Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 322 J'aime
  • 4 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Les joyeuses colonies de vacances

Chapitre 1

Marianne

Hétéro
Les joyeuses colonies de vacances.
Marianne
Cela faisait maintenant plusieurs années que les parents de Marianne l’envoyaient en camp de vacances pendant l’été, et elle aimait plutôt ça. Elle aimait se faire de nouveaux amis, découvrir de nouvelles régions ou de nouveaux pays, pratiquer de nouvelles activités, mais cette année-là, alors qu’elle avait à peine 18 ans, elle allait faire une rencontre qui allait changer sa vie.
En arrivant sur le quai de la gare, sans vraiment s’en rendre compte, sa silhouette l’avait tout de suite captivée, et alors que les animateurs essayaient de noter les jeunes gens qui montaient dans le train, elle n’avait d’yeux que pour ce garçon.
Lui était un jeune homme de 18 ans, très grand, 1,93 m, les cheveux châtain clair, apparemment très sportif, vu les muscles que Marianne pouvait admirer grâce à son débardeur. Mais ce qui l’hypnotisait totalement, c’étaient ses yeux, d’un vert clair qui lui donnait envie de plonger dedans.
Elle l’épia pendant tout le voyage, et alors que lui se liait d’amitié avec quelques garçons, Marianne fut abordée par plusieurs filles. Mais malgré la conversation qu’elle essayait de suivre, elle était toujours captivée par ce jeune homme qu’elle n’osait approcher... Pourtant Marianne était une jeune fille très mignonne, des cheveux mi-longs, châtains clairs, des yeux marron clair, elle mesurait 1.58m pour 45 kg, une petite poitrine de 85C, et un ravissant petit postérieur, superbement bombé. Malheureusement, elle était de nature très timide, elle n’avait jamais osé aborder un garçon, et n’avait jamais eu de petit ami, mais celui aux yeux verts avait quelque chose de particulier, et son intérêt indéfectible pour ce garçon finit par se faire remarquer.
Ses nouvelles amies remarquèrent rapidement son principal centre d’intérêt, et lui demandèrent :
— Il te plaît ?
Marianne fut un peu prise au dépourvu et ne sut quoi répondre, alors lorsqu’une autre fille lui dit :
— C’est vrai qu’il est mignon. Tu veux qu’on aille lui parler ?
Paniquée, Marianne répondit aussitôt :
— Non, non, laissez-le tranquille.— Ok, mais avec des yeux comme ça, il va faire craquer toutes les filles du camp.
Marianne frémit à l’idée de voir une autre fille embrasser ce garçon, et en voyant son teint devenir livide, les filles lui dirent :
— Bon, on te laisse deux jours. Si dans deux jours, vous ne sortez pas ensemble, il ne te sera plus réservé.
Marianne reprit un peu de couleur, mais continua à trembloter. Il allait falloir qu’elle surmonte sa timidité, si elle ne voulait pas laisser passer sa chance. Elle réfléchit par quels moyens elle pouvait aborder ce garçon qui semblait totalement l’ignorer, mais lorsqu’elle essaya de se rapprocher de lui au moment de récupérer leurs valises, elle fut bousculée et se retrouva loin derrière lui.Mais le destin fut de son côté car elle partagea la chambre d’Alicia, qui devint rapidement sa meilleure amie des vacances. Alicia était venue avec son frère jumeau et ce dernier semblait très ami avec le fameux garçon aux yeux verts, ils paraissaient même inséparables. Alors le lendemain, voyant que l’intérêt de son amie pour ce jeune homme n’avait toujours pas faibli, Alicia profita qu’elles soient seules, pour lui proposer :
— Si tu veux, je demande à mon frère de nous le présenter.
Même si Marianne en avait très envie, elle avait peur de rester muette devant lui et de passer pour une imbécile, alors elle lui dit :
— Non, je ne saurais pas quoi dire, mais s’il pouvait se renseigner pour savoir s’il a déjà une petite amie ou non, ça m’aiderait beaucoup déjà.— Ok, ne bouge pas, je vais faire ça discrètement.
Marianne vit alors Alicia attirer son frère à l’abri des oreilles indiscrètes et lui parler un moment. Leurs regards passaient de Marianne au jeune homme, il semblait comprendre la situation et alors que Marianne sentait le rouge lui monter aux joues, elle vit le frère d’Alicia lui parler discrètement. Ils semblèrent se mettre d’accord sur quelque chose, et Alicia revint vers elle, Marianne sentit alors son cœur s’emballer, et lorsqu’Alicia se rassit à ses côtés, elle lui dit :
— Bon alors, il s’appelle Guillaume, il a 18 ans, et il est …
Alicia la fit languir un moment, avant de finir sa phrase, en souriant :
— Célibataire.
Marianne se rendit compte qu’elle avait retenu sa respiration jusque-là, elle poussa alors un long soupir, et fut particulièrement réjouie de cette nouvelle, mais le fut un peu moins par la proposition d’Alicia :
— Bon, j’ai discuté avec mon frère, il propose que l’on aille s’asseoir près des tables de jeux, il va lui dire que tu t’intéresses à lui et s’il a envie de mieux te connaître, il viendra s’asseoir à côté de toi.
Marianne sentit son cœur s’emballer, mais sous l’insistance de son amie et l’échéance qui approchait doucement, elle se leva et suivit Alicia jusqu’aux tables, où Guillaume et Bruno, le frère d’Alicia, étaient en train de jouer aux cartes. Ils perdirent assez rapidement et Marianne vit les deux garçons s’isoler et discuter entre eux. Elle fit son possible pour ne pas les regarder, mais elle voyait du coin de l’œil que leur discussion portait sur elle, elle sentait le regard de Guillaume glisser sur elle, tandis que son cœur se mettait à cogner tellement fort qu’elle avait l’impression qu’il allait finir par exploser.
D’un seul coup, elle vit Guillaume venir s’asseoir à côté d’elle, et là, le temps sembla se figer totalement autour d’eux. Elle attendit impatiemment qu’il lui adresse la parole, mais le beau Guillaume était aussi timide qu’elle et plutôt que de lui adresser la parole, il préféra tenter sa chance avec sa main, qu’elle avait cramponné au bord du banc où elle était assise. Elle sentit d’abord un léger effleurement contre sa main, puis son petit doigt se fit recouvrir par celui de son voisin, et là son cœur s’emballa, elle écarta les doigts et fit glisser sa main vers celle de Guillaume. Rapidement leurs doigts se nouèrent les uns aux autres et Marianne sentit une intense jubilation monter en elle.
Lorsque leurs mains furent jointes l’une à l’autre, ils se mirent à discuter ensemble comme s’ils se connaissaient depuis longtemps et, pris d’une incroyable confiance en lui, Guillaume se pencha sur Marianne et l’embrassa tendrement. Celle-ci se laissa embrasser en sentant des petits papillons lui traverser le cœur, et elle fit durer le plus longtemps possible ce premier baiser si délicieux.
Alicia et Bruno sourirent en les voyant s’embrasser, tandis que les autres filles furent un peu jalouses que Marianne ait réussi à séduire, sans doute, le plus beau garçon du camp. Sentant tous les regards posés sur eux, Marianne et Guillaume préférèrent sortir dehors pour être plus tranquilles, et s’installèrent à l’ombre d’un gros chêne. Ils discutèrent un peu de leur vie, de ce qu’ils aimaient, de ce qu’ils détestaient, mais Guillaume était fou des lèvres de Marianne, il n’arrivait pas à s’empêcher de se pencher sur elle pour aller l’embrasser. Il crut même un moment qu’elle le trouvait un peu lourd, mais même si celle-ci avait du mal à finir une phrase, elle adorait que Guillaume l’embrasse, et lorsqu’elle sentit le bout de sa langue se faufiler entre ses lèvres, elle le laissa faire. Elle avait déjà entendu parler du roulage de pelle, mais elle n’avait jamais pratiqué, et alors qu’elle avait trouvé cela écœurant quand une de ses amies lui avait expliqué la théorie, lorsqu’elle sentit la langue chaude et douce de Guillaume s’insinuer dans sa bouche, elle envoya comme par réflexe la sienne dans sa bouche. Leurs langues se mirent alors à tourbillonner doucement l’une contre l’autre, et pour la première fois, Marianne sentit une étrange sensation lui picoter dans le bas du ventre. Ils passèrent le restant de la journée l’un avec l’autre, et quand ils ne participaient pas aux activités proposées, ils se bécotaient langoureusement.
Au fil des jours, ils devinrent inséparables, toujours collés l’un à l’autre, choisissant les activités ensemble, afin d’être sûrs de ne pas être séparés, ne serait-ce que quelques heures. Et le soir, ils passaient de longues minutes à s’embrasser langoureusement avant de devoir rejoindre leurs chambres respectives. Même si elle avait un peu peur de ce qui pourrait se passer, Marianne rêvait de pouvoir passer une nuit avec Guillaume, et lui n’était guère mieux. Depuis qu’elle l’avait laissé caresser ses seins par-dessus son T-shirt, lorsqu’ils étaient allongés sous un arbre, il bandait à chaque fois qu’il posait sa main sur sa douce poitrine. Mais même s’il devait se contenter de le faire par-dessus ses vêtements, il adorait la caresser, et en particulier ses fesses magnifiquement rebondies. Il avait déjà tenté de glisser une main entre ses cuisses, mais elle avait rapidement retiré sa main et lui avait dit tendrement :
— Pas maintenant, je ne suis pas prête.
Il lui avait alors souri et s’était contenté de l’embrasser en lui caressant la poitrine et les fesses.Mais alors qu’il ne restait plus que quelques jours avant qu’ils ne rentrent chez eux, les animateurs avaient proposé à tous les jeunes un petit bivouac à la belle étoile autour d’un feu de camp. Marianne et Guillaume s’inscrivirent aussitôt, prévoyant déjà de dormir enfin l’un contre l’autre. Donc une fois toutes les pierres mises en place pour sécuriser le feu et le bois mort récupéré, ils installèrent leur sac de couchage, l’un contre l’autre.
Une fois le dîner passé, tout le monde s’installa autour du feu, pour écouter les histoires ou les chansons des animateurs, mais au moment où tout le monde partit se coucher, Guillaume eut une idée légèrement coquine : il proposa à Marianne de joindre leurs deux duvets afin de dormir vraiment l’un contre l’autre. L’idée la séduisit énormément, mais elle craignait un peu que ça n’aille trop loin, alors elle fit promettre à Guillaume de ne pas tenter d’abuser d’elle. Trop content de pouvoir enfin s’endormir contre le corps chaud de Marianne, il lui promit de ne rien tenter.
Ils joignirent alors leurs duvets, discrètement, afin que les animateurs ne les soupçonnent pas d’actes plus charnels, et pour la première fois depuis des jours, où Guillaume et Marianne en rêvaient, ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Marianne laissa même Guillaume glisser sa main sous son T-shirt pour caresser ses seins à même la peau. Elle en fit toutefois autant et sentit une nuée de papillons dans son bas-ventre lorsque ses doigts parcoururent les douces bosses que les pectoraux et les abdos de Guillaume formaient harmonieusement. Mais ce qui la troublait le plus, c’était cette bosse bien dure, qui gonflait souvent contre sa cuisse ou son ventre, et cela provoquait aussitôt une vague de chaleur tropicale au niveau de son entrecuisse. Pourtant, même s’ils en mouraient d’envie tous les deux, ce ne fut pas cette fois-ci qu’ils franchirent l’ultime étape.
A la fin du camp, ils rentrèrent chacun chez soi avec des souvenirs incroyables, et comme ils habitaient loin l’un de l’autre, ils durent se contenter de prolonger leur relation par e-mail ou via quelques coups de téléphone le soir.
—-----------------------------------------------------------------------------
Cela faisait maintenant plusieurs mois qu’ils discutaient ensemble, et même si certains de leurs amis leur disaient que leur relation ne tiendrait pas face à la distance, ils continuèrent à s’appeler tous les soirs. Un jour, alors que l’anniversaire de Marianne était prévu deux jours plus tard, et profitant du fait qu’il était en vacances pour deux semaines, Guillaume prit un billet de train pour la rejoindre. Mais à cause de son téléphone en panne, pour la première fois depuis des mois il ne put l’appeler le soir, et prit le train le lendemain sans pouvoir la prévenir de son arrivée. Marianne s’était un peu inquiétée du manque d’appels de Guillaume, et était un peu triste de ne pas avoir eu de ses nouvelles, la veille de son anniversaire.
De son côté, Guillaume prit le train et était impatient de retrouver sa dulcinée, il espérait qu’elle accepte enfin de perdre sa virginité avec lui. Ils en avaient longuement discuté pendant tous ces mois, mais Guillaume avait appris que le père de Marianne était très autoritaire, et même s’il n’appréciait guère que sa fille se soit fait un petit copain pendant les vacances, il était plutôt satisfait qu’ils ne puissent se voir à cause de la distance.
Cependant, les choses allaient bientôt changer. Guillaume arriva à la gare, et contrairement à ce qu’il avait espéré pendant des mois, personne ne l’attendait. Il maudit encore une fois son fichu téléphone, mais heureusement pour lui, Marianne lui avait donné son adresse. Il trouva un plan de la ville à la sortie de la gare, nota le chemin à prendre et se dirigea vers l’adresse indiquée.
Lorsqu’il arriva enfin devant la maison, il était en sueur, car cela faisait un bon moment qu’il marchait, et comme il ne vit aucune voiture dans l’allée, il eut peur qu’il n’y ait personne. Il alla tout de même frapper à la porte et fut fou de joie d’entendre des pas approcher. Il espéra que ce soit Marianne, mais la porte s’ouvrit sur une femme plus âgée, la quarantaine, en legging, et petit top moulant qui moulait si bien ses seins. Guillaume resta figé sur sa superbe poitrine de 90D dont les tétons étaient parfaitement visibles à travers le tissu.
Guillaume trouva cette femme très attirante, et même s’il était un peu déçu de ne pas être reçu par sa dulcinée, les seins de cette femme le comblaient.Elle lui demanda d’une douce voix envoûtante :
— Vous désirez ?
Guillaume était tellement envoûté par les seins de cette femme qu’il mit un bon moment à reprendre ses esprits et à lui répondre, mais cela semblait beaucoup plaire à son interlocutrice, car elle le laissa reluquer ses seins en lui faisant un petit sourire coquin.Guillaume finit par reprendre ses esprits et lui dire :
— Je suis un ami de Marianne, est-ce qu’elle est là ?
Marianne était assez proche de sa mère, Linda, elle lui avait raconté qu’elle avait rencontré un garçon pendant les vacances. Celle-ci avait été ravie pour elle, et elle lui avait aussitôt parlé des protections nécessaires si elle voulait aller plus loin, mais sa fille l’avait assurée qu’ils n’avaient pas été jusque-là. Cela rassura grandement son père qui l’avertit de la perversité et du vice des garçons de son âge.Elle essaya de défendre Guillaume auprès de son père, lui vantant sa gentillesse et sa tendresse, mais Pierre, le père de Marianne, était très méfiant et il fut particulièrement réjoui d’apprendre qu’ils ne se reverraient probablement pas à cause de la distance.
Alors Linda, en voyant le charmant jeune homme devant sa porte, fit le rapprochement de ce que lui avait raconté sa fille, et lui demanda :
— Ah mais, tu ne serais pas le fameux Guillaume ?— Si, madame, j’ai pris le train, mais mon téléphone est en panne, je n’ai pas pu prévenir Marianne de mon arrivée.— Ah c’est bien dommage, elle aurait été ravie de venir te chercher à la gare.— Moi aussi, madame.— Elle est partie courir, mais entre donc, j’étais en train de faire mon yoga, tu n’as qu’à attendre à l’intérieur, elle m’en voudrait si je te laissais dehors.
Guillaume suivit la mère de Marianne, et après avoir fixé ses seins, ce furent ses fesses qu’il n’arrivait plus à lâcher à présent. Le tissu du Legging était tellement fin qu’il pouvait aisément se rendre compte qu’elle ne portait rien en dessous, mais la vision des courbes de ses seins et maintenant ses ravissantes fesses finirent de faire bander Guillaume. Alors qu’il avait les yeux rivés sur le cul de Linda, celle-ci jeta un œil derrière elle pour voir s’il la suivait et fut légèrement émoustillée en voyant ce beau jeune homme lui manger les fesses des yeux.
Habituellement, lorsque Linda faisait son yoga quotidien, il n’y avait personne avec elle, alors elle s’habillait toujours très léger afin de ne pas être gênée dans ses mouvements. Mais pour la première fois, un homme, ou plutôt un jeune homme la découvrait dans une telle tenue… Même son mari ne l’avait jamais vue ainsi et même si elle en eut un peu honte, la situation et le regard brûlant de ce beau jeune homme sur ses fesses l’excitaient copieusement. Alors au lieu d’aller se changer, elle décida de continuer ses exercices devant Guillaume.
Ce dernier fut de plus en plus à l’étroit dans son pantalon lorsque Linda commença à faire des postures plus ou moins suggestives, comme la position du chien tête en bas, où Linda remontait ses fesses et où Guillaume avait une vue plongeante sur son cul et sur ses seins. Mais ce qui faillit le faire jouir dans son pantalon, c’est lorsque Linda se mit en équilibre sur les épaules et la tête, et qu’elle lui demanda :
— Puisque tu es là, tiens mes jambes bien droites, je ne sais jamais si elles sont penchées ou non.
Trop content de pouvoir toucher cette superbe femme, Guillaume se rapprocha, mais comme le tissu du legging moulait parfaitement les courbes de sa chatte épilée, lorsque les yeux de Guillaume se posèrent dessus, ils commencèrent aussitôt à en explorer les moindres contours. Il sentait sa bite prête à exploser, et Linda n’était guère mieux : la tête légèrement recourbée, elle avait une vue directe sur la belle bosse que formait la bite de Guillaume en érection dans son short. Elle eut terriblement honte lorsqu’elle sentit sa chatte se mettre à mouiller d’envie : cela faisait des mois qu’elle n’avait pas baisé, alors en sentant et en voyant le désir que ce jeune homme avait pour elle, elle ne put résister à l’envie de l’exciter davantage.
Elle se mit alors à écarter les jambes, exhibant ainsi totalement les contours de sa chatte à Guillaume, et comme le legging venait se coller à sa vulve, elle sentit qu’elle mouillait tellement que celui-ci commençait à s’imbiber de sa mouille. Mais en voyant à quel point Guillaume était fasciné par sa chatte, plutôt que de refermer les jambes, elle resta ainsi de longues secondes, sentant sa mouille continuer imprégner son legging sous les yeux exorbités de Guillaume.
Ce dernier n’arrivait pas à en croire ses yeux. Il voyait une petite tache humide s’agrandir de plus en plus entre les cuisses de celle qu’il considérait déjà comme sa belle-mère, et plus le temps passait, plus il avait envie de la baiser… Mais le moment fatidique arriva lorsqu’il commença à sentir les doux effluves qui émanaient de la mouille de Linda. Il sentit alors sa bite palpiter de plus en plus, et il dut se mordre la lèvre pour ne pas grogner de jouissance, lorsqu’il sentit son sperme gicler dans son caleçon.
Cette fois, ce fut au tour de Linda de voir une tache s’agrandir de plus en plus au niveau de l’entrecuisse de Guillaume. Même s’il avait fait son possible pour rester silencieux, elle l’avait très bien vu en train de jouir et cela n’avait fait que l’exciter davantage. Sentant sa chatte s’humidifier de plus en plus, elle se dit qu’elle avait été trop loin, et qu’il fallait mettre un terme à ce petit jeu avant que ça n’aille encore plus loin.
Guillaume était le petit ami de sa fille, elle ne devait surtout pas coucher avec, même si elle en mourait d’envie. La tache de sperme qui s’agrandissait dans son pantalon ne faisait qu’accroître son désir pour lui, alors elle replia les jambes et reposa les genoux sur le sol. Le rouge qu’elle avait au visage n’était pas uniquement dû au sang qui était descendu dans sa tête… Elle ferma les yeux et prit un moment pour essayer de retrouver ses esprits, mais elle sentait son entrecuisse complètement moite, et son legging lui collait tellement à la chatte qu’il ne faisait que rajouter à son trouble. Elle sentait que Guillaume était derrière elle, elle pouvait sentir l’odeur de son sperme, et elle mourrait d’envie de se retourner pour lui ouvrir sa braguette et libérer sa bite pour lécher tout le sperme qu’il pouvait y avoir dessus.
Depuis qu’elle était jeune femme, qu’elle avait sucé sa première bite et reçu son premier sperme dans la bouche, elle était devenue très friande de ce nectar si particulier. Malheureusement pour elle, son mari n’était pas très porté sur la chose, il avait toujours trouvé cela écœurant de laisser sa femme le sucer, et cela faisait donc des années que Linda n’avait plus sucé une bite, ni goûté à du sperme chaud et onctueux.
Si elle ne voulait pas craquer, il fallait qu’elle éloigne Guillaume, alors sans se retourner, elle lui dit :
— Je crois que tu as besoin d’une douche.
Totalement confus, Guillaume réalisa qu’il avait le short poisseux et, un peu honteux, il répondit :
— Euh, oui, oui.— Elle est au bout du couloir à droite.
Rouge de honte, Guillaume se retourna et fonça jusqu’à la salle de bain. Il se déshabilla en essayant de comprendre pourquoi il avait joui devant la mère de Marianne. Il avait été tellement excité par ses seins et ses fesses que lorsqu’il avait vu les contours de sa chatte, il n’avait pas pu se retenir de jouir. Mais alors qu’il entrait dans la douche, il se souvenait parfaitement avoir vu le legging de sa belle-mère s’humidifier au niveau de l’entrecuisse, et même s’il n’avait jamais couché avec une fille, il en savait assez pour reconnaître une preuve d’excitation… Alors, tout en se douchant, il se demanda si sa belle-mère avait envie de lui.
Et s’il avait fait un peu plus attention à ce qui l’entourait, il aurait vu Linda. Après qu’il l’eut quitté, elle avait poussé un long soupir, mais même s’il n’était plus avec elle, elle n’arrivait pas à se retirer de la tête l’odeur de ce sperme si envoûtant. Elle eut une idée particulièrement vicieuse : elle se dirigea vers la salle de bain, et attendit d’entendre l’eau de la douche couler. Elle ouvrit alors doucement la porte et fut profondément réjouie de voir que Guillaume avait laissé son caleçon gluant de sperme sur ses affaires.
Sans pouvoir s’en empêcher, elle se pencha pour l’attraper, elle en profita pour jeter un œil dans le miroir et reluquer le corps musclé de son gendre. Elle le trouva magnifiquement beau et attirant, alors au lieu de s’enfuir avec son butin poisseux, elle se glissa dans un coin de la salle de bain, et tout en gardant un œil sur le superbe corps nu de Guillaume, elle amena son caleçon jusqu’à son visage tandis qu’elle glissait son autre main dans son legging trempé.
Sans pouvoir s’en empêcher, elle se mit à se caresser la chatte, et tout en regardant le superbe corps de son gendre, elle se mit à lécher son sperme encore tiède. Cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas eu ce goût si particulier sur la langue qu’elle se mit à passer sa langue partout sur le caleçon afin de récupérer la moindre goutte de ce sperme encore tiède. Tandis qu’elle fermait les yeux en enfonçant deux doigts dans sa chatte complètement trempée, elle se mit à suçoter le tissu du caleçon. Mais alors qu’elle était prête à jouir, elle entendit l’eau s’arrêter. Ouvrant les yeux, elle vit que Guillaume s’apprêtait à sortir de la douche, elle lança alors le caleçon débarrassé de toute trace de sperme, mais complètement imbibé de sa salive.
Elle se dépêcha de sortir de la salle de bain, tandis que Marianne rentrait de sa séance de sport. Linda se dépêcha d’aller dans sa chambre pour se changer. Elle aurait bien voulu prendre une douche pour se rafraîchir et se débarbouiller de tout ce sperme qu’elle avait sur le visage, mais elle n’avait plus le temps. Il fallait qu’elle se change avant que sa fille ne découvre sa tenue souillée en présence de son petit copain ! Elle attrapa et enfila rapidement un pantalon et un T-shirt sans prendre le temps de mettre une culotte ou un soutien-gorge, et espéra que ses tétons ne soient pas trop visibles à travers le tissu. Mais alors qu’elle allait rejoindre sa fille, elle vit Marianne entrer dans la salle de bain pour prendre une douche après sa séance de sport. Elle voulut se dépêcher pour la retenir, mais il était trop tard.
Marianne fut particulièrement surprise et troublée de trouver Guillaume, complètement nu, dans la salle de bain. Elle mit plusieurs secondes à réagir, et durant ces quelques secondes, ses yeux ne purent se détacher de cette bite qui hantait ses rêves depuis plusieurs mois. Elle ne sut si elle devait se précipiter dessus ou si elle devait s’enfuir de honte, mais Linda vint à son secours, et tout en en profitant pour jeter un dernier coup d’œil à cette bite qui troublait autant la mère que la fille, elle tira Marianne hors de la salle de bain en lui disant :
— Laisse-le se rhabiller, il a dû prendre une douche.
Marianne avait encore du mal à se remettre de cette vision particulièrement troublante. Elle se posait plein de question, mais les principales étaient :
— Que faisait Guillaume chez elle ?
Et surtout :
— Pourquoi était-il nu dans la salle de bain ?
Comme-ci sa mère lisait dans ses pensées, et avant qu’elle n’ose même imaginer sa mère et Guillaume en train de coucher ensemble, elle lui dit :
— Il est arrivé tout à l’heure, il n’a pas pu te prévenir, à cause d’un souci de téléphone, et comme il était en sueur en arrivant de la gare, je lui ai proposé de prendre une douche.
Tout sembla cohérent à Marianne, alors elle répondit à sa mère :
— Merci maman, je suis trop contente qu’il soit là.— Pas sûre que ça fasse autant plaisir à ton père, mais il est encore en déplacement pendant 2 jours.
Très complice avec sa mère, Marianne osa demander à sa mère :
— Tu voudrais bien qu’on dorme ensemble ce soir ?
Linda, très prévenante, mais tout de même un peu jalouse de sa fille, lui sourit en lui disant :
— A une seule condition : que vous utilisiez des préservatifs.— J’espère qu’il en a, sinon on ira en acheter.— Très bien, ma chérie.— Merci, maman.
Pendant ce temps, Guillaume, un peu gêné de s’être fait surprendre nu par Marianne, s’était dépêché de se rhabiller. Il avait été un peu étonné que son caleçon soit si humide, mais il n’avait pas le temps de le laver alors il l’enfila. Et même si son short sentait encore le sperme, il le remit également, se disant qu’il allait devoir trouver une excuse pour se changer s’il ne voulait pas que Marianne découvre qu’il avait joui devant sa mère.
Il sortit alors de la salle de bain en essayant d’avoir l’air le plus naturel possible, et rejoignit la mère et la fille en train de discuter tranquillement dans le salon. Tandis que Linda rangeait ses affaires de yoga, il se rappela ce qui s’était passé quelques minutes auparavant, et fut un peu gêné lorsque Marianne se jeta dans ses bras pour venir l’embrasser… Mais il avait attendu cet instant depuis si longtemps qu’il cessa de penser à ce qui s’était passé avec la mère de sa petite amie. Alors qu’il serrait Marianne contre lui en l’embrassant tendrement, il remarqua que ses seins étaient toujours aussi fermes, mais même s’il en mourrait d’envie, il n’osa pas les peloter devant sa mère et préféra attendre d’être seul avec elle.
Linda fut encore un peu jalouse de voir sa fille dans les bras de ce ravissant jeune homme. Elle regrettait presque de ne pas s’être jetée sur sa bite tout à l’heure… Elle décida alors de profiter de ce que les tourtereaux se bécotent tranquillement pour aller prendre une bonne douche à son tour.
Dès que sa mère fut sortie du salon, Marianne emmena Guillaume sur le canapé, elle monta à califourchon sur lui, et reprit son langoureux baiser, tandis qu’elle sentait ses mains prendre possession de ses fesses. Cela faisait des mois qu’elle attendait ce moment : sentir de nouveau les grandes mains fermes de Guillaume lui pétrir les fesses, et sa langue douce et chaude contre la sienne, lui fit de nouveau sentir des petits papillons dans le ventre, mais depuis qu’elle avait rencontré Guillaume et à chaque fois qu’elle avait pensé à lui au cours de ces longs mois à l’attendre, elle avait appris à calmer ces petits papillons.
En général, elle s’isolait dans sa chambre et se caressait doucement l’entrecuisse pour se calmer, mais la présence et les caresses de Guillaume semblaient accentuer encore l’échauffement de sa petite chatte. Alors, quand il glissa ses mains dans son jogging, elle le laissa faire, et se colla même davantage à lui comme pour lui montrer qu’elle en voulait plus. Et alors que ses mains chaudes pétrissaient ses fesses, elle sentit une bosse impressionnante entre ses cuisses… Elle avait eu un aperçu de la bite molle de Guillaume lorsqu’elle l’avait surpris dans la salle de bain, mais ce qu’elle sentait à présent entre ses cuisses était à la fois long et dur, et cela l’excitait énormément.
Elle se souvenait en avoir eu un peu peur lorsqu’elle l’avait senti contre elle la première fois, pendant le camp de vacances, mais aujourd’hui elle se sentait prête à aller jusqu’au bout. Alors, sentant sa petite chatte s’échauffer de plus en plus, elle se mit à frotter son entrecuisse contre la bite de Guillaume en poussant de petits soupirs de plaisir. Voyant que Marianne était beaucoup plus disposée à se faire caresser que la dernière fois qu’ils s’étaient vu, Guillaume glissa une de ses mains sous son T-shirt, dégrafa son soutien-gorge, et commença à lui peloter les seins.
De plus en plus excitée, Marianne abandonna ses lèvres, et lui dit :
— Tu m’as trop manqué, j’ai très envie de toi.— Tu m’as manqué aussi, ma chérie, je meurs d’envie de coucher avec toi.
Alors, désirant assouvir un peu les désirs de Guillaume, Marianne retira son T-shirt et son soutien-gorge, et se retrouvant à moitié nue dans le salon, elle offrit pour la première fois la vue de ses seins à un garçon. Elle n’eut pas besoin de demander s’ils lui plaisaient : elle voyait Guillaume les manger des yeux, et cela l’excita encore davantage.
Guillaume les admira un moment, il les prit chacun dans une main et se pencha dessus pour commencer à lécher les tétons bien durs. Ce fut comme une décharge de plaisir pour Marianne : c’était la première langue qu’elle sentait sur ses seins, et cela lui procura un plaisir incroyable. Elle se mit à gémir doucement sous les coups de langue de Guillaume et sentit sa petite chatte s’échauffer encore plus, si bien que lorsqu’elle sentit la main de Guillaume s’insinuer dans sa culotte et se glisser entre ses cuisses, elle poussa un long gémissement lorsqu’il effleura son clitoris. Elle eut un peu peur lorsqu’il enfonça un doigt dans sa chatte trempée, mais elle ne ressentit aucune douleur, et se mit à gémir encore plus fort.
Elle s’offrait sans aucune retenue, le laissant lui lécher les seins et fouiller sa chatte en feu en ressentant un plaisir incroyable. Entièrement absorbée par son plaisir, elle avait totalement oublié sa mère et ne l’aperçut pas qui les observait discrètement. Linda était sortie de la douche et, entendant sa fille gémir, elle était venue voir ce qu’ils faisaient. Elle s’était changée et, peut-être dans l’espoir de se faire baiser par Guillaume, elle avait enfilé une petite robe d’été qui lui arrivait à mi-cuisse… Elle avait également enfilé un de ses rares strings, qu’elle n’avait pas mis depuis des années, avec le soutien-gorge assorti qui remontait ses seins et lui faisait un superbe décolleté.
En voyant Marianne, les seins à l’air, jouir comme une folle tandis que Guillaume lui léchait les tétons et lui fouillait la chatte, Linda fut profondément jalouse de sa fille. Alors, sans pouvoir s’en empêcher, elle glissa une main sous sa jupe et écarta son string pour se caresser la chatte. Mais lorsque Guillaume changea de téton, leurs regards se croisèrent, et tout en regardant sa belle-mère se caresser la chatte, il continua à bouffer les seins de sa petite amie.
Linda ne sut quoi faire lorsque Guillaume la vit en train de se branler, mais son regard vicieux l’excita davantage et, alors qu’il léchait les seins de sa fille, elle eut l’impression que c’était les siens qu’il suçait… Elle ouvrit alors son décolleté et sortit ses seins de son soutien-gorge, pour commencer à se les peloter. Guillaume ne la quittait pas des yeux, et même si elle avait terriblement honte d’être excitée par le petit ami de sa fille, elle se mit à soulever ses seins pour lécher ses tétons, comme le faisait Guillaume avec ceux de Marianne. Mais alors qu’elle s’affalait doucement contre le mur, elle heurta un tableau, qui tomba sur le sol ! Elle comprit aussitôt qu’elle devait s’enfuir et, avant que sa fille ne sorte de son petit monde de plaisir pour voir le tableau au sol, elle était déjà hors de vue.
Marianne ne comprit pas pourquoi le tableau était tombé mais, alors que Guillaume avait toujours son doigt dans sa chatte, elle réalisa qu’ils avaient été un peu trop loin. Elle l’embrassa alors tendrement, et se releva en lui disant :
— Maman accepte qu’on dorme ensemble ce soir, alors si tu as des préservatifs, tu feras de moi une femme.
Un peu déçu de devoir mettre un terme à leurs attouchements, Guillaume fut malgré tout ravi que Marianne accepte de coucher avec lui. Comme il avait toujours été très prévoyant, il lui répondit :
— J’en ai toute une boîte.
Marianne remit son T-shirt et lui dit :
— Il faut vraiment que j’aille prendre une douche maintenant.
Guillaume la regarda partir en la trouvant fabuleusement désirable, mais alors que la fille disparaissait, la mère refaisait son apparition… Et malgré le fait qu’il soit fou amoureux de Marianne, il avait aussi une furieuse envie de baiser sa mère.
Celle-ci vint s’assoir à côté de lui, et lui dit :
— Surtout, ne dit rien à ma fille, mais j’ai très envie de ta bite.
Il la vit alors poser sa main sur la bosse que formait encore sa bite, et commencer à lui rouler une pelle langoureuse tout en lui ouvrant le pantalon. Elle libéra sa bite avec une agilité qui déconcerta Guillaume, et moins de dix secondes après elle se penchait sur sa queue et la lui suçait avec fougue. Guillaume n’avait jamais été sucé, mais la langue chaude de sa belle-mère le faisait grogner de plaisir et, lorsqu’elle se mit à lui pomper la bite, il se mit à lui dire :
— Oh, putain, c’est trop bon, ce que vous me faites, continuez.
Depuis qu’elle avait goûté à son sperme dans son caleçon, Linda mourait d’envie d’y goûter directement à la source. Alors, tout en lui pompant la bite, elle se mit à caresser les couilles de son gendre, ce qui provoqua chez lui de nouveaux grognements de plaisir. Sous ce traitement intensif, il lui gicla dans la bouche une ou deux minutes après. Linda fit tout son possible pour n’en perdre aucune goutte, mais l’éjaculation fut si abondante qu’elle ne réussit pas à tout avaler, et du sperme suinta aux commissures de ses lèvres. Elle finit d’avaler les dernières giclées puis se redressa et, tout en ramassant avec son doigt les traînées de sperme sur son menton, elle dit à Guillaume :
— Ton sperme est délicieux. Si ma fille ne veut pas en profiter, je suis toute disposée à te soulager.
Guillaume la regarda lécher ses doigts et finir d’avaler les dernières gouttes de son sperme, avant de lui rouler une pelle avec un goût étrange sur la langue. C’était la première fois qu’il goûtait à son sperme. Ce n’était pas particulièrement désagréable, mais assez curieux comme expérience. Pourtant, tandis que Linda lui branlait toujours la bite, s’attendant à ce qu’elle débande doucement, celle-ci semblait vouloir rester toujours aussi dure. Elle demanda alors à Guillaume :
— Tu bandes encore, mon salaud, tu as encore envie ?— Oui, madame, vous êtes tellement excitante.— Merci, mais il faudrait peut-être garder un peu de force pour ma fille. Il ne faudrait pas que tu la déçoives, tu seras son premier amant.— Elle sera ma première aussi, madame, enfin sauf si on compte votre bouche.— Ah très bien, alors deux puceaux ensemble, en général ce n’est jamais terrible, mais vu tes réserves, tu as l’air d’avoir un sacré potentiel.— Donc ?— Donc je vais te laisser tranquille et tu vas devoir patienter ce soir pour satisfaire ma fille. Et surtout, fais la jouir avant de te soulager.
Linda se releva et laissa Guillaume se refroquer, mais avant de l’abandonner, elle lui dit :
— En tout cas, ma proposition tient toujours : si ma fille ne veut pas de ton sperme, je te viderai les couilles avec plaisir.
Linda se sentait renaître. Cette pipe et ce sperme bien chaud et onctueux à souhait avaient fait remonter en elle une jouissance qu’elle avait oublié au fil de ses années de mariage. Avec ce gendre très prometteur, elle allait redécouvrir ces plaisirs oubliés… Elle devait juste convaincre sa fille d’accepter de lui prêter son petit ami, et comme son mari était souvent en déplacement, il suffirait de faire venir Guillaume lorsqu’il n’était pas là.Alors qu’elle avait encore le goût du sperme de son gendre dans la bouche, pour la première fois depuis des années l’avenir lui sembla particulièrement radieux, et elle se rendit d’un pas joyeux dans la cuisine pour préparer le déjeuner.Guillaume se refroqua et attendit patiemment que Marianne revienne, en réalisant qu’il venait de se faire sucer par la mère de sa petite amie, et qu’il espérait vraiment qu’elle ne le découvre pas, mais surtout qu’elle suce aussi bien que sa mère.
A SUIVRE…
Diffuse en direct !
Regarder son live