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Les joies de l'hospitalité

Chapitre 2

Sur la terrasse entre amis

Avec plusieurs femmes
Encore une journée de travail. Je rentrais à la maison, un peu éreinté. Pas la grosse fatigue, certes, mais quand même un peu flapi par une journée bien chargée, heureusement la dernière de la semaine. Le silence de la maisonnée me parut un brin étrange, avant d’entendre des voix venant de la terrasse, dont celles des enfants, sans doute en train de jouer au trampoline.
Ma femme tourna la tête vers moi comme je passais au jardin.
— Ah te voilà, mon chéri !
Je clignais des yeux, ébloui un instant par le soleil éclatant de juillet, avant de la distinguer, confortablement enfoncée dans un des fauteuils du salon de jardin. Je me penchais vers Inès, pour déposer un baiser rapide sur ses lèvres. L’odeur d’alcool m’apprit qu’elle n’en était pas à son premier mojito.La généalogie de ma femme, l’avait dotée de hanches trop larges à son goût, qu’elle s’employait à raboter à coups de séances de Pilates. Elle entretenait soigneusement son corps de trentenaire, et la beauté de sa silhouette était rehaussée par ses épaules menues, ses seins fermes. Enfin son visage enfantin au nez mutin, encadré d’un carré de cheveux bruns, lui conférait un petit air canaille qui me fait toujours craquer.Je me tournais vers la femme assise dans le canapé en face d’elle.
— Hello Sanya, ça faisait quoi, six mois ?
Sanya et Inès s’entendent très bien. Quand on fait le compte, elles ne se connaissent pas depuis très longtemps, mais elles ont eu immédiatement des atomes crochus. Sanya habite assez loin de notre ville banlieusarde, et toutes les deux ne se voient pas aussi souvent qu’elles le voudraient.
Elle se leva pour la bise, mais se pencha un peu trop rapidement en avant, visiblement un peu pompette. Le choc fut carrément agréable, amorti par sa poitrine contre la mienne.Sanya et Inès étaient de même taille, un petit mètre soixante-cinq, mais Sanya semblait beaucoup plus petite en comparaison, la faute à ses rondeurs, fort bien placées si on m’avait demandé mon avis. Dans l’ovale de son visage, on remarquait surtout ses grands yeux, étrangement mis en valeur par ses paupières lourdes et ses cheveux bruns mi-longs.Je m’asseyais à côté d’elle, me servant un verre à mon tour. La carafe de mojito était fraîche, mais son niveau bien bas. Je fis quelques efforts pour attraper le fil de la conversation en cours. La veille, Sanya aurait dû prendre un vol pour Saint-Domingue, qui avait été annulé, puis remplacé par un autre vol qui ne lui convenait pas, aussi avait-elle négocié, et préféré décaler son voyage de quelques jours. D’autant que cela lui permettait de passer voir sa copine.
Les deux filles étaient complètement délurées, et plaisantaient maintenant sur les déboires amoureux de Sanya. Celle-ci ne se trouvait pas de mec, ce que je ne comprenais pas bien moi-même. Certes, en la décrivant, on aurait pu cliniquement parler de surpoids, mais une bonne partie de ce surpoids se réfugiait dans sa poitrine, que je voyais tanguer paresseusement, de droite à gauche, alors qu’elle ponctuait sa conversation de grands gestes. Quant à ses fesses, présentement hors de vue, elles étaient superbes et rebondies. Ses hanches et ses cuisses, larges et galbées, se révélaient à mesure qu’elle s’animait. La fente de sa robe estivale avait glissé, pour le plus grand plaisir des yeux, et révélait une peau du même acabit que celle de son décolleté : laiteuse, gourmande, ferme et tendue.
Voyant que mes deux comparses s’apprêtaient à faire subir le même sort à une seconde carafe de rhum citron menthe, je partis me changer, et préparer quelques sandwichs et grignotages pour tout ce petit monde. Les enfants nous rejoignirent autour de la table basse, et nous nous assîmes cette fois mon épouse et moi dans le canapé, en face du fauteuil occupé par Sanya avec notre cadet sur les genoux, et notre aîné dans le deuxième et dernier fauteuil, fier comme un paon.
La conversation reprit. J’enviais un peu mon cadet, confortablement niché entre deux seins volumineux et juché entre les cuisses de Sanya. Mais pas trop quand même, car Inès me caressait machinalement la cuisse ; ses fesses écrasaient douillettement mon entrejambe, et un début d’érection vint bientôt la titiller à travers mon short. Elle dut la sentir, car ses caresses remontèrent de ma cuisse à mon aine, et elle passa plusieurs fois la main dans mes cheveux, connaissant pertinemment l’effet que ça me faisait. Rigolarde, elle n’arrêtait pas de se tortiller, de se pencher en avant, et m’embrassa deux trois fois à pleine bouche, chose qu’elle faisait rarement en public.
J’en profitais pour la peloter discrètement à travers le tissu de sa chemise légère.

La soirée suivit son cours, le soir et la fraîcheur tombaient, et je me levai péniblement pour envoyer les enfants au lit. Ils firent peu de difficultés, ils avaient bien joué, et leur ’tata’ leur avait apporté quelques cadeaux. Je me passai un peu d’eau sur le visage avant d’aller retrouver les filles sur la terrasse. Elles avaient déniché le gros plaid que les enfants appellent "l’ours écrasé" : une couverture en fausse fourrure marron, très très moche, mais très très douillette, dans laquelle elles s’étaient entortillées toutes les deux sur le canapé.Un de leurs bras sortait du plaid, et elles se passaient une cigarette de l’une à l’autre. L’odeur caractéristique ne laissait pas le doute planer. Elles rigolaient et chuchotaient comme des ados. Je les regardais depuis le fauteuil en face, un peu étranger à leur gaieté ; Inès avait les yeux qui pétillaient, et Sanya me jetait des regards en coin.
— Hey beau gosse, viens nous rejoindre au lieu de grelotter, me lança Inès, moqueuse.
C’est vrai que mes shorts polo étaient un peu légers, et j’enviais leur fourrure. :)Le canapé couina timidement quand elles bougèrent et pivotèrent pour me faire de la place. Je m’étais installé du côté d’Inès, mais celle-ci avait changé de position, laissant Sanya installée entre nous deux. "L’ours écrasé" se souleva brièvement dans la manœuvre, Sanya était assise sur une fesse, quasiment de profil par rapport à moi, Inès était assise, les genoux sous le menton, et moi j’essayais de m’installer et de leur faire face, assis sur une demi-fesse également. Elles observèrent un silence anormalement long. J’eus le temps de me demander si elles étaient stones, et d’envisager de mettre fin à la soirée, mais Inès reprit la parole, la voix étrangement voilée :
— Dis Colin, tu sais depuis quand Sanya n’a pas baisé ?
Sanya eut un sursaut et fit une moue vaguement outrée, mais pas très crédible quand elle se tourna vers moi à demi en pouffant.
— Ah... euh... non en fait. C’est quand même du gâchis, lançai-je au dépourvu.—... Ah, tu vois, lui aussi il trouve que c’est du g... Eh, mais dis donc, toi, tu veux dire quoi exactement ? Tu veux te faire ma copine ??— Nan, mais je veux dire, elle est... enfin... je veux dire, Sanya, tu es bien foutue, tu es intelligente, tu as un joli visage, tu es..., euh, tu es sympa, et...
Je voyais bien que ma bafouille les faisait doucement rigoler, pendant que je me débattais à chercher des compliments corrects, sans risquer de passer pour le pervers de service. Je sentais que je transpirais et ça m’énervait encore davantage.
Je crus qu’Inès venait à ma rescousse.
— Non, mais ça me rassure, reprit-elle, apparemment redevenue sérieuse, tu vois, Sanya, lui aussi trouve que ton corps est nickel. Nan, mais regarde-moi ces roploplos, n’importe quelle bonne femme tuerait pour avoir la moitié de tes roploplos !!
Et ce faisant, elle s’était mise à poignasser la formidable poitrine qui se trouvait juste devant elle. Sanya tenta de se dégager, mais pas facile dans cette promiscuité.
— Non, mais arrête, on a compris !
Inès reprit, avec cette fois une main sur la joue de Sanya pour appuyer son propos.
— Et ta bouche. Non, ton visage, tout ton visage. Tu sais que tu as un super beau visage. Et ta bouche, une bouche qu’on a envie d’embrasser ?
On ne sut jamais ce que Sanya tenta de rétorquer, car cela fut étouffé par le baiser qu’Inès lui plaqua. Une bretelle de la robe de Sanya avait glissé, qu’elle essayait de remonter, mais sa main resta figée en l’air alors qu’Inès penchait la tête, prolongeant plus avant son bâillon sensuel, forçant sans résistance les lèvres de sa copine, et toutes deux s’embrassèrent doucement, mais sans retenue, pendant que le temps s’arrêtait autour de nous.
Leurs visages s’écartèrent finalement. Je me sentais bizarrement engourdi, violemment excité. Inès me fixait d’un regard enfiévré. Sanya tenta de se retourner dans ma direction, sans doute pour mieux lire ma réaction, mais sa fesse vint en butée contre mon entrejambe, où j’y découvris en même temps qu’elle une érection intraitable.Un gémissement, puis deux. Le plaid jusqu’ici complice laissait deviner des frottements, des mouvements clandestins qui avaient sans doute débuté lors du baiser. J’y plongeai à mon tour une main inquisitrice. La robe de Sanya était remontée très haut, et la main d’Inès plongée dans sa culotte. Je rencontrais un pied inconnu, puis les cuisses d’Inès ouvertes et offertes. Sa culotte à elle était absente, et la main de sa copine allait et venait, allait et venait, de plus en plus couverte de rosée.
J’embrassais le cou de Sanya pendant qu’Inès prenait ses lèvres. Une main vint broyer mon sexe et mes couilles, alors que, pris d’une sorte de crampe incoercible, je venais d’envoyer mon pelvis en avant, frotter le cul énorme de Sanya. Cette main libéra mon pénis prisonnier, et j’y reconnus la dextérité d’Inès. Celle-ci était à présent juchée sur sa copine, dont elle embrassait un sein à pleine bouche, à grands bruits de succion. Le bras de Sanya s’activait sous ma femme, et je devinais vaguement les doigts qui devaient disparaître dans sa chatte, à en croire les clapotis humides qu’on percevait au milieu des gémissements rauques.
C’était moi à présent, qui embrassais la brune opulente, et j’avoue que la sensation était exquise. Sa langue fourrageait ma bouche, elle y étouffait ses râles de joie, elle semblait tenter de plonger en moi langue la première. J’essayai de peloter son sein libre, son poids me surprit, je reculai un instant pour mieux voir. Elles se doigtaient toujours l’une l’autre sans retenue, mais c’était Sanya qui me branlait depuis tout à l’heure, et je l’embrassai de plus belle. Nous nous arrêtâmes tous les trois, quasiment en même temps. Nous étions à demi nus, couverts de sueur, pantelants. Nos positions étaient très inconfortables, l’osier du canapé s’enfonçait douloureusement dans des zones improbables. Seule Inès semblait à l’aise, toujours à califourchon sur Sanya. Nous nous regardâmes tous trois, pris d’un brusque fou rire.
L’émoi érotique venait de retomber aussi brusquement qu’il nous avait saisis. Nous récupérâmes les affaires que nous avions ôtées. Sur la table basse, tous les verres étaient renversés, mais miraculeusement intacts. Nous nous dirigeâmes vers la maison, Inès marchait en tête, je fermais la marche. La robe de Sanya avait dû souffrir de ce doux combat, toujours est-il qu’elle décida de l’enlever par-dessus tête.
Et cette vision brutale, son cul prodigieux qui chaloupait devant moi... j’accélérai brusquement le pas, et la saisis au moment où elle posait un pied à l’intérieur. Elle se figea, recula son cul vers moi, mes mains remontèrent sur son ventre, passèrent incrédules sur les globes que je malaxai comme un forcené, luttant avec son soutien-gorge, avant de redescendre à sa vulve, que je trouvai dégoulinante, ouverte, embrasée. Inès s’était arrêtée, d’abord surprise, puis sautilla vers nous telle une nymphe impudique. Elle disparut de mon champ de vision, jusqu’à ce que je sente sa bouche se refermer sur mon érection. Elle me débarrassa définitivement de mes short et boxer. Elle se mit à me pomper avidement, écartant la hanche de Sanya d’un coup d’épaule.
Celle-ci en profita pour se retourner, et m’embrasser longuement à nouveau. Elle se recula, un grand sourire aux lèvres, puis s’agenouilla à son tour. Les deux brunes se mirent à me sucer tour à tour, et à s’embrasser tout en me branlant. Inès laissa la place à sa copine qui me prit jusqu’au fond de sa gorge "Put*** et elle n’a pas de mec !!" eus-je le temps de penser.
Inès s’était légèrement décalée et me massait doucement les testicules, remontait le long de mon périnée, et, alors que j’attendais son doigt dans mon anus, se leva brusquement en pouffant, et s’engouffra dans l’escalier. Mon cerveau embrumé me souffla deux réflexions cocasses : "Pourvu qu’elle ne se casse pas la gueule, pétée comme elle est !" et "mais qu’est-ce qu’elle fout, là ??"
Sanya avait passé la vitesse supérieure, et passait sa langue le long de mon sexe, titillant le méat, crachant, salivant, massant mes burnes et mon cul. A ce rythme, mon érection douloureuse allait connaître un dénouement logique et rapide. Inès revint. Je mis quelques secondes à faire le point au travers de l’orgasme qui montait. Elle tenait à la main ses jouets personnels. Sanya prolongeait sa branlette d’une main distraite, brusquement intéressée par les objets en question.
Un des dildos tomba au sol. C’était un gros pénis réaliste, veiné, mais énorme et rose fluo. Il rebondit à la façon d’un ballon de rugby, déclenchant un nouveau fou rire collectif nerveux. Hilare, je ne pus me contenir et éjaculai sur l’épaule de Sanya.
Cette fille avait de sacrés réflexes. D’un seul mouvement rapide et coulé, elle enfourna ma verge dans sa bouche, raclant le sperme qui giclait, puis avala mes spasmes. Je connaissais l’expression "une bouche pulpeuse", mais voir ses lèvres épaisses, rougies par nos efforts précédents, s’activer sur ma verge, m’excita de nouveau, et je jurerais y avoir éjaculé une seconde fois.
Je me retrouvais bien embêté, là, au milieu de mon salon, en compagnie de deux superbes femmes motivées comme jamais, avec mon sexe qui baissait la tête. Inès se pencha derrière sa copine, lui dégrafa le reste de son soutien-gorge, dont les bonnets ne retenaient plus rien, et l’aida à se relever. Elles s’embrassèrent en se caressant tendrement, avant de reculer en aveugle vers le grand sofa. Elles ne l’atteignirent jamais, trébuchèrent sur le tapis épais, continuant à se caresser l’une l’autre. Je me masturbais avec application, voulant revenir à leur niveau d’excitation, mais visiblement tous mes organes n’étaient pas encore d’accord.
Un vrombissement discret, mais têtu, se fit entendre, auquel répondirent bientôt des gémissements. Inès faisait profiter Sanya d’un de ses jouets favoris. Celle-ci, avec un sourire canaille, lui rendit la pareille sans prévenir : elle empala Inès sur le gros dildo fluo, qui arracha un râle de surprise à ma femme. Elles se mirent à haleter de concert, la bouche entrouverte.
Ce que voyant, Popaul s’en trouva tout revigoré, et je me rapprochai d’elles. Inès avait basculé sa copine sur le dos, et s’appliquait maintenant à passer le vibro type "wand" sur son clitoris et autour. Sanya hoquetait, tout en imprimant des cercles au gros dildo planté dans Inès, qui se déhanchait dessus.
Bite en avant, j’agrippai Inès par ses hanches pour mieux la poignarder d’un coup. Son râle de surprise me réjouit au-delà de ce que j’espérais, et je dus m’arrêter un instant pour éviter de tout lâcher. Quelques secondes le temps de me contenir, j’en profitais pour contempler les deux petits creux adorables de ses reins, et je me remis à la pénétrer, doucement. Sa chatte était incroyablement serrée par cette double pénétration, l’effet était ravageur. A présent Sanya caressait nos pubis respectifs, le clito d’Inès, mes testicules qui boxaient en rythme, et Inès se mit à convulser de plaisir, nous inondant de mouille.
Je synchronisais mes coups de reins avec le gode, et ma femme soupira "Oooh aaaah, bande de sala**s, vous m’avez bien eue. Ououououh". Nous la laissâmes glisser sur le côté, s’allonger, soudainement relâchée et rompue de fatigue.
Je me reconcentrai sur Sanya, et pris quelques dizaines de secondes afin de la contempler à loisir. Elle était étendue juste sous moi, et profitait de l’intermède pour installer des coussins sous sa tête et son dos. Elle étira ses jambes dans une position plus confortable.
Ses cheveux étalés en arrière permettaient d’apprécier la jolie symétrie, le doux ovale de son visage. Son sourire sensuel lui dessinait d’adorables fossettes. Ses seins, bien sûr, attiraient toute mon attention. Ils s’étalaient de part et d’autre de son torse, avec un beau relief, et le grain menu de ses aréoles larges et foncées se détachait sur sa peau crémeuse. Elle caressa mes bras, puis mes hanches pour attirer mon bassin vers elle. Je temporisai encore, le temps d’apprécier la belle géométrie de ses cuisses, leur galbe qui était plus ferme sous les doigts qu’il n’y paraissait, son pubis fraîchement épilé en un petit triangle court, très noir. La belle s’impatientait, elle écartait ses lèvres avec deux doigts, et passait le vibro sur son clito qui, pauvret, se gorgeait de sang sous mes yeux.
Taquin, je me reculai au contraire, et me penchai pour laper son petit paradis. Elle couina de surprise ou de dépit, fit quelques gestes, puis se laissa faire, dans une attente ardente. Je m’efforçais de ne pas la décevoir, et jouais avec ce qu’elle offrait devant moi. Son goût était aussi doux et salé que celui d’Inès, je la sentais monter par vagues sous ma langue, et j’en étais à l’entreprendre avec deux doigts quand elle me tira par les cheveux : "Non, viens !" Un coup d’œil interrogatif vers ma femme : Inès s’était allongée en chien de fusil à un mètre de nous, un coussin sous la tête, endormie.
Je pénétrai Sanya tout en douceur, lentement. La position était un peu bizarre, ses fesses fabuleuses surélevaient le bas de son corps. J’étais en équilibre instable sur mes bras tendus et les genoux, poussant avec les orteils.Je guettais avec curiosité le ballet de ses loches. Je ne fus pas déçu. Manifestement, elle savait l’effet produit par ce spectacle : elle accompagnait et amplifiait mes coups de reins. Les cercles et les huit décrits par ses mamelons m’hypnotisaient, à mesure que mes couilles giflaient de plus en plus fort son bassin. Elle en jouait encore, et pressait ses seins vers moi avec ses bras, tout en m’attirant plus loin en elle.
Le plaisir montait, chez elle comme chez moi, elle passa ses mollets derrière moi, poussant encore davantage. Ça compromettait mon équilibre, et je manquai m’affaler sur elle. Ses gémissements se transformèrent en petits cris, qui montaient inexorablement dans les aigus.Elle se mit à répéter comme un mantra "Oh ! Putain ! Oh ! Putain ! Oh ! Putain ! Oh ! Putain !". Enfin, elle s’abandonna complètement d’un coup, avec un cri qui venait de son sternum, relâchant mes bras où elle avait planté ses ongles, et libérant mes cuisses de l’étau de ses jambes. Je perdis l’équilibre, et tombai à moitié sur elle dans un mouvement pas très gracieux. J’eus un peu peur qu’on ait réveillé les enfants - heureusement non, sans quoi on aurait eu beaucoup de choses à expliquer, avec pas mal d’exemples concrets sous la main certes, mais bref... Elle roula sur moi, m’écrasa sous un de ses imposants nichons.
— Merci, mon beau, Inès est bien sympa de me partager avec toi. — De rien (l’éraillement de ma voix me surprit) Mi casa es tu casa !— Eh bien, on peut dire que ça, c’est de l’hospitalité comme je l’aime !
Puis, me caressant le torse :
— Inès me disait que tu es porté sur l’anal.
Je haussai un sourcil, soudainement intéressé.
— Ah oui ? Vous en parlez ?... Non en fait, je ne veux pas savoir... enfin si. Qu’a-t-elle dit d’autre ?— Que tu aimes les grosses longues pipes baveuses, si possible dans les endroits publics. Que tu aimes te pavaner à poil dans la maison et la prendre par surprise - ce qu’elle n’apprécie pas, elle. Que tu aimes lui bouffer la chatte, même quand elle n’est pas d’accord. Je continue ?— Non, c’est bon, j’ai une bonne idée du tableau. Et elle, elle t’a dit ce qu’elle aimait ?— Ah ça, mon beau, c’est silence radio, je ne trahis pas ma copine !— Mmmh. Je vois. Ahem. Et toi du coup ? Tu te situes où dans tout ça, je veux dire, c’est quoi tes préférences ?— Eh bien, comme tu vois, j’aime bien être surprise, j’aime pas me prendre la tête.— Ouais... c’est un peu des banalités.— Rhôôo. Vous les mecs, vous êtes décidément pas très romantiques... mais OK, je vois où tu veux en venir. Eh bien figure-toi que j’ai une préférence pour les beaux blacks, pas spécialement pour la taille de leur engin, mais surtout j’adore les peaux caramel ou chocolat. J’aime bien faire des trucs un peu crades, un peu coquins... hé, mais tu ne t’arrêtes jamais !
J’étais en train de la caresser distraitement, immisçant une cuisse entre les siennes.
— Nan j’y crois pas, tu rebandes déjà ??— Qui a dit que les garçons manquaient d’imagination ? Je suis en train de t’imaginer entourée de beaux blacks, qui te fourrent leur caramel de partout, et vois l’effet que ça me fait !— Ouais. Ou alors t’es juste un obsédé. Bref, pour en revenir à nos moutons, tu veux me prendre par le cul ?
Elle caressait rêveusement mon érection naissante, que ses paroles transformèrent en gourdin pulsatile. Elle gloussa, se mit en position, les mains et le haut du corps contre le sofa. Je passai derrière elle. Un peu de lubrifiant, je lui reculai son cul colossal. Ma verge ploya, j’étais trop pressé. Les fesses démentielles étaient plus faciles à écarter que ce que j’avais craint, mais leur spectacle manquait me faire lâcher la sauce beaucoup trop vite. Pas sûr que j’aurais pu me retenir sans nos "exercices" précédents.
Son petit anneau céda, mais difficilement. De toute évidence, elle ne pratiquait pas si souvent que cela, aussi je fis un effort pour y aller mollo. Elle me sut grâce de ma prévenance, et me caressa affectueusement la cuisse.Elle gémissait en rythme. Je soufflais comme une forge, le plaisir était intense, son conduit était bien serré comme j’aime. Je fis une petite pause, caressant la selle de son dos, la contrebasse de ses hanches. Je remis une giclée de lubrifiant sur sa rondelle. Elle repositionna ses genoux et ses hanches dans une position plus confortable pour elle, et poussa son cul herculéen sur mon pieu. Je caressais sa fente, qui mouillait abondamment, j’en léchais mes doigts, recrachais sur son anus. Elle se remit à crier comme auparavant, avec cette fois une note voilée, et plus de retenue.
Je me penchai pour la faire tâter du dildo rose, mais vins buter contre une autre main. Inès me regardait, un grand sourire s’étirant d’une oreille à l’autre.
— Eh bien, faut pas vous gêner les amis !
Elle me laissa prendre le gode rose, et s’empara d’un truc violet que je lui voyais pour la première fois.
— Ne t’inquiète pas, je pense que ça va te plaire. En vrai, ça devait être une surprise pour plus tard, mais ce soir c’est l’occasion rêvée, répondit-elle à mon air interrogateur.
C’était indéniablement un toy, vu sa texture siliconée caractéristique, mais la forme en L me surprit. Inès passa derrière moi, après s’être emparée du flacon de lubrifiant. J’avais finalement abandonné l’idée du dildo rose, j’étais déjà bien assez occupé à sodomiser Sanya. Mon regard tomba sur la boîte qu’Inès avait laissée au sol. L’emballage était assez explicite : il s’agissait d’un gode-ceinture sans ceinture, Inès m’en avait brièvement parlé il y a quelques semaines, je me rappelais bien son air goguenard quand elle l’avait évoqué, mais on en était resté là.
La sensation humide sur ma rondelle me confirma que c’était bien ça. Elle appuyait le machin contre mon trou de balle. Ma femme voulait m’enculer !!? Railleuse, elle rigolait en me disant :
— T’inquiète, y a plein de gens qui l’pratiquent, il suffit de se détendre.
Je reconnaissais là une de mes réparties favorites.
— Pousse un peu vers l’arrière, comme si tu voulais lâcher... voilàààà, comme ça, c’est bien, je te vois t’ouvrir mon chéri.
Rhaa. Elle a poussé trop fort.Je serrais les poings autour des hanches de Sanya. Son cul à elle m’empêchait de m’écarter et d’épargner mon cul à moi. Inès se retira un peu, remit une giclée de lubrifiant, et reprit sa poussée de plus belle. La sensation était nouvelle pour moi, mais plutôt sympa au final. Je n’avais pas vu que j’avais stoppé mes mouvements de va-et-vient sur Sanya, et je repris mon rythme, mais avec précaution.Sanya sembla goûter cette prudence, cette douceur redoublée, et se mit à gémir plus librement. Inès s’arrêta quelques secondes elle aussi, avant que des vibrations ne se déclenchent dans mon rectum, m’apprenant que ce machin était motorisé et télécommandé. D’autres vibrations se firent sentir contre mon anus : mais de combien de moteurs ce truc était-il pourvu ??!!
Dans les minutes qui suivirent, je fis sa fête au cul de Sanya. Pas d’orgasme, mais visiblement elle appréciait. Inès, elle, était inarrêtable. J’avais ressenti des ondes de plaisir en provenance de ma prostate, qui se propageaient en chair de poule sur tout mon corps, mais la sensation commençait à être gênante. Je dus lui signifier d’arrêter.
Sanya regardait, curieuse, le similipénis violet sortant fièrement de la chatte de sa copine.
— Mais qu’est-ce que tu as là ma chérie ??— Si tu veux, je te fais voir de plus près, lui répondit Inès, prenant une voix de mauvais porno. Mon chéri, dès que tu as repris tes esprits, si ça te dit de te joindre à nous ? me suggéra-t-elle.
Je ne revenais pas de l’énergie de ces deux femmes. Inès se plaça derrière Sanya, dont les seins vinrent s’écraser sensuellement sur le sofa en cuir, puis entreprit de prendre sa vulve. Elle fit reculer encore sa copine, dont les loches se mirent à battre l’air en cadence devant mes yeux écarquillés. J’en prenais plein les mirettes.Je tentais de prendre Inès par-derrière, dans son trou libre, pour une joyeuse chenille, mais elle était trop serrée, et me fit signe que ce n’était vraiment pas possible. Elle m’expliqua que ce toy nécessitait de "serrer tout ce qui pouvait être serré".
Nous changeâmes de position, et prîmes tous deux Sanya : Inès par derrière avec son gode violet, moi par-devant avec popaul qui, heureusement, n’envoyait toujours pas la purée et restait droit comme un "I". Dans l’heure qui suivit, nous essayâmes plusieurs combinaisons possibles. Je ne pus tenir l’heure entière, mais nous nous sommes pleinement éclatés malgré tout. Nous eûmes du mal à rejoindre la chambre parentale. N’eussent été les enfants, nous serions restés dormir dans le salon. A posteriori, j’aurais aimé culbuter encore l’une et l’autre durant la nuit, ou juste les regarder faire, ou continuer à éprouver les différentes combinaisons de nos corps, mais non, la fatigue eut raison de nous, et nous assomma.
Le lendemain, nous nous réveillâmes les uns à la suite des autres, Inès d’abord, puis moi, et enfin Sanya. Un petit-déjeuner complet pour les enfants, café noir et jus d’orange pour nous trois. Nous avions tous trois une démarche claudicante. Toute la famille s’agglutina dans le monospace pour accompagner Sanya à l’aéroport. Inès et elle étaient désormais pleinement réveillées, le teint frais et éclatant. Moi, j’avais encore les jambes en coton, et je ne me sentais pas très gaillard. Elles s’embrassèrent chastement avant le départ. Inès profita que personne ne regardait à part moi pour peloter le cul de sa copine :
— N’hésite pas à revenir nous voir, c’était trop bien !
Et comme Sanya s’engouffrait dans le couloir des départs :
— Et trouve-toi un mec ! Et ramène-le-nous pour que je puisse te le baiser !!
Ce qui provoqua une ribambelle de têtes tournées vers nous. Heureusement, les enfants étaient trop occupés à regarder les avions sur le tarmac. Sanya ne fit même pas mine d’être choquée :
— J’en choisirai un bien gros pour venir remplir ton petit minou affamé !!
Nous revîmes Sanya quelques semaines plus tard. Elle nous confia avoir enfin trouvé chaussure à son pied : un joli garçon, très gentil, trop peut-être, mais j’avoue ne pas avoir très bien écouté, car nous étions passés très rapidement aux choses sérieuses, et y avions passé la nuit entière cette fois.
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