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Les joies de l'hospitalité

Chapitre 5

Des remous dans la piscine

Orgie / Partouze
Cette histoire comporte pas mal de personnages, moi qui l’ai écrite je m’y perds un peu, donc les personnages : Inès et Colin : Inès est une trentenaire méditerranéenne, Colin le narrateurMaud et Hervé : Maud est une grande rousse assez réservée, Hervé aime les alcools fortsChristine et Arnaud : de fringants sexagénaires gâtés par la nature, Christine est blonde et forte, Arnaud est athlétique et le cheveu courtSana et Tili : Sana est malgache d’origine asiatique, mince et la langue souple, Tili est afro-antillaisSonya et Christophe : une jeune maman plantureuse, et un gars nerveux

Ma femme vient de quitter son boulot.Cela faisait des mois qu’elle me disait que ses collègues sont trop cons, et qu’elle doit "urgemment changer d’air" au risque de "devenir tout aussi con qu’eux".Elle n’en a gardé que quelques amitiés sincères, et nous devons justement les voir ce week-end, autour d’un barbecue. Ce sera la première fois que je les rencontre. Inès m’en a souvent fait la description par le menu, mais j’avoue les avoir un peu mélangés et je ne sais plus qui est qui.
Nous arrivons en fin de matinée, et visiblement nous sommes les premiers, malgré le retard pris lorsque nous avons déposé les enfants chez leur grand-mère, mais nous voilà.Entre le barbecue et la piscine, ma femme m’avait assuré que ce n’était pas très sécurisant pour les enfants vu leur jeune âge, et tout ça. Elle a fini d’emporter mon adhésion en arguant qu’on ne sait pas à quelle heure on rentrera, et puis ça nous fera des vacances, etc … Une bonne journée entre potes, sans les enfants, … disons que ça n’a pas été très difficile de me convaincre.
Nos hôtes sont Christine et Arnaud. Pas loin de la retraite, mais Arnaud a le corps du jeune sexagénaire qui a plein de temps libre, et qui utilise tout ce temps libre à courir, faire du VTT, et même du crossfit si j’en crois l’autocollant sur sa voiture. Un collier de barbe assez sobre et ses cheveux gris coupés court, viennent compléter son aspect affûté.
Leurs enfants sont grands et ont quitté la maison familiale pour voler de leurs propres ailes. Christine, elle, ne semble pas être une accro au sport. En même temps, j’imagine que ce ne doit pas être facile de courir avec … quoi … un 120 , 130 ? bonnet, quoi, F ? G ? Est-ce qu’il existe seulement des bonnets de cette taille ? Son visage est avenant mais sérieux, au premier abord elle fait penser à une teutonne, vaste blonde aux yeux bleus, ou peut-être est-ce une association d’idées, avec sa poitrine qui danse dans son paréo, et qui fait penser à une serveuse bavaroise haute en couleurs. Paréo qui clame haut et fort que non, il a beau être ample, il ne peut pas cacher tout ça : les hanches et le cul sont à l’avenant de la poitrine.
Hervé et Maud sont les seconds à arriver. Hervé s’avère être un gai luron, blagueur et amateur d’alcools forts. En complément de son boulot et par passion, il a des parts dans une brasserie, aussi est-il bien approvisionné. D’ailleurs, les deux sacs isothermes bien lourds qu’ils ont apporté ne contiennent QUE des bouteilles. Hervé est un quadra, le corps fin, les cheveux plus gris qu’Arnaud.
Maud est une rousse dévastatrice, sans doute classée arme tactique. Les cheveux mi-longs sont décevants, je suis sûr qu’en crinière ils auraient été superbes. Le reste de sa mise fait penser à un épisode de Beep-beep et Coyote : le regard de tout prédateur tombe des cheveux vers les yeux, qu’elle a bleus et perçants, puis tombe avec fracas des yeux vers la bouche, qu’elle a trop grande, trop charnue, qui s’étire indéfiniment pour laisser paraître des dents blanches trop grandes elles aussi, et très naïvement la première pensée qui vient à l’esprit est "Oh, je veux ça autour de ma bite !",
un reste de chasteté fait détourner le regard, qui s’emmêle les pinceaux et tombe et se rattrape à sa poitrine, wahou, gros seins gros bonnets. Je m’essaye à deviner ses mensurations, mais c’est pas évident comme ça, à vue de nez, car Maud mesure un peu moins du mètre quatre-vingt ce qui fausse les proportions. Je vous fais grâce des fesses, je dirais juste que quand elle s’est penchée dans le coffre pour saisir un des sacs, sa jupe de plage s’est relevée, et j’ai bandé, sans complexe.
— PLAF, a fait le nez de mon Coyote en s’écrasant contre les boutons de ma braguette.

Tili et Sana arrivent avant-derniers. Tili est afro-antillais. Macho, tatoué. Il ne boit que du rhum. Et du whisky. Et n’importe quoi qui fait plus de 35°, du moment qu’il s’agit de rhum ou du whisky !Sana sa femme est d’origine malgache. Visiblement d’ascendance chinoise. Son corps est moyen, taille moyenne, hanches moyennes, poitrine moyenne. En revanche elle parle avec une voix de velours, ses yeux sont doux, et tous ses mouvements sont soyeux, elle ondule.
Les bons derniers sont Christophe et Sonya. Christophe est un petit nerveux, tatoué de partout. Il porte un bouc de barbe, des cheveux en brosse. Sa femme Sonya en est l’exact opposé : un peu comme Sana, elle semble vivre au ralenti, mais toute en mollesse : gros cul, grosses cuisses, peau d’albâtre, poitrine en forme de poires géantes, elle semble un peu indolente, la voix traînante, ses vêtements semblent posés sur elle, et passent leur temps à glisser, révélant tantôt sa jambe jusqu’à la culotte, tantôt laissant échapper un sein presque jusqu’à l’aréole.
Et nous ? eh bien, nous avons Inès, 1m65 sous la toise, très fière d’avoir perdu du poids ces derniers temps, ce qui fait de ses cuisses un étau d’acier, et donnant à son cul l’aspect d’une paire de congas dont on a envie de jouer immodérément. Et moi, Colin, un début de bedaine sur un corps lourd (1m75 et 90kg m’sieurs dames, tâtez-moi c’beau mâle ! ).Visiblement, les autres n’ont pas amené leurs enfants eux non plus. Je ne me rappelle ni de leurs prénoms ni du nombre, mais je sais que Maud et Hervé, et Christophe et Sonya, en ont plusieurs.
Arnaud officie rapidement au barbecue. Tout le monde a apporté SA marinade qui est meilleure que celle les autres. Hervé sort toutes ses bouteilles, "il ne faut pas que ça refroidisse !!" dit-il en rigolant. Tili acquiesce en levant son verre à ces bonnes paroles, à demi-caché derrière la demi-douzaine de rhums arrangés qui l’ont covoituré.
Il fait au moins 37°C à l’ombre. Sur la terrasse, seulement trois parasols, avec lesquels le soleil fait la course, et gagne haut la main. Il fait trop chaud, l’alcool n’aide pas, je ne tiens pas très bien d’ailleurs, pas souvent l’occasion de picoler. Inès me connaît bien, et voyant ma mine défaite, me propose d’aller me rafraîchir dans la piscine.
— Excellente idée !! rugissent les autres.
Arnaud est un peu déconfit, il n’a pas fini le barbecue. Sonya peste un peu, on n’a pas eu le temps de sortir sa marinade à elle, une recette traditionnelle inégalable nous assure-t-elle.
J’enlève mes vêtements - en rentrant un peu le ventre, puis me jette à l’eau d’un coup pour montrer qui est le boss, malgré mon petit passage à vide. L’eau froide me dessaoule rapidement, enfin non, elle me réveille. Sur la margelle, Inès se défait de sa robe, elle réajuste son bikini fétiche, orange fluo, très échancré, pas beaucoup de tissu. Je la sais fière de son corps retrouvé, mais là, je suis un peu scotché. Elle me rejoint dans l’eau, en se laissant glisser depuis le bord. Je ne sais pas si les autres ont profité comme moi du spectacle de son ticket de métro quand elle a ajusté le string.
Maud nous rejoint. Elle entre pas à pas dans l’eau depuis l’échelle. Elle porte très joliment un maillot une-pièce noir, tout en bandes compliquées. Son cul est magnifique. Inès me donne un coup de coude, j’ai dû parler tout haut, ou bien oublié de cligner des yeux quelques minutes. Maud ne peut réprimer un frisson quand la touffe rousse qui dépasse du maillot affleure la surface de l’eau.Frisson qui se transforme en cri d’agonie : Tili vient de faire une bombe dans l’eau, qui l’a complètement éclaboussée. Elle râle, puis lâche l’échelle. Elle est la seule à avoir pied on dirait.Des escaliers descendent dans l’eau côté petit bassin, Christophe les emprunte, met à son tour le pied à l’eau :
— Elle est bonne ? vous la trouvez bonne ? Vous la trouvez comment ?— Put**n ! me dis-je, mais il ne la ferme jamais celui-là ?
Sana était sur ses pas et arrive à sa hauteur. Les deux côte-à-côte, on dirait une nymphe des eaux et un jack-russell qui prendraient leur bain ensemble.
Arnaud est occupé à couvrir le barbecue, toujours un risque que des braises s’envolent nous assure-t-il. Sonya est penchée dans son sac et s’apprête à nous rejoindre. Hervé est affairé à préparer des plateaux (mais où les a-t-il dégottés ?) : verres, bouteilles, biscuits, chips, tout y est, et les dispose tout autour de la piscine. Enfin je percute : c’est une journée beuverie ! C’est pour ça qu’aucun de nous n’a amené sa progéniture ! C’est con, Inès aurait dû me prévenir, j’aurais fait plus attention à ne pas arriver le ventre vide, je suis sûr que c’est ça qui m’a rendu patraque … Ma réflexion est interrompue par les autres baigneurs qui entonnent
— CHRISTINE ! CHRISTINE ! CHRISTINE !.
Celle-ci refuse de se baigner, frileuse, elle trouve que l’eau est trop froide. Est-ce de la pudeur ? Je ne le jurerais pas, elle a l’air sérieux. Sana la rassure, l’eau est très bonne, elle-même est très frileuse et ça passe. J’ai le temps de penser que c’est c*n d’avoir une piscine si on ne veut pas s’y baigner, avant que la température intenable de la terrasse ne finisse de la convaincre.Elle se défait de son paréo, révélant un une-pièce turquoise flashy. Pas ce qu’il y a de plus sexy de prime bord, sauf que sa poitrine déborde au-dessus et sur les côtés. Le tissu du maillot est tendu sur ses fesses jusqu’à la transparence. Elle nous rejoint lentement dans l’eau.Ses mouvements sont fascinants, on dirait une de ces divinités callipyges de l’Antiquité, mais en jelly. Ses fesses et ses seins tanguent comme un navire sur une mer calme.
Sous l’eau, Inès s’empare de ma proue.
— Hé, mais tu bandes ? me souffle-t-elle.
Je rougis
— Chhht, nan mais je suis humain, aussi, t’as vu ses nichons ??! ma voix est à la limite de l’audible, mais Maud qui se trouve derrière Inès semble avoir tout entendu et sourit.
Bizarrement, Inès ne semble pas trop vexée, elle plutôt jalouse d’habitude.
— Et ça t’a fait bander, quand moi je me suis changée ?
Elle plonge sous l’eau avant que j’ai pu lui répondre. Je me sers un verre pour me redonner un peu de contenance devant Maud et son air narquois.
— SONYA ! SONYA ! SONYA ! SONYA ! scandent maintenant les baigneurs.
Effectivement, Sonya est toujours occupée après son sac. Elle en a vidé le contenu sur la table, apparemment aussi étonnée que nous de tout le bord*l qui s’y trouvait.
— Ben alors mamour, qu’est-ce que tu fous ? lui lance Christophe.— Mais rien, je ... je ne trouve pas mon maillot !"— Tu ne l’as pas mis sur toi ?!— Mais non, on est parti trop vite !— … … ben c’est pas grave, viens sans ton maillot !— A poil ?— Mais non pas à poil, en culotte-soutif !
La réponse de Sonya est couverte par les baigneurs, moi inclus, qui nous amusons de voir Christophe monter en pression :
— A POIL !! A POIL !! A POIL !! A POIL !! A POIL !!
Christophe fulmine, il est obligé de crier pour couvrir notre joyeux slogan :
— Mais non put**n !! Pas à poil, viens put**n !! Mais t’es conn* aussi de pas avoir pris ton maillot !
Maintenant, c’est Sonya qui fulmine :
— Conn* ? Je suis conn* ? Mais m*rde, j’ai passé la matinée à préparer toutes les affaires toute seule, y compris ton put**n de maillot de bain de m*rde, et c’est moi qui suis conn* !!?!"
Je commence à avoir mal au cou à suivre leur échange, façon Roland-Garros marital. Sonya poursuit :
— Eh bien puisque c’est comme ça, vous avez bien raison ! Allez hop, de toute façon, on sait tous comment c’est foutu un corps de bonne femme, conn* ou pas conn* !!
Christophe sort de l’eau et entame des paroles d’apaisement, mais visiblement Sonya est lancée, son cache-coeur et sa robe tombent au sol, le soutien-gorge émet un claquement de soulagement quand elle le dégrafe, libérant ses "poires" qui doivent faire un joli 110C ou D, j’en sais rien, mais ils défient fièrement la gravité, et se terminent par de jolies aréoles, larges et brunes, avec des tétons aussi épais qu’un clitoris.Elle doit connaître des colères destructrices, car Christophe ne s’avance pas plus. Je crois qu’il tente de la cacher à notre vue, mais Sonya a fait deux enjambées, a envoyé promener sa culotte en même temps que son mari, et plonge dans l’eau.
Son cul est sûrement magnifique, une sorte de gros triangle arrondi vu d’ici, mais je ne vois pas bien, d’autant que je regardais sa chatte, bien poilue, bien brune, avec des lèvres …
— Et là tu bandes ? question pertinente mais parfaitement inutile au vu de la bosse qu’Inès est en train de palper fermement sous l’eau, à mon entrejambe, je me retourne vers elle.
Mais la surprise me rend muet comme une carpe : je n’avais pas reconnu la voix de Maud, qui retire sa main et s’éloigne en riant.
Inès est plus loin, assise sur la margelle opposée, trinquant avec Tili un verre à la main
— OUAAIIIIS SONYAAA !! TU ROCKES !!!" puis "ALLEZ !! TOUS COMME SONYAAA ! TOUS A POIIIIL !!!
Joignant le geste à la parole, elle libère ses beaux seins de leur prison étroite, se lève de façon un peu bancale, retenue d’une main sur la fesse par Tili, puis fait glisser son string qui s’était visiblement fourvoyé dans sa vulve. Elle finit son verre cul-sec, puis se laisse tomber à l’eau en se pinçant le nez.Tili se lève à son tour. Visiblement lui aussi a été excité par la scène et adhère à cette idée, son pénis bat sa cuisse comme un beau diable sorti de sa boîte, il arbore une mi-molle qui fait deux fois la taille de mon popaul en érection maximale. Il manque s’empêtrer dans son short de bain, avant de plonger dans une grande éclaboussure.
Je récupère Inès qui refait surface, elle tousse et crache de l’eau. Elle n’a jamais été bonne nageuse, mais ce doit être le verre cul-sec qui l’a eue. Elle s’agrippe à moi.
— Oh, mais tu bandes, là ?— … … mais put**n, c’est la phrase du jour ou quoi ??— HEY ! Y’A COLIN QUI BANDE !! gueule Tili.
Alors lui, déjà j’ai pas apprécié de voir sa main sur la fesse de ma femme - même pour la bonne cause, j’apprécie pas sa bite de 30 cm - même si la nature, c’est la nature, mais là il commence sérieusement à me péter les rouleaux.
— Oh et puis vous avez raison, dit la calme Christine, nous surprenant tous.
Les bretelles de son une-pièce laissent des marques visibles quand elle s’en dégage, se contorsionne un peu, puis jette le maillot inutile sur la berge.Tous ceux dans l’eau font silence. Ses seins flottent tels deux donuts géants devant elles.
— Put**n Christine, t’es trop bonne … .
Je ne sais pas qui a dit ça, femme ou homme, mais ça remporte l’unanimité.
Arnaud en a fini avec le barbecue, il nous regarde un peu sidéré. Sonya, Tili, Inès et sa femme sont à poil.
— Mais vous faîtes quoi, là ? Mais vous faîtes quoi, là ? Mais vous faîtes quoi, là ? répète-t-il en boucle.
Maud est passée derrière Christine, elle soupèse les deux formidables mamelles, les frotte l’une contre l’autre.
— Wahou Christine, ils sont vraiment magnifiques !
La déesse teutonne se retourne vers elle, lui plante un chaste petit smack sur les lèvres "Merci ma belle !", et s’éloigne doucement à la nage.Dans la piscine, nous la contemplons nager parmi nous, ses longs cheveux blonds s’étalent à la surface, surface fendue par ses deux fesses, sans un remou. Le spectacle de son cul doit être quelque chose vu de plus haut, car depuis la margelle le boxer d’Arnaud commence à faire chapiteau.
— Christine ??? mais qu’est-ce que tu fais ??— Mon chéri, si tu en as fini avec le barbecue, tu peux peut-être venir nous rejoindre ? lui répond Christine avec flegme.
Arnaud se défait de son boxer, nous révélant une bite turgescente, pâle sosie de celle de Tili ... enfin, son sosie, mais pâle.
— Put**n mais c’est quoi ce cirque ??!! ai-je le temps de penser. Ils ont tous des zobs de Godzilla ou quoi ??!
Arnaud rejoint Christine qui se retourne vers nous autres :
— Hé les mecs ! A part Colin et Arnaud, y’en a d’autres qui bandent ?— Allez faîtes pas vos timides !! renchérit Tili. Il est debout sur les marches, et on peut tous voir son cadran solaire qui pointe plein sud.
Mouaif, facile à dire quand on a un mandrin entre les jambes.
Inès ne m’a pas lâché. Elle s’agrippait déjà à moi, mais maintenant c’est autre chose.Elle s’active sur le cordon de mon short.
— Allez mon chéri, montre-leur à tous ta belle bite bien épaisse !
Ce faisant elle s’agrippe avec sa jambe, moi je nage en sur-place, et elle me met un petit coup involontaire là où ça fait mal. Et donc oui, j’ai mal.
La poitrine de Maud s’écrase dans mon dos comme elle s’approche de nous.
— Alors les amoureux, qu’est-ce que vous complotez ?— Y’a Colin qui fait son timide.— Colin, c’est le mec qui bande depuis tout-à-l’heure, non ? C’est lui ? C’est ton mec ? enchaîne Maud en rigolant. Il serait pas un peu voyeur ?— Ouais, il ose pas mais question œillades, pardon ! … et puis il aime bien laisser traîner ses mains aussi.— Ouh là, mais monsieur est un petit pervers ? Il me semble qu’il me matait le cul déjà tout-à-l’heure.
Elles s’amusent toutes les deux, "Hin hin, très drôle" parviens-je à articuler pendant que la douleur s’éteint. Inès finit de déboucler mon short, inarrêtable, tout en me pelotant la bite, et passant un doigt entre les fesses … Hé, mais ça fait trop de mains, ça ? Evidemment, c’est Maud qui s’affaire elle aussi sur ma petite personne.
Enfin, elles enlèvent mon short et l’envoient rejoindre le turquoise de Christine, accompagné d’un "OUAIIIIS !!!" victorieux les bras levés. Lâché, je bois un peu la tasse.
— Super drôle, mais de toute façon, déjà, si j’avais pas été occupé à sortir ta jolie petite gueule de l’eau, je l’aurais enlevé tout seul mon maillot ! leur dis-je en me tournant vers mes tourmenteuses.
Ou plutôt, c’est ce que je compte leur dire. A quel moment m’arrête-je dans ma longue tirade ? Je ne sais pas. Ce que je sais, c’est qu’Inès et Maud sont en train de se frencher là, au beau milieu de la piscine.Tili nous regarde et se marre. Sa bite semble arborer un beau sourire elle aussi. Sur les marches de l’escalier, Christophe parlemente avec Sonya, toujours à poil, pendant que Sana essaye de les apaiser. La voix de Christophe m’exaspère toujours autant.
Je me rapproche des deux filles, Inès passe la main derrière mon cou, et m’attire à elle. Elle me frenche à mon tour. Je pelote son cul. Plus bas je sens les doigts de Maud qui s’activent sur ma … non, qui s’activent DANS ma femme. Inès et moi sommes deux naufragés accrochés à leur île maudesque.Inès embrasse Maud dans le cou, je frenche Maud. On se pelote tous les trois, c’est gentil, c’est doux, puis Maud nous remorque en direction des marches.
Sonya ne s’y trouve plus, je la distingue dans le coin opposé, où elle a rejoint Christine et Arnaud. Sana s’entête à essayer de calmer Christophe, prenant ses mains dans les siennes.Tili fait route vers Christine, Arnaud, et Sonya. Il ne restait plus que Hervé en-dehors de l’eau, je le cherche des yeux : ah ben non, en fait il n’a pas bougé, il est toujours assis sur sa chaise, sauf qu’il est nu et se branle mollement. C’est la dernière fois avant un moment que je m’enquière des autres.
Maud et Inès sont mi-assises mi-allongées dans les marches, et Maud réalise ce que je ne savais pas être prophétique : elle enfourne ma bite dans sa bouche immense.J’avoue avoir un peu peur quand je vois ses dents se refermer autour, mais la morsure est douce, je sens sa langue palper la nervure de ma queue.Elle la recrache en toussant "Wahou, c’est vrai qu’il l’a bien épaisse !!"Je jubile intérieurement "Ah ah ! +50 points pour Bite-en-Or ! Salut les Serpentards !!".Honnêtement, c’est vrai, j’ai une grosse bite. Avec Inès, nous sommes déjà allés dans des sex-shops, et les tailles maxi, XL, ou je ne sais quoi, bon, ben, c’est la mienne. Pas en longueur, mais en épaisseur. Pardon pour cette comparaison, mais si les autres ont un grand black athlétique dans leur slip, moi j’ai un portugais épais comme un mur.
Visiblement, Maud aime les challenges, elle s’active sur mon zob, faisant des bruits de succion, ceux qu’on entend dans les pornos et qui ne font pas crédible.Elle relève la tête vers Inès,
— T’as trop de la chance ! Tu m’avais dit qu’elle était grosse, mais ça c’est … Elle cherche un comparatif sans doute, hausse les épaules puis me reprend en bouche.
Inès hésite un peu sur la conduite à tenir. Elle se sert un autre verre. Ce que faisant, son cul se retrouve à ma hauteur. Je prends les congas à pleines mains, et lui fourre ma langue bien profond dans son petit abricot. C’est frais à l’extérieur, c’est chaud et humide à l’intérieur, mon pénis est aspiré par une rousse enflammée.Notre trio infernal s’affaire, de longues minutes sans doute. Ce doit être un sacré spectacle, mais on n’a plus conscience de ce qui nous entoure. J’éjacule à gros bouillons dans la bouche de Maud. Elle prolonge sa fellation, mon pénis ne ramollit pas. Brave garçon.Inès gémit, doucement d’abord, puis de plus en plus fort, sans retenue.Enfin elle jouit. Nous nous relevons et nous embrassons tous deux,
— Mmh, j’adore ce goût, ronronne-t-elle.— Ah non ! c’était ma réplique, ça !
Nous nous retournons vers Maud, mais elle a disparu. Nous l’apercevons un peu plus loin. Maintenant, c’est à Hervé qu’elle prodigue ses bons soins, lui toujours assis sur sa chaise. La tête de Maud s’active de haut en bas, elle a écarté le bas de son maillot et se doigte rapidement.
— Pfiuu, désolé pour ... dis-je à Christophe et Sana, restés près de nous pour m’excuser du spectacle qu’on leur a offert.— Ah.
En fait Sana est en train de branler Christophe. Agenouillée derrière lui, elle lui lèche le cul, et visiblement elle y va bien profond elle aussi. Ses bras sont enroulés autour des jambes du pauvre garçon, dont le visage vire écarlate juste avant qu’il n’éjacule. D’un preste mouvement des mains, Sana emprisonne son gland, en récupère le foutre, porte le tout à l’anus de Christophe qu’elle enduit de son propre sperme, avant de lécher le tout. Wahou.
Je me détourne, étrangement gêné par la scène
— Saleté d’éducation judéo-chrétienne, alors que je viens de faire un cunni en public tout en me faisant sucer jusqu’à la garde, pensé-je,— Damned, mes pensées sont de plus en plus longues, re-pensé-je derechef, aussitôt taclé par mon génie intellectuel : "Comme ma bite !".— Bravo ! dis-je à toutes mes voix intérieures. Très spirituel ! mais là je me tourne vers Sonya car j’ai un peu peur de sa réaction.
Je ne devrais pas m’inquiéter pour elle : ils sont quatre à s’agglutiner autour de l’échelle. Tili s’agrippe des deux mains aux rambardes, il est plus ou moins assis à mi-hauteur de l’échelle. La belle Sonya est debout sur un pied, l’autre jambe levée haut pour que Tili et son chibre aient toute latitude pour pilonner sa vulve. Arnaud se tient au-dessus d’eux, et se fait pomper le dard par Sonya. Elle a beau être hors de l’eau, elle semble avoir du mal à respirer. En bas de l’échelle, en bonne maîtresse de maison, Christine encourage Tili, l’embrassant, lui massant les fesses et la raie. Il s’arrête par instants, qu’elle met à profit pour gober et lécher ses grosses burnes noires.
Tili et Christine s’arrêtent, Sonya semble un peu indécise, comme sonnée de baise. Tout ce petit monde remonte l’échelle. Gentleman, Tili laisse passer Christine devant lui. Elle tombe dans le panneau, et il caresse son cul au passage, avant de passer à son pubis. Christine s’arrête bien sûr, s’empale sur les doigts. Tili la fait redescendre gentiment, et son mandrin vient prendre la place des doigts. Plus haut, Arnaud est maintenant en levrette sur Sonya, qui beugle, agrippée aux poignées de l’échelle.
Je bande comme un âne, la scène est surréaliste. Les loches de Sonya s’agitent dans le ciel bleu, au rythme des coups de boutoir d’Arnaud, ses seins s’agitent en rythme, ses aréoles énormes, brunes, décrivent des spirales hypnotiques.Arnaud doit lui pulvériser la chatte, vue la taille de son engin comparé à celui de Christophe.En bas, Christine écrase sa poitrine dantesque dans les barreaux de l’échelle, et son cul clapotte alors que Tili le détruit à coups de bite.Derrière Inès et moi, Christophe est sans voix "Sonya ... Sonya ... ma chérie" parvient-il à articuler finalement.Sana louvoie vers moi, son corps ondule entre Christophe et Inès sans les toucher. Son visage immobile est fixé sur mon gros zob qui pulse. Elle s’étouffe dessus, tout comme Maud avant elle.
— Hé ben vas-y ! lui dit Inès amusée. Faut pas t’gêner !— Pardon mais il est trop mignon. L’engin de ton homme, on dirait un mini-hulk !
Et qu’elle repart à le pomper. Inès la laisse faire, lui caresse tendrement la tête, m’embrasse, se retourne, puis se dirige vers Christophe.Je pense :
— Oh merde, j’espère qu’elle ne va pas baiser avec lui, ce mec est un vrai trou du ... OUCH !!
Sana vient de me mettre un doigt dans le cul et … ouh ! oh ! mais, comment fait-elle ça ?? … Elle fait tourner son doigt, gentiment mais fermement, et ma prostate semble se trémousser.Un frisson me parcourt, et je vous jure que je peux sentir Sana SOURIRE autour de ma bite.Elle ajoute un second doigt, tout en continuant son travail de sape.
Popaul a déjà craché le morceau juste avant, donc là, maintenant, tout de suite … je suis un peu sec … Cela ne décourage pas Sana, qui me repousse doucement dans l’eau, en direction du bord. Je m’y accroche des deux bras, dos au bord, et elle vient se jucher sur moi, verrouillant ses chevilles derrière mon bassin. La circonférence la surprend encore, car son visage se déforme. "Ooooohouuuuh". Puis elle adopte une cadence de plus en plus soutenue. Je sens son vagin se resserrer au moment crucial, et elle gueule "OOOh ouiiiiiiiIIII !!!!".Evidemment, je m’active aussi. Elle me fixe intensément. Exit les yeux de velours, elle ressemble maintenant à un put**n de python !
— Rhhâââ, oh put**n !! dis-je dans un râle, mais personne ne m’entend : elle a plongé sous l’eau, ensserrant mon pénis d’une main d’acier, et avale tout mon foutre.
Un anaconda plutôt qu’un python alors, car ils sont de mœurs aquatiques. Je me marre, pris d’un fou rire irrépressible. Sana me dira plus tard que, sous l’eau, elle était très fière de mes spasmes qu’elle prenait pour un super-orgasme éjaculatoire.
Je reprends mes esprits, Sana reprend sa respiration. Elle ouvre la bouche pour me montrer sa récolte … ah bah non, c’est pour m’embrasser. Je goûte mon propre sperme, c’est tiède et sucré, la langue de Sana joue avec mon foutre et ma langue. On sent bien qu’elle n’a pas eu une éducation judéo-chrétienne, elle. Bizarrement, cette idée me fait re-bander. Nos visages se séparent, nous sourions comme deux vieux copains un peu nostalgiques et poètes, pas comme si on venait de baiser tels deux calamars hystérico-pornographiques à grand renfort de gorgées de foutre.
Encore étourdi, je fais le tour de la scène des yeux. Je ne vois plus ni ma femme, ni Maud.Tili et Christine en ont eu marre de l’eau. Ils sont sur la pelouse, ils doivent cramer. Tili est en levrette derrière Christine. Ah non, mes yeux font le point. Il faut dire que Christine a un cul et des seins tellement formidables : en fait ils sont en missionnaires. Les loches de Christine balancent de tous côtés.A côté d’eux, Christophe est en train d’enculer Sonya, c’est beau un couple qui se réconcilie. Arnaud, les regarde, paisiblement assis sous un des parasols, sirotant un verre avec Hervé. Inès et Maud reviennent de la maison, elles sont parties chercher des carafes où tintent des glaçons.Maud est la seule de toute la bande encore habillée, ça fait bizarre.
Sana et moi les rejoignons, une boisson fraîche tomberait à point. Sortir de l’eau et traverser la pelouse nous demande moins d’une minute. Cet intervalle a suffi à ma femme pour s’asseoir sur les genoux d’Arnaud. Elle pouffe. Maud s’occupe de servir un verre à chacun. Sana est derrière moi et me caresse le cul. Cette fille fait une fixette sur les culs, c’est pas possible.
Inès se trémousse sur Arnaud, visiblement elle cherche une position "confortable". Elle gémit, ce qui ne laisse planer aucune ambiguïté. Arnaud caresse ses cuisses, son ventre, sa poitrine, redescend vers le ticket de métro. Ça m’excite à mort, mon pénis redresse les couleurs, et je bois la moitié de mon verre d’un geste sec.
Je manque m’étouffer, j’ai été distrait, ce que je pensais être une carafe de limonade glacée est en fait du mojito, bien tassé en plus.Sana semblait guetter ce moment, elle profite que je tousse pour m’enfoncer une ou deux phalanges.Elle s’accroupit derrière moi, sa main passe entre mes cuisses, me caresse les couilles, et je comprends qu’elle va me faire subir le même sort qu’à Christophe tout-à-l’heure.Inès assiste au spectacle, les yeux brillants d’excitation échangiste, et plissés par les coups de boutoir d’Arnaud. Maud se penche pour l’embrasser au passage. Cette fille gagnerait vraiment à se laisser pousser la crinière. Elle est encore habillée alors qu’autour d’elle, c’est l’orgie totale, ce qui lui confère une aura de femme fatale inaccessible.
Sana me fait faire demi-tour pour une fellation plus classique, ce qui me donne le loisir de constater que, sur le gazon, en plein soleil, les équipes ont encore changé.Cette fois, c’est bien une levrette que Tili prodigue à Christine, à quatre pattes, qui suce Christophe jusqu’à la garde. S’ils continuent, ces deux-là risquent un affreux coup de soleil.Sonya se masturbe avec une … je ne vois pas bien … ce doit être une canette de bière, qu’Hervé lui fourre dans le minou. Celui-là , je ne sais pas comment il est encore conscient, il doit en être à 4 grammes, en plein cagnard. Il se branle encore ce faisant, ce qui est à mon sens un beau gâchis quand on voit qu’il pourrait l’enculer à la place, ou prendre sa femme qui joue les barmaids en maillot une-pièce.
Sans doute que les grands esprits se rencontrent, car Sonya lâche la canette, et entraîne Hervé vers l’ombre, Sana et moi. A nos côtés, les gémissements d’Inès ont grimpé d’un octave. La chaise d’Arnaud menace de céder. Sana a repris son annulingus, sa langue est profondément en moi.
— Hé Colin ! il ne reste plus qu’Hervé et toi, me ronronne Sonya.
Devant mon air d’incompréhension elle doit préciser :
— A me baiser ! Christophe, Tili, et Arnaud, c’est fait. Il ne reste qu’Hervé et toi.
Hervé a visiblement déclaré forfait. Il titube en direction de Tili, Christophe, et Christine, puis je le perds de vue. Je me dégage doucement de Sana pour lui indiquer que Sonya en veut une, et maintenant. Visiblement Sana, en plus de ressources diplomatiques, est un trésor d’empathie.Elle embrasse Sonya, se love autour d’elle, la caresse profondément, pince son clito, et je commence à me demander si finalement mes services s’avéreront bien nécessaires.Sana relâche sa proie pantelante et me l’abandonne. Cette fille est vraiment … fascinante.Sonya et moi disposons les coussins et les bains de soleil à terre, et nous installons sur cette couchette sommaire. A côté, Inès hurle de plus en plus fort, et chevauche Arnaud au triple galop. Leur chaise est à l’agonie.
— Viens me la mettre, mon poussin ! m’invite Sonya.
Mais où est passée la meuf un peu timide et maladroite de tout-à-l’heure ?Je lui enfourne mon pénis dans le vagin, et ça glisse tout seul. Une giclée de foutre en sort, j’en ai plein les poils. Sana est revenue s’asseoir en tailleur à côté de nous, fumant une clope, et contemple tout ce sperme avec gourmandise.On fait un break, le temps de faire tourner la clope, et que Sana me nettoie la verge pendant que je contemple le traitement qu’Arnaud inflige à ma femme. Ils n’ont toujours pas baissé en rythme, et j’en suis tout admiratif. Le cou d’Arnaud est tout rouge et orné de morsures d’ongles, preuve que ma chérie jouit comme une folle.
J’écrase la cigarette, direction Sonya, mais celle-ci est déjà la proie de la langue experte de Sana. Pas d’inquiétude, les deux belles m’attendaient. Sonya écarte ses fesses. Le message est fort et clair. Je pose mon gland sur l’œillet qui pulse. Je comptais m’introduire progressivement, mais Christophe a déjà bien ouvert les péages, aussi ma bite y disparaît-elle d’un coup, jusqu’à la moitié. Le bruit de gorge de Sonya nous fait un peu peur, elle retient sa respiration, puis me fait signe de continuer. Je la bourre alors, progressivement. Sa chair blanche, molle, s’agite en rythme, vagues sensuelles qui viennent s’écraser contre mon bas-ventre.Elle fait des bruits étranges, et je sens bientôt un autre pénis à travers sa paroi vaginale.Je me penche pour mieux voir, et c’est en fait Sana qui lui fiste le minou, avec sa mignonne petite main. J’imagine que le clitoris doit lui aussi en voir des vertes et des pas mûres. Sonya jouit rapidement, et ça gicle partout.
Inès n’en a pas perdu une miette. Je donne encore quelques coups de bassin polis à Sonya, pendant qu’Inès m’invite à les rejoindre, Arnaud et elle.
— Prends .. prends-moi mon amour !
Elle ne peut que haleter. Pas sûr qu’une autre qu’elle aurait pu endurer un tel traitement, elle a vraiment une bonne condition physique.Je vais pour l’enculer à son tour
— Non ! Dans ma chatte ! Je veux vos deux. Grosses. Bites. Dans ma fouffe !
La chaise s’effondre, j’ai juste le temps de retenir Inès par le bras, Arnaud se rattrape en roulé-boulé, agile.Sonya et Sana sont retournées toutes deux dans la piscine. Elles se doigtent à qui mieux mieux, et s’embrassent langoureusement. Le soleil commence à se coucher, et ma foi, c’est très beau, que dire d’autre ? Sur la pelouse, Christine, toute en régularité, administre une double fellation à Christophe et Hervé. Tili fait une pause, sa queue repose sur sa cuisse, et même d’ici on voit qu’il a bien abreuvé la belle chatte rasée de Christine.
Arnaud, Inès et moi nous installons sur les coussins. Arnaud dessous, Inès en sandwich, moi au-dessus. Nos bites lui étirent ses lèvres, je ne sais pas si c’est bien agréable pour elle. Ses cris dans les aigus me rassurent aussitôt. La salope se fait pulvériser le point G, la paroi utérine, et plusieurs pages d’un manuel médical dédié à la reproduction !
Je ferme un instant les yeux pour me concentrer sur cette sensation, celle de la grosse bite d’Arnaud, un peu comme les dildos qu’on utilise parfois, mais en plus … organique, en moins prévisible, évidemment. D’un coup, les cris d’Inès disparaissent, étouffés. J’entrouvre les yeux pour voir sa bouche distendue autour de la bite de Tili. Un doigt dans mon cul me renseigne sur l’autre personne qui nous a rejoints : Sana me susurre "Vous l’avez bientôt terminée votre salope ?"
Inès rebondit de plus belle, elle a trois grosses bites qui la ramonent de partout … ah tiens, non en fait. Je remédie à cette situation en changeant d’orifice sans prévenir.Son anus est déjà dilaté - elle m’expliquera plus tard que Christophe l’avait brièvement enculée dans la cuisine, sous les yeux de Maud qui y préparait les mojitos - et nous voilà tous trois à la prendre de concert, grommelant, ahanant, et souriant dans une belle complicité masculine.
Tili est le premier à lui gicler au visage. Sana fait le tour, et vient aider Inès : toutes deux se partagent la moisson de foutre qui inonde leur visage, se lapant l’une l’autre, bel exemple de solidarité féminine.
Je sens Arnaud se raidir, pas trop tôt, il a de l’endurance le sala*d, et je me laisse enfin aller. Je crème le cul d’Inès, depuis son trou dilaté et sur toute la raie. Je ne suis pas peu fier de la quantité de sperme que je laisse dans son doux sillon.Pas le temps de trop le contempler cependant, Sana y va de sa langue fureteuse, me faisant de plus en plus songer à quelque créature reptilienne, avide et ovide.
Le raidissement d’Arnaud était une fausse alerte, il la bourre encore quelques minutes avant de lâcher son jus à son tour.
Quelques minutes plus tard. Nous voilà, tous les dix, assis comme si de rien n’était, nus mais tranquilles. Nous reprenons un verre bien mérité. Nous sommes tous fin pétés. Hervé est le plus alcoolisé de tous, je ne sais pas comment il tient encore debout … enfin, assis. Je m’inquiète un peu qu’il ne nous fasse un coma éthylique.Christine se tient à côté de moi, et la masse de son sein est un doux coussin contre mon bras, que je pelote distraitement. Les ombres se sont allongées, les pénis se sont raccourcis, le soir ne va pas tarder à tomber, et nous sommes éreintés.Je suis toujours autant admiratif d’Arnaud, qui a baisé plus que nous tous, et je m’apprête à le lui dire quand une voix rauque me coupe :
— On l’a pas baisée !
Nous mettons quelques secondes à comprendre que c’est Hervé qui a parlé.
— On l’a pas baisée ! répète-t-il.
Je percute : effectivement, Maud est toujours habillée, et à part quelques pipes, très bien taillées d’ailleurs, elle n’a baisé personne.
La tension érotique évanouie redevient palpable.
— Et alors ? répond-elle à son compagnon. Ne vous inquiétez pas pour moi, je me suis bien éclatée, il n’y a pas de souci.
Nous la fixons intensément, personnellement je me demande quel bruit elle fait quand elle baise.
— Oh oh oh, on se calme, tout doux ! dit-elle alors que Tili lui caresse l’épaule.— Oh ça va ma belle, calme-toi, il n’y a pas de problème, tu veux pas de bien, tu veux pas, c’est normal.— Juste : tu nous dis fort et clair que tu n’en veux pas, et on te laisse tranquille".
Je ne sais pas ce qui se passe, mais mon pénis doit le savoir, lui, car il s’est redressé pour mieux voir.A présent, c’est Sonya qui caresse les cheveux de Maud pour l’apaiser.
— Vas-y ma chérie, tu nous dis que tu ne veux pas de ces belles bites, là tout autour de toi, et elles te laissent tranquilles.
Un rapide tour de table m’apprend que les quatre bites encore indemnes - celle d’Hervé ne compte pas, il doit être à, je sais pas moi, 4, 5 grammes ? Et bande mou - que les quatre bites encore indemnes donc, sont levées et fières. Sana astique celle de Tili. Je songe que ce doit être très esthétique à voir, un gros mandrin d’ébène besogner une touffe bien rousse et bien touffue.Arnaud n’est pas en reste, Inès et Christine besognent notre athlète senior. Sonya se passe la langue sur les lèvres.Un ange passe, Maud ne dit toujours rien, elle ressemble à un gibier piégé dans le faisceau des phares. Hervé vide son verre d’un trait, le fait claquer sur la table et clame :
— C’est entendu, baisons cette grosse chienne !!
A la manière dont il le dit, on sent qu’il y a un historique derrière tout ça, mais pas le temps de s’y attarder, déjà Tili et Christophe entraînent la rouquine vers la maison, Arnaud les précède et indique :
— On sera mieux dans le salon ! — Non ! dans notre chambre mon chéri ! le reprend Christine, tout en pianotant sur son portable.
Je fais mine de pousser Maud, mais elle n’offre pas vraiment de résistance. Je me retourne vers Inès, elle sourit et imite comiquement Tili :
— Vas-y mon gros, va donner du bien à cette rouquine !! pui ss’enquière d’un plaid pour se couvrir les épaules.
Les autres n’ont pas perdu de temps. La maison est plus grande qu’il n’y paraît, et je dois me guider au bruit. Je trouve la chambre en question. Christophe est en train d’arracher le maillot de Maud, elle fait mine de se débattre et il lui met une baffe, elle geint sur le coup et le regarde en ouvrant ses cuisses.
— Oh oh ! me dis-je. Les autres aussi ont rapidement compris les règles du jeu. Christophe lui décoche une autre baffe, pour être sûr, et cette femelle se met à SOURIRE en le défiant du regard.
Le maillot tient toujours par contre, mais Arnaud trouve la solution. Une paire de ciseaux plus tard, le maillot est en charpie.La peau a été touchée, zébrée de lignes rouges. Nous contemplons le corps de Maud. Sa touffe est bien rousse et touffue comme le laissait deviner son maillot. Ses globes sont énormes, presqu’aussi gros que ceux de Sonya, mais plus hauts et plus ronds. Avec méfiance, Christophe lui présente sa queue, qu’elle suce, la faisant disparaître dans sa bouche d’ogresse.
Elle aurait dû faire plus attention, car Tili se jette sur l’entrejambe, et effectivement, rapidement, je peux voir que son mandrin brun plongeant dans la fourrure rousse est un ravissement pour les yeux,
et cela sans parler du doux spectacle des lèvres rose vif, étroites, qui en accompagnent chaque mouvement.Arnaud rejoint Christophe en tête de lit, et Maud se met à les pomper tour-à-tour, puis ensemble, puis re-tour-à-tour.Je croise un bref instant le regard de Maud. Provocant, elle semble me dire silencieusement "ET TOI, QU’EST-CE QUE TU ME RESERVES, SAL**D ?".Mon pénis pulse dans ma main. Après les exploits de l’après-midi, je n’aurais même pas parié sur une bête érection toute simple, mais là, je suis comme hypnotisé par ses yeux bleus un peu fous.Esprit, corps, bite, tout mon être est tendu comme un arc. Tili me fait une place à côté de lui, j’hésite entre les deux trous, puis opte finalement une double vaginale.
Le pénis de Tili est le plus gros de nous quatre. Plus gros que celui d’Arnaud, mais aussi plus épais que le mien finalement, et je sens les lèvres de Maud se distendre autour de nos chibres. Elle beugle de douleur, mais Christophe et Arnaud la bâillonnent de leurs glands.Arnaud se dégage, et je comprends rapidement pourquoi Christine tenait à la chambre plutôt qu’au salon : il ouvre en grand la porte de l’armoire, fait quelques manipulations, et aussitôt nous apparaissons sur la grande télé accrochée derrière nous. Nous sommes filmés en direct, visiblement depuis plusieurs angles.
Je contemple également mon reflet dans le miroir qu’Arnaud déploie en face. J’adapte ma position. Quitte à être une star du petit écran, autant faire ça bien ! Tili s’est arrêté lui aussi un instant, contemplant l’installation en hochant la tête. Seul Christophe continue comme si de rien n’était. Ses couilles ont disparu dans la bouche de Maud, qui visiblement en joue avec la langue.
Tili reprend son rythme, rattrape son retard même, et je profite d’avoir le gland bien luisant et lustré pour pénétrer la belle par surprise, dans l’orifice qui voit le moins le soleil !Comme de juste, elle pousse un énième cri de douleur, ce qui fait redoubler Tili d’efforts. Christophe, lui, pousse également un petit cri. Les dents de Maud se sont refermées autour de ses bourses, et ont failli le châtrer. Je rigole in petto, j’ai vraiment du mal à l’encadrer, et je bourre la rousse de plus belle, faisant mine de rien.
Christophe dégage son service trois pièces, tout rougi à la base, et envoie une claque magistrale à la belle, dont la tête part en arrière.
— Oh, doucement ! le reprend Arnaud.
C’est ironique, car dans le même temps, lui vient se placer auprès de Tili, et tous les eux écartèlent son vagin à le rompre. Maud a failli perdre connaissance, et couine maintenant, telle un animal pris au piège.Tout cela m’excite au plus haut point. "Au plus haut point", ça fait trop guindé, je devrais dire, de manière paroxystique : chaque coup de rein est comme la crête d’un orgasme, sauf que je n’éjacule pas.Les cris de Maud me prennent aux tripes, sentir la bite de Tili était déjà énorme, mais avec celle d’Arnaud en plus c’est comme, ben, baiser avec trois fois plus de sensations.
Le claquement du fouet nous prend tous par surprise. Arnaud rassemble les lanières dans sa main avant de porter un second coup. Visiblement l’armoire d’Arnaud et Christine est bien remplie. Christophe y cherche son bonheur, et revient avec plusieurs accessoires qu’il nous passe en ricanant. Je n’aime toujours pas ce type, mais j’aime bien ces objets.Tili hérite d’un gode alambiqué, dont le clito de Maud fait les frais. Arnaud a donc le fouet. Christophe s’est réservé une sorte de roulette dentelée, dont je ne comprends pas immédiatement l’usage, jusqu’à ce qu’il se mette à la faire rouler sur la peau de Maud. Celle-ci s’orne alors de quelques fines perles de sang, et Christophe s’amuse alors à en zébrer le corps, particulièrement les seins.Moi, j’ai hérité d’un chapelet anal, et je tente de l’introduire dans la belle. J’y parviens avec difficulté, puis la ramone à loisir. Les boules sur mon gland sont un délice.
Je ne sais pas combien de temps on la prend. Même Arnaud semble accuser le coup.Nous nous arrêtons tour à tour. Christophe est le premier à lui gicler au visage, bientôt rejoint par moi, Tili, et enfin Arnaud. Une moitié du visage de Maud a presque disparu sous la couche de foutre. Sa peau est rougie, surtout autour de ses muqueuses. Mais son visage est incroyablement serein et doux. Elle nous sourit pendant qu’elle pourlèche doucement le foutre sur sa gueule. Sans rire, on dirait une chatte qui fait sa toilette.Nous rejoignons les autres dehors. Toutes se sont rhabillées.Hervé est emmitouflé dans une couverture et continue à picoler.
— C’est bien mon chéri, tu as fait du bon travail ! me félicite Inès en me frictionnant le dos.— Ah bon ? lui dis-je interrogateur.— Oui, Christine et Arnaud sont bien équipés, on a tout regardé sur le portable de Christine, depuis que vous êtes entrés dans cette pièce.
Je la regarde. Elle me regarde, on s’embrasse, elle est fière de moi et de ma grosse teub. Christine tape dans ses mains, nous indique qu’il y a de la place pour coucher tout le monde et répartit les chambres. Maud a été laissée tranquille dans la chambre principale. Nous y avons emmené Hervé, il est à peine conscient, et nous espérons qu’il cuvera son alcool sans faire de malaise, aussi nous laissons les caméras allumées pour surveiller au cas où.
Nous nous réveillons, tous à peu près en même temps, vers midi. Et tous un peu sonnés. Courbatures et gueule de bois autour du "petit-déjeuner". Hervé se racle la voix, bien éraillée : — Et du coup, on fait ça chez qui la prochaine fois ?
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