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Les joies de l'hospitalité

Chapitre 4

Remontons le moral des amis

Orgie / Partouze
Il est 7h du matin, et c’est aujourd’hui que Sanya, la meilleure amie de mon épouse, nous présente son petit ami. Pas trop tôt. Inès l’avait aidée à traverser le désert sentimental où elle était embourbée depuis des mois. J’avais eu moi aussi l’occasion d’apporter ma "petite" contribution. Tous les trois, nous avions vécu des soirées - et des nuits – assez géniales, très trioliques et très agréables.
Inès ne tient plus en place. Elle a a réquisitionné toute la famille toute la journée pour que la maison soit impeccable. L’enthousiasme des enfants, euphoriques au départ, est vite retombé comme un soufflé après que leur mère leur a fait ranger leurs chambres, le salon, les jouets dans le jardin, les affaires dans l’allée. Le salon de jardin a été briqué, j’ai rangé le garage, les lits sont faits et les draps changés.
Enfin, la petite voiture citadine de Sanya s’engage dans notre allée. Ouf ! Sauvés ! Un peu plus et la maîtresse de maison nous demandait de repeindre la façade !!! Pour résumer dans les grandes lignes, Sanya était partie pour des vacances solidaires en République Dominicaine : sur place, elle avait donné un coup de main à une ONG, dans une école et un centre de soins, en contrepartie du gîte et du couvert. Les touristes solidaires disposent quand même à leur gré de créneaux de temps libre, pour du tourisme plus classique (plages, visites, etc ...). Elle y avait rencontré Jean-Bosco, un Français d’origine dominicaine, qui y séjournait dans les mêmes conditions qu’elle. Depuis, Sanya ne tarissait pas d’éloges à son sujet : très gentil, très prévenant, très respectueux, avec juste un détail qui l’embêtait, et pour lequel elle voulait l’avis de sa copine.
Sanya s’extraie de sa voiture, et je constate avec plaisir que son corps est toujours aussi généreux : toute en fesses et en nichons. On dirait, je ne sais pas, un bibendum Michelin, mais dans une version féminine sexualisée à mort. La comparaison est nulle, je sais, mais plus je la regarde, plus je me dis que c’est ça, et ce malgré sa robe large XXL façon paréo. Jean-Bosco est un peu petit, un mètre soixante-dix sans doute, pas plus ; limite bedonnant mais râblé. Chemise de coton, pantalon en lin, mocassins, lunettes intellectuelles, l’image même du gendre parfait. Inès paraît presque nonchalante en s’avançant pour les accueillir, non mais quelle comédienne ! La poignée de main de Jean-Bosco qu’il me tend est ferme, il sourit beaucoup, très affable, un peu timide peut-être.
Nous passons rapidement à table et nous asseyons autour d’un couscous maison. Les enfants adorent et se resservent sans vergogne. Inès et Jean-Bosco (appelez-moi Jean-Bo’ ou JB, comme vous voulez), nous racontent leur voyage, leur rencontre, etc … . JB est né en France de parents dominicains. Il s’efforce de voyager en République Dominicaine autant que faire se peut, et d’y garder un attachement, des racines. La soirée se passe super bien, Jean-Bosco est un invité super agréable. Bien qu’il connaisse son sujet sur le bout des doigts, il n’est ni pédant ni hautain, une qualité rare à laquelle je lève mon verre.
La discussion dévie sur son boulot, ingénieur environnemental. Je circonflexe des sourcils, il m’explique. On compare nos domaines de compétences, moi c’est plutôt les statistiques, Inès le médical, et Sanya le juridique. Nous pointons du doigt tous les champs d’application communs et ... et … et bref, on refait doucement le monde dans notre jolie petite salle à manger banlieusarde.
Les gamins sont ravis : JB leur a acheté des ballons et un jeu de raquettes, et en fin de repas il joue avec eux le temps qu’on débarrasse. Je fais remarquer à quel point il s’entend bien avec les enfants, et Sanya approuve :
— Oui, et à l’écouter il aimerait bien en avoir une ribambelle, sauf que ce n’est pas lui qui les porterait !
Pendant que je finis de lancer le lave-vaisselle, les autres envoient les enfants au lit. Ensuite, nous nous installons sur la terrasse, où JB et Sanya nous sortent des bouteilles de rhum et de mamajuana. C’est bon mais ça envoie du lourd. Puis, fi des voisins, nous poussons un peu le volume de la chaîne hi-fi, pour que Jean-Bosco et Sanya nous fassent quelques démonstrations de merengue. C’est super joli à regarder, très sensuel, et voir le corps de la belle brune chalouper au rythme lancinant de la musique … ahem … bref, c’est super joli … Inès est tout autant fascinée. JB nous précise :
— Moi ce que je préfère, c’est la bachata, mais c’est un peu plus technique, un peu plus rapide que le merengue. Mais pour commencer, mieux vaut d’abord partir sur le merengue pour apprendre les pas et se familiariser avec la musique.
Sanya propose à Inès d’essayer,
— Tu vas voir, c’est assez intuitif. Tu laisses JB te guider au début, et puis hop.

Elle laisse la place à ma femme, et je surprends son petit sourire en coin au moment où elle quitte la piste de danse improvisée. Inès et JB commencent à danser, et elle est se montre à la hauteur, elle a plusieurs années de tango et flamenco dans les mollets, alors … Je les observe attentivement en me demandant le pourquoi du petit sourire canaille ; Sanya n’est pas du genre coup tordu, mais une blague est toujours possib … Inès pousse un petit cri, s’arrête brusquement et s’écarte de JB, horrifiée ... non, éberluée.
— Mais … mais … t’as quoi là-dessous !!!— Hé oui ma cocotte, c’est normal qu’il aime bien les enfants, il a un baigneur de deux kilos cinq qui lui pendouille entre les jambes ! raille Sanya en trinquant dans le vide.— QUOI !!? Non, mais vas-y, montre nous ça ! Chéri, viens voir !
Jean-Bosco est décomposé, ou en tout cas carrément mal à l’aise. Il recule, cache sa jambe tant que possible, mais les spots de la terrasse sont sans pitié, étirent les ombres, et on distingue effectivement une sacrée bosse dans son pantalon. Inès se retourne vers Sanya :
— Mais, je croyais que tu n’aimais pas les gros calibres ?— Oui, eh bien, j’ai pas choisi JB pour sa bite, mais pour sa personnalité.
Nous faisons une pause le temps de repasser cette phrase dans les deux sens, haussons les épaules.
— Non mais, mais ... c’est ça le problème de JB dont tu parlais ? Son pénis est trop gros ?— Quoi, quel problème ? Qu’est-ce que tu es allée raconter ?
Sanya roule des yeux vers le ciel.
— Nooooon ! Le problème de Jean-Bo’, c’est qu’il ne veut pas baiser.— QUOIIIII !!? NON MAIS TU RIGOLES !!?
Inès manque s’évanouir. Le mec a un poteau télégraphique dans le slip, et il ne s’en sert pas ??
JB lève les bras d’impuissance (sic).
— Non non, je vais t’expliquer. Déjà Sanya, c’est pas correct de parler de notre vie intime à ... à d’autres personnes, commence JB. Bon. Ensuite, pour en revenir à ce qu’a dit Sanya, euh, l’abstinence, c’est avant tout une question de respect. Nous sommes très croyants dans ma famille, et il se trouve que j’ai juré, oui, juré à ma mère de ne pas coucher avant le mariage. Et je m’en voudrais de salir sa mémoire, c’était une sainte femme, voyez-vous. Elle nous a élevés mes frères et moi, même quand ça a été difficile, elle s’est dévouée pour nous, et ce serait la renier que de me parjurer, vous comprenez ?— Mais mais … mais on est en 2023 bord*l ??! Inès n’en revient toujours pas.— Je sais que ce n’est pas facile à comprendre, avec les mœurs actuelles et tout, mais voilà, c’est le respect. En plus, c’est toute ma famille qui est très attachée aux traditions, nous sommes presque bénis de Dieu : moi je suis né un 25 décembre, mes parents se sont mariés à la Pentecôte, et toute notre vie est comme ça, sanctionnée de dates saintes. Ce sont des choses qui comptent, vous comprenez ? On parle de liens, d’actes sanctifiés, là.— Oui mais quand même, on vit à une autre époque, tenté-je pour amener un peu plus de rationnel.— Laissez tomber, il est buté comme un rocher avec sa "môman". C’est toujours le même problème avec les expat’ : il est plus Dominicain qu’un Dominicain à Saint-Domingue.— Non mais c’est pas possible. Ecoute JB, même sans parler de ton … de tes attributs … , put**n mais c’est fini l’Inquisition bord*l ! Ce dont tu parles là, mais ça n’existe même plus !! reprend Inès.
JB secoue la tête,
— Non je ne suis pas d’accord avec toi. La tradition, c’est pas un truc passéiste, c’est comme la nature, on l’a héritée de nos parents et on la fait vivre à travers nous, tu vois, pour nos enfants. Faut pas la voir comme un handicap, mais comme un sujet de fierté.
Mon épouse se renfrogne. Je connais cette expression. Inès n’est ni contrariée ni fâchée, non, là elle part en mission ! D’ailleurs, elle part tout court, entraînant Sanya par le coude en direction de la maison. Elles reviennent quelques minutes plus tard à peine : elles se sont changées, Sanya porte maintenant une mini jupe moulante noire qui laisse voir le bas des fesses, étirée à son maximum par son cul qui fait le double de celui d’Inès. Et un top échancré, noir également ; d’ordinaire plutôt lâche sur Inès, il est moulant et déborde de tous côtés une fois sur Sanya. Inès est vêtue à l’unisson : petit top à bretelles très ouvert, très échancré de partout, et micro-jupe-ceinture. Leur nouvelle mise laisse peu de place à l’imagination. Quand elles s’avancent vers nous, et de ce que je vois d’où je suis assis, en contre-plongée, c’est là tout ce qu’elles portent.
— Bon, et si on reprenait notre petite leçon de danse ? lance Inès en claquant du talon.
La situation a dramatiquement changé, Inès se colle à Jean-Bosco. La figure de celui-ci s’allonge de deux pieds, exit le danseur plein d’assurance, ses mouvements deviennent de plus en plus saccadés, on le devine tendu comme un string. Inès ne le lâche plus, ses mollets saillent alors qu’elle pousse JB dans ses retranchements. Ils virevoltent tous les deux, la tension est incroyable, on dirait les prémices d’une bagarre. La fesse de JB est prisonnière de la griffe d’Inès.
Et alors qu’on se demande comment ça va finir, JB se dégage brusquement de l’étreinte. La bosse qui déforme la jambe de son pantalon est presque comique, on dirait qu’il y a glissé, je ne sais pas moi, une couverture ou une tente enroulée ? Peut-être un camping entier ? Inès s’excuse du bout des lèvres. Ou plutôt, elle fait mine de s’excuser, je vois bien qu’elle s’apprête à attaquer la deuxième ligne de défense. Nous repassons au salon de jardin pour écluser un verre ou deux, ce même salon où Sanya, Inès et moi avions effectué quelques galipettes mémorables.
Inès choisit délibérément de s’asseoir à côté de JB, croise les jambes à qui mieux mieux, et ne perd aucun prétexte de se lever, que ce soit pour resservir untel ou untel, regarnir le bol de pistaches, faire un peu de place, etc … Toutes les occasions sont autant de missiles thermonucléaires envoyés à JB, qui a une vue directe et rapprochée sur l’arrière-train rebondi, la micro-jupe lui remontant à mi-hauteur de son cul bien fessu. Fatalement, ça produit son effet sur notre invité. Il gigote sur le fauteuil, on voit qu’il a un ... un problème avec son pantalon.
Et c’est pire lorsque Inès se rassied, puisqu’à chaque fois elle "loupe" sa place et s’assied sur le genou ou la cuisse de JB. Une fois assise correctement, bien sûr, elle pose une main ou deux sur la cuisse, ou un peu plus haut, passe par-dessus lui pour se saisir du cendrier qui se trouve de l’autre côté … Le pauvret transpire à grosses gouttes, et je salue sa maîtrise de soi, car moi ça me fout des papillons au ventre.
Evidemment, je ne suis pas aidé par Sanya, qui a pris place dans l’autre fauteuil, en face de moi. D’abord juste amusée devant ce manège, je vois qu’elle aussi s’excite à vue d’œil. Ses gros tétons pointent à travers le tissu léger, et la jupe se retrousse dangereusement sous ses fesses. Elle me demande comment je vais, sa conversation est très convenue, mais elle prend biiiiiien soin de biiiiiien se pencher en avant, puis de relever biiiiiien haut les cuisses quand elle se rassoit, ce qui nous laisse JB et moi plus qu’apercevoir son doux triangle brun au milieu de ses chairs pâles.
JB n’y tient plus. Il repousse Inès, et se dresse devant nous, visiblement énervé. J’avoue que ce n’était ni très fin ni très subtil comme manœuvre, et j’ai peur qu’on ne l’ait salement vexé. J’ai même un peu peur que ça n’implose leur couple.
— NON MAIS VRAIMENT, VOUS NE COMPRENEZ RIEN !!! Vous ne voulez pas comprendre !! Toute ma famille, le ciment de notre famille c’est le respect ! C’est la religion et le respect de la religion, c’est ça qui cimente notre famille et fait ce que l’on est !! C’est pas à prendre à la légère comme vous le faîtes !! Fait chier !! En plus, moi je me faisais une joie de vous rencontrer aujourd’hui ! c’est la fête de Notre-Dame du Mont-Carmel, chez nous c’est méga-important, c’était bon signe et tout, putain !!
Sanya s’est levée et tente de le calmer en le prenant chastement dans ses bras, elle a beau être habillée comme une personne tarifée, là elle ne respire que bonté et empathie. Inès a croisé les bras, visiblement JB n’est pas au courant des attaques numéro trois, quatre et cinq dont elle est encore capable ! Moi, ça me choque de l’entendre jurer ainsi, avec son air de premier de la classe, et surtout en mêlant jurons et références iconiques.
Puis je reconnais dans ma tête ce petit carillon, cette étincelle interne, cette sensation désormais familière : mon cortex m’envoie un mémo pour m’avertir qu’il y a un truc pas net. Mon boulot, c’est statisticien. Ça consiste à repérer des trucs, repérer les répétitions, repérer les schémas. Repérer les anomalies.
— Dis-moi, JB, tu es né la même année que le mariage de tes parents ?— Oui, je suis leur premier enfant.— Toi tu es né le vingt-cinq décembre, et eux se sont mariés ... euh ... c’est quand la Pentecôte ? C’est un lundi de Pentecôte, c’est fin mai - début juin ?— Oui, c’est le cinquantième jour après Pâques si tu veux tout savoir, c’est entre mai et juin, pour moi ç’a été début juin. Pourquoi ? Tu veux te moquer des jours fériés peut-être ?
Visiblement, on l’a effectivement poussé à bout, j’appréhende un peu, il semble assez costaud pour m’envoyer promener par-dessus la haie.
— Non c’est juste que, si tu es sûr pour ces dates, … ahem ..., si ce sont bien ces dates-là, ça veut dire que dans ce cas, ta maman t’a peut-être, disons, enjolivé les choses.
Il ne comprend pas, Inès et Sanya non plus.
— Je veux dire, il n’y a pas neuf mois, entre juin et novembre. Il y a … euh, cinq mois révolus. Donc, à moins que tu ne sois né très grand prématuré, euh, disons que, j’ai peur que ta maman te donnait de bons conseils, mais pas forcément de bons exemples.
La vérité semble frapper JB comme la foudre. Il reste debout, muet. KO technique. On entend presque ses jambes craquer sous lui quand il s’assied par terre … non … quand il se laisse tomber par terre. Bon, j’espère quand même qu’on n’a pas cassé le petit ami de Sanya. Mis à part le sujet de la religion, il semble être un type très bien. Sanya s’accroupit à ses côtés. Défaite par abandon de sa jupe qui remonte d’un coup d’accordéon vers ses reins. J’en admire le spectacle, il n’y a pas de petit gain.Inès pose un regard plutôt appréciateur sur moi, et je suis fier comme un paon. Je lui fais signe de venir vers moi. Sa jolie tenue de salope, les quelques grammes de tissu qu’elle porte me font sévèrement bander. Je dois avoir des yeux bien lubriques car elle est sur la même longueur d’onde.
— Mmh, wahou, comme je suis impressionnée !! Elle promène un index sensuel le long de ma cuisse, s’attarde sur l’entrejambe, passe mon torse, et le plonge dans ma bouche.— Meureufeumeumeu lui réponds-je avec esprit.
Elle s’assied sur ma cuisse, je sens sa rosée sur ma peau., elle caresse mon pelvis et sa bosse.
J’en oubliais de mater Sanya ! Elle est toujours en train de réconforter JB. Celui-ci murmure :
— Oh bébé, je suis tellement désolé; oh je suis tellement désolé ... oh non mais la salope ! non mais tu te rends compte la salope, elle a gâché ma vie avec ses mensonges de merde ! (bon, là, même moi je suis choqué par la façon dont il parle de sa propre maman. Bon après, si c’était vraiment une salope, pourquoi pas, je veux dire, j’interdis pas aux salopes d’avoir des enfants., je veux dire, fils de pute c’est pas une insulte, pute oui, mais fils de pute, non... je pense trop, pensé-je). Sanya le prend dans ses bras et le cajole comme on le ferait d’un petit enfant. Et d’ailleurs les deux kilos cinq de son bébé à lui se réveillent, réanimés par le massage pulmonaire imprimé par sa copine. Cette fille a un défibrillateur à la place du cœur. Elle se rend compte de la dureté soudaine.— Oh ma chérie, oh mon bébé, je suis tellement désolé, poursuit-il.— Non mais faut pas, dit-elle en flattant le monstre renaissant, un large sourire gourmand étirant ses lèvres carmin. Tu sais, tu es tout pardonné, c’est rien, c’est, … c’est de l’amour, c’est tout. Ta maman voulait te protéger j’imagine, comme moi je veux te protéger (habile, me dis-je, là il doit être en plein dilemme œdipien).
Il l’embrasse. Elle répond à son baiser, mais n’oublie pas d’ouvrir sa braguette. Le truc qui en sort aurait fait hurler JLO tellement on dirait le remake d’ "Anaconda - Le prédateur". Même le gland en est bizarre, il est comme posé de traviole, difforme. La tige de ce machin est grosse comme l’avant-bras d’Inès. Il se termine par une bosse, un renflement en-dessous, et au-dessus par ce gland un peu de guingois, posé un peu comme un béret.
Inès ne dit plus rien. JB caresse la cuisse de Sanya, "oh je suis désolé ..." répète-t-il, mais avec moins d’intensité, plutôt distrait. Visiblement son moral remonte en flèche. "Oh mmmfff je chuis désolmmmmf" : ils sont en train de se galocher sur la terrasse, à des années lumière de toute pudeur. Sa main à lui disparaît dans ses cuisses à elle, cuisses qu’elle ouvre toutes grandes pour l’accueillir. Elle a raison, assez perdu de temps, mais bon, pourquoi le faire sur les lames de la terrasse et pas dans un lit ou dans un fauteuil comme les gens civilisés ? Inès est en train de me branler, elle est super excitée par le spectacle de nos deux invités.
Sanya fait signe à JB de se relever, ils reculent tels une étrange créature à deux dos jusqu’au canapé, où ils reprennent leur besogne. Le corps "méga opulent plus plus" de Sanya, combiné au corps costaud et à la bite de JB : leur coït me fait penser aux peintures de Botero. Les seins de Sanya tressautent en tous sens, écrasant les bras musclés de JB. Lui, il fait rentrer et sortir sa murène dans le joli corail de la brunette, qui exhale un orgasme bruyant. Je peux y entendre tout le soulagement d’un amant (re)trouvé. Ça et des pets vaginaux à chaque fois qu’il fait re-rentrer son monstre. JB se fige soudain, un gémissement entre les dents. Même d’où je suis, je distingue les spasmes de son pénis qui tire des salves dans la vulve repue.
Les deux amants apaisés, JB se retourne vers nous, un peu essoufflé.
— Je … je ne sais pas comment vous remercier.— Allons mon chéri, tu vois bien qu’elle, elle en a une petite idée, lâche Sanya.
En effet, Inès n’a pas quitté le reptile des yeux, hypnotisée. JB est d’abord surpris, incertain, et Sanya le pousse dans notre direction. Comme il s’approche, Inès prend l’anaconda dans sa main, puis dans ses deux mains, il est encore glissant, humide, et des filets de sperme en glissent paresseusement jusqu’au sol.
Je me permets de le soupeser également : j’ai déjà visité des maisons de reptiles et autres spectacles, et c’est tout à fait à ça que me fait penser la bite de JB : un gros truc massif inhumain, comme un gros tuyau en caoutchouc, mais musculeux, avec sa volonté propre, vivant. C’est chaud, je suis fasciné, et j’ai du mal à m’en détacher.
Inès est hilare et me regarde : "eh bien mon chéri, tu convoites l’assiette des autres ?"Elle se met à goûter son dessert, et elle m’impressionne, car elle réussit à garder en bouche presque la moitié du machin tout en lui flattant les testicules. Je la caresse, retrousse son top. Ça fait un moment que la micro-jupe n’est plus qu’une ficelle autour de sa taille. Elle glisse au sol pour mieux s’installer. Je me lève pour qu’elle nous suce alternativement, mais elle ne me calcule même pas, et se concentre sur le poteau noir. Mes testicules, ma verge et moi avons tout de même droit à sa main gauche.
Elle dirige JB vers le fauteuil libre, le fait asseoir, et reprend sa fellation de plus belle. Le mât dominicain reprend des couleurs, et se redresse fièrement sous ses coups de langue acharnés. Dans un même mouvement, elle se relève et vient se percher sur cette tour d’ébène. Elle reste comme coincée là, n’osant pas faire pénétrer le pylône plus avant, sans doute par peur d’avoir mal, aussi je décide d’intervenir, et appuie sur ses épaules pour l’y empaler comme elle le mérite. Un râle d’animal blessé, c’est l’hallali.Elle demeure prostrée, le dos courbé
— Oh put**n, la vache ! Oh, Colin, espèce de salaud, t’as failli me tuer !
Puis enfin, les jambes un peu tremblantes, elle imprime un mouvement de haut en bas à son corps.Je vois distinctement ses lèvres peiner à se dilater autour du bois bandé. Au bout de quelques minutes de ce traitement, la cyprine se met à dégringoler et inonder le pubis de JB.A un moment, j’ai l’idée saugrenue de m’y adjoindre, mais la chatte d’Inès est remplie jusqu’à la gueule, et elle bouge trop pour que je prenne sa rondelle.
Enfin, elle aussi émet un râle puissant, les voisins vont croire qu’on a acheté une corne de brume. Je n’ai pas quitté le spectacle des yeux un instant. Je consulte Sanya du regard. Elle s’est allumée une cigarette et en exhale des bouffées de fumée vers les étoiles.
Je la rejoins sur le canapé, la pelote sans vergogne, toujours autant fasciné par son corps. Tout ceci est très primitif, très cultuel, avec cette déesse en albâtre poli, ce serpent noir, la victime sacrificielle empalée. Et moi, je pense qu’un agenouillement révérencieux aux pieds de la madone s’impose. Je lui lèche sa chatte toute douce, je goûte au foutre de JB, dessine des cercles autour de son bourgeon. Elle commence à gémir, j’intensifie ma dévotion, sa mouille inonde mon menton, je joue avec son clitoris, l’aspire doucement, puis le fait aller et venir d’avant en arrière. Je pourrais continuer comme cela trèèèès longtemps, j’adore prodiguer des cunni, mais c’est elle qui me relève par les épaules : "Allez, viens."
Je pose mon gland à l’entrée de ses lèvres brillantes, et pousse doucement. J’avais un peu peur que JB l’ait élargie à l’excès, mais non, je la sens bien autour de moi. D’avant en arrière, je malaxe ses seins, ils ont toujours cette texture incroyable, cette lourdeur, cette douceur, cette élasticité. Je me penche vers son visage et nous nous embrassons avec tendresse, une tendresse à la fois très amicale et très érotique, je cueille ses seins en coupe, ce n’est pas la première fois que nous baisons, et vraiment, je n’en reviens toujours pas de ce toucher qu’ils ont, semblant défier les lois de la gravité et de la physique, comment des trucs aussi lourds peuvent-ils être aussi doux ? Elle gémit, et je veux l’entendre gémir plus encore, m’arc-boute, accélère la cadence jusqu’à l’entendre hululer … nnnnggh, je viens en elle à l’unisson.
Derrière nous, JB n’a pas débandé, et est désormais en train de ramoner Inès en levrette. Elle gueule et gueule et gueule encore, son visage est écarlate. Elle me dira plus tard qu’elle a eu au moins quatre orgasmes, mais je suis sceptique. Enfin il balance son foutre, qu’il enfonce bien au fond de mon épousée, avant de se retirer dans un bruit mouillé, et d’oindre son cul des dernières gouttes. Nous sommes aussi surpris les uns que les autres de nous arrêter là : ça a fait trop d’émotions coup sur coup, nous sommes épuisés. Nous guidons Sanya et JB vers la chambre d’amis, et Inès et moi nous écrasons dans notre lit.
Beaucoup plus tard, vers deux heures du matin, je me réveille pour boire un verre. Inès est endormie, toujours dans sa tenue putassière ; le sperme de JB a souillé et séché sur ses cuisses et tout son arrière-train. Un jus d’orange serait parfait, j’ai la bouche pâteuse. A l’étage, j’entends les grincements du lit de nos invités. J’entrouvre discrètement leur porte lorsque je remonte. Il est en train de la prendre en levrette, elle a le cul haut, le visage écrasé dans l’oreiller. Le chibre énorme fait ondoyer les fesses marmoréennes.
J’ai la satisfaction du travail bien accompli, sans doute la même joie que ressentent les lutins du père Noël le 25 décembre au matin. Je retrouve Inès dans le lit, et décide de lui faire une petite toilette avec ma langue, sur sa douce chatte violentée.
Elle est surprise, pas vraiment de bonne grâce au début, puis geint, geint, gémit, elle se retourne et m’ouvre son cul. Je poursuis mes attentions assidues sur son anus ; la langue est un muscle merveilleux, le plus puissant du corps humain certes, mais aussi le plus versatile, tantôt large tantôt pointue, elle fait pulser l’œillet de ma compagne. Inès gémit toujours, écarte ses fesses et bascule son bassin. Mon pénis est moins patient que moi, je le sens à peine tellement il est dur, je sens à peine ma main quand je le masse de lubrifiant. Après plusieurs essais, les sensations changent du tout au tout quand il disparaît dans le fessier de mon aimée, c’est chaud, c’est doux, c’est serré. Mon amour me crache des mots orduriers pour que je l’encule bien profond, et j’y mets tout mon cœur et toute ma lubricité.
Le lendemain matin, un soleil éclatant inonde le salon et la cuisine, où nous prenons le petit-déjeuner tous ensemble. Il y a comme un renouveau dans l’air, JB est beaucoup plus enjoué que la veille, Sanya semble complètement détendue. Seule Inès est un peu moins bien, avec la démarche gauche et du mal à s’asseoir. Quand vient l’heure de partir, Sanya et JB sont très émus, et nous serrent longtemps dans leurs bras. Je note que JB tient très, très longtemps Inès dans ses bras, qui le lui rend bien et caresse ardemment sa cuisse ou à peu près. Mais ça va, Sanya en a tout autant à mon service. Elle écrase ses seins continentaux sur ma poitrine, masse mon sexe et mes bourses, et m’ensalive la bouche avant de me dire très doucement :
— Merci Colin, infiniment merci. Tu ... tu as sauvé mon couple, tu as su démêler le vrai du faux dans lequel il était empêtré. Ses yeux s’embuent. J’aimerais bien la prendre, là, tout de suite sur le capot de sa voiture, ou en double avec JB. Je me reprends :— De rien, ça me fait plaisir, et vous êtes vraiment un super couple, vous méritez le bonheur qui vous arrive.
Après ces effusions, ils montent dans la petite voiture, Inès et moi les suivons du regard tourner au coin de la rue. Inès se retourne vers moi :
— Tu m’as vraiment impressionnée sur ce coup-là. Tu as vraiment sauvé la situation, au bon moment. On dirait le héros d’un p*tain de film américain, je suis trop fière de toi !— Bof, je m’éclaircis la gorge. Tu sais, en vérité, c’est assez courant qu’il y ait des erreurs dans les actes officiels, surtout dans les administrations de pays moins tatillons que le nôtre. Si ça se trouve, la maman de JB était vraiment une sainte femme. Elle a peut-être simplement fait un petit mensonge pour que son mariage ait un petit côté "sacré" … d’ailleurs, plus j’y réfléchis, plus je me dis que cette histoire de Pentecôte est bizarre. Si c’est vraiment un jour de célébration particulier là-bas, ça veut dire quoi ? Qu’il n’y a pas de célébration de mariage ce jour-là, ou le contraire ? Enfin j’en sais rien, en fait.
Inès me regarde, les yeux stupéfaits, et je lui souris de bon cœur en retour.
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