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Les joies de l'hospitalité

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous avons rencontré Tommaso en mai dernier.
Nous habitons un pavillon de banlieue assez cosy, un peu défraîchi, mais le terrain est grand, qui lui confère un petit air campagnard au milieu de la ville. Qui dit grand terrain, dit longue haie, et j’avais dû batailler toute la journée avec le taille-haie pour lui redonner une apparence civilisée.

Fourbu, mais fier de moi, il ne me restait plus qu’à me débarrasser des déchets verts, et je pourrais enfin goûter un repos bien mérité !
C’est là, sur le chemin de la déchetterie, que j’ai croisé le gaillard, dont la moto était visiblement en panne.
Je m’arrêtai et lui demandai ce qui n’allait pas. Il me répondit avec un accent italien à couper au couteau : sa bécane était vieille, elle lui avait déjà fait le coup, il fallait resserrer un écrou. Initialement, il était en route pour la ville de Cluny, où il devait retrouver des amis et y laisser sa moto, et ce n’était que le début de son périple, car ils partaient ensuite tous ensemble pour Compostelle.

J’étais un peu méfiant de prime abord, ma mère l’aurait sans doute qualifié de traîne-savates, mais son regard était clair et il semblait plutôt franc du collier. En outre, sa moto confirmait son histoire : d’une marque indéterminée, mais d’un âge certain, elle ressemblait à un vieil âne poussiéreux, chargé de sacoches de part et d’autre, surmontées d’un sac à dos orné de coquilles Saint-Jacques (des écussons, et une vraie).
Sa situation n’était pas terrible ; nous nous trouvions sur une route pas très passante, et à part quelques habitations pas forcément occupées, il n’y avait aux alentours que des banlieues pavillonnaires comme la mienne, pas très proches. Quant au garage le plus près...

Je lui proposai de m’attendre ici, j’en avais pour 20 - 30 minutes, et je le reprendrais au passage. Il me proposa spontanément de m’accompagner pour m’aider, je déclinai son offre, mieux valait qu’il veille sur ses affaires.
Je tins parole, il me remercia chaleureusement, et on chargea péniblement sa bécane et son barda dans la remorque. Une fois dans la voiture, je l’observai plus attentivement : la vingtaine, les cheveux châtains, les yeux bleus clairs, il semblait vraiment sympa et nous commençâmes à discuter.
Il était tard, le lendemain était un samedi, on aurait tout loisir de lui trouver un garagiste, et donc logiquement, je l’invitai à rester manger et dormir. De son enfance difficile, ma femme avait hérité un sens de l’hospitalité surdéveloppé, et je ne pensais pas me tromper en prédisant qu’il serait le bienvenu à la maison.
En franchissant le portail, je klaxonnai quelques coups, garai ma vieille voiture et sa remorque devant le garage. Avertie par le klaxon, ma femme était sortie de la maison, se tenait à côté de la remorque et contemplait la moto sans comprendre pendant que j’en faisais le tour.
— Mais qu’est-ce que tu nous ramènes là ? eut-elle le temps de dire.
Au même moment, Tommaso ouvrait sa portière, il s’était endormi sur le dernier kilomètre.
— Oups pardon, ce n’est pas à vous... je ne parlais pas de vous, je veux dire, se rattrapa Inès.
Je fis les présentations rapidement. Inès acquiesça, mais je lus dans son regard qu’un petit coup de fil eut été le bienvenu.
Inès était de la seconde ou troisième génération franco-espagnole, je ne savais plus très bien.
Nous avions trente-cinq ans tous les deux, et alors qu’un début de bedaine avait commencé à phagocyter mes abdos, elle avait gardé sa silhouette intacte. De tempérament volcanique, Inès n’avait pas pour habitude de mâcher ses mots, et effectivement elle n’attendit pas que nous soyons seuls pour me signifier que mon joli portable n’était pas là pour la décoration.
Elle se tourna vers notre invité, et lui proposa de se rafraîchir, le temps que nous préparions le repas.
J’en profitai pour la peloter dans la cuisine, car quand elle est contrariée, elle a toujours ce petit mouvement sec des hanches qui me fait un je-ne-sais-quoi.
— Oh, arrête, on n’est pas tout seuls ! Et puis tu pues, c’est une infection !
Le repas fut copieux. Je notai qu’Inès dévisageait notre invité.
Effectivement, en toute objectivité, il était beau gosse, le visage régulier, des yeux expressifs, un corps fin, mais bien taillé, et son accent était la cerise sur le gâteau. En retour, elle reprenait ses fautes de Français, et comparait les expressions italiennes aux idiomes espagnols.La soirée fut très sympathique, et quand Inès se leva de table, je remarquai le regard appréciateur de Tommaso sur sa croupe. Inès avait des hanches larges et un fessier rebondi, "un cul africain" disait-elle, qui me faisait bander dur quand nous étions en levrette. Tommaso vit que je l’avais vu, eut un sourire un peu contrit, et nous dîmes en même temps "elle est bella !" et "j’ai de la chance", nous rimes de concert, et à son retour, Inès nous demanda la raison de cette hilarité.
— Rien, une blague entre mecs.
Elle me lança un regard noir tout en relevant sa mèche de côté, se pencha vers Tommaso pour lui proposer un café, et m’ignora superbement.
— Et moi, tu ne m’en proposes pas ?— Si tu veux un café, tu te le fais toi-même ! rétorqua-t-elle avec un sourire moqueur.
Son accent hispanique refaisait surface, signe qu’elle était soit réellement contrariée, soit un peu bourrée. Le sourire était moqueur, mais sincère, elle était donc un peu éméchée.
Je me levai péniblement, les courbatures arrivaient déjà, et retournai à la cuisine me faire un espresso pendant qu’Inès servait le sien à Tommaso.
Je les rejoignis bientôt. Tommaso décrivait sa région natale. Inès l’écoutait attentivement, nous avions planifié un voyage en Italie à la fin de l’été prochain, et tous les bons plans étaient les bienvenus.
Sauf que le langage corporel d’Inès clamait en majuscules qu’elle s’en foutait royalement.
Elle était assise de côté, ce qui relevait le bas de sa robe et mettait la courbe de sa hanche en évidence. Elle se passa machinalement la main dans les cheveux. Je reconnaissais ce tic, et m’en amusais. Tommaso continuait sur sa lancée, Inès riait de bon cœur à ses descriptions et ses évocations, et posa la main à deux reprises sur le genou de Tommaso, l’air de rien. Toi, ma coquine !!
Je me levai pour proposer un digestif. Inès débarrassa les cafés, et je profitais de son absence pour demander à Tommaso :
— Tu la trouves bandante ?— Hein ?— Molto bene ? Ça te dirait de te la faire ? avec gestes à l’appui.
Tommaso me regarda, les yeux agrandis de surprise, ce qui lui conféra une expression comique, très juvénile. Je crus qu’il n’allait pas me répondre, Inès revenait vers nous, et demandait ce que je proposais à boire. Tommaso eut juste le temps de hocher rapidement la tête, l’air soudain sérieux.
La soirée se terminait, je sortis un jeu de serviettes à l’adresse du jeune homme et lui proposais de prendre une douche avant d’aller se coucher.
Nous avions une chambre d’amis au-dessus du garage qui était déjà prête.
— Et toi aussi, après, à la douche ! Tu aurais dû te laver dès en arrivant, tu pues la sueur ! me souffla-t-elle en se tournant vers moi.— Ouais, enfin j’en connais une autre qui est une petite cochonne, rétorquai-je en me rapprochant d’elle.— Quoi ?
Je lui caressai les hanches.
— Tu le trouves à ton goût ?—... ??... Tommaso ?— Qui d’autre.—... Oui, enfin, il est beau, c’est évident. Toi, tu ne trouves pas qu’il est beau garçon ?
J’avais remonté sa robe, et je taquinais maintenant sa culotte. On entendait couler l’eau depuis la salle de bains.
—... Mmh, c’est pas à moi qu’il faut poser la question...
Je l’embrassai, elle répondit à mon baiser. Mes doigts ne rencontraient toujours aucune résistance.
— Tu veux qu’il te saute ?— QUOI ? MAIS T’ES MALADE ?— Un bel Italien, tombé du ciel, par une belle journée ensoleillée, là, nu dans ta salle de bains. Tu le veux ? La brusque humidité autour de mes doigts me répondit. Inès me regardait bizarrement, d’une manière à la fois stupéfaite et langoureuse. Je la poussai doucement vers la salle de bains.— Non, je... dit-elle d’une petite voix, sans toutefois essayer d’empêcher la porte de s’ouvrir derrière elle.
Elle bougeait comme au ralenti. La petite pièce commençait à se remplir de vapeur d’eau, Tommaso mit quelques secondes avant de nous apercevoir à travers la paroi de douche qui s’embuait. J’avais retourné Inès vers lui, et mes mains étaient de doux rouleaux compresseurs qui allaient et venaient sur son corps, chahutant sa robe d’été. J’en passai les deux bretelles par-dessus ses épaules. La robe tomba au sol. Je sentais Inès terriblement excitée. Ses tétons dardaient à travers ses bonnets, elle portait haut une poitrine plutôt petite, sa culotte était roulée sous ses fesses, que je finissais de lui ôter. Tommaso bandait ferme. Une pointe de jalousie m’étreignit, son sexe était indéniablement plus grand que le mien, et son corps était bien musculeux. Cet animal aurait pu figurer sur une affiche pour parfum masculin !
J’excitais Inès à la limite de l’orgasme. Tommaso se caressait, les yeux incrédules. Je retournai Inès vers moi avant qu’elle ne culmine, et lui dis :
— Va prendre ta douche, petite cochonne !
Je faisais le fier, mais j’avais du mal à articuler. Elle m’embrassa fougueusement, et rejoignit le beau jeune homme.
Elle s’arrêta au moment d’ouvrir la porte de douche, la cuisse galbée, encore hésitante, le regard tourné vers moi, et je retombai immédiatement fou amoureux d’elle devant son air mutin innocent, et sa croupe taillée pour la baise.
Elle lui caressa d’abord le sexe, doucement, et les deux ressemblèrent un instant à des adolescents, innocents et timides. L’illusion disparut quand elle s’agenouilla pour lui tailler une belle pipe magistrale.
Il ne tint pas longtemps le choc, et cria tout en venant dans sa bouche. Elle avala le tout, sa main caressant le périnée italien, et remontant vers son anus. Evidemment, je me branlais comme un forcené en les regardant.Elle se remit debout pour l’embrasser à pleine bouche. Lui, il lui malaxait les fesses dans tous les sens, et son érection semblait hésiter.
J’entrai à mon tour dans la douche, et les en expulsai en riant :
— Allez, tirez-vous de là que je me lave ! Mon érection était douloureuse.
Ils se séchèrent l’un l’autre comme si de rien n’était, puis les serviettes rejoignirent les vêtements qui jonchaient le sol, et ils s’embrassèrent en se caressant intensément.Mon gland et moi les fixions sans pouvoir en détacher le regard.
Bientôt, Inès poussa Tommaso hors de la pièce, je bâclai ma douche, me séchai dans le couloir, et les retrouvai dans la chambre à coucher.
Inès était sur Tommaso, et l’embrassait sur tout le visage et dans le cou. Le pénis de Tommaso était fièrement dressé à nouveau - un autre motif de jalousie - et battait les fesses de ma femme au rythme de leurs caresses frénétiques.Elle lui prit son sexe d’une main, le guida tout en s’asseyant dessus, puis poussa un faible soupir pendant que le monument italien disparaissait dans la douce vallée espagnole. Elle se mit à sautiller en rythme, en gémissant. Lui ahanait. Moi, je me branlais toujours, en souriant bêtement.
Je m’approchai d’eux, Inès me sourit, je ne l’avais jamais vue aussi féminine et perverse. Entièrement érotique.
Elle m’attira vers elle, m’embrassa, la bouche gorgée de salive, nos langues jouaient une sarabande endiablée. Elle me branla à son tour, puis me força à me redresser pour me prendre en bouche. Cette salope me doigta l’anus, elle connaissait mes faiblesses, mais je tins bon !
Plusieurs minutes - délicieuses, plus tard, elle se dégagea, roula sur le côté et écarta les cuisses.
— Vene !
Tommaso ne se fit pas prier, et la pénétra de nouveau, en missionnaire cette fois.
Je me masturbais toujours. Comme c’était bon de la voir se faire baiser par un gros chibre, totalement, librement, sans arrière-pensée, innocemment. Son visage se tordait de jouissance. Elle voulait encore me sucer, mais cette fois je lui écrasais mon bassin sur le visage, propulsant mon gland au fond de sa bouche, écrasant mes couilles sur son nez.Les coups de boutoir de Tommaso redoublèrent, il geignit, Inès gémit à l’unisson, atteignit l’orgasme, et il jouit dans sa chatte, enfonçant son sperme bien profond de plusieurs coups de bélier bien appuyés, avant de rouler sur le côté, terrassé.
Ma femme avait les yeux mi-clos, qui brillaient de gourmandise. Je m’approchai, contemplai son entrejambe offert. Je la pénétrai d’un coup.
Le foutre d’un autre sur ma bite, la chatte mouillée de ma femme grande ouverte... la sensation était inouïe, c’était à la fois magique et obscène.
Inès se mit à hurler de plaisir. Je crus qu’elle simulait, mais plus tard, elle m’avoua que non, elle avait bien eu deux orgasmes coup sur coup. Je ne pus me retenir bien longtemps, et elle eut rapidement sa double dose de sperme.
A mon tour, je gisais sur le côté. Elle vint sur moi, laver de sa bouche le sperme qui ornait mon pénis. Redressant la tête pour croiser son regard, je fus surpris de dévisager Tommaso qui me suçait. Inès nous regardait, appuyée sur un coude, mi-amusée mi-interrogative.Elle se déplaça vers le bas du lit, et le suça lui aussi. La situation était nouvelle pour moi, mais pas déplaisante. Au bout de quelques minutes de ce délicieux traitement, le lit ressemblait à un fameux deux-mâts avec de drôles d’oiseaux, Tomaso et moi étions à nouveau bandés et fébriles.
Nous n’eûmes pas le loisir de retourner la politesse à Inès, et lui prodiguer le cunni qu’elle méritait ; elle vint s’installer à califourchon sur moi, et s’empala d’autorité sur mon pénis. J’étais encore un peu inquiet de pouvoir tenir le round, après cette journée intense, mais visiblement, Popaul était encore fidèle au poste.
Tommaso était debout à côté de nous, Inès le suçait langoureusement, léchant et massant ses couilles, passant et repassant sa belle langue rose le long de la hampe, titillant le frein. Elle gobait son gland, utilisant ses deux mains autour du mât ; ça ne dura pas très longtemps, et Inès lui intima quelque chose d’une voix rauque que je ne compris pas, tout occupé que j’étais à sucer un sein à pleine bouche.Tommaso disparut à ma vue, puis je le distinguai à nouveau, derrière Inès, avant de sentir sa grosse bite rejoindre la mienne dans le doux nid de mon épouse. Celle-ci marqua immédiatement le coup, sa voix se fêla pendant qu’elle poussait des cris de joie.
La sensation de nos deux bites bien serrées dans son vagin était géniale. Elle mouillait, et je sentais sa mouille et nos spermes se mêler et couler le long de mon périnée. J’abandonnai ses seins pour me concentrer sur cette sensation.
J’allais jouir d’un moment à l’autre, quand Inès demanda à Tommaso de lui prendre le cul.
— Nooon ! ce cri m’échappa, c’était un fantasme auquel je tenais trop.
Je repoussai Inès, me dégageai sur le côté. "OK" fit Inès, et ils se mirent en position, elle à cheval sur lui cette fois.
Je n’en revenais pas de l’endurance de mon épouse. Le sexe de Tommaso fit une trêve le temps que je me place derrière ma femme.
Nous ne pratiquions quasiment jamais l’anal, Inès trouvant cela trop douloureux, donc je ne suis pas sûr qu’elle aurait pu recevoir le sexe de Tommaso. Je lubrifiai son anus sans difficulté, nos sexes débordant de fluides de toutes sortes.
Je poussai doucement. Mon gland passa difficilement l’anneau. Inès grimaça, avant de faire signe de continuer. Tommaso avait repris ses mouvements de bassin, doucement, en vrai gentleman, et je le suivis en rythme, à l’unisson.
Le conduit serré de ma femme, la voir se faire souiller par tous les trous, avec un inconnu, sentir une autre bite au travers de sa paroi intime, tout cela concourait à une volupté inédite pour moi. Je sentais le corps d’Inès se relâcher doucement autour de mon sexe, j’étais comme connecté à ses émotions et je la pénétrai profondément. Nous avions adopté un beau rythme, le dos perlé de sueur de ma chérie ondulait devant moi,
Tommaso et moi lui imprimions le même mouvement large du bassin.
— On échange, dit-elle, je veux sentir Tommaso dans mon cul.
À regret je me retirai, m’essuyai, m’allongeai, et laissai Tommaso prendre ma place pendant qu’Inès ouvrait ses lèvres à mon gland.
— Merci, me souffla-t-elle en m’embrassant.
Le salaud lui bourra le cul, que j’avais déjà bien ouvert.
Je sentais et j’entendais ses couilles claquer sur les fesses de ma compagne.
Cette jalousie inattendue me fit bander comme un cerf, et je donnais de violents coups de reins vers le haut.Le visage d’Inès se déforma sous la surprise, et visiblement, de plaisir inattendu. Elle se pencha vers moi, me lécha le visage, me bava dessus, je crois même qu’elle cracha, je ne sais plus trop. Je n’aurais pas pu tenir bien longtemps, aussi je fus soulagé de la sentir ralentir notre rythme à tous les trois. Elle se contorsionna pour prendre mon sexe à la main, le sortit... et le guida vers son anus ! Ma femme voulait une double anale !?!! Elle qui peinait d’habitude !! Je ne la reconnaissais plus quand elle dit :
— Je veux sentir vos deux bites ravager mon gros cul de salope !
Plus facile à dire qu’à faire, le sexe de Tommaso occupait une belle place, je pus pénétrer un peu, faire quelques mouvements, mais cela était plutôt inconfortable.
J’embrassai Inès, qui râlait à qui mieux mieux, tentait de la reprendre par en dessous, mais j’étais un peu frustré.
Je me dégageai maladroitement de leurs bras et jambes entortillés.
— Viens, je te suce ! me dit-elle dans un sourire affamé. Visiblement, elle était déterminée à tenir son rôle de salope de la soirée jusqu’au bout.
Elle me prit en bouche, Tommaso nous regarda faire un moment, puis nous dit :
— Après, c’est moi qui te suce !
Je me déplaçai vers sa bouche à lui, mais il se reprit et dit :
— Non, j’ai une idée meilleure, encule-moi !
Passé le moment de surprise, je me déplaçai derrière eux. Leurs mouvements avaient ralenti.
La sensation de déjà vu était assez bizarre, Inès avait un cul bien large qu’on pouvait prendre à pleines mains, alors que celui de Tommaso était rond, mais tout menu. Ma bite le pénétra avec une facilité déconcertante, et je l’enculai comme il le demandait. J’avoue ne pas y être allé de main morte, la jalousie ne m’avait pas complètement quitté.
La fatigue eut bientôt raison de nous, et nous nous endormîmes tous les trois, quasiment en même temps.
Je fus réveillé une fois ou deux. Je sais qu’ils ont refait l’amour à côté de moi. La connaissant, ça a dû l’exciter à mort.
Ils m’ont sucé tous les deux à la fois, et je crois avoir baisé Inès, mais pas longtemps.
Au petit matin, je me suis réveillé en premier. J’étais courbaturé de partout, le pénis tout bagottant.
Plus tard, des gémissements m’indiquèrent qu’ils étaient réveillés à leur tour.
Je bandais dur comme jamais, incroyable après ces dernières vingt-quatre heures. Nous passâmes la matinée à baiser et faire durer le petit-déjeuner en longueur.
Le midi, après un petit brunch, Tommaso et moi allâmes réparer sa moto devant le garage. Effectivement, c’était juste un écrou à resserrer.
Inès nous rejoignit avec une orangeade bien fraîche.
— Alors les hommes, ça bosse ?
Elle portait une robe d’été qu’elle savait pertinemment trop courte, un peu de parfum, et rien d’autre. Je bandais derechef, mais l’heure n’était plus à ça, malheureusement.
— Tu veux l’essayer avec moi ? lui demanda l’Italien.
Elle acquiesça, me laissant tout loisir de contempler son triangle brun comme elle enfourchait le siège arrière, et s’assit derrière lui pendant qu’il démarrait l’engin.
Ils sanglèrent leurs casques, firent un tour rapide. Les automobilistes qui les auront croisés auront dû bien se rincer l’œil !
Inès descendit de moto pendant que Tommaso coupait le moteur.
— Waouh c’est trop bien, il faut qu’on s’en achète une !! elle appuya ses propos d’une main sur mon entrejambe.Ça m’a toute excitée, si vous ne me prenez pas là, tout de suite, je vous viole tous les deux !!
Tommaso ne repartit finalement que le lundi matin. Inès lui avait bien vidé les couilles pendant tout le week-end.
Moi, je repris le travail, les jambes flageolantes. Les collègues se moquèrent de moi et de ma mine fatiguée.
Les collègues d’Inès, eux, la complimentèrent sur sa bonne mine, malgré ses cernes.
Quelques mois plus tard, durant l’été, nous fîmes ce fameux voyage en Italie.
Sans permis moto, nous partîmes en scooter à trois roues. Les sensations n’étaient pas celles de la vieille pétrolette de Tommaso, me confia Inès, mais ça faisait l’affaire. Nous rejoignîmes le bel Italien chez lui, et il nous présenta toute sa bande d’amis et d’amies, mais ceci est une autre histoire !
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