Comme je n’ai pas envie d’ameuter toute la salle, je leur dis de venir sur notre rangée. Ils se déplacent discrètement et Karim et Khaled (j’ai appris leur prénom un peu plus tard) s’installent de part et d’autre de ma chérie, je me suis en effet décalé d’une place. Khaled est à mes côtés, il porte un jogging et l’autre un Jean. Ils reprennent possession de la poitrine offerte. Ils lui sucent les tétons et leurs mains sont maintenant sous la jupe. Je ne vois pas très bien Karim, mais je vois le jogging de Khaled déformé par une bosse énorme.J’aimerais caresser cette bosse, mais je ne veux pas interrompre la situation.Ça dure plusieurs minutes, les respirations sont plus bruyantes, mais le film heureusement prend fin. Les lumières se rallument, tout le monde reprend une position digne. Enfin si quelqu’un avait fait attention à notre arrivée, il se rendrait compte que deux jeunes hommes sont venus s’insérer entre nous deux. Très excités par ce qui vient de se passer, nous proposons aux deux mecs de nous suivre jusqu’au parking.Nous sortons et je jette un œil derrière nous, le Khaled a du mal à cacher son érection. Nous arrivons à notre véhicule, ils montent tous les trois à l’arrière Agnès entre les deux.A peine démarré, je regarde dans le rétroviseur et les trois sont déjà à se caresser. Les deux gars ont repris les seins en bouche, je ne vois pas grand-chose, car je me concentre sur la route.J’aperçois la bouche ouverte de ma douce et sa main droite qui branle Khaled et c’est bien ce que je pensais, il est bien pourvu par la nature.J’entends les voix des garçons qui parlent de salope, chienne, gros cul, mamelles, enfin de la poésie quoi.Je connais un endroit tranquille et je m’y dirige, je ne veux pas de ces deux jeunes chez nous.Nous arrivons sur le site tranquille où nous aimons venir baiser tous les deux parfois en rentrant du restaurant par exemple.Je me gare et je me retourne, Agnès a la jupe retirée et je vois qu’elle porte un serre taille rouge, je vois les jarretelles, et surtout les mains de nos deux amis qui la branlent. Elle aussi ne reste pas inactive et je peux admirer ses jolies mains qui coulissent sur les membres gonflés. Ça dure quelques minutes encore, avant que Karim me demande pour baiser Agnès.Je refuse, car personne n’a de capote. Je les sens déçus, mais pas question sans protection.Je fais sortir le trio de la voiture, je prends Agnès par la main et lui demande de s’accroupir sur ses talons devant la calandre de la voiture. Je propose à nos deux jeunes camarades de jeu de se branler et se vider sur elle. Je vois dans leurs yeux une étincelle de perversité.Khaled place sa grosse queue entre les seins d’Agnès et Karim pose la sienne sur son visage.Ils se déchaînent, ça ne dure pas très longtemps avant que les giclées de foutre partent partout sur elle.Ses seins sont couverts, ainsi que son visage, ses cheveux. Ils se vident en beuglant sur cette belle bourgeoise salope. Je crois qu’ils sont encore plus excités de la souiller devant moi.Ils offrent leur queue à nettoyer, ce qu’Agnès s’empresse de faire comme une grande, la gueule noyée de foutre.Nous remontons en voiture, Ma douce à mes côtés et les deux gars à l’arrière. Ils font des commentaires très salaces et souhaitent nous revoir et pourquoi pas avec d’autres potes à eux.Ils promettent à Agnès de la baiser comme elle le mérite.Nous revenons sur le parking du cinéma et remercions nos amis, je garde le téléphone de Khaled.Nous rentrons à la maison pendant le parcours, je vois le sperme couler sur son visage et quelques traces séchées.Nous allons directement dans la chambre où nous baisons comme des fous. J’ai essuyé le foutre sur ses seins et son visage, mais en la léchant, je sens l’odeur et le goût âpre du sperme des deux jeunes.Voilà une expérience qui nous a excités au plus haut point. Quelques mois plus tard, nous décidons d’une nouvelle sortie exhibition, mais cette fois-ci nous resterons dans la voiture. Je contacte Khaled l’un des jeunes de la soirée « exhib » au cinéma.Je lui explique ce que je recherche : Exhiber ma femme devant plusieurs voyeurs. Je lui demande de réunir cinq hommes de confiance parmi ses amis. Après accord, je lui donne le lieu et l’horaire du rendez-vous. Agnès ne sait pas combien d’hommes vont la mater ni où. Le jour dit, nous nous rendons dans une ville à quelques kilomètres de chez nous. Nous allons à l’hôtel afin de nous préparer et d’y passer la nuit après notre escapade nocturne.Agnès s’est préparée pour notre soirée et comme à son habitude, elle choisit une tenue très sexy composée, d’une guêpière mauve à liserés noirs, des bas de la même couleur que la guêpière, une belle paire de chaussures noires à talons et pour couvrir le tout, une simple veste et une jupe de couleur mauve également. La veste est assez échancrée et on peut apercevoir une bonne partie de ses gros seins soutenus par les bonnets de la guêpière.Avant notre soirée « Exhib », nous allons boire un verre, sa tenue ne laisse pas indifférents certains hommes. Je les comprends, car moi-même je me surprends à vouloir la prendre là dans le bar.L’heure approche et il est temps de prendre la voiture et d’aller au rendez-vous. Nous arrivons devant un grand bâtiment administratif et je me dirige vers le parking souterrain, je descends jusqu’au dernier sous-sol. Je me gare dans un coin sombre, mais une petite lumière toute proche nous permet d’avoir un peu de visibilité. Je demande à Agnès si elle veut que je lui bande les yeux, mais non ce soir elle veut voir les voyeurs qui vont profiter de la vue de son corps et peut-être même auront-ils droit de la toucher.Elle incline un peu son dossier, elle commence à se caresser, j’ouvre la veste de son tailleur, quelles belles paires de loches, je les dégage des bonnets de la guêpière, ses tétons sont déjà dressés.Elle écarte un peu ses cuisses, je passe mes mains dessus et remonte jusqu’aux jarretelles et la lisière de ses bas. Elle respire un peu plus vite, je la vois chercher des yeux si quelqu’un approche, mais il n’y a encore personne. J’ai convenu avec les cinq hommes de rester cachés quelques minutes avant d’apparaître, je la voulais très excitée et chaude avant de l’offrir. Je tire sur la fermeture de sa jupe et lui retire, la veste suit, la voilà presque nue dans sa tenue magnifique, elle est à point, elle se pétrit les seins, sa main descend sur sa chatte trempée, elle est mûre, et c’est le moment où les voyeurs arrivent, ils sont là près de la vitre passager. Ils voient ma belle offerte qui se branle et fait rouler ses gros seins. Elle ouvre les yeux et voit les hommes, qui pour l’instant se caressent à travers leur pantalon, il y a Khaled et son ami Karim rencontré aussi au cinéma, Jérémy, un black, Robert et André deux quinquagénaires. — Hummm, merci mon chéri, tu as bien choisi, me dit Agnès qui se branle de plus en plus vite. Les mecs sortent leur queue, se caressent, ils ont le visage collé à la vitre. Ils me disent quelque chose, mais je ne comprends pas, j’entrouvre la fenêtre côté passager.Je sors ma queue et je me branle. Les mecs me demandent d’ouvrir la vitre, ce que je fais avec l’accord de ma belle. Aussitôt les plus hardis se précipitent et la caressent, ses seins sont pétris, sa chatte est visitée par plusieurs doigts. Ma chérie si réservée habituellement se lâche et encourage les cinq hommes.Sa main droite part à la recherche des queues dressées qui pointent à la portière. Elle attrape celle du black, elle regarde ce gros manche qui contraste avec sa jolie main blanche manucurée. Elle branle cette belle queue, elle change de mandrin, elle essaie de branler chaque homme.Ils la doigtent, j’entends le clapotis que fait sa chatte inondée. Au bout d’un bon moment de caresses, de branlettes, je lui demande si elle veut sortir de la voiture. — Oh oui, mais tu viens avec moi.— OK ma chérie, attends je sors le premier, je vais t’ouvrir la portière. Je sors de la voiture, j’ouvre le coffre pour sortir une couverture et deux coussins que j’avais préparés au cas où... je pose le tout derrière la voiture entre le coffre et le mur, il y a suffisamment de place pour tout le monde. J’ouvre la portière de ma chérie et je l’aide à sortir, les cinq mecs sont très excités, mais connaissent les règles préétablies lors de notre contact. Je l’emmène par la main jusque sur la couverture, je lui demande de s’accroupir sur ses hauts talons et je fais signe aux hommes d’approcher. Ils sont maintenant autour d’elle, elle tend la main gauche et prend celle de Jérémy, et dans la droite celle de Khaled, Karim et André posent leur queue sur ses lèvres, elle donne de petits coups de langue, Robert vient derrière elle et frotte sa bite dans ses cheveux. Ce tableau je l’ai rêvé, fantasmé, mais ce soir il est bien réel, je me masturbe et je suis attentif à ce que tout se déroule pour le mieux.Agnès astique les queues qu’elle a empoignées, elle suce alternativement les deux autres, le cinquième a délaissé les cheveux pour pétrir les gros nibards et tapoter sa queue dessus. Les hommes changent de position, le black est dans sa bouche il lui tient la tête pour donner le rythme, elle branle les deux vieux maintenant, la bouche toujours occupée, Khaled et Karim se branlent et me sourient. Nous faisons une pause très courte, car tout le monde est très excité. Je demande à Agnès si elle veut qu’ils la prennent. Elle me répond discrètement. — Oui je veux bien. J’explique aux types le choix de ma douce. Pas de souci, ils savent que c’est elle qui choisit.Le black, se couche sur la couverture, la bite droite comme un i et couverte d’un préservatif qui semble un peu court, Agnès aidée par Robert et André s’empale sur le vit au gland turgescent. — Hummm ! oh oui c’est bon, fait Agnès en s’empalant.— Vas-y salope régale-toi, lui répond Jérémy. Je regarde ma femme empalée sur ce black, elle est belle dans sa parure mauve.C’est le début d’un bon quart d’heure de baise intense. Elle pose les mains sur le torse puissant de son baiseur, André lui doigte le cul, les deux Arabes passent leurs queues sur son visage, elle crie et essaie d’attraper les queues au passage, Robert a passé sa bite sous le bras d’Agnès et se branle ainsi. Moi j’observe et me branle comme un fou, stoppant dès que je sens monter la jouissance. Mon épouse hurle de jouissance. Je ne pensais pas que ça se passerait comme ça.Les positions changent, elle se retrouve en levrette, Karim la prend sauvagement, André et Robert se partagent ses lèvres, Jérémy et Khaled sont secoués par ses jolies mains.Après quelques minutes, c’est l’explosion générale. C’est au-delà de mes fantasmes, Jérémy se branle entre ses pieds, il finit par jouir sur ses bas. Les deux anciens se vident sur son visage et la couvrent de sperme. Karim est pris d’un spasme et se vide sur son dos après avoir jeté sa capote. Khaled est le dernier à jouir et se finit sur ses seins.Agnès est couverte de sperme, elle respire fort et se caresse la chatte. Au bout de l’excitation, je finis par gicler sur la couverture.Après un moment de récupération pour tous, je relève mon épouse, elle a du sperme partout, sa guêpière est souillée ainsi que ses bas. Khaled et ses amis se réajustent. Le jeune Rebeu me demande si je suis satisfait ? — Oui vous avez été au-delà de ce que je pensais.— OK on est prêts à recommencer dès que tu veux. Ta belle salope est vraiment bonne. On revient quand tu veux.— Merci Khaled et merci à tes amis. Je te recontacte dès que j’ai besoin de bons baiseurs comme toi et tes potes. Les cinq garçons partent, je range la couverture et les coussins. Agnès est déjà remontée à l’avant du véhicule. Je m’installe au volant, hummm elle est belle avec ses gros seins couverts de foutre et son visage sur lequel coule les traces de sperme.Nous rentrons à notre hôtel. Agnès a remis sa veste et sa jupe. Nous passons l’accueil sans que le gardien fasse attention à nous.Nous nous couchons, j’interdis à ma chérie de se laver et elle s’endort en posant sa tête sur mon torse...
